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sexe et parasol

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 22/07/2022

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SEXE ET PARASOL

Il y a des après-midis qu'on rêve idylliques mais qui se délitent d'un seul coup.
On était au début du mois de juin.Une belle journée, dont je pensais profiter. Pour une fois, j'étais en congé. Toute la journée pour moi. Le matin, j'en ai profité pour faire ce que je n'avais généralement pas trop le temps de faire, du rangement, du ménage, et pour l'après-midi, à l'inverse, j'avais prévu des moments nettement plus paisibles. J'avais la chance d'avoir un grand jardin, j'avais calé un transat, et de la lecture. La température était douce, il ne faisait pas trop lourd. Je suis sortie tout installer sur le coup de 11 heures. Pour marquer la transition, je m'étais mise en tenue d'été. Un maillot de bain vert, que j'étrennais, un vert pastel.
Comme je voulais prendre l'air sans m'exposer au soleil, le mot mélanome avait quand même un sens pour moi et comme les arbres que j'avais plantés étaient trop petits, j'ai ressorti le parasol ainsi que le pied de parasol achetés l'année précédente. C'était un modèle qui filtrait les UV.
J'ai d'abord calé le pied de parasol, puis je suis partie chercher ce dernier. C'est là que les ennuis m'ont rattrapé. Impossible de l'ouvrir. Le mécanisme était bloqué. Impossible d'ouvrir le dôme du parasol, qui restait bloqué en bas, replié.
Je n'allais pas me laisser gâcher l'après-midi. Par chance, une intuition peut-être, je m'y étais pris à temps. J'avais encore le temps de rectifier le tir.
J'ai pensé à Denis, mon voisin. J'étais là depuis cinq ans, Denis était arrivé trois mois plus tôt. Il était venu se présenter et plutôt serviable, nous avait proposé ses services, au cas où. On avait bien eu l'occasion de se rendre compte qu'il était effectivement doué de ses mains. Je l'avais vu arranger un vélo, monter sur son toit, faire du béton...Il ne mentait pas...Je me suis dit que j'allais passer le voir. On avait discuté un peu, je savais qu'il faisait de la maintenance, et qu'il était généralement libre le matin, n'embauchant qu'en début d'après-midi. C'était le moment où jamais.
J'ai essayé encore, par acquis de conscience. Mais non, il n'y avait rien à espérer. C'était bel et bien bloqué.
J'étais déjà en maillot de bain. J'avais voulu tester ce modèle tout neuf sans attendre. Je ne me sentais pas de changer de tenue, alors j'ai simplement passé un peignoir, que je n'ai pas fermé, et je suis partie chez Denis.
Je suis sortie de chez moi, il n'y avait pas de communication entre nos deux maisons, je suis passée par la rue, et je me suis donc retrouvée devant chez lui.
Dans le quartier, sans qu'il s'agisse d'un lotissement, toutes les maisons, sans doute conçues par le même architecte, se ressemblaient. Blanches, avec deux étages, un grand terrain.
Un portillon à pousser, et je me suis retrouvée à l'intérieur. J'ai remontée une petite allée en ardoise qui allait vers la maison, sinuant au milieu de la pelouse. Je suis arrivé devant la porte d'entrée. Elle était entrouverte.
J'aurais sans doute du sonner. Attendre une réponse. Je ne sais pas ce qui m'a pris. Ou plutôt si, très banalement, de la curiosité.
J'étais déjà venue chez lui, et je connaissais sa maison, sobrement meublée.
Personne dans le living. Et pourtant, j'étais certaine de l'avoir vu arriver avec des courses sur le coup de dix heures. Et sa voiture était garée devant son garage.
C'est alors que j'ai entendu une sorte de gémissement.J'ai pensé que mes sens me trompaient. Je me suis concentrée. Un nouveau gémissement s'est fait entendre.
Je me suis dit, parce que je n'imaginais pas qu'il puisse y avoir quoi que ce soit d'autre, qu'il était tombé malade. Ca n'arrive pas qu'aux autres. J'avais mon diplôme de secourisme, et je faisais des recyclages très régulièrement. Sans pouvoir forcément faire des miracles, je pourrais au moins lui apporter les premiers secours et prévenir le SAMU.
J'ai avancé sans précipitation dans le couloir qui partait de l'entrée. Plusieurs portes et plusieurs pièces. Je me suis rapprochée d'une porte ouverte. Un nouveau gémissement en est sorti. Pas de doute, il était là.
Je me suis figée, partagée entre plusieurs sentiments, la gêne d'avoir avancé jusque là en violant finalement son intimité, l'envie de lui porter secours s'il allait mal, et la curiosité la plus banale, qui était, sans aucun doute, un vilain défaut, mais très difficile à refréner.
J'ai jeté un coup d’œil dans la pièce.
Il était allongé sur son lit, mais pas en mauvais état. Loin de là. Ses gémissements n'étaient pas des gémissements de douleur, mais de plaisir.
Calé sur son lit, il avait gardé un T-shirt, légèrement relevé, et baissé son caleçon et son pantalon. Sa queue était en pleine érection. Une queue dont la vision m'a fait saliver et mouiller. Je n'avais pas eu de petit copain depuis plusieurs semaines, et j'étais clairement en manque. Ca faisait trop longtemps que je n'avais pas vu une belle queue bandée. Une queue comme la sienne, aussi longue que charnue, sans être difforme, bien dessinée, méritait l'intérêt.
C'était infiniment troublant de voir sa main aller et venir dessus, à la recherche du plaisir. De surprendre ce moment, ce qu'il y avait de plus intime dans sa vie. Je me sentais un rien honteuse de violer ainsi son intimité, et pourtant, je n'aurais détourné les yeux pour rien au monde.
Sa queue s'est encore allongée et affermie, le temps que je la regardais, et j'ai bien vu que, si sa queue était d'abord sèche, étape supplémentaire dans l'excitation, un liquide huileux se mettait à couler de son méat.
Toute excitée à la vue de ce spectacle, je me suis mise à me caresser moi aussi. J'ai commencé à me toucher à travers le tissu du slip du maillot de bain, qui s'était humidifié en quelques secondes, qui a frotté contre mes lèvres, avant de s'enfoncer entre. Une sensation délicieuse. Je sentais mon sexe s'ouvrir, gonfler, et du liquide couler de moi, de plus en plus abondant.
Lui et moi on est restés comme ça un moment, à se caresser chacun de notre côté. Il ignorait que j'étais là, et moi, je ne me manifestais pas. Je me caressais à travers le tissu de mon slip, lui faisait aller et venir sa main sur sa queue.
Ce qui m'a poussé à agir? Je me le demande encore. Je peux trouver plein de réponses. Qui sont sans aucun doute étroitement entrelacées. La frustration, facteur certainement déclenchant. L'envie d'aller vers lui, sans doute latente depuis un moment. Et l'envie d'aller aussi au-delà de simples caresses prodiguées à moi-même. Ce n'était pas que je dénigrais les plaisirs de l'onanisme, bien au contraire. Je m'y étais adonnée très tôt, et j'y prenais toujours un plaisir infini, mais j'avais l'occasion de pousser vers autre chose, et je trouvais que c'était stupide de passer à côté d'une occasion pareille, d'autant que Denis me plaisait plutôt, même si je ne m'étais jamais réellement posée la question d'une relation éventuelle. Nous étions à quelques centimètres l'un de l'autre, et c'était dommage de ne pas faire quelque chose ensemble.
C'est pour ça que j'ai pénétré dans la chambre. Le surprenant sans doute. Mais pas tant que ça, je m'en suis rendue compte. Pour preuve, il n'a même pas cherché à tirer un drap, une couverture, un dessus de lit sur ses parties intimes, continuant de se caresser. Difficile de renoncer au plaisir Il s'est même nettement dilaté plus, et je me suis dit que mon arrivée y était peut-être pour quelque chose. On discutait assez souvent ensemble, et j'avais déjà senti plus d'une fois son regard sur mes formes. Mais ça ne signifiait pas forcément grand chose. Je l'avais interprété comme un réflexe typiquement masculin plutôt que comme un réel intérêt.
--Je venais te demander de l'aide pour débloquer un parasol qui ne veut pas s'ouvrir. Je ne pensais pas...Je crois que ça serait bien qu'on fasse quelque chose ensemble, non?
Il a eu un petit sourire.
--Le monde est plutôt bien fait, au final. Tu vois, je t'ai aperçue, ce matin, tu étais hyper sexy, simplement avec ta tenue de tous les jours, un caleçon et un petit pull et je n'ai pas cessé de penser à toi, tout le temps où j'ai fait mes courses. J'avais envie de me donner du plaisir en pensant à toi, et tu vois, c'est ce que je suis entrain de faire.
--Bon, c'est positif, il vaut mieux ça que de te laisser indifférent.
Je me suis approchée, et il n'a eu aucune opposition quand ma main est venue encercler sa queue. Il a simplement écarté la sienne. Il y a eu un moment de latence, avant qu'il ne pose sa main sur mes seins, enveloppés par le soutien-gorge de maillot de bain et il les a caressés, sa main se partageant entre le tissu, sans se glisser dessous, et la chair nue de mon décolleté. Je me suis mis à le masser, goûtant au plaisir de sentir cette queue bien dure me remplir la main, et sa chaleur monter dans mon avant-bras. Il y a des moments privilégiés. Pour moi, c'en était un. Toutes ces semaines sans queue. Et enfin, en avoir une au creux de ma paume...L'occasion de rattraper le temps perdu...
Je me suis calée dans ma masturbation. J'avais caressé pas mal de garçons depuis l'adolescence, ce temps où les flirts réclament du sexe, mais on n'a pas envie de les laisser venir en soi, et on leur offre sa main comme un pis-aller, qui les surprend par le plaisir qu'elle peut leur donner, après ils ont plus envie d'une branlette que de s'en prendre à la chatte de leur petite copine, et j'avais de l'expérience. Il a semblé apprécier ma caresse, et la manière dont elle s'est déployée sur lui. L'essentiel, c'était de le faire monter très haut, mais de savoir s'interrompre quand il allait jouir. Sans forcément préférer ma caresse à la sienne, il a semblé approuver. C'était une caresse plus élaborée en tout cas, fruit de pas mal d'expérience que la sienne, et effectuée par une main féminine. Sa queue s'est encore dilatée, prenant une taille impressionnante. Un liquide sirupeux coulait à présent de son méat d'abondance. Il caressait mes seins avec ardeur, semblant un rien surpris qu'on en soit là, ce que rien n'aurait laissé prévoir, fut-ce une heure plus tôt.
Je n'avais pas bien examiné la pièce, et je me suis rendue compte qu'un miroir isolait et captait une partie de la scène. J'ai été surprise d'avoir une expression aussi radieuse sur le visage. J'étais heureuse d'avoir retrouvé ce qui m'avait manqué: le sexe.
Il a passé ses mains dans mon dos, et il a défait l'attache de mon soutien-gorge, récupérant le tissu, et mettant ainsi mes seins à nu. Il est venu jouer avec mes tétons, pour les faire durcir plus qu'ils ne l'étaient déjà. Je me suis mise à gémir de plaisir. J'adorais qu'on me caresse les seins. Ca déclenchait un plaisir très fort chez moi. Je l'ai laissé faire, m'abandonnant au plaisir, tout en continuant de caresser sa queue, énorme maintenant.
Quand je me suis dégagée, ça a été pour plonger sur lui et prendre sa queue dans ma bouche. Je retrouvais le chemin du sexe avec plaisir.
Ca devenait plus intense, plus fort entre nous. Ni l'un ni l'autre nous n'avions envie de sortir du jeu.
Comme souvent dans les rapports sexuels, l'inventivité a pris de le dessus. J'ai délaissé sa queue pour m'intéresser à ses deux grosses couilles qui palpitaient. Penchée sur lui, je les ai caressées de la langue. Je n'avais jamais fait ça encore, c'était venu tout naturellement, et il devait prendre autant de plaisir à subir ma caresse que moi à lui prodiguer, car il gémissait, et sa queue était agitée de spasmes.
Je n'avais en tout cas pas très bien calculé mon coup, car il n'a pas pu maîtriser la force du plaisir qui montait en lui, et il s'est mis à jouir, crachant des jets de sperme qui ont atterri dans mes cheveux.
Tout était fini. Je me caresserais à la maison toute seule. Non pourtant, car sa queue était restée bien roide. Il fallait en profiter.
Je lui ai suggéré:
--Et si tu m'enlevais mon slip de bain ? Tu aurais accès à ma chatte.
Je me suis soulevée pour lui faciliter la tâche. Il l'a tirée jusqu'à mes chevilles. On a tous les deux regardé ma chatte, lui parce qu'il la découvrait, moi parce que j'étais curieuse d'en découvrir l'aspect, avec l'excitation qui m'avait saisie. J'étais bien dilatée, ouverte comme rarement, avec les lèvres sorties de moi, toutes gonflées. Mes chairs luisaient du liquide sirupeux qui se déversait de moi avec constance et qui allait se nicher jusque dans les replis de mes lèvres.
Ce qui a semblé lui plaire, ça a été de constater que j'avais conservé, contrairement à la mode actuelle, une toison bien fournie même si je la taillais. J'en avais fait une bande large qui démarrait au-dessus de mes lèvres et se prolongeait sur mon pubis, plus longue que le ticket de métro traditionnel.
--Viens me bouffer la chatte, je lui ai dit, j'en crève d'envie.
Et c'était vrai que j'adorais les cunnis et que mes derniers amants ne m'avaient pas trop comblée sur ce plan-là. Il y avait eu des filles qui m'avaient donné du plaisir, avec l'habileté qu'une fille peut avoir sur une autre fille, mais c'était il y avait bien longtemps déjà. Les maîtresses s'étaient aussi faites rares ces derniers temps.
Il a parcouru mes lèvres, lapant en même temps le liquide qui coulait de moi. Etait-ce le manque ou la réalité ? Je trouvais qu'il s'en sortait bien. Et je l'ai encore plus pensé quand il s'est attaqué à mon gland clitoridien, s'acharnant dessus avec une énergie qui m'a amenée au bord de l'orgasme.
--Tu veux qu'on aille régler le parasol, ou on continue?, il m'a demandé en relevant la tête.
--Si tu as joui, pas moi, et j'ai envie d'avoir un orgasme.
--Je l'ai à peine senti cet orgasme, il est arrivé trop vite. Alors moi aussi j'ai envie de vraiment jouir.
Il est revenu entre mes cuisses, il caressait compulsivement sa queue,de nouveau très dilatée, glissant à présent sa langue à l'intérieur de moi, et essayant de l'enfoncer aussi loin que possible. On aurait pu jouir comme ça, mais j'avais envie d'autre chose. Une phrase, entendue dans une de ces comédies françaises qui faisaient des millions d'entrées m'est revenue. Une fille, portée sur la chose, qui disait à une autre: 'J'ai pas fait l'amour depuis cinq jours, j'ai des fourmis dans la chatte.' J'avais cette queue devant moi, en parfait état de fonctionnement, et j'avais envie de la prendre en moi et de me sentir remplie.
--Tu as des capotes?, je lui ai demandé.
En guise de réponse, il a tendu la main vers la table de chevet. Il a ouvert un tiroir et il en a tiré une boite de capotes. Il me l'a tendue pour que ce soit moi qui procède au cérémonial.
--C'est un peu un rêve, il m'a dit. Depuis que je suis arrivé, je te vois souvent et...Tu ne me laisses pas indifférente. Tu as énormément de charme.
--J'aurais pensé que tu aurais préféré la blonde juste en face...
--La vulgarité, c'est pas mon truc...Je préfère ta discrétion et ta sensualité.Si tu savais le nombre de fois où je me suis branlé en pensant à toi.T'as même pas idée. Mon meilleur souvenir, c'est un jour de grand vent. Je regardais par la fenêtre, je finissais mon café avant de partir. Tu es apparue devant chez toi. Tu avais une robe...Et le vent t'a fait un coup de pute...Il a soulevé la robe, mais alors vraiment haut...J'ai vu ta silhouette impeccable, tes dessous...Je me suis branlé cent fois en repensant à ce moment.
--Ben tu vois, les rêves se réalisent. Au lieu de jouir en pensant à moi, tu vas pouvoir jouir en moi.
J'ai vérifié la date de péremption de la boite, et j'ai tiré un préservatif emballé d'aluminium de cette dernière. J'ai extirpé le latex gras de cet emballage, et je l'ai fait glisser d'un geste décidé le long de sa queue, jusqu'à arriver à la racine de celle-ci.
On s'est calés naturellement. Il s'est laissé aller en arrière, et je suis venue au-dessus de lui. L'idée que j'allais avoir à nouveau un sexe dans le ventre après ces semaines d'abstinence me transportait. J'ai attrapé sa queue et je l'ai guidée vers mes lèvres. J'ai lâché d'excitation un grand jet de mouille qui est venu couler le long du préservatif. J'ai senti le poids de son gland contre mes lèvres, chaud et épais. Je me suis laissée descendre de quelques millimètres, pour avaler juste le gland, sans aller plus loin. Je me sentais déjà comblée, sa chaleur en moi remontant dans mon corps, chaleur que j'arrosais de mes sucs, et je suis restée comme ça un moment, un point d'équilibre, avant de me laisser descendre pour avaler sa queue de manière plus complète. Il m'a remplie, et j'ai eu un sentiment de plénitude intense. Finalement, ce moment n'aurait pas été aussi bon sans cette période d'abstinence, qui lui donnait tout son sens. Je savais que j'allais jouir, sans doute plusieurs fois, et très fort.
Je voulais contrôler les choses, mais j'étais trop frustrée pour cela. Quand j'ai senti son gland taper contre mon utérus, et que je me suis trouvée totalement remplie, mon premier orgasme est arrivé, que je n'ai pas pu juguler, que je n'avais pas envie de juguler en fait, et qui a explosé en moi, me secouant. C'était bon. Comment vivre sans ça? J'ai plus ou moins repris mes esprits, je me suis mise à bouger sur ce sexe planté en moi, et que je n'aurais jamais voulu voir et sentir ressortir, pour avoir du plaisir en permanence.
Ca m'avait trop manqué de sentir quelque chose en moi, un pieu de chair qui frotte contre mes parois intimes et me donne du plaisir. C'était évident, je voulais des queues, et du plaisir. Je l'arrosais de mes jus intimes, tellement abondants que j'avais l'impression que je lui faisais pipi dessus.
On est partis sur quelque chose de plus profond, de plus intense. La jouissance est revenue, comme une vague, sur moi... Je me suis laissée submerger, jouissant une fois, puis encore une fois, et une autre fois comme si je voulais rattraper tous les orgasmes que je n'avais pas eus. Tendue et tordue sur lui, je crachais des jets de liquide abondants, sorte d'éjaculations.
Mais je sentais bien que lui ne jouissait pas, sa queue figée dans la dureté de son érection. Je l'ai fait sortir de moi, et j'ai enlevé le préservatif pour venir placer sa queue contre mon ventre, bien à plat. Je l'ai massée doucement, et il s'est libéré, crachant des jets de sperme puissants qui sont venus maculer mon visage et mes seins. Lui aussi n'en finissait pas de jouir et de se vider. Ca faisait longtemps qu'il avait envie de moi, moi ça faisait longtemps que je n'avais pas eu de sexe, deux frustrations qui se rencontraient.
--Je ne m'attendais pas à un tel moment en venant chercher ton aide, je lui ai dit.
--Moi non plus. J'en ai souvent rêvé, pourtant.
--Tout ne finit pas toujours mal.
--Et si on allait jeter un coup d'oeil à ton parasol, il m'a proposé.
Même s'il avait joui, son érection se maintenait obstinément.
--Le parasol peut attendre non, j'ai dit en tendant la main vers sa queue et en la masturbant doucement. J'ai encore envie de sexe. Et toi aussi, j'ai l'impression.
Il a craché un jet de sperme qui est parti dans les airs, avant de me tendre la boite de préservatifs. J'ai ai attrapé un deuxième et je lui venu le glisser sur sa queue agitée de spasmes. Finalement, je ne passerais sans doute pas l'après-midi à lire allongée sur un transat sous un parasol...J'avais trouvé mieux à faire.






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Histoire de JamesB

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