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Sexe et extinction des feux

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 03/05/2023

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SEXE ET EXTINCTION DES FEUX



Cela faisait plusieurs mois maintenant que deux femmes s'opposaient quand le conseil municipal de cette vile moyenne se réunissait. Il y avait des raisons à cela. Du moins tout le monde croyait les connaître. Certains s'interrogeaient quant aux réelles raisons.
Le conseil était éparpillé façon puzzle. Il y avait un groupe majoritaire, deux groupes d'opposition, trop petits pour constituer une force suffisante par le nombre, même s'ils s'étaient réunis, ce qui n'était pas le cas. Et puis au sein de ce groupe majoritaire, il y avait eu très rapidement une scission qui remontait au basculement d'équipe. Il y avait trois ans de cela, le premier magistrat de l'époque avait été menacer un commerçant parce qu'il voulait récupérer son local, loué, pour un de ses amis. Ledit commerçant avait enregistré les propos du maire et avait porté plainte. La justice avait tranché un an plus tard. Prison avec sursis, amende avec sursis et surtout inégibilité immédiate. Son premier adjoint, une femme, celle-là même qui était aujourd'hui la première magistrate, Marie-Anne S... l'avait donc remplacé. Elle avait pris rapidement ses distances avec le maire et ses outrances. Il était apparu clairement aussi qu'elle avait ses partisans, modérés, dans le groupe majoritaire, alors que d'autres restaient fidèles à l'ancien maire, et le faisaient savoir. Trois d'entre eux étaient partis, par choix ou parce qu'ils s'étaient vus enlever ou déplacer leurs délégations.
Il restait une seule personne qui n'avait jamais plié et qui s'opposait constamment à la maire. Tout le monde avait d'ailleurs bien compris que c'était une opposition de principe, et que, quelle que soit la décision prise, et même s'il n'y avait rien à en critiquer, elle la commentait et n'y voyait que du négatif.
Depuis de longs mois, le conseil était devenu une sorte de ring, où les deux femmes s'opposaient, sous le regard des conseillers et adjoints, amusés ou lassés.
Et puis il y avait un certain charme, teinté de trouble, à voir ces deux femmes s'opposer. Un peu comme on pouvait apprécier de voir deux femmes se battre dans la boue. D'ailleurs, la boue, elles s'en jetaient pas mal à la figure.
Elles se ressemblaient beaucoup, tout en étant radicalement différentes. Elles avaient toutes les deux la quarantaine et étaient de belles femmes. La maire était brune, son opposante était blonde. L'une comme l'autre, elles avaient du charme, et elles savaient se mettre en valeur et mettre en avant leur féminité. On savait que l'une comme l'autre avaient été mariées, avaient divorcé, sans en connaître plus sur leur vie personnelle. Dans cette petite ville où tout le monde s'observait, on ne les avait vues au bras de personne.
Ca avait été ce lundi soir là que, pour la première fois, l'extinction publique des éclairages la nuit avait été abordée.
--Les temps ont changé, et j'envisage que nous nous rallions à ce consensus qui gagne de plus en plus de communes, quelle que soit leur taille : l'extension des lumières la nuit. J'ai beaucoup réfléchi, et pour ne pas appuyer mon point de vue sur du vide, j'ai pris contact avec des édiles qui ont entériné cette décision. Il y a de nombreux avantages à réduire l'éclairage la nuit. Moins de pollution nocturne. Le milieu urbain retrouve de la sérénité. Revenir à plus de sobriété et de décence. On laissait allumé des lumières qui n'avaient pas lieu d'être. Un privilège de riche. Et surtout, la facture d'électricité a monté de manière radicale ces derniers mois. Il n'y aura d'ailleurs certainement pas de retour en arrière. On peut très bien, selon les configurations, et nous avons tout examiné avec des techniciens, quartier par quartier, couper la lumière dans certaines zones, la lueur naturelle peut suffire, la nuit n'est jamais totale, ou bien éteindre un lampadaire sur trois, voire quatre.
Son opposante était immédiatement montée au créneau.
--Je m'étonnais que vous n'ayez pas encore abordé cette possibilité. C'est à la mode en ce moment. Et vous êtes toujours sensible aux courants auxquels vous vous raccrochez. Vous n'avez sans doute pas contacté les bons élus. Je peux vous dire, et je peux vous donner des noms, et des lieux, que nombre sont ceux qui ont choisi de renoncer à l'extinction de l'éclairage nocturne. Et je vais vous donner deux bons arguments. Dans certaines villes, et parce que des véhicules circulent même la nuit, il y a eu des accidents, parfois mortels. Des personnes renversées parce que les automobilistes ne les avaient pas vues. Une lumière sur trois ou quatre, voire pas du tout, ce n'est pas suffisant. Et je peux vous assurer aussi qu'il y a eu des agressions grâce à ce manque de lumière.
--Je fais une proposition au conseil municipal, c'est lui qui tranchera, avait répondu la maire.
Le vote avait été sans appel. Il n'y avait eu qu'une voix contre, et il était facile de deviner quelle était cette voix.
Christelle avait jeté à la maire :
--Quand ca sera mis en place, je vais parcourir les rues de la ville. Et je vous ferai un rapport. Je vous dirai ce que j'ai vu et ce qui s'est passé. Je m'attends au pire, et je suis certaine que je trouverai le pire.
Il avait fallu un mois supplémentaire avant que les mesures ne soient mises en place. Christelle s'était procuré une carte des transformations. Pas un quartier n'était épargné. Des mesures différentes selon les lieux.
Elle avait décidé de s'aventurer en pleine nuit, l'extinction avait lieu autour de 23 heures, dans la ville. Avec l'intention de ratisser large. La ville, moyenne, couvrait une zone assez grande, avec une multitude de quartiers différents dans leur configuration et leur finalité.
Munie d'un carnet pour prendre des notes, elle s'aventura d'abord dans la zone est après la fameuse extinction, aux alentours de 23 heures. Un carnet à la main, enveloppée dans un manteau car il ne faisait pas très chaud à cette heure.
Elle se gara sur le place centrale de la ville, avant de descendre le long de la rue P...Une rue de commerces, plongés dans l'obscurité. De là, elle bascula sur une placette, qui elle-même donnait sur une autre placette, à partir de laquelle on pouvait descendre sur les berges du fleuve qui avait servi autrefois à acheminer des biens vers d'autres régions, par gabarres.
Ce fut en descendant le long de la première place, éclairée d'un seul lampadaire qu'elle entendit un gémissement. Son cœur s'emballa. Quelqu'un qui allait mal ? Elle avait raison. A cause du manque d'éclairage, quelqu'un avait du faire une mauvaise chute, et était blessé...
Mais avec cette obscurité, on ne voyait rien.
Ca avait été en regardant autour d'elle qu'elle avait compris ce dont il s'agissait.
Même s'il n'y avait apparemment aucune lumière sur la zone dans laquelle elle se trouvait, il devait quand même y en avoir un tant soit peu, car dans la vitrine du commerce en face, de l'autre côté de la place, on pouvait avoir une image assez parfaite de la scène qui demeurait invisible.
Christelle se figea, troublée dès que son regard eut accroché ce moment intime, bien que se jouant en plein air.
Un homme et une femme se trouvaient sur le banc. La fille à gauche, l'homme à droite. Il était d'évidence plus agé que la fille, dans la quarantaine, alors que la fille abordait la vingtaine. Un visage carré, une barbe courte, un corps que l'on sentait musclé sous le blouson et le jean. Il était séduisant, pas étonnant qu'il ait pu plaire à la fille. Mais c'était vrai aussi dans l'autre sens. Elle rayonnait avec une interminable chevelure blonde, qui coulait sur ses épaule, une silhouette longiligne, très fine, moulée dans un pull qui laissait entrevoir que, si fine soit-elle, elle avait une belle poitrine, qui débordait du décolleté en V, Les deux amoureux étaient quasiment face à face, un rien décalés l'un par rapport à l'autre, et la jeune femme avait dans sa main le sexe de son compagnon, qu'elle avait mis à nu et qu'elle masturbait, une belle verge qui se gorgeait de sang. On sentait bien qu'il y avait de la complicité, de la fascination entre eux. Sans ça, ils n'en auraient sans doute pas été à ce stade.
Pour Christelle il y eut sans aucun doute un avant et un après.
Ca faisait bien deux ans qu'elle avait laissé de côté sa vie de femme pour se consacrer à son métier et à ses fonctions d'élue. Au bout d'une série de relations pas vraiment réussies, qui avaient toutes capoté pour des raisons très diverses.
Elle avait estimé qu'elle pouvait se passer de relations affectives et sexuelles.
A la vision de ce spectacle, de cette complicité à travers un flirt poussé, elle venait de se rendre compte qu'elle avait eu tort.
Tout ce qu'elle avait enfoui remontait avec une rare violence et venait la frapper de plein fouet.
Ces deux années, elle s'en rendait compte à voir le couple dans la vitrine, avaient été totalement stériles et inutiles quoi qu'elle ait pu faire.
Le véritable bonheur, c'était ça. Une femme avec un homme, quelque chose de fort entre eux, et du plaisir.
Ils venaient de passer à l'étape suivante. A présent qu'il était bien dur, la blonde avait penché sa tête sur l'homme, et elle le caressait de la langue. Le gars gémissait de plaisir.
