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Sexe et employée de maison

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 01/07/2022

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SEXE ET EMPLOYEE DE MAISON

Tout s'est vraiment engagé je crois le jour où j'ai surpris Béa occupée à se masturber.
A l'époque, j'étais en formation pour faire de la maintenance. Un BTS en alternance qui me valait de me partager, quatre semaines en cours, quatre semaines en entreprise. C'était quelque chose qui me plaisait énormément.
J'habitais dans la région parisienne. Mes parents étaient tous les deux très occupés, ils dirigeaient une biscuiterie, qui avait des contrats avec plusieurs supermarchés, et qui fabriquait des biscuits de diverses catégories. Avec chocolat, sans chocolat, des palets bretons, des langues de chat...De grosses boites panachées qui avaient du succès.
C'était parce qu'elle n'avait pas de temps pour les tâches domestiques que ma mère avait cherché une femme de ménage. Elle l'avait trouvé très banalement, le panneau des petites annonces au supermarché. C'était ainsi que, huit ans plus tôt, elle avait fait irruption dans notre existence. Béa était une sorte de Mary Poppins, mais une Mary Poppins radicalement différente, qui n'avait pas de pouvoirs magiques, ou alors il fallait considérer que c'était magique d'être une femme irrésistiblement sensuelle, grande et toute en formes. J'avais d'ailleurs pu en profiter dès les premières secondes, puisque, arrivant pour ses premières heures de ménage, me disant bonjour, sans complexe, elle s'était déshabillée devant moi. Elle avait un tailleur qu'elle avait fait glisser, la veste d'abord puis la jupe, tout en me parlant, puisqu'elle était plutôt sociable, et elle aimait bien échanger. 'Ta mère m'a laissé un listing de tout ce qu'il y avait à faire. Je vais m'y mettre, mais je passe d'abord une blouse.'
Sous le tailleur, elle avait un soutien-gorge noir, qui retenait sa poitrine généreuse, et un simple collant qui m'a donné pour la première fois à voir ses parties les plus intimes. J'avais 12 ans à l'époque, j'en ai 20 aujourd'hui, je ne me souviens pas si j'ai été troublé par ses charmes...C'est sans doute venu plus tard...Par contre, je me souviens parfaitement de cette anatomie que j'ai souvent vue dénudée dans les mois et les années qui sont suivi. Des formes pleines, charnues, et cependant immanquablement fermes. Et là, à travers le collant, sa toison aussi rousse que ses cheveux, bien fournie, en dessous sa fente, un trait dans sa chair dont sortaient deux bouts de lèvres plaqués contre le lycra. J'ai pu aussi profiter de ses fesses quand elle s'est retournée, pour attraper dans un grand sac sa blouse. Hautes, rondes et fermes. En se pliant en deux, elle s'offrait dans une position plus que suggestive, je ne sais pas si j'en étais vraiment conscient, fesses tendues vers moi, ouvertes sur sa muqueuse anale, sa vulve en dessous aussi nettement visible. Ca aurait été quelques années plus tard, j'aurais sans doute été envahi par le désir...J'ai quand même été sans aucun doute troublé...
Elle a passé la blouse et tout a vraiment commencé.
8 ans. Elle devait avoir un début de quarantaine quand elle était arrivée, elle était à présent proche de la cinquantaine. Il y a des gens que le passage du temps dégrade, d'autres qui eux changent pour le meilleur. C'était d'évidence son cas. La maturité lui allait parfaitement.
Comme j'étais souvent là l'après-midi, on discutait. Elle était ouverte et chaleureuse, et chacun d'entre nous avait découvert la vie de l'autre, avec de plus en plus d'accès à son intimité. De l'amitié, d'évidence. Mais pas que...A mesure que mon système hormonal s'était activé, elle m'avait de plus en plus troublé. Parce qu'elle était vraiment désirable. Il était vrai aussi qu'elle faisait preuve d'une impudeur toute naturelle, assez impressionnante, couplée à une beauté naturelle et une sensualité très forte, ce qui fisait un ensemble assez explosif. J'avais compris au bout d'un moment que, quand nos chemins se croisaient, il y aurait très rapidement un moment qui serait vraiment troublant, et d'autant plus troublant que je devenais un homme capable de désirer. Ca pouvait tenir à une tenue, elle était très féminine, à sa manière de se changer devant moi, de ne pas avoir vraiment de pudeur...Au moment des grandes chaleurs, généralement, elle se mettait entièrement nue sous sa blouse..Enlevant soutien-gorge et culotte...Ses blouses étaient facilement transparentes dès qu'elles étaient prises dans des rayons de lumière...C'était plus troublant sans doute que de la voir nue. Il y avait même eu un après-midi où, il faisait vraiment très chaud, elle m'avait dit : 'Je crois que je vais rester toute nue... Ca ne te dérange pas, j'espère ? Elle s'était effectivement baladée dans le plus simple appareil, exposant un corps que je trouvais sans défaut.
Il y a eu sans aucun doute une cassure, un passage vers autre chose, quand je l'ai surprise pour la première fois, il devait y en avoir d'autres, occupée à se caresser. C'était une après-midi parmi bien d'autres, on était en janvier, je lisais tranquillement, et puis je m'étais déplacé dans la maison, pour aller lui parler. J'appréciais de pouvoir parler avec elle, il y avait une réelle entente entre nous, une réelle complicité, qui s'était construite au fil du temps.
Il y avait un meuble, épais, à l'entrée de la pièce, sur la gauche. J'allais avancer, mais je suis resté dans son recoincement. Voyant sans être vu...C'était du moins ce que je pensais. Oubliant le miroir sur le côté du mur...
J'en ai pris en tout cas plein les mirettes. Je l'avais vue cent fois nue, j'étais habitué, mais jamais dans cette position.
Elle était posée sur un siège au lieu d'être debout sur la planche à repasser. Une fois par semaine, elle faisait tout le repassage. Le fer à repasser était sur son socle, attendant d'être utilisé, tout comme une serviette de toilette attendait elle d'être repassée. Mais elle avait autre chose à faire. Elle avait défait sa blouse, laissant voir sa chair et un ensemble slip/soutien-gorge très simple, blanc...Elle avait sorti ses seins du soutien-gorge, ovales et charnus. Sa main droite pinçait alternativement l'un et l'autre téton, tous deux bien durs au moment où j'ai posé le regard sur eux. Plus bas, elle avait descendu sa culotte juste au-dessus de ses genou, le tissu étiré parce qu'elle écartait les jambes, et elle se caressait dans un mouvement circulaire et régulier. Je ne savais pas depuis combien de temps elle se masturbait, mais son sexe n'avait rien à voir avec son état habituel, la fente dont sortaient deux bouts de lèvres, même si celles-ci n'avaient jamais le même aspect. Là, elle était ouverte, presque jusqu'à la béance, on voyait son intérieur, tout rose. Ses lèvres étaient métamorphosées, toutes gonflées, épaisses, allongées, gorgées de sang. Le plus frappant, c'était sans doute de voir comment elle ruisselait d'un liquide jailli du fond de son ventre, qui coulait sur ses chairs, les faisant brillantes, mouillant ses aines, ses cuisses en descendant, coulait aussi sur le sol, et le volume de son gland clitoridien. Ce qui m'a sans doute fasciné le plus, pourtant, ça a été de voir son visage, cette expression de plaisir. A force de se connaître, on avait pas mal évoqué des détails intimes...Moi les petites amies avec qui on croyait un jour que ça collait, et le lendemain, ça n'était plus le cas, elle, après deux divorces, les hommes dont elle avait pensé qu'ils lui amèneraient du stable...Ca n'avait pas été le cas...
Elle s'est mise à jouir, corps frémissant, sans gémissements, sans cris, le trait le plus marquant, en dessous de se gland clitoridien dilaté à l'extrême, si long et si épais que, sans aucun doute, certains micro-pénis étaient moins volumineux, a été un véritable déluge de sécrétions vaginales qui a trempé ses chairs, et aussi largement coulé sur le sol.
Je me suis retiré, revenant à ma position initiale. Je l'ai vue passer, puis passer à nouveau, avec une serpillère à la main. Nos regards se sont accrochés un instant. Pensait-elle, soupçonnait-elle que je l'avais vue? Le lisait-elle dans mon regard?
Je n'avais sans doute pas vraiment compris que c'était un cadeau, et un tremplin vers autre chose.
Le soir, une fois qu'elle a été partie, obsédé par ces images qui tournaient en boucle dans ma tête et que je ne pouvais pas oublier, je me suis masturbé. J'ai joui quasiment immédiatement, une jouissance pas dans le bonheur mais plutôt dans la frustration, J'aurais eu envie de plein de choses...Avoir pu m'approcher de plus près...Remplacer sa main par la mienne...Poser les lèvres de ma bouche sur celles de son sexe...Et plus simplement, glisser mon sexe dans le sien pour la sentir autour de moi...
Elle est revenue le jeudi, puis le vendredi...On avait repris notre routine...Je me suis demandé, alors qu'elle se changeait, si je la regardais autrement. Je ne voulais pas qu'elle lise mon désir. Mais sans doute qu'il était visible. Et elle, que ressentait-elle? Me percevait-elle comme un partenaire potentiel?
Et il y a eu enfin le jour du basculement. C'était une semaine plus tard. Le jour du repassage. Décidément celui-ci était propice au sexe. Sans doute parce qu'il était moins prenant.
Elle était arrivée sur le coup de deux heures, et s'était changée. Me surprenant un peu. Elle mettait souvent des collants, mais c'était la première fois que je la voyais avec des bas stay-up. J'avais trouvé ça troublant. Des bas stay-up noir sans slip...
--Je ne t'avais jamais vue avec des bas, je lui avais dit.
--Je sais que ça plaît aux hommes, elle m'avait répondu.
--Tu sors avec quelqu'un?
--En quelque sorte.
Elle était partie s'installer devant la table de repassage. Moi j'avais une synthèse à rédiger.
Il s'était passé une demi-heure avant qu'elle ne me rejoigne.
--Tu as envie de caresser mes jambes?
Un moment un peu spécial, parce qu'on avait tous les deux conscience qu'on basculait sur autre chose. Mais en même temps...Notre relation avait évolué, et on était mûrs pour ce basculement qui n'aurait pas été envisageable même un an plus tôt.
Elle s'est postée près de moi, et j'ai tendu une main un peu tremblante vers ses jambes, prenant en bas pour remonter progressivement plus haut. Au bout de mes doigts, sa chair était brûlante, et s'ajoutait à cette sensation celle du lycra des bas, un contact à la fois souple et électrique, chaque sensation sublimant l'autre. Je l'avais déjà touchée bien sûr, on se croisait, des frôlements, ou alors quand elle me tendait quelque chose, ou je lui donnais quelque chose...Il y avait eu aussi ce moment qui s'était répété deux ou trois fois où elle m'avait demandé de l'aider pour défaire un vêtement, enlever des chaussures, une fois elle avait des bottes qu'elle n'arrivait pas à ôter, la fermeture éclair le long ne glissait pas bien, je me revoyais encore, à genoux devant elle, assise sur un tabouret, avec la vision en contre-plongée de son sexe, J'avais aussi regrafé un soutien-gorge, une robe, mais je me souvenais de ce moment avec précision, parce qu'il m'avait tellement troublé que j'avais eu quelque chose qui ressemblait à un orgasme, troublé par ses jambes, la vision de son sexe plus haut, le contact du cuir qui gainait haut ses jambes au bout de ses doigts...J'avais balancé tout mon sperme dans mon caleçon. Une fois la fermeture arrangée, j'avais pu aller me nettoyer et me changer.
Tout ce chemin pour en arriver là. J'étais quand même surpris...Et puis, si on y réfléchissait bien...Les relations entre êtres humains évoluaient constamment, Les nôtres avaient évolué constamment depuis que nous nous connaissions. Avec l'évidence, toujours qu'on s'entendait bien. L'évidence aussi qu'on s'entendait mieux que d'autres personnes. Et aussi qu'on avait des besoins affectifs non satisfaits.
Je suis remonté le long des bas, jusqu'à arriver à la lisière de ceux-ci, Il y avait une limite à franchir, un pas supplémentaire à faire, et un autre encore, sans aucun doute. Je suis arrivé sur la chair nue. Elle était comme on pouvait la rêver, bien douce et bien chaude...Mes hésitations se dissolvaient et je n'ai eu aucun mal à arriver sur son sexe, que je connaissais par cœur, dans tous ses états, mais que je n'avais jamais encore caressé. Les sensations ont afflué, se mélangeant. Ses liquides intimes qui coulaient sur mes doigts, l'épaisseur et le dessin de ses lèvres, l'ouverture de son sexe, et plus haut la masse de son gland clitoridien. J'ai lâché un trait de sperme, un seul, dans mon pantalon J'étais dilaté à éclater, mon sexe congestionné à m'en faite mal. On avait basculé sur nos envies, longtemps refoulées, pas vraiment avouées, et ça serait difficile de revenir en arrière. Tout nous séparait, et pourtant tout nous rapprochait.
--J'ai envie de caresser ta queue...
En guise d'accord, tout en continuant de caresser son sexe, j'ai baissé mon caleçon, et ma queue a jailli à l'air libre.
--Ca faisait longtemps que je ne l'avais pas vue.
Je savais très bien à quoi elle faisait allusion. Ca s'était passé il y avait un an. Un prémisse sans doute à ce qui se passait entre nous aujourd'hui. Un après-midi comme d'autres, elle était supposée être dans le cellier pour faire du tri, à la demande de ma mère. Je m'étais calé dans ma chambre, et je m'étais mis à me caresser. Il y a des moments où on a envie d'avoir du plaisir, de se détendre, de chasser le stress...Un peu des trois sans doute, et puis elle me troublait d'autant plus que je n'avais pas, en contrepartie, de copine ces derniers temps. Elle était arrivée avec une belle robe, en cette journée de printemps, sous laquelle elle avait oublié, comme à son habitude, de mettre un slip, et elle m'avait troublé. Ces images qui avaient tourné devant moi, ainsi que d'autres, alors que ma main allait et venait sur ma queue.
J'étais en pleine érection, en chemin vers la jouissance, quand elle était passée devant ma chambre.
Elle ne pouvait pas ne pas voir.
Elle s'était arrêtée, m'avait dit:
--Si tu veux, ma main peut remplacer ta main. Tu auras plus de plaisir.
Je m'étais rendu compte qu'on se connaissait tellement bien qu'il n'y avait pas de gêne entre nous.
Je n'avais pas répondu, elle avait pris ça pour un oui. Elle avait avancé dans la pièce.
Ca s'était fait d'une manière fluide. Elle s'était posée sur le bord du lit. J'avais lu dans ses yeux qu'elle avait envie de caresser ma queue, et qu'elle la regardait avec envie. Elle était d'abord venue la frôler du bout du doigt. Le contact de celui-ci avait mon gland avait fait jailllir de mon méat une longue coulée de liquide pré-sécrétif. Une fontaine qui ne devait plus cesser de couler. Elle avait enveloppé ma queue d'un geste ample, couple, collant à celle-ci et le plaisir était monté très rapidement, en parallèle à cette érection qui avait fait se raffermir et s'allonger ma queue. Je n'avais pas remarqué immédiatement que, si elle me caressait, elle se caressait aussi, Elle portait un collant sans slip, son sexe bien visible entre ses cuisses ouvertes, qu'elle frottait de la pointe des doigts sur un rythme autre que celui avec lequel elle me masturbait. Elle alternait des rythmes tantôt lents, tantôt rapides...Pour elle, un rythme plus régulier. Elle avait été rapidement aussi excitée que moi, sexe ouvert et mouillé. Elle ne m'a pas lâché et elle s'est caressée avec intensité aussi, sans relâchement. J'ai poussé un cri, et je me suis mis à jouir, crachant des jets de sperme à n'en plus finir. Elle a fait venir sa jouissance elle aussi en poussant sur son gland clitoridien. Un flot de liquide est sorti d'elle, qui, retenu par le collant, est venu tremper ses chairs dans une large circonférence.
Elle s'est penchée sur moi et elle a passé sa langue sur mon méat en tournant dessus. Cette fois, je coulais déjà. Elle a lapé mes liquides, venant appuyer sur mon méat, avant de parcourir ma queue et de dessiner de longues lignes de haut en bas et de bas en haut. C'est quand elle a joint sa main droite à sa main gauche, et qu'elle est venue, en même temps qu'elle faisait coulisser une main sur ma hampe, masser doucement mes couilles, ce qu'aucune femme ne m'avait fait avant que j'ai été saisi par cette pensée qui ne m'a plus lâché, que les moments de plaisir que j'aurais avec elle seraient uniques.
Elle a carrément ôté sa blouse, et, avec juste son soutien-gorge, pour envelopper ses seins, elle est venue se caler au-dessus de moi.
--Ce que je vais te faire, aucune femme ne te l'a sans doute jamais fait, et ne te le fera jamais. C'est une exclusivité, comme tous les moments de sexe qu'on a pu avoir et qu'on aura si tu souhaites qu'il y en ait d'autres.
J'ai eu envie de lui répondre que je souhaitais continuer sur cette voie sur laquelle on venait de s'engager, mais j'étais déjà dans le jeu sexuel qu'elle me proposait. Simple, mais terriblement excitant. Elle était venue se poser, les genoux de part et d'autre de moi, de telle sorte que son sexe était au-dessus de mien. J'ai d'abord pensé qu'elle allait me faire rentrer en elle, mais ses paroles n'allaient pas dans ce sens.
