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Sexe et mobilier de jardin 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 17/06/2022

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SEXE ET MOBILIER DE JARDIN
partie 2
La suite a été plus banale. Deux clients qui rentrent dans un immense magasin de bricolage, pour déboucher dans l'espace extérieur sur lequel le mobilier était en présentation. Elle avait opté pour un modèle, mais ça a été finalement un autre, dans des teintes de gris et de vert amande qui a été son choix. Une fois la décision prise, il a fallu payer, puis tout charger dans la camionnette. La table était en morceaux, dