Pas si bête que ça 4

Victor dévore la chatte de sa femme, avec une avidité inouïe, le coquin bien qu'impuissant attrape une semi-érection. Thomas lui saisit la bite et la tripote, Victor geint sous les pressions digitales de Thomas, sa queue peu à peu se ranime. Thomas regarde jacques et lui ordonne :


-Encule le vieux, vite, vite et à sec, je suis sûr que cela lui sera bénéfique !


Jacques s'approche et se place derrière Victor, qui se trouve à quatre pattes entre les cuisses de sa femme. Il pose sa queue contre la rondelle brune, et s'accroche aux hanches du soumit. Il pousse fortement, l'anus s'ouvre sous la forte poussée, Victor grimace de douleur, mais inexorablement la bite du major d'homme s'enfonce de toute sa longueur dans son rectum. Il se cabre en gémissant, comme une bête. Thomas hurle :

-Démonte-lui le cul, ne le ménage pas !


Jacques obtempère, il defonce le cul de Victor en donnant de grands coups de reins. Comme par enchantement, la bite du vieil homme, se dresse, et devient dure. D'une main, Victor la saisit et la branle. Il dit euphoniquement :

-Hortense, Hortense, c'est miraculeux, je bande, regarde comme il m'encule, Jacques me fait durcir la bite !


Sa femme relève la tête et dit en voyant l'engin tendu :

-Baise-moi mon chéri, baise-moi !


Victor se relève, il veut embrocher sa femme, mais Thomas lui dit :

-Prends-la par le cul, ça sera une première pour toi !


Hortense, c'est maintenant prendre la pose adéquate, elle replie les jambes sur son ventre, se cambre pour offrir à son mari son anus. Victor super excité se rue, il lui plante sa bite dans le cul et la ramone comme un sauvage. Thomas intervient :

-Jacques, reprend le cul du vieux, car je craint qu'il debande rapidement !


Sans se faire prier, le major d'homme re-encule son maitre, et avec vigueur, lui défonce le cul. Hortense et aux anges, enfin, elle sent dans son corps la bite de son mari, qui à reprit gout à la vie. Elle lui dit en gémissant :

-Tape fort mon chéri, le plus fort que tu peux, vas-y, vas-y, oh putain comme c'est bon !


Victor envoie sa semence, dans le cul de sa femme, au même moment qu'il recoit celui de Jacques. L'homme est heureux, il continue de donner de grands coups de reins. Il veut jouir encore le bougre, jacques devine ce que cherche le vieux, il reprend le pilonnage du rectum de Victor qui, rapidement, se remet à gémir. Thomas entre en action à son tour, il decalote sa bite et s'accroche aux hanches de Jacques en disant :

-Toi, tu vas jouir du cul comme jamais, tu ne l'as fait !



Thomas est une force de la nature, il tire sur les hanches du major d'homme. Le bougre pousse un long cri de douleur, mais Thomas ne renonce pas, il veut arriver à ses fins. Il pousse sans discontinuer, jusqu'à que ses couilles frappent les fesses de jacques. Les trois hommes maintenant se synchronisent. Le va-et-vient devient de plus en plus rapide. Le petit train, est constitué, Hortense reçoit la bite de son mari, Victor, la bite de Jacques, Jacques, celle de Thomas.
Jacques souffle comme un dragon, son cul est douloureux, mais il ne veut pas passer pour une mauviette devant Hortense qui elle à deja bénéficié du pal monstrueux de Thomas. Les trois hommes se donnent sans retenue. Les coups de reins qu'ils donnent sont puissants et violents. C'est Hortense qui jouit la première, suivit par son mari. Thomas défonce comme un beau diable Jacques qui gémit terriblement. Son cul brulant est douloureux, mais le bougre commence à prendre du plaisir, aux assauts de Thomas, il agite sa croute tout en enculant royalement Victor, il se cabre et explose en couinant comme une bête. La puissante décharge de Thomas dans son fondement le fait brailler de jouissance.




Le vieux Victor ne débande pas, cela étonne même sa femme qui se fait ramoner non-stop le cul par lui. Les décharges sont abondantes, les couilles se vident à vitesse grand V, les culs débordent de sperme. Enfin, ils se désaccouplent. Thomas semble satisfait de la tournure des choses, sa bite gluante est secouée de soubresauts. Il s'approche d'Hortense, la regarde en souriant et lui dit :


-Maintenant, ma vieille, tu vas prendre deux bites en toi !

Il demande à Victor de s'allonger sur le sol et à sa femme de s'empaler sur sa queue, tant que celle-ci, est encore raide. Hortense enjambe son mari, attrape sa bite gluante et s'empale jusqu'aux couilles. Thomas fait un clin d'œil à Jacques qui prend place derrière Hortense et lui place sa bite contre l'anneau suintant de sperme, encore ouvert. Il s'accroche à son amante et donne un petit coup de reins. Avec aisance, sa bite s'enfonce dans le cul d'Hortense, lubrifié, par la semence visqueuse. Pour la femme, c'est une première. La double pénétration la rend euphotique, elle s'agite comme une forcenée, sur les queues qui lui forent les entrailles. Les deux mâles donnent des coups de reins violents comme pour ouvrit en deux Hortense, qui geint de plaisir. Mais la coquine a encore un trou de disponible. Thomas place sa bite contre ses lèvres, Hortense gobe avec difficulté le gland épais, mais avec courage, suce l'engin du mieux qu'elle peut. Elle jouit plusieurs fois avant de recevoir une giclée monstrueuse dans la bouche. Le sperme de Thomas s'échappe à la commissure de ses lèvres, elle repousse l'éjaculateur, pour pouvoir avaler le don précieux que lui a offert son amant. Jacques grince des dents en envoyant son sperme dans le cul de son amante. Victor réussit, lui aussi, à remplir le ventre de sa femme avec sa semence. Enfin, les trois libèrent la soumise. Victor et Jacques s'affalent sur le canapé tandis que Thomas entreprend Hortense.


Il lui eclate le cul et la chatte, avec une telle fougue, qu'Hortense défaille sous les assauts puissants de son amant. Mais où va-t-elle chercher toute cette énergie pour jouir, et re-jouir. Thomas n'est pas avare de sperme, il lui remplit abondamment les orifices gourmands. Épuisée, Hortense demande grâce.