ACCUEIL > Lieux publics > Récit : Plaisir inattendu

Plaisir inattendu

+25

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 10/05/2023

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

PLAISIR INATTENDU
On prend souvent des habitudes...Bonnes, mauvaises...Difficile de juger. Elles peuvent vite basculer d'un côté ou de l'autre...Vers le meilleur ou le pire...
Il faut sans doute, avant de commencer mon récit, que je lui donne un cadre précis. J'habite un département rural, où se mélangent villes moyennes, petits villages, zones agricoles, forêts, parcouru par de sympathiques départementales. Je suis technicien de maintenance, et j'ai déjà exercé dans plusieurs coins du département, parce que j'ai fait le choix de l'intérim, qui me permet de changer, ce qui est important pour moi. A 34 ans, j'ai encore envie de bouger.
En ce moment, j'ai un poste dans le sud du département.
Le matin, je me lève tôt, et je pars avant même que le jour ne soit levé, les rituels du petit matin sont pour moi, je prends mon véhicule et je suis des départementales, sans croiser grand monde, 50 minutes pour une cinquantaine de kilomètres. Je traverse des petits villages encore totalement endormis.
Ca fait des années que j'ai l'habitude d'un moment de plaisir le matin. C'est le moment de la journée où mes envies de sexe sont les plus fortes. Quand je suis avec une fille, je m'arrange pour qu'on bascule sur un rapport sexuel avant de nous séparer, généralement, elle est d'accord. Quand je suis seul, ce qui souvent le cas, je prends du plaisir seul. Une main sur ma queue déjà à moitié raide, des fantasmes, ou le souvenirs de moments sympas...Je n'ai jamais vraiment pu me stabiliser avec une fille...Les choses seraient sans doute différentes.
Et là, ça fait plusieurs fois que ca se passe de manière nouvelle. Au lieu de prendre du plaisir avant de quitter mon appartement, je me gare le long de mon parcours, et je me fais jouir dans un lieu désert. La raison à cela : un matin, simplement, en retard, je n'avais pas eu le temps de prendre du plaisir, mais je m'étais rendu compte, en route, que j'avais le ventre pris par une envie forte. Suffisamment en tout cas pour m'arrêter en pleine nature, sur un parking le long d'un champ, plus que rudimentaire, et me donner du plaisir.
J'avais apprécié de me caresser dans de nouvelles conditions, et j'avais donc repéré les endroits où, dans la nuit, je pouvais avoir un orgasme. On était encore en plein hiver...L'arrivée du printemps sonnerait le glas de cette habitude.
Chaque jour je me déplaçais. Pour me caler à des endroits différents. Non que je craigne d'être surpris. J'avais un large manteau d'hiver, que je ramenais sur moi et qui m'assurait une quasi-invisibilité.
C'était du moins ce que je croyais.
Mon erreur, si c'en est vraiment une, ca a été que je me suis garé plusieurs fois au même endroit. Sans doute parce qu'il était très commode. En effet, les bouts de terre étaient souvent défoncés et me secouaient sans ménagement.
Et cet endroit, goudronné, m'avait plu. Un espace parfait pour se garer, même si ce n'était sans doute pas l'intention originelle.
Il était situé à l'entrée d'un petit village qui s'épanouissait au fond d'une cuvette sur les bords de laquelle je m'étais arrêté, juste après le panneau. Sur la droite, une rangée d'arbres le long d'une pente, qui laissaient entrevoir le fond de la cuvette, des commerces, des habitations, des bâtiments. Sur ma gauche, un entrepôt avec un panneau A VENDRE et une série de bâtiments, dont un restaurant, fermé à cette heure. Trois cent mètres plus bas, un rond point de modestes dimensions, qui permettait de s'orienter vers trois directions, dont celles que je prenais.
Ce mardi matin-là, j'ai freiné, et je me suis garé. Le matin mes envies étaient toujours très fortes, et je ne me voyais pas attendre le soir pour me donner du plaisir. Je dois bien le reconnaître, j'étais comme un drogué, qui avait besoin d'un moment de sexe et de jouissance. Ce n'était d'ailleurs pas pour contrebalancer quelque chose, ou par frustration. Sans doute que plus simplement les endorphines secrétées par l'orgasme étaient une drogue, au même titre que le tabac ou le chocolat.
Je me suis mis à nu, et j'ai commencé à me caresser.
On a toujours un support à des caresses intimes, enfin moi, c'était mon cas. Ces derniers temps, je regardais énormément une série de photos sexy, mises de côté un an plus tôt, mais que je redécouvrais sous un autre angle, envoyées par une copine dont je m'étais séparé. La rancoeur passée, je me plaisais à contempler ce corps impeccable, qu'elle avait généreusement dévoilé pour me séduire. J'y jetais souvent un coup d'oeil, elles étaient gravées dans ma tête, et quand je caressais ma queue, les évoquer me faisait vite monter en température.
Mais ce jour-là, rien n'a été dans la logique habituelle.
On loupe toujours un élément.
Moi c'était le bâtiment entre l'entrepôt et l'hôtel. Une maison. Une belle maison d'ailleurs, trois étages, avec un balcon qui en faisait le tour, une balustrade en bois.
Quand je m'étais déjà arrêté, tout était éteint.
Ca ne voulait pas dire que tout le monde dormait dedans.
Je m'en suis vraiment rendu compte quand la porte principale s'est ouverte, et qu'une femme est sortie.
Il y avait des lampadaires de l'autre côté de la rue, et j'ai tout de suite vu qu'elle était vraiment magnifique. Elle était légrement vêtue, juste un peignoir lèger, fermé par une ceinture à sa taille. Même ensomeillé, elle avait un joli visage, des traits fins, et un regard bleu, ça je l'ai vu quand elle a été tout près de moi. Ce que j'ai vu aussi, c'est quand, alors qu'elle traversait, le vent, il y avait un vent lèger ce matin, a soulevé les pans du peignoir, dévoilant deux jambes bien dessinées.
J'avais rabattu les pans de mon manteau, et lâché ma queue, mais j'ai bien compris que c'était peine perdue. J'aurais du m'arrêter ailleurs. C'était mort.
Elle a souri. Un sourire sarcastique. Vraiment, elle était très jolie. Ce n'était pas ça qui allait calmer mon érection.
Elle a donné un petit coup de doigt à la vitre, histoire de m'inciter à baisser celle-ci. Ce que j'ai fait. Je pouvais peut-être encore sauver les meubles.
--Le matin, je me lève très tôt. Je me fais un café et je profite de ma tranquilité avant d'aller travailler. Je regarde par la fenêtre sans allumer. Et j'ai aperçu une belle queue. Bien dure, frénétiquement caressée par un homme qui cherchait son plaisir, et qui le trouvait.
Avant que j'aie pu faire quoi que ce soit, elle s'est penchée et elle a vivement écarté les pans de mon manteau dévoilant ma queue, qu'elle aurait pu trouver en taille réduite, mais qui, au contraire, sa présence, l'odeur d'un parfum, sans doute de la veille, flottant sur elle, poussait vers une érection encore plus marquée.
--Bon, je ne me suis pas trompée.
Et puis, il y avait aussi ces seins que je venais d'apercevoir. Des seins de taille moyenne, mais bien ronds et bien fermes, tendus, dressés, avec des pointes bien roses et qui elles aussi étaient dressées. Le froid, la situation qui la troublait, une sorte d'équivalent matinal à mon excitation ? Difficile de savoir. Ils étaient à l'image du reste de sa personne, en tout cas, bien appétissants...
--Tu ne crois pas qu'une main de femme, bien douce, ce serait plus agréable sur ta queue ?
Je me demandais où elle voulait en venir. Intrigué par ce sourire, dont elle ne se départissait pas.
--Une sorte d'accord entre toi et moi. Une main de femme serait plus agréable pour toi, et moi ça fait trop longtemps que je n'ai pas eu une queue au creux de la main. J'ai divorcé il y a un an. Je pensais pouvoir me passer des hommes, mais te voir, et voir ta queue m'ont fait comprendre que ce n'était pas vraiment le cas. Chacun d'entre nous y trouverait son compte.
Elle n'a même pa attendu ma réponse et elle a plongé sur moi de la main gauche. Il y avait un éclat dans son regard qui disait clairement que ce moment lui plaisait, et que oui, elle avait sans doute vécu un manque ces derniers mois.
Elle avait bien raison, en tout cas. Sentir sa main sur moi, chaude et douce, souple, ça a été vraiment très bon. Et effectivement, à mettre les deux en balance..Je préférais sa main à la sienne pour me caresser.
D'autant qu'elle s'est révélée très vite habile. L'expérience, la frustration ? J'aurais parié pour les deux. Elle a commencé à esquisser une caresse de haut en bas sur ma queue, mais très lente...Moi j'allais toujours plutôt vite, et cette lenteur délibérée m'a paradoxalement plus excité. Ma queue était encore sèche. Un premier filet de liquide pré-sécrétif est sorti, trempant ma chair, et ça n'a plus arrêté de couler, lubrifiant sa main et ma verge. C'était un délice que cette caresse, et ça l'a été encore plus quand sa main a glissé sur mes couilles, pour venir les masser doucement. Finalement, les choses se passaient bien, alors même que j'avais pensé à un dérapage.
--Avant de quitter la maison, j'ai pris un préservatif dans une boite qui est périmée dans deux mois. J'en avais acheté l'an dernier...Je voulais être prête si jamais je trouvais un partenaire...Qui n'est jamais venu. Après, la deadline n'est pas encore atteinte. Suppose que je mette du latex autour de ta queue, et que je m'assoie sur toi...Ca te dirait ?
C'était Noël avant l'heure. Tout avoir alors que cinq minutes plus tôt, je n'expérais rien qu'un moment de plaisir solitaire...
Elle a récupéré la capote dans la poche de son peignoir, a déchiré l'emballage, avant de poser la rondelle sur mon gland. Elle l'a faite glisser le long de ma queue, jusqu'à ce que je sois bien enveloppé de latex. A ce moment, rapide, elle a ouvert la portière, et est venue se poser sur moi. Dans le mouvement, le peignoir s'est défait, dévoilant ses cuisses, son ventre et sa toison brune. Un éclat du lampadaire m'a donné à voir son sexe, une déchirure irrégulière dans son ventre, celle de ses lèvres qui jaillissaient d'elle, encadrant un intérieur bistre qui luisait. Elle m'a attrapé entre ses doigts, et, un geste vieux comme le monde, elle a guidé ma queue en elle, m'avalant de quelques centimètres. Elle s'est laissée tomber sur moi, et on a été soudés.
--Prends-moi par le cul, et fais-moi bouger sur ta queue.
J'ai plongé mes mains sous le tissu du peignoir, glissant sur ses hanches marquées, et venant empoigner des fesses rebondies, que j'ai aggripées pour la faire bouger sur moi.
Ce qui m'a le plus surpris sans doute, ca n'a pas tant été qu'on se retrouve à faire l'amour dans ma voiture, au bord de la route, alors que des voitures passaient, dont les conducteurs ne nous remarquaient même pas, mais plutôt qu'il puisse exister, alors que nous ne nous connaissions pas encore cinq minutes plus tôt, même si elle m'avait maté les fois précédentes, une telle complicité, dans laquelle, il est vrai, le sexe jouait un grand rôle. Je l'ai faite bouger sur moi, éprouvant un plaisir intense à me sentir caressé par sa gaine intime, comme, en tout cas, son visage le disait, elle en éprouvait à sentir ma queue appuyer sur ses muqueuses de la manière aussi la plus intime qui soit. Elle s'est cambrée soudain, en me disant :
--Je suis entrain de jouir...
Elle a laissé échapper un cri en partie étouffé, et j'ai senti qu'elle m'inondait de ses sucs intimes. Emporté par son orgasme, je n'ai pas pu tenir plus longtemps.
Elle s'est dégagée, libérant ma queue. Pas facile avec le volant dans le dos. Le réservoir du préservatif était plein de sperme. Elle a ôté habilement le préservatif, en tordant le latex pour que son contenu ne se renverse pas. J'ai été un rien surpris de la voir étirer le condom pour venir soigneusement laper le sperme, jusqu'à ce qu'il ne reste plus de trace de la semence blanche et crémeuse au fond du préservatif.
Elle a ouvert la portière, et est descendue. Elle était rayonnante.
--J'ai bien fait de te rejoindre. Un an à ne baiser qu'avec ma main et des godes...
Je devais bien le reconnaître aussi. Même si j'aimais me caresser, ce moment était cent fois plus fort que ce que j'aurais pu vivre tout seul.
-Et si deman matin, au lieu de te branler dans ta voiture, tu descendais, et tu venais me rejoindre ? On pourrait faire quelque chose de sympa à deux, et avoir du plaisir partagé.
Elle s'est éloignée, ondulant dans la nuit, sous son peignoir qu'elle avait rattaché.
J'ai redémarré. Le jour n'allait pas à tarder. Avec de délicieux moments en tête, je suis parti au travail de meilleure humeur qu'à l'accoutumée.
25 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Plaisir inattendu

Le 10/05/2023 - 21:52 par OlgaT
Une excellente surprise!

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :