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Sexe et extinction des feux la suite partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 18/09/2023

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SEXE ET EXTINCTION DES FEUX LA SUITE
PARTIE 2
Elle déboucha sur cette même place, où, quelques semaines plus tôt, son opposante avait découvert que l'extinction nocturne des feux permettait à des amants et des amantes de se donner mutuellement du plaisir, dans une obscurité qui n'était pas totale, en étaient-ils conscients, pensaient-ils être totalement enveloppés par la nuit ou bien considéraient-ils que c'était juste un jeu de l'esprit, qu'on les voyait, mais que les apparences étaient sauves, qu'eux comme ceux qui risquaient de les voir, de les condamner, considéraient qu'ils étaient dans le noir total ?
Elle déboucha en haut de la grande place qui glissait vers une place plus petite...Un espace supposément plongé dans l'obscurité. Il n'y avait ici aucune justification à garder des éclairages.
Et pourtant, c'était tout sauf l'obscurité.
Elle repéra immédiatement les couples, disposés en différents points et qui, avec d'infinies variations, s'adossaient aux plaisirs du sexe.
Ce n'était pas ce qu'elle avait sous les yeux qui allait la calmer.
Elle s'est grisée de contempler ces moments de sexe, glissant d'un couple ou d'un assemblage à l'autre...Elle sentait qu'elle ruisselait, et que son slip était trempé comme il ne l'avait plus été depuis longtemps. Elle sentait aussi ses tétons durs d'excitation. Et ça, c'était également quelque chose qu'elle n'avait pas connu depuis longtemps.
Juste sur sa gauche, sur un banc en avant d'une vitrine dont un néon bleu intérieur allumé permettait de dessiner parfaitement leurs silhouettes, il y avait deux filles, toutes jeunes, dont le corps, dodu, disait la sensualité. Une brune avec une frange, et une blonde, aussi avec une frange. Elles avaient toutes les deux une robe noire, celle de la brune, courte, comme elles étaient toutes les deux à genoux sur un banc, encadrant un type dont la belle queue, à nu, était gorgée de sang et qu'elle ne portait pas de slip, donnait à voir une croupe bien ronde et bien rebondie, et le dessin de son sexe entre ses cuisses. Celle de la blonde était plus longue, elle offrait juste au regard des jambes galbées gainées de bas.
S'il avait fallu donner un titre a la scène, ça aurait été 'deux filles pour une queue'. Elles donnaient, quand la maire posa son regard sur elles, des coups de langue sur une queue de bonnes dimensions, longue et épaisse. Elle ne voyait que leur profil, et elle n'était pas experte en décryptage de langage corporel, mais tout disait qu'elles prenaient du plaisir à ce moment.
Elle ne les connaissait pas, mais elle voyait deux jeunes femmes parcourant la ville le soir à la recherche de plaisir. Un plaisir partagé.
Si elle avait pu se poser la question, en tout cas, elles étaient très proches, et elles devaient d'évidence, se faire du bien lorsqu'elles étaient ensemble. Partager des hommes...ou des femmes était le moyen pour elles d'avoir encore plus de plaisir entre elles. La maire en eut la certitude dans les minutes qui suivirent, quand elle vit les deux jeunes femmes délaisser la queue de l'homme pour s'embrasser à pleine bouche (mais ça l'excitait aussi, sa queue se mit à frémir...) mais également amener leurs doigts à la rencontre du sexe de l'autre.
--Et si tu venais goûter cette queue avec nous ?
La maire avait été un instant interdite. C'était qu'elle avait très envie, mais si jamais on la voyait bouffer une queue...C'était fini...Elle eut le réflexe de regarder les caméras autour d'elle. Elle ne se rappelait plus où il y en avait et où il n'y en avait pas...Finalement, elle avait été bien stupide d'accepter de faire installer des caméras partout...Ca l'empêchait d'avoir du plaisir...
Et puis, ce fut une digue qui céda. Tant pis si elle était filmée...De toute façon, avec l'extinction des feux la nuit...Tout était possible...Et si par hasard on l'identifiait, elle dirait que ce n'était pas elle...
Dans ces moments, il y avait curieusement du partage, et les deux filles lui avaient fait de la place. Il y en avait même une qui s'était mise sur le côté, madame la maire devait comprendre quelques instants plus tard pourquoi.
Elle s'était rendue compte que le sexe, c'était comme la bicyclette, on n'oublie jamais.
En fait, c'était même mieux, car si cela faisait des années qu'elle n'avait pas fait de fellation à un homme, elle sentit une force nouvelle en elle, qui la faisait plus habile qu'elle n'avait pu l'être de par le passé. Une nouvelle envie, une nouvelle énergie, issues de la frustration, du manque. Elle ne se rappelait pas avoir été aussi habile pour faire une fellation de par le passé qu'elle l'était à présent, sa langue parcourant la queue tendue, gorgée de sang, venant tourner sur le méat, se laissant envahir par la saveur amère du liquide pré-sécrétif qui coulait comme d'une fontaine, venant même caresser les couilles du gars, accompagnant et modulant la caresse de la fille qui était à ses côtés. Cette dernière vint chercher sa langue, et la frotter. La maire, qui ne se rappelait même pas d'éventuelles tentatives lesbiennes ne fut même pas perturbée par ce jeu, et répondit avec enthousiasme. Elles frottèrent leurs langues l'une à l'autre, avant de revenir sur la queue.
Ce par contre à quoi elle ne s'attendait pas, ce fut au jeu de l'autre fille. Pour venir sur la queue, alors que les deux filles étaient sur le côté, la maire était restée debout, mais en se pliant. Elle ne sentit pas celle qui s'était dégagée, parce que trois sur une queue c'était trop, descendant son caleçon et sa culotte. Ce qu'elle sentit bien par contre, ce fut le premier coup de langue qui vint en travers de sa vulve dilatée d'excitation et dégoulinante de mouille. Un peu surprise, elle ne put retenir ce qui ressemblait à un gémissement.
Elle était prise entre deux feux, léchant avec avidité les deux couilles toutes gonflées, et sentant en même temps la langue qui travaillait son sexe avec habileté, glissant sur ses chairs sensibles, se risquant à l'intérieur quand sa dilatation fut plus marquée...C'était...Indescriptible...Elle ne se rappelait pas qu'il puisse y avoir un plaisir aussi intense...C'était bon bien sûr de se donner du plaisir toute seule, elle avait eu des orgasmes très forts, mais là...C'était un complément. Il fallait un ensemble qu'elle n'avait pas connu pendant tout ce temps. Et dans cet ensemble elle incluait aussi le fait d'avoir une queue à disposition, de pouvoir jouer avec.
Elle fut très surprise de sentir un orgasme arriver, si rapidement dans son ventre. Tout se bouscula, et, alors que la queue commençait à cracher sa semence, et qu'elle ouvrait la bouche, comme le faisait la fille, pour que du sperme vienne dans sa bouche, elle sentit que la jouissance explosait dans son corps, comme une onde bienfaisante, et un moment de bonheur qu'elle n'attendait vraiment pas, mais aussi que la fille accrochée à ses hanches, avait positionné sa bouche en face de sa chatte, et qu'elle y accueillait les jets que la maire crachait, éjaculant comme elle n'avait cru le pouvoir faire que seule, quand elle était très excitée, puisque ce phénomène ne s'était jamais produit avec son mari. Elle sentait bien que la fille avalait tout ce qui sortait d'elle. C'était troublant. Tout comme fut troublant quelques instants plus tard, alors que les deux femmes se partageaient la queue équitablement, sa comparse donnant le rythme et faisant basculer la queue de l'une à l'autre, pour qu'alternativement elles prennent chacune un jet de sperme dans la bouche, ce baiser que la fille lui donna, une fois les couilles de l'homme vidées, laissant le sperme qu'elle avait dans sa bouche glisser dans la sienne, puis, lorsque sa partenaire lui dit ; 'Et maintenant tu laisses tout partir dans la bouche de ma copine...' Cette dernière avait déjà été abreuvée par les jets vaginaux de la maire. S'y rajouta le sperme qu'elle versa.
Il y avait une montée, mais aussi une descente, elle très rapide, la mairie le comprit en voyant le groupe se disloquer très rapidement. Elle repartit, elle-même, sur sa route. Elle avança, voyant d'autres couples prendre du plaisir ensemble, parfois dans un ensemble multi-partenaires.
Elle remonta vers le quartier résidentiel, situé sur un plateau plus haut, qui avait éclos à la place de terrains de maraîchage, repensant à ce qui venait de se passer. S'il n'y avait que ce moment, c'était déjà extraordinaire.
Mais elle comprit quelques instants plus tard que la soirée ne faisait que commencer.
Il était installé devant une petite maison, la porte entrouverte, et il tirait sur une cigarette. Approchant, et parce qu'il n'était pas loin d'un réverbère, elle eut le temps de le regarder. Clairement, il attendait quelqu'un. Il avait une quarantaine d'années, et un faux air de Steve Mc Queen. C'était le genre d'homme qui vivait plus ou moins dans les marges, et que la vie avait cabossé. Il appartenait en tout cas à un univers dont la maire était et avait toujours été loin, elle qui avait été élevée dans un milieu bourgeois.
On dit souvent que les contraires s'attirent, et c'est bien, sans aucun doute, ce qui devait se passer entre eux deux. Ils se regardèrent et il y eut une attraction mutuelle. Il était fort probable que, s'ils s'étaient croisés dans la journée, ils ne se seraient même pas regardés, mais le moment était autre, l'extinction publique des éclairages de nuit avait crée des conditions, un climat, qui faisait que pour chacun, les envies de sexe remontaient, étaient les plus fortes, et amenaient à des rapprochements qui se dissoudraient à l'aube.
Encore une fois, la maire se surprit de son attitude, de son audace. Lucide, elle savait bien que jouaient à la fois les conditions mais aussi sans aucun doute ce manque de plaisir qui avait été le sien pendant des années. Elle s'approcha du type et vint prendre sa bouche, en même temps qu'elle allait chercher sa queue dans son pantalon. Sa queue était semi-dure. Elle le masturba en même temps que sa langue frottait la sienne. Des souvenirs remontèrent en elle, souvenirs lointains, enfouis...Des baisers échangés avec des garçons à l'adolescence, des verges qu'elle avait masturbées...Un temps lointain.
La queue qui avait pris forme au creux de sa main était ferme et dure, bien épaisse. Un rayon de lune lui permettait d'en voir une partie, en particulier ce gros gland, qui s'était décalotté tout seul, luisant. La pensée qu'elle puisse avoir ce sexe dans le ventre, qu'il puisse la fouiller, la tordait d'envie.
Elle se glissa, pensant que la porte ouverte était une invitation, dans l'entrée de la maison. Il y avait une grande banquette dans le coin gauche, dans le droit une table encombrée. Le gars se rendit vers celle-ci, attrapa une boite de préservatifs, en récupéra un dont il couvrit sa queue, pendant que la maire se positionnait à genoux sur la banquette, après avoir baissé caleçon et culotte. Elle avait l'impression, mais ce n'en était peut-être pas une, que son sexe était agité par des spasmes d'excitation et d'envie. Ce qui aurait été logique. Les godes qu'elle utilisaien t ne remplaçaient pas une queue, une queue chaude et dure, capable de cracher du sperme.
Ca se passa le plus simplement du monde, comme une évidence. Il vint derrière elle, elle l'avait regardé approcher, sa queue bien dure enveloppée de latex, et il commença par frotter son gland contre l'entrée de son sexe, contre ses lèvres et son gland clitoridien. Elle se dit qu'il savait donner du plaisir à une femme, et pas seulement prendre le sien. Elle sentit qu'elle ruisselait sur la queue, mouillant d'abondance.
Puis il commença à glisser en elle, et se sentir remplie lui procura une félicité qui lui mit les larmes aux yeux. Il y eut un moment où elle se sentit enfin totalement remplie, le sexe quasi totalement en elle, et elle eut une sorte de vertige. Elle ferma les yeux pour goûter l'instant, mais aussi tout autant pour le mémoriser. Il n'y aurait peut-être pas d'autre queue avant longtemps. Garder tout, la moindre sensation...
L'homme savait effectivement y faire, elle en eut la confirmation dans les minutes qui suivirent. Plus qu'avec ses partenaires passés, elle eut la sensation, incroyablement agréable, qu'il la caressait à l'intérieur, faisant aller et venir sa queue en elle selon des rythmes différents. S'il cherchait son plaisir, il ne négligeait sans doute pas le sien.
Ces derniers temps, elle s'était surtout convaincue que le plaisir, elle pouvait l'avoir en solitaire, avec ses doigts ou des objets, et elle fut sans aucun doute surprise de sentir l'orgasme arriver sur elle, avec un premier moment de jouissance, fort, suivi par un autre, puis encore un autre...Elle fut surprise de jouir autant..Elle hurla quand le type explosa enfin, et remplit le préservatif de sperme. Elle sentit parfaitement le sperme taper avec violence contre les parois internes de son vagin, Rien que ce plaisir là justifiait qu'elle ait passé ce moment avec cet homme, mais aussi qu'elle ait fait cette sortie de fin de soirée.
Elle fit encore une fois quelque chose qu'elle n'aurait pas imaginé faire. Le type était là, la queue encore dure, elle fit descendre le préservatif le long de sa queue, de manière à récupérer le latex, mais surtout le contenu du réservoir. Il se demanda peut-être pourquoi.
Pas encore reculottée, et parce qu'elle vit qu'il était encore dur, elle cala sa bouche devant sa queue et elle le masturba très vivement. Il avait encore besoin de jouir, et il cracha des jets de sperme dans sa bouche, qu'elle laissa ensuite couler dans sa gorge.
L'homme lui tourna le dos et revint vers la table. Elle s'éloigna sans un mot.
Elle continua son parcours, croisant encore, sur les zones qui n'étaient pas éclairées, ces couples, ces assemblages qui se formaient. Elle avait encore, elle aurait voulu la garder longtemps, la sensation de la queue dans son ventre, bougeant, puis crachant son sperme.
Sa visite de la ville dans un demi-cercle l'amena bientôt tout près de chez elle sans qu'elle s'en rende vraiment compte. Elle était ivre, ivre du plaisir qu'elle avait pu ressentir, mais aussi de l'ambiance générale. Elle n'avait vraiment pas imaginé que ce puisse être...Si fort...
Elle comprenait mieux.
Elle comprenait tout.
Elle se laissa glisser sur le canapé, tirant son caleçon et son slip vers le bas, et elle attrapa le préservatif rempli de sperme.
Elle avait envie de jouir encore, et elle savait comment elle voulait jouir. Elle commença par faire descendre le sperme du réservoir. L'homme avait eu une éjaculation copieuse.
Une fois qu'elle eut calé la descente du sperme, elle ne tint plus le préservatif que de la main droite. De la gauche, elle alla à la rencontre de son vagin. Sans surprises, elle se trouva littéralement béante, plus sans doute qu'elle ne l'avait jamais été, même quand elle passait une soirée à se donner du plaisir. Elle sentait que tout ce qui composait son sexe était dilaté, gonflé par l'afflux du sang, que ce soient ses lèvres, son gland clitoridien...Et puis bien sûr, il y avait l'ouverture...Sans doute qu'elle aurait pu enfoncer la main en elle sans problème...
