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Sexe et extinction des feux la suite partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/09/2023

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SEXE ET EXTINCTION DES FEUX LA SUITE

PARTIE 1

Madame la maire était une femme assez inquisitrice, une femme qui, en tout cas, voulait toujours savoir, Et là, dans ce cas précis, elle ne supportait pas de ne pas savoir pourquoi sa rivale avait changé d'avis, ni ce qui l'avait fait changer d'avis quand elle lui avait dit, après une opposition forcenée, que l'extinction des feux la nuit était au final une bonne chose.
Il ne restait donc plus qu'une solution.
Ce fut ainsi qu'un soir, après le dîner, elle se prépara pour aller arpenter la ville la nuit, une fois l'extinction des feux mise en place. Elle concevait que le parcours qu'elle ferait ne serait pas le même que celui de son se opposante, mais que malgré tout, elle trouverait ce qui avait pu la faire changer d'avis. Comme en conseil municipal, elle ne lâchait jamais.
Pour mieux voir, elle voulait se fondre dans la nuit. Elle qu'on voyait toujours en tailleur, jupe ou pantalon et veste, allant du noir au blanc, du coloré à l'acidulé.
Ce soir-là, elle passa un simple caleçon noir, un pull aussi noir, un blouson de cuir par dessus, et chaussa de confortables baskets.
Si elle avait eu un regard extérieur sur elle-même, elle se serait rendue compte à quel point elle pouvait être désirable, son corps souligné par sa tenue, ses formes pleines mises en valeur par le moulant du caleçon et le serré du pull. C'était que madame la maire était une très belle femme, une MILF dans la plénitude de charmes bien réels, mais elle avait oublié depuis longtemps qu'elle pouvait être hautement désirable et séduire. Son mari l'avait plaquée il y avait douze ans de cela, du jour au lendemain, et sans réelle explication. Dès lors, sous le choc, elle s'était détournée du monde affectif et sexuel, pour s'investir totalement dans la politique. Elle faisait partie de ces personnes qui se donnaient à fond à une passion en négligeant un pan essentiel de la vie humaine, et une source d'équilibre évidente. Si elle se soignait c'était beaucoup plus parce qu'elle voulait donner une image d'elle-même impeccable, et ainsi asseoir son autorité, car cela y participait.
Elle ne s'était pas cependant totalement détachée de la sexualité. En effet, elle se caressait très régulièrement. Elle n'avait pas pu en effet totalement renoncer à satisfaire les besoins de son corps, qui s'imposaient parfois, souvent même, de manière impérieuse, et elle était vite revenue à des pratiques de célibataire. Le plaisir seul n'avait pas été une envie pendant son mariage, son mari ayant très souvent envie de rapports, et trouvant une partenaire consentante, qui aimait le sexe.
La première fois où elle s'était de nouveau caressée, c'était parce qu'elle ne pouvait plus tenir, elle avait le ventre en feu, un début d'après-midi, un rien honteuse, elle avait descendu un pantalon et une culotte. Frustrée, son mari était parti depuis près d'un an, et elle n'avait eu aucun rapport sexuel depuis, elle avait joui en quelques secondes, surprise de la force et de la fulgurance de cet orgasme, qui l'avait poussée à continuer, rattrapant pour ainsi dire, même si ça n'était pas vraiment le cas, tous les orgasmes qu'elle n'avait pas eu pendant cette période, jusqu'à en être totalement épuisée. Elle avait eu une période de frénésie, où elle avait été d'orgasme en orgasme, se caressant n'importe ou n'importe comment, redécouvrant le plaisir de se masturber, plus intense et plus varié qu'elle n'aurait pu l'imaginer, jusqu'à ce que ça se stabilise, et qu'elle n'y passe plus des heures entières. Mais elle se donnait encore et toujours du plaisir, très régulièrement, il ne se passait pas une journée sans qu'elle se caresse, parfois c'était deux, trois fois par jour, et elle n'aurait renoncé à ce plaisir pour rien au monde. Sa seule drogue, mais c'en était bien une.
En sortant de chez elle, elle ne se doutait pas de ce qui l'attendait.
La ville la nuit, cette ville dont elle était la première magistrate était tout à fait différente. Elle était souvent à des cérémonies en soirée, mais elle la redécouvrait aussi tard. Elle était sombre, mystérieuse, et belle, d'une puissance qu'elle n'avait pas le jour.
Il y avait eu, en quelques mois, des ajustements, suite à des doléances. Selon les quartiers, c'était l'extinction totale, ou bien une lumière sur deux. On avait privilégié de laisser un peu de lumière dans les quartiers où il y avait essentiellement de la population, et pas du tout dans ceux où elle était plus rare.
Le premier couple, elle l'avait vu en descendant la rue P...
Chaque nuit était sans aucun doute unique, et il y avait donc un mélange de différents phénomènes. La clarté donnée par la lune, cette nuit-là, c'était pleine lune, donc forcément, ça aidait, le fait qu'il y avait, si les éclairages publics étaient eteints, quand même des éclairages, plus ou moins diffus, aux fenêtres, dans les vitrines, et les jeux de miroir et de brillance, qui faisaient que certaines zones, certains endroits, étaient éclairés pour partie. Ce n'était pas le plein jour, bien sûr, simplement un jeu de reflets autre, et cela permettait, en tout cas, elle s'en rendit compte bien vite, de mettre en évidence des couples de tous ordres, qui faisaient l'amour.
Une chose lui semblait évidente en tout cas : certains profitaient de ces extinctions de feux nocturnes pour s'accoupler en plein air. Sans doute que si on avait gardé les lampadaires et sources de lumière diverses éclairées, cela aurait freiné leurs ardeurs, sans doute aussi qu'ils se seraient peut-être placés dehors, mais de manière plus discrète. Elle avait connu ça avec son mari, quand ils partageaient, dans les premiers temps, des moments de sexe très nombreux: l'envie de sortir des cadres traditionnels pour faire l'amour. Elle avait un souvenir en particulier très fort, d'une balade en forêt, où, elle avait mis une jupe, une grande culotte blanche, sans d'ailleurs penser qu'il se passerait quelque chose. C'était venu assez naturellement, l'idée apparaissant et se matérialisant au quart de tour. Elle s'était laissée aller contre l'arbre, l'attrapant par le poignet pour qu'il se tourne vers elle. Ce qu'il avait fait. Elle avait soulevé sa jupe, et lui avait proposé :
--Descends ma culotte et caresse-moi.
Il avait été surpris parce qu'il ne s'attendait pas à ce moment de plaisir ici, dans la forêt. Il avait obéi, et il était venu masser ses lèvres. L'excitation, la chaleur et l'humidité étaient vite venus, pendant qu'elle le défaisait, trouvait une queue déjà à moitié durcie, et qu'ils se caressaient l'un l'autre. Il avait été vite gorgé de sang, long et dur, comme elle aimait.
--Pénètre-moi et fouille-moi comme j'aime.
Et elle avait sorti de son sac à main un préservatif dont elle l'avait gainé. Cela faisait deux ans qu'ils étaient ensemble, et ils auraient pu s'en passer, mais à l'époque, elle ne voulait pas d'enfants, et elle était obsédée par l'idée que la pilule n'était pas suffisante.
Elle avait des souvenirs très forts, gravés dans sa chair, de moments de plaisir intenses. Ce jour-là, alors que la position n'était pas forcément idéale, elle avait eu un plaisir intense pendant qu'il faisait aller et venir sa queue en elle sans pouvoir en rentrer la totalité. Mais c'était tout sauf un problème. Elle avait eu plusieurs orgasmes d'une rare intensité, le dernier quand il avait craché son sperme, saccade par saccade, la faisant crier.
Et ce qu'elle voyait à présent lui rappelait ce moment.
Ca s'en rapprochait, mais c'était quand même différent.
La lumière de la lune, crue et forte donnait à la scène une grande précision de détails, et permettait de bien voir. Il n'y avait finalement pas besoin de lampadaires, et leur lueur aurait sans doute donné moins de netteté à la scène. Et puis, sans d'évidence qu'il s'agisse d'un choix, la position choisie par le couple permettait de bien voir, de tout voir.
Ca tordit le ventre de la maire que de voir ce couple faire l'amour et d'en voir aussi nettement les détails. Le plaisir solitaire était très fort, et il pouvait être infiniment varié, mais cela faisait trop longtemps qu'elle n'avait pas eu de rapport, et elle se rendit compte soudain à quel point cela avait pu lui manquer, comme un coup de poing dans le ventre, qui la tordit. Elle aurait du chercher des partenaires, des coups d'un soir, plutôt de nier ce qui était indispensable à son équilibre, et que les plaisirs toute seule ne pouvaient qu'en partie compenser.
Elle se figea, consciente d'être voyeuse, mais incapable de s'en empêcher, consciente aussi de ce qui se passait dans son corps. Ce feu, intense, dans son ventre, et qui se propageait, la sensation de son sexe qui s'ouvrait, et s'humidifiait, et cette envie, cette envie de sexe qui la traversait et la soulevait, la dominait, lui faisant perdre toute volonté, tout contrôle, d'autant plus forte qu'elle avait été longtemps, trop longtemps refrénée.
La fille était blonde et belle. Elle était très grande, fine, ce qui n’empêchait pas qu'elle ait des formes bien marquées, encore grandie par les bottines noires à talons fins qu'elle portait. De longs cheveux blonds, éparpillés autour d'un visage aux traits fins. Des yeux bleus.
Elle s'était dénudée pour offrir son corps à son partenaire, lui donner du plaisir, en prendre. Bien qu'elle soit fine, elle avait des seins pleins, ronds, et haut perchés, avec de gros tétons tout gonflés. Une taille fine, des hanches marquées, autour desquelles était roulée une jupe noire, qu'elle imaginait courte. Un sous-vêtement blanc était lui accroché à sa jambe, en dessous de son genou. On voyait nettement son sexe, dilaté d'excitation, toutes lèvres dehors, des lèvres roses, longues, qui s'épanouissaient autour de la queue gainée de latex qui la fouillait, allant et venant, et semblait de plus en plus épaisse à chaque va-et-vient.
L'attitude des deux amants, entre gémissements, soupirs, l'expression de la fille, puisque elle ne voyait de l'homme que son dos, disait leur plaisir.
Un instant, elle eut l'envie de rejoindre le couple, Se basculer à côté de la fille...Ca aurait pu être rapide, elle aurait descendu son caleçon, le slip qu'elle avait dessous, et elle lui aurait offert sa vulve. Elle poussa un petit gémissement en imaginant la queue du garçon sortir, le latex couvert des sécrétions de la fille pour venir lui donner du plaisir en la frottant à l'intérieur. Elle imaginait la queue allant d'un sexe à l'autre, donnant du plaisir successivement à l'une et à l'autre, les liquides intimes de l'une se mêlant aux liquides de l'autre...
Ca se passa pourtant autrement. Plus prosaïquement sans doute, mais ca n'en fut pas moins excitant. Le gars sortit sa queue de la vulve de la jeune femme. Elle était dilatée d'excitation, au point extrême de celui-ci.
La suite aussi fut hyper-excitante. Sans doute que si elle n'avait pas été dans la rue, la maire se serait caressée pour soulager la tension qui l'habitait, mais sa fonction et la réputation la retenaient, même si sans doute le fait qu'elle regarde le couple sans partir, et sans se dissimuler pouvait déjà porter un coup à l'image qu'elle voulait donner d'elle. Elle se sentait portée par une envie et une frustration capables de lui faire perdre la tête.
En haut de ses lèvres, on apercevait distinctement le gland clitoridien de la fille, décalotté, pointant et disant clairement l'excitation de la jeune femme. Il avait posé son gland énorme dessus, et l'avait frotté...La blonde avait totalement perdu le contrôle, comme sans doute la maire aurait aimé le perdre. Encore plus cambrée qu'elle ne l'avait été précédemment, elle gémissait sans gêne, honte, ou souci de qui pouvait l'entendre, avec le poids du gland contre le bout de chair ultra-sensible. Elle avait les mains au niveau des seins, et elle se pinçait les tétons...
L'un et l'autre, ils ne maîtrisaient plus grand chose, et le type poussa un cri rauque, son sperme jaillissant à grands traits, et venant maculer la jupe ramassée sur elle-même et le ventre nu de la jeune femme, alors qu'elle aussi, au bout du plaisir éclatait aussi dans un orgasme qui la fit libérer des jaillissements d'un liquide crémeux qui poissa ses jambes.
Après un moment de flottement, ils s’embrassèrent dans un baiser qui se stabilisa et qu'ils firent durer. La maire se demanda s'il s'agissait d'amants qui choisissaient le cadre de la rue pour leur plaisir, de partenaires qui se cherchaient la nuit, se trouvaient, et s'accouplaient sur un regard, une envie, ou peut-être encore se connaissaient-ils déjà, et se retrouvaient-ils, mais uniquement dans la rue...
Chamboulée, elle choisit de poursuivre sa route.
Elle commençait à comprendre pourquoi son opposante avait changé d'avis. Elle avait toujours senti qu'elle était très libérée, et qu'elle vivait une vie sexuelle heureuse. Une des raisons d'ailleurs pour lesquelles elle ne l'appréciait pas était bien, même si elle ne se le serait pas vraiment avoué, qu'elle la sentait épanouie et heureuse, ce qui n'était pas son cas.
Elle s'attendait à trouver, en continuant ses pérégrinations, d'autres scènes aussi troublantes que celle qu'elle venait de découvrir.
Cela ne manqua pas.























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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Sexe et extinction des feux la suite partie 1

Le 13/09/2023 - 13:21 par OlgaT
Une belle découverte pour Mme la maire!

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