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Surveillance de nuit partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 17/07/2022

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SURVEILLANCE DE NUIT

partie 1

Posé dans la salle, vide en ce début de soirée, je me repassais la vidéo. Celle qui avait tout déclenché. Le chef nous l'avait transférée à Elodie et à moi, quand il nous avait confié cette mission. Enfin mission, c'était un bien grand mot.
Il nous avait convoqués, elle et moi, trois jours plus tôt. Nous travaillions à la surveillance du centre, en compagnie de 24 autres personnes qui n'étaient évidemment pas présentes en même temps. On avaient des créneaux, adaptables et adaptés. Le hasard avait fait qu'Elodie et moi on avait demandé les mêmes créneaux, on s'était retrouvés ensemble et on s'était bien entendus tout de suite.
Pourquoi nous? Je ne m'étais pas vraiment posé la question. C'était plutôt une évidence. Nous étions les deux plus âgés dans une équipe jeune, et donc les plus mûrs, et il faisait souvent appel à nous pour des missions délicates. 32 ans pour elle, 34 pour moi. Etait-on malgré tout compétents? En tout cas, il nous faisait confiance.
On s'était retrouvés ici, elle comme moi, après des parcours chaotiques, qu'on avait plus ou moins évoqués, ensemble. On avait fait pas mal d'études, pour n'arriver nulle part, un parcours plutôt banal aujourd'hui, et on avait posé notre candidature pour ce poste de contrôle et de surveillance, tout simplement pour pouvoir manger.
--On a un énorme problème, nous avait dit le chef.
On s'est regardés, Elodie et moi. Les énormes problèmes, on connaissait ça, elle et moi, depuis qu'on travaillait ici. On en avait vu passer. C'était notre quotidien, mais aussi la phrase qui nous attendait invariablement lorsqu'on se trouvait dans son bureau. Et qui était sans doute justifiée. De quoi s'agissait-il cette fois?
Il nous a tendu son smartphone. Il venait de lancer une vidéo. On l'a regardée, Elodie et moi, je tenais le téléphone, elle s'était rapprochée, sans vraiment comprendre. Surpris en tout cas par la scène.
La vidéo terminée, j'ai tendu à nouveau le portable au chef, en lui disant:
--Je ne vois pas très bien le rapport avec le centre.
--Cette vidéo a été tournée ici.
On s'est regardés à nouveau, Elodie et moi. Pas vraiment convaincus. Et puis, on a compris. En arrière fond, on voyait un mur, et sur ce mur, un graffiti que j'avais déjà vu, mais je ne me rappelais plus où. Dans le centre en tout cas. Un grand dessin, très coloré.
--Mon fils l'a récupérée. Elle tourne sur les réseaux. Avec un message élégant et sans équivoque. 'Si tu veux niquer tranquille, la cabine handicapés des toilettes à côté des ateliers est parfaite. Dans la soirée à partir de vingt heures.'
Un silence, net, lourd, avant qu'il ne dise:
--Je vous payerai un maximum d'heures supplémentaires, mais je vous demande de venir passer vos soirées aux centre et d'attraper les contrevenants. Si on attrape un couple, ça mettra un point d'arrêt final à la situation.
D l'évidence, on allait avoir quelques soirées en moins, mais on avait besoin d'argent, et avoir des heures supplémentaires nous rendrait bien service.
On a été inspecter les lieux. C'était effectivement un pole d'études isolé, ce qui aurait pu, même la journée, avoir un impact Mais là, en soirée, ça concernait les internes. Les cabines étaient au nombre de trois dans les toilettes, dont effectivement une cabine handicapés spacieuse, et donc commode.
--Je ne passe pas souvent par ici, je n'avais pas vu le graffiti, a lâché Élodie. Le gars est un artiste!
--Je le connaissais déjà. C'est vrai qu'il est réussi.
Il représentait une végétation luxuriante, un contraste voulu avec l'austérité des lieux, fait avec plusieurs teintes de vert. Elle l'examinait mais moi, mon regard était plutôt posé sur l'anatomie d’Élodie. Penchée en avant, et parce qu'elle avait une jupe très courte, elle m'offrait une vision bien plaisante de son anatomie, suscitant du désir une fois de plus. Une scène qu'on avait jouée déjà cent fois. Sous la jupe, elle n'avait pour tout sous-vêtement qu'un collant, de telle sorte que je pouvais bien profiter d'une anatomie déjà copieusement aperçue, mais je ne m'en lassais pas. Ses jambes, fines et belles, sans défaut, vraiment bien dessinées, c'était plus rare qu'on ne pouvait le penser, mais également un bon tiers de ses fesses, pleines et rebondies, et, entre ses cuisses, son sexe, bien visible, étant donné qu'elle était penchée en avant. On appelait le sexe d'une femme un abricot en argot, et c'était à ça qu'il ressemblait, un abricot bien gonflé, à cette différente que de la fente dépassaient deux bouts de lèvre qui cassaient la ressemblance. Elodie était une jeune femme ravissante, et elle avait les moyens de le faire savoir, avec des tenues révélatrices, très près du corps ou les deux. Elle savait se mettre en valeur, même s'il n'y avait en elle aucune ostentation , ni même une volonté de provocation. Beaucoup de féminité, ça c'était sûr.
Elle a fini par se redresser, s'est retournée, et m'a souri.
--Bon, il va falloir définir une stratégie. On se planque où?
--Dans le faux plafond, ça va être difficile.
Il y avait quand même quelque chose que je pouvais lui reprocher, c'était son impudeur. Sans doute parce qu'on était bons copains, et qu'on s'entendait bien, elle se comportait avec moi comme si j'avais été sa meilleure pote, et pas un homme susceptible d'éprouver du désir. Je connaissais son anatomie par cœur. Elle se changeait par exemple souvent devant moi. Elle gardait des vêtements dans son casier, elle arrivait en jupe, mais parce qu'il faisait froid elle décidait de passer un jean...Un pull plus épais, ou au contraire d'en enlever un pour mettre un T-shirt...Elle décidait de passer une culotte plutôt que de garder un string parce qu'il n'était pas confortable...Le point culminant, ça avait sans doute été quand, on était dans la salle de vidéo-surveillance, elle m'avait dit:
--Il faut que je me change.
Je pensais qu'elle parlait une fois encore de vêtements. En fait, ce n'était pas vraiment ça. On était calés sur des sièges à roulettes, plutôt confortables, devant les écrans. Elle avait son sac à main tout près, elle avait plongé dessus et elle en avait extrait un tampon, emballé dans son enveloppe protectrice. J'avais bien compris ce que c'était, et je m'étais dit:' Non, elle ne va pas faire ça!' tout en sachant que si, elle allait faire ça.
Elle avait une robe noire, courte, et qui collait à ses formes sans failles. Se poser sur le fauteuil, bouger...J'avais vite pu, une fois de plus, profiter de son anatomie. Découvert que le nylon noir qui gainait ses jambes n'était pas celui d'un collant, mais de bas, dont l'attache enserrait le haut de ses cuisses, et également une petite culotte blanche, qui collait à son pubis et son sexe et en rehaussait le charme, soulignant la pente du pubis et le renflement du sexe, le tissu rentrant dans sa fente.
Sans aucun complexe, mais ce n'était pas son genre, elle s'est soulevée, et a fait descendre sa culotte le long de ses cuisses, jusqu'à ses genoux. M'offrant une vison de son sexe, une de plus. Je l'avais vu sous tous ses angles. Là j'avais devant les yeux un triangle roux assorti à ses cheveux, soigneusement taillé, tondeuse, rasoir, je ne savais pas trop, l'ouverture de son sexe, deux lèvres qui en sortaient, ainsi que le cordon d'un tampon. Elle a appuyé de l'index et le majeur d'une main sur deux points de son sexe, quasiment à son centre mais un peu plus haut, de manière à s'ouvrir, j'ai aperçu une petite partie de son intérieur, des muqueuses roses, et de l'autre main, elle a tiré pour extraire le tampon qui a atterri pile au creux de sa paume, et qu'elle a balancé dans la poubelle. Gardant son sexe ouvert, accentuant même l'ouverture, laissant voir encore plus de son intérieur, elle a fourré le nouveau tampon en elle. Elle a laissé son sexe reprendre sa position initiale, avec un nouveau cordon sortant d'elle, puis elle a remonté le slip.
Et là, on était dans les toilettes, et elle m'a dit:
--Je vais en profiter pour changer de tampon.
Sans tenir compte du fait qu'à cette heure n'importe qui pouvait arriver, elle s'est calée dans la cabine, sans même fermer la porte, et elle a baissé son collant. L'ancien tampon a atterri dans la poubelle dédiée à cet effet, tandis qu'elle en calait un nouveau dans son ventre. Avec le temps, j'avais légèrement épuisé l'excitation que me procurait la vision de sa nudité. Quand elle avait changé de tampon pour la première fois devant moi, je m'étais éjaculé dessus sans pour autant jouir. Je m'étais éclipsé pour me changer, j'avais toujours des vêtements de rechange avec moi. Il n'en restait pas moins que me tenait cette envie, toujours très intense, de caresser son corps, son sexe, sans même aller plus loin et envisager une quelconque pénétration. Elle était vraiment désirable, d'autres femmes l'étaient aussi, mais elle me plaisait plus que d'autres.
En même temps, elle continuait à discourir.
--Je vais te dire quelle est la meilleure solution. J'ai l’œil pour ça.
Elle s'est redressée, rajustant son collant sur ses chairs, laissant la mini redescendre, et elle m'a exposé cette stratégie qu'on a adopté le soir même. Elle avait l'esprit vif et ses solutions étaient toujours les bonnes.
Sur le coup de dix-neuf heures trente, on s'est calé sur deux locaux, l'un en amont, l'autre en aval. Porte entrouverte si nécessaire, on pouvait avoir une bonne vision du couloir. On comptait surtout sur nos oreilles, car, on s'en était rendus compte en visitant, ici le moindre bruit portait, venant du couloir, des toilettes, donc on serait vite au courant si un couple se présentait. On pourrait les surprendre en flag. Un châtiment exemplaire. Le bouche à oreille ferait le reste. Pour communiquer, nos portables mis en silencieux.
J'avais dans l'idée, malgré tout, que l'attente serait très longue, ça ne se débloquerait pas en une seule soirée. Quelque chose de vraiment laborieux. Et pas forcément porteur d'un quelconque résultat.
On avait un large créneau. Le couvre-feu à l'internat était à 21 heures, et on savait déjà par d'autres affaires que, si c'était le créneau où supposément, tout le monde était supposé dormir, ce n'était pas vraiment le cas. Dans l'obscurité, tout était possible.
On s'était fixés 24 heures comme date limite, convaincus que mêmes les plus récalcitrants dormiraient après ce moment.
Avant de venir surveiller, on avait mangé ensemble elle et moi, au restaurant interne. On passait énormément de temps ensemble, quand on acceptait ces missions pourvoyeuses d'heures sup. Si je devais calculer le nombre d'heures qu'on pouvait passer ensemble dans la semaine... Ca avait crée une familiarité étrange entre nous. On avait dépassé le stade de simples collègues pour une intimité particulière. On était comme un couple sans forcément les avantages de cette situation. Je fantasmais sur elle, des scènes parfois très crues qui garnissaient mes moments de vide, ou même ceux où j'étais occupé, en arrière-plan. C'était pour moi un apaisement. J'étais convaincu que rien ne se passerait jamais entre elle et moi. Il aurait fallu un signe, et, en sept mois, elle ne m'en avait donné aucun. Ou alors, je n'y comprenais rien. Mais la voir, lui parler, et avoir tous ces fantasmes me suffisaient. Ca me procurait du bonheur et de l'apaisement.
Elle m'a fait un signe, on avait chacun la porte entrebâillée. On l'a refermée et on s'est mis à l’affût. La mission pouvait commencer. Notre oreille nous guiderait. Il fallait attendre le bruit. Je ne pensais pas forcément qu'ils parleraient en arrivant, ils s'efforceraient de ne pas être bruyants, mais les transports amoureux ne sont pas forcément silencieux.
Faire une surveillance, c'est particulier. J'étais plus ou moins rompu à l'exercice depuis que j'étais ici. On avait du faire plusieurs planques parce qu'il y avait eu des vols de nourriture, puis d'ordinateurs. On se fige, les sens aux aguets, les pensées vagabondent...
Je me suis mis à penser à Elodie. Elodie sous tous ses aspects, sous toutes ses coutures. Des centaines de souvenirs déjà. Elodie et ses jeans moulants. Elodie et ses robes courtes et collantes. Elodie si magnifique avec une robe de soirée flamboyante pour le bal quelques jours avant Noël, rouge, avec un haut serré, un bas évasé, avec plusieurs couches de tissu, tout droit sortie d'un conte de fées... Elodie qui ne portait jamais de slip sous un collant, même quand elle avait une mini ultra-courte. Sa silhouette impeccable, entretenue par beaucoup de sport, sa chevelure rousse et ses yeux verts. Elodie qui me hantait plus que je ne l'aurais voulu.
La nuit était là, mais le clair de lune éclairait la pièce, qui baignait dans cette lueur particulière.
On avait nos téléphones à la main, et on s'envoyait des SMS

--Toujours rien.
--Ce soir, on sera bredouilles.
--Faut attendre.

Le chef nous avait envoyés la vidéo. Je me la suis repassée, en coupant le son.
Je l'avais déjà regardée plusieurs fois. Il y avait deux raisons à cela, l'une avouable, l'autre nettement moins. En effet, cette vidéo m'intriguait. Elle était présentée sur le compte Insta anonymisé comme ayant été tournée ici, et, malgré le graffiti en arrière-plan, j'étais convaincu du contraire.
J'étais convaincu du contraire pour une raison simple: cette fille, magnifique, qui apparaissait dans la vidéo, je ne l'avais jamais vue. Je connaissais pourtant tout le monde, ici, même s'il y avait foule. Il se pouvait très bien toutefois qu'elle ait été une intruse, invitée par quelqu'un d'ici, qui avait pris soin de ne pas apparaître dans la vidéo, sauf pour sa queue.
Que la fille soit une inconnue n'avait pas troublé le chef. Moi, si.
La vidéo était en tous les cas excitante. Elle avait des accents de vérité. Et ce qui trouble le plus, c'est justement le réalisme, ou un réalisme fabriqué.
Il y avait un plan fixe, la caméra ne bougeait pas. Au tout début, la vidéo commençait comme ça, elle était debout devant le chiotte, couvercle rabattu. Jean et débardeur, une très jolie silhouette, un joli visage, une cascade de cheveux blonds. Elle intégrait la caméra dans son jeu d'actrice, lui faisant un clin d’œil avant de se défaire puis de tirer vers le bas le jean qu'elle portait, puis un string noir et de se poser sur le siège. Son regard d'abord planté dans l'objectif de la caméra, elle se mettait à se caresser avec ardeur, enchaînant le même geste pendant deux ou trois minutes pour monter en puissance dans le plaisir. D'abord un mouvement circulaire qui couvrait en partie ses lèvres et son clitoris, puis un frottement du bout des doigts sur son clitoris, qui dardait, enfin carrément deux doigts au milieu de sa vulve qu'elle a faits aller et venir. Pour moi comme pour tous les hommes, voir une fille se caresser, donner au regard un acte intime était infiniment troublant. D'autant qu'on voyait bien que ce n'était pas de la comédie, comme pour les actrices pornos...Son sexe, d'abord clos, s'était ouvert, ses lèvres, dont à peine un bout était visible s'étaient épanouies, et elle s'était mise à mouiller Son visage disait ce plaisir qui était très vite venu à elle, yeux mi-clos, soupirs et gémissements.
La donne changeait radicalement quand quelqu'un surgissait sur sa gauche. On ne voyait qu'une partie de son corps, un bout de torse, une partie de ses jambes, et pas sa tête. Elle se tournait vers lui, l'air intéressée, et elle le défaisait pour sortir de son pantalon une queue à moitié bandée. Sur son visage, un plaisir succédait à un autre plaisir. Il y avait eu celui de se caresser, il y avait maintenant celui d'avoir une queue en main et de pouvoir jouer avec. Ca semblait vraiment la ravir.
Cessant de le caresser de la main, elle a plongé sa bouche dessus, la faisant aller et venir en même temps qu'elle massait ses couilles. Je me suis dit que si j'avais été le gars, j'aurais joui sans attendre tellement elle était efficace.
La vidéo durait longtemps. Suffisamment longtemps en tout cas pour que celui qui regardait puisse prendre son plaisir. C'était ce qui me troublait. Et si la fille n'en était pas d'évidence à ses premières caresses buccales, ça me troublait qu'elle soit aussi expérimentée. Travaillant la queue de sa bouche, elle alternait les rythmes, suçant la queue, la caressant de la langue, s'interrompant quand le plaisir allait exploser en lui, puis repartant, et je la trouvais TROP expérimentée.
J'avais rarement vu une queue aussi dilatée, grâce à ses caresses.
Pour le faire jouir, elle est venue, pas de la main,mais de la bouche sur ses couilles, et elle les a enveloppées, l'une après l'autre, les mordillant. Là, il n'a pas tenu très longtemps, et un jet de sperme, copieux, est parti dans les airs. Elle a ramené son visage devant lui, et elle s'est laissée arroser de semence. On aurait dit que le gars n'avait pas joui depuis six mois.
Ce n'était sans doute pas la première queue dont elle s'occupait, ça se voyait clairement à la manière qu'elle a eu et qui disait une certaine expérience, de la récupérer, à moitié érigée, pour la masturber et la faire durcir, alternant mouvements de main à différentes vitesses et coups de langue sur son gland. Le gars a durci très vite. La fille a ramené sa main entre ses cuisses, pour se donner du plaisir en même temps qu'elle en donnait à son partenaire, se concentrant sur son gland clitoridien. De son autre main, elle a ramassé les traits de sperme qui avaient maculé son visage, et elle les a bouffés. La caméra s'est resserrée sur son sexe, dilaté, on pouvait voir son intérieur. Elle a craché des jets de liquide.
Tout cela m'interrogeait vraiment. Je doutais qu'une jeune femme, sauf si elle était vraiment passionnée de sexe, puisse faire ça. En même temps...
Pour moi d'évidence, c'était une vidéo d'une fille qui faisait du porno amateur, experte, avec laquelle on avait fait un montage, en rajoutant le graffiti, pour faire croire qu'elle avait été tournée ici, alors que ce n'était pas le cas. Mais je n'avais absolument rien pour le prouver. Je n'avais même pas soulevé la question, convaincu que personne ne me croirait.
La seule certitude que j'avais, c'était que, chaque fois que je la visionnais à nouveau, elle me troublait. Parce qu'elle me semblait fausse, et aussi parce que les moments de sexe mis en scène ne me laissaient pas indifférent.
Elodie et moi on s'est enfoncés dans la nuit, quand tout prend une couleur et une dimension différentes. Coupés, dans le silence, du monde et de l'agitation du jour. On continuait de s'envoyer des SMS.

--Pour ce soir, c'est mort, tu ne crois pas ?
--Sans doute que oui.
--A minuit pile, je m'en vais.
--Evidemment oui.

Et il y a eu ce moment où, pris par le silence et saisi par une douce torpeur, je me suis assoupi. Sans sentir que je basculais.
Je me suis demandé par la suite si ce qui s'était produit tenait du rêve ou de la réalité. Sans avoir aucune certitude.Dans les contours de la nuit, difficile de faire la différence entre les deux.
Dans mon rêve, ou dans la réalité, donc, Elodie s'est glissée dans la salle où j'étais. Il était tard et sans aucun doute c'était le moment de partir.
--Tu dors?, elle m'a demandé.
--Je somnole.
--Allez, pour ce soir c'est bon.
--On n'est pas au bout de nos peines.
--J'ai envie d'un moment de plaisir pour compenser cette surveillance interminable.
Rêve ou réalité, je me suis demandé si j'avais bien entendu. Il y avait des rêves où on avait conscience de rêver, et là, je me suis dit que je rêvais. En même temps, il n'y avait pas forcément de quoi être surpris. Elodie pouvait être très cash. Quand on discutait, elle avait souvent des propos très crus, finalement en harmonie avec son absence totale de pudeur.'Hier soir, je suis rentrée, j'avais envie de sexe, pas de queue à l'horizon, je me suis caressée toute la soirée.', 'En ce moment, je suis en manque niveau sexe...', 'Ça fait longtemps que j'ai pas vu une queue', 'Je suis sortie avec un gars vendredi...Je l'ai rencontré en boite....J'ai passé un bon moment...Il avait une queue énorme, il m'a bien démontée.' Et là, finalement, par rapport à son registre habituel, c'était plutôt soft. J'avais d'ailleurs souvent l'impression que son discours était partagé entre réalité et fantasme
--Un moment de plaisir en bout de course, au milieu de la nuit, ce serait plutôt bien, non?
Elle s'est tue un instant. Le clair de lune soulignait sa silhouette et la beauté de son visage. Elle s'est rapprochée, me dominant, puisque j'étais toujours assis.
--Dis donc tu bandes, non?
Et elle a posé la main sur mon pantalon, à l'endroit où effectivement, une bosse disait que ma queue n'était pas au repos.
--Tu pensais à moi?
Je n'ai pas répondu. Ma réponse aurait été partagée. Dans l'attente, mes pensées avaient glissé sur bien des sujets, et des sujets érotiques. J'avais repensé à cette vidéo qui me troublait, les scènes étaient gravées dans ma mémoire, et je me les repassais, et puis aussi à Elodie, qui m'inspirait un désir de moins en moins sous-jacent.
De la main, dans un geste lent, elle m'a caressé à travers mon jean et mon caleçon. La double couche de tissu n'était pas un obstacle, mais au contraire, porteuse, donnant plus d'impact à sa caresse. Elle avait la volonté de prendre du plaisir, c'était clairement une évidence, on était engagés dans quelque chose, maintenant. Elle s'est posée sur l'accoudoir du fauteuil, tout près de moi. Sa chaleur, l'épaisseur de son corps, l'odeur de son parfum ou de son déo me remplissant. Sa jupe à glissé quasiment jusqu'à sa taille, et je me suis rendu compte qu'elle s'était changée. Le collant avait laissé place à des bas stay-up. La seule chose qui n'avait pas changé,c'était son absence de slip, son sexe à présent plus accessible.
Les arbres qui se trouvaient devant faisait que son corps était partagé entre ombre et lumière. Le clair de lune prenait ses jambes, et son sexe, laissait le reste de son corps dans l'obscurité, mais son visage lui était illuminé.
En quelques secondes, son sexe, encore clos, s'est entrouvert. Il y a eu un filet de mouille qui est sorti, au bas de ses lèvres, et qui est parti sur sa chair, en même temps que ses lèvres, dont deux bouts étaient dehors, se mettaient à gonfler, et que son intérieur apparaissait. Elle m'a défait, et a sorti ma queue de mon pantalon. Premier contact avec sa main, douce et chaude, qui m'a caressé avec délicatesse et habileté. J'ai eu envie de lui dire que tout ça on aurait du le faire plus tôt, mais je me suis tu. Le moment, c'était maintenant, et pas avant.
Il y a eu un écho avec la vidéo. Est-ce qu'elle l'avait inspiré? En même temps qu'elle faisait tourner sa main sur ma queue, elle a amené ses doigts sur son sexe et elle s'est caressée aussi. Je ne sais pas ce qui me fascinait le plus, si c'était de voir sa main sur ma queue ou son autre main sur sa chatte. Celle-ci évoluait au fil des secondes, comme ma queue d'ailleurs, qui gonflait de plus en plus et suppurait abondamment, inondant ma chair et sa main, tandis que ses lèvres s'allongeaient et s'épaississaient, et que ses sécrétions vaginales coulaient d'abondance, trempant ses chairs. Il y avait un rythme commun qui nous rapprochait.
Je devais à présent retenir mon plaisir, tant elle se débrouillait bien. Ce n'était d'évidence pas la première fois qu'elle masturbait une queue. Griffant mon méat ou mes couilles, faisant aller et venir sa main le long de ma tige, elle était vraiment experte.
--Je crois que je vais jouir, elle m'a dit soudain.
Il y a eu un cri, léger, qui est sorti d'entre ses lèvres. Elle s'est cambrée, j'ai aimé le dessin de sa silhouette dans ce moment. Elle a recentré sa caresse sur son gland clitoridien, qui était sorti de la capuche de peau qui l'enveloppait, un bout de chair fin qui avait pris de la longueur au fur et à mesure de sa caresse, et elle l'avait massée très fort et très vite. J'avais été surpris que, dans sa jouissance, des jets de liquide copieux, une éjaculation féminine, sortent de son ventre pour venir nous tremper. Il en a été tout autant quelques secondes plus tard quand j'ai joui. J'étais bloqué, un frein psychologique, je ne voulais pas jouir sans doute pour que ce moment se prolonge. C'était la première fois qu'on était ensemble dans le plaisir sexuel, et j'avais peur qu'il n'y ait pas d'autre occasion. Elle a griffé d'un ongle semi-long et teint d'un vert pastel les pourtours de mon méat, et ma jouissance s'est déclenchée, un point de feu dans mon ventre qui s'est étendu à tout mon ventre, puis tout mon corps...Ca l'a fait sourire de me voir cracher d'innombrables jets de sperme, dans des jaillissements qui semblaient sans fin...C'était un peu comme si tout le sperme que j'avais eu envie de verser dans son ventre, depuis tout le temps, s'était libéré en une seule fois. Il y a eu plusieurs jets qui sont partis dans ses cheveux, un même qui s'est accroché au bout de son nez, pendant après, d'autres en travers de son visage, mais ça a plutôt eu l'heur de lui plaire.
On est restés figés un moment. Je crois bien qu'on se sentait plus ensemble, maintenant. Et qu'on savourait cela.
--Allez, il faut rentrer, il est vraiment très tard.
Elle a cueilli une feuille d'essuie-tout au distributeur pour essuyer le sperme qui la maculait. J'étais à peu près convaincu maintenant que je n'avais pas rêvé ce moment et qu'il était bien réel.
C'était sans doute la première fois que je parcourais le bâtiment au milieu de la nuit. Le silence résonnait bizarrement dans des lieux qui étaient toujours, au moins partiellement, occupés par la population hétéroclite du centre. Le chef nous avait indiqué comment désactiver les alarmes à un point d'entrée. On les a re-activées en sortant sur le parking.
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Histoire de JamesB

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