Elle aurait donné cher pour avoir un homme dont elle aurait pu ainsi caresser la queue à coups de langue. Même si ça n'allait pas plus loin. Une queue...Elle ne savait même plus ce que c'était...Elle se rendit compte qu'elle avait chaud dans le ventre, une chaleur qui s'étendait à tout son corps, que son sexe s'ouvrait et se mettait à mouiller. Des réactions physiques qu'elle n'avait plus depuis longtemps.
Là où elle avait sans doute été naive, ça avait été de penser que, même si elle était décalée par rapport au couple, elle était d'ailleurs en amont d'eux, ils ne la voyaient pas, comme elle ne les voyait pas. Même s'ils étaient dans leur bulle, ils la voyaient parfaitement.
--Et si tu venais nous rejoindre ? C'est comme la nourriture. Quand il y en a pour deux, il y en a pour trois...
C'était la blonde qui, se redressant, lui avait dit ça. Elle lui parlait, mais c'était son reflet dans la vitrine que Christelle regardait. C'était étrange, ce décalage. Elle avait un très joli visage. Un large sourire. On voyait bien qu'elle était totalement desinhibée.
Ca se fit très naturellement. Christelle avança et rentra dans l'ombre. Curieusement, ses yeux s'accoutumèrent très vite, et le problème de voir ne se posa plus. Elle se laissa tomber sur le banc, et se pencha en avant, son visage rejoignant celui de la jeune blonde. Les deux femmes rapprochèrent leurs bouches et s'embrassèrent, lèvres contre lèvres. La blonde attrapa sa main et vint la placer autour de la queue bien dure. Dans un réflexe, Christelle se mit à masturber le membre. Le gars gémit. Elle se dit qu'elle n'avait pas totalement perdu la main, c'était le cas de le dire.
Le rapprochement s'était enclenché très rapidement. Sans doute que sans cette immense frustration en elle, et la prise de conscience de celle-ci, les choses auraient été différentes.
Elles avaient sorti leur langue et elles avaient caressé la queue, leurs langues s'accrochant parfois. La complicité avait été immédiate, même si tout séparait les deux femmes.
Isolés dans l'obscurité, tout leur était et leur semblait possible. Une absence de limites qui avait sans doute fait que la blonde avait tiré un préservatif de son réticule et l'avait tendu à Christelle. Celle-ci avait déchiré l'emballage d'argent et tendu le latex gras à Christelle.
--Je te laisse lui mettre.
C'était curieux ce sentiment derevivre, alors qu'elle posait le latex sur le gland suintant et le faisait descendre le long de la tige figée dans son immobilité. Elle ajusta la capote, au niveau du réservoir. La blonde se leva, et Christelle attrapa le legging blanc pour le descendre.
--Tu prendras aussi sa queue dans le ventre, la rassura la ravissante blonde, pendant que Christelle descendait la culotte blanche, elle aussi marquée, trempée sur une grande zone qui la laissait transparente. Son sexe apparut, rasé sauf pour un triangle minuscule qui disait que sa blondeur était naturelle. Son sexe était dilaté d'excitation, et des lèvres longues et très fines sortaient d'elle. Christelle balada la pulpe de ses doigts dessus, la faisant gémir, avant de remonter à l'endroit où se trouvait son gland clitoridien.Toujours de la pulpe de ses doigts, elle le décalotta, et le masturba. La blonde se cambra, gémissant, et arrosant sa chair de sa mouille.
--Je ne regrette pas de t'avoir rencontrée, gémit la blonde.
--Moi non plus, répondit Christelle.
Elle faillit ajouter 'Tu m'as ramenée à la vie.'
Elle l'accompagna alors que la blonde venait se positionner sur la queue roide. Etait-ce la première fois ou le couple avait-il déjà eu des rapports intimes ?' Avec un sentiment délicieux, Christelle guida la queue vers les lèvres de la jeune femme...Sans doute qu'ils se seraient débrouillés très bien sans elle. La blonde aurait fait ce qu'elle faisait, guidant le gland vers les lèvres. La queue glissa naturellement entre les lèvres de la jeune femme, qui l'avala, se laissa glisser jusqu'à ce que le membre soit totalement avalé.
Avec un délicieux sentiment, celui d'avoir basculé de la mort sexuelle la plus absolue à une acitivité teintée de perversité, Christelle s'activa autour du couple. Elle vint malaxer les fesses de la jeune femme, masser son gland clitoridien et ses lèvres pendant qu'elle se faisait aller et venir sur la queue, huilant le latex.
Elle se redressa. Elle était curieuse de voir ses doudounes qui tendaient le chandail. Elle vint de nouveau prendre la bouche de la jeune femme, et en même temps, remonta le chandail, sans opposition. Dessous, elle avait un soutien-gorge noir, qu'elle dégrafa, mettant à nu deux seins extrêmement ronds, avec de larges aréoles, et des tétons tout gonflés. Leur forme, ainsi que les fines cicatrices disaient clairement que ce n'étaient pas des seins naturels. Mais qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse...Christelle plongea sans hésitation dessus, venant mordiller les tétons, se demandant si c'était cela qui faisait gémir la jeune blonde de plaisir, ou bien le frottement de la queue dans sa vulve, contre ses parois intimes, dans un mouvement qu'elle avait initié en faisant aller et venir son ventre autour de la verge. Christelle avait glissé sa main dans son legging, dans sa culotte, et se masturbait en même temps qu'elle faisait aller sa bouche des tétons aux lèvres de la jeune femme...Elle était ouverte et mouillée, des symptomes qu'elle n'avait pas connus depuis longtemps, son corps endormi qui se réveillait avec d'autant plus de force.
Il y eut un bruit visqueux quand elle se souleva, pour laisser la place à Christelle. Au contact de la muqueuse, la queue avait gagné un tiers, en largeur comme en longueur. Elle n'avait pas imaginé qu'elle puisse être un jour aussi excitée de voir une queue à quelques centimètres d'elle...Elle se jura que plus jamais, elle ferait n'importe quoi, payer, mais non, elle ne resterait pas sans avoir des rapports sexuels. Au moins, sans forcément une bite, se faire lécher par une fille...
Elle était au bord des larmes quand elle prit la place de la blonde, qui se masturbait en regardant, et qu'elle guida la verge contre ses lèvres. Elle se laissa glisser dessus, sentant que la queue la remplissait. Elle lâcha un long gémissement. Quand elle se trouva remplie, une larme coula au coin de son œil. Elle aurait voulu que la verge durcie reste pour toujours en elle, pour compenser ces deux ans gâchés.
Le gars vint la chercher, prenant ses fesses à pleines mains, et il se mit à la faire aller et venir sur son sexe. Très vite, Christelle sut qu'elle allait jouir. Elle cria, se tendant, traversée par l'orgasme. C'était bon de jouir ainsi.
L'homme sentait-il qu'elle n'avait pas eu de sexe pendant un moment et qu'elle avait encore envie de plaisir ? En tout cas, il continua de la faire bouger sur sa queue, déclenchant encore sa jouissance.
Les deux femmes se retrouvèrent, chacune d'un côté, penchée sur la queue dilatée, à l'extrême de sa jouissance. Christelle le délivra du latex. Elles rapprochèrent leur bouche du gland dilaté. Il n'y eut pas vraiment à attendre. Un coup de langue, et le sperme jaillit. Menant la danse, la jolie blonde fit onduler la queue entre leurs deux bouches, pour que chacune ait sa rasade de sperme. Elle finit par embrasser Christelle à pleine bouche, un baiser au goût de sperme, alors que la semence se mélangeait, d'une bouche à l'autre.
Il y eut un moment figé, avant que Christelle ne se rajuste et ne s'éloigne, groggy, mais heureuse, et avec en elle des traces qu'elle n'oublierait pas. Physiques et mentales.
Pour ce soir, tout était annulé. Elle allait rentrer chez elle, s'endormir en pensant à ce merveilleux moment, à ces sensations qu'elle gardait, au contact des deux corps.
Elle fut surprise de sentir une présence derrière elle. Se retourna. C'était la blonde, rhabillée.
--Tu...Tu as envie qu'on remette ça ? Ailleurs ? Dans de meilleures conditions ?
--Toi et moi ?
--On peut être à deux, ou à trois. Ca nous a plu. Pas à toi ?
--Si admit Christelle.
Deux numéros échangés, et les deux femmes prirent des chemins séparés.
Deux jours plus tard, au conseil municipal, la maire interpella Christelle.
--Vous deviez tester l'extinction des éclairages de nuit, et me faire remonter vos remarques. Je suis prête à les entendre. Je ne suis pas aussi bornée que vous voulez bien le dire.
Elle fut désarçonnée quand elle entendit sa plus farouche opposante lui répondre :
--J'ai effectivement testé l'extinction des feux il y a deux nuits de cela. J'avais tort. Il n'y a rien à dire. Vous avez entièrement raison.
La maire enchaina sur l'ordre du jour, très surprise. Elle l'aurait été moins si elle avait pu lire dans l'esprit de son opposante, avait vu les images qui tournaient en elle depuis plusieurs jours, et vu l'état de sa culotte, mouillée, et de son sexe, gonflé d'excitation. Christelle devait retrouver le couple après le conseil, et la pensée de tout ce qui pourrait se passer, qu'elle pouvait imaginer sans forcément être proche de ce qui arriverait réellement --mais c'était déjà un plaisir d'imaginer, la mettait en transes.

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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Sexe et extinction des feux

Le 04/05/2023 - 12:01 par JamesB
J'ai une idée sympathique. A développer...
Le 04/05/2023 - 11:29 par OlgaT
Excellent! Une suite?

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