Totalement coupée du monde, mais avec en elle les images, les sensations de cette soirée, qu'elle aurait pu encore prolonger, elle se mit à se caresser d'une main, tandis que l'autre maintenait le préservatif au-dessus de sa bouche. Bientôt, le sperme commença à couler dans sa gorge, la remplissant d'un goût amer mais sucré...Elle avait choisi pour commencer de caresser ses lèvres, les étirant, les pinçant...Au bout d'un moment, elle eut envie d'autre chose...Elle se dit que, puisqu'elle était ouverte, c'était peut-être le moment de rentrer ses doigts en elle...En tenta d'abord deux, sentit autour d'elle la douceur de sa muqueuse, et la chaleur de son sexe...Elle se dit bientôt qu'elle pouvait certainement faire plus....Elle se retrouva avec quatre doigts en elle. Situation inédite, qui ne s'était jamais produite jusqu'à présent. Il fallait dire qu'elle n'avait jamais été aussi ouverte d'excitation. Elle replia son pouce, le glissant sous sa paume et elle fut surprise de constater qu'elle avait fiché sa main totalement en elle...Un monde nouveau s'ouvrait à elle, à la fois parce qu'elle sentait son intérieur au bout de ses doigts, dans sa délicatesse, mais aussi parce qu'elle se rendait compte que, lorsqu'elle se mit à se caresser, d'abord timidement, puis avec plus d'audace, elle éprouvait du plaisir, un plaisir nouveau, différent de tout ce qu'elle avait pu expérimenter jusqu'alors, sans doute parfait pour accompagner celui, inédit également que lui donnait la sensation du sperme qui coulait dans sa gorge.
C'était un plaisir total, bien loin des vicissitudes de sa fonction de maire. Elle aurait voulu que ca dure plus longtemps encore. Mais le préservatif s'était vidé, et surtout elle sentit monter en elle un orgasme comme elle n'en avait pas connu depuis longtemps, lié peut-être à l'originalité de la caresse. Elle sortit sa main de son ventre, dégoulinante de ses sécrétions et son ventre fut secoué de spasmes. Elle éjacula, des jets puissants et crémeux qui s'éparpillèrent autour d'elle, en hurlant son plaisir.
Épuisée d'avoir joui, elle s'endormit immédiatement. Elle reprit conscience un peu plus tard, jeta un œil à sa montre. Une heure avait passé. Elle se reculotta et partit en direction de sa chambre. Elle n'eut même pas le courage de se déshabiller, se laissa tomber sur le lit et s'endormit aussitôt.
Elle se réveilla sur le coup de six heures du matin, sans réveil, les souvenirs de la veille remontant aussitôt. Elle se sentait plus heureuse et détendue qu'elle ne l'avait jamais été. Ses vêtements puaient la cyprine, une odeur qui lui montait aux narines. Elle se voyait bien arrivant à la mairie, sa secrétaire la reniflant et lui disant : 'Vous avez baisé cette nuit.'
Elle repensa à sa balade dans la ville, aux deux moments de plaisir, à celui qu'elle s'était donné, intense. Ca avait été...Si intense...Elle avait l'impression de revivre, les années précédentes si grises même si elle se branlait furieusement. Le sexe, c'était aussi aller vers les autres.
Elle partit sous la douche. Son ventre se ranimait, et elle se caressa selon une technique qu'elle appréciait particulièrement, et qui lui procurait du plaisir très vite, pinçant son gland clitoridien...Elle jouit une fois, mais n'en eut pas assez, continua, sentant que ce qui ruisselait entre ses jambes n'était pas que de l'eau chaude. Mais elle n'avait aucun sentiment de culpabilité, bien au contraire.
Le soir-même, il y avait un conseil municipal. Le regard de son opposante accrocha le sien, et celle-ci comprit que la maire avait fait l'expérience de la ville la nuit. Il y eut un moment d'intense complicité, concrétisé par un sourire, une complicité qui ne durerait sans doute pas. Mais les deux femmes savaient à présent l'une comme l'autre quels plaisirs on pouvait connaître pendant l'extinction nocturne des feux dans la ville.



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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Sexe et extinction des feux la suite partie 2

Le 19/09/2023 - 22:50 par OlgaT
Un rapprochement inattendu entre la maire et son opposante

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