Elle est descendue, jusqu'à ce que mon gland et ses lèvres se touchent. Un premier contact électrique. Elle a attrapé ma queue, et elle s'est mise à la frotter contre ses lèvres. Je me suis vite mis à gémir. C'était vrai, aucune fille ne m'avait fait ça. Une caresse inédite, qui me permettait de sentir, contre l'épaisseur de mon gland, que je n'avais jamais vu aussi gros, la chaleur extrême de son ventre, le relief de ses lèvres, et celui de son gland clitoridien, vers lequel elle m'amenait. Ca fonctionnait dans les deux sens, d'évidence, et elle, elle sentait contre ses chairs la tête de mon sexe, toute dilatée. Sur son visage, il y avait une expression comme je n'en avais jamais encore vue, quelque chose d'extatique, L'évidence de cela, c'était le ruissellement de ses jus que je sentais contre ma peau, qui venaient se mêler au jaillissement qui sortait de mon méat. Dommage qu'on n'ait pas basculé plus tôt sur de tels moments de plaisir, Mais ça n'était pas encore le moment. Ce moment qui était enfin venu.
J'ai senti la jouissance monter en moi. Elle l'a parfaitement perçue elle aussi, rompant le contact et plaquant ma queue contre son ventre. J'ai explosé, et le premier trait de sperme a atterri en travers de son sein gauche. Mon sperme a continué de jaillir, à grands traits copieux, souillant ses seins et son visage. Ca a semblé la ravir. Quand j'ai eu fini de jouir, elle a légèrement écarté ma queue, la prenant au creux de sa main, et elle a frotté de la pulpe des doigts de son autre main son clitoris pour se faire jouir, elle aussi. Il y a eu un moment de latence, avant qu'elle ne se fige, n'ouvre la bouche pour pousser une sorte de cri silencieux, et ne laisse échapper un torrent de liquide qui a ruisselé sur moi.
Il y a eu un moment d'apaisement. On s'est regardés, On avait encore du temps, et l'envie. J'étais aussi dur qu'avant d'avoir joui. J'avais le sentiment que cette envie maintenant réellement allumée, ne s'éteindrait pas de sitôt, et que les prochains après-midis où elle viendrait seraient chauds.
Sans un mot, elle s'est relevée, et elle a quitté la pièce un instant. Elle est revenue avec un préservatif, sans doute sorti de son sac, conservé pour une éventuelle rencontre.
--Je me suis toujours dit qu'on ne ferait que des jeux sans pénétration, mais j'en ai trop envie. Toi aussi ?
--J'ai envie d'être en toi, je lui ai répondu, et effectivement, c'était le cas. Il y aurait des centaines d'autres possibilités, mais pour le moment, à cet instant, je rêvais qu'on soit simplement imbriqués.
Ca a été très rapide. Elle a déchiré l'emballage, attrapé le plastique gras et l'a fait descendre d'un seul mouvement le long de ma queue. Elle a pris celle-ci en main et elle l'a guidée vers ses lèvres. Mais cette fois, ça n'était pas pour une caresse. Elle s'est laissée descendre, et ma tige est rentrée en elle, glissant jusqu'à ce qu'elle soit assise sur moi, et que ses lèvres touchent mon pubis. Je l'ai sentie autour de moi, m'enveloppant, toute chaude, comme d'évidence, à en juger par son expression, elle m'a senti en elle. Elle s'est faite bouger sur moi, dans un rythme qui d'abord irrégulier, a pris sa dimension au bout de quelques minutes. Elle a joui différemment de la première fois, secouée par une série d'orgasmes qui ont fini par la laisser épuisée. Moi je n'avais pas encore joui. Elle m'a fait sortir d'elle. Le latex était souillé de ses sécrétions et ma queue plus dilatée que je ne l'avais jamais vue. Elle m'a masturbé vivement. J'ai crié, et finalement joui. Le réservoir de la capote a recueilli tout mon sperme. Elle m'a dégagé délicatement, tirant le latex en protégeant le réservoir. Elle a amené la capote à sa bouche, et étirant le latex, a lapé tout le sperme jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus la moindre trace.
Elle s'est redressée, et, encore la tête ailleurs, a repassé sa blouse pour retourner à ses activités.
Ces après-midis ne seraient plus pareil, c'était une évidence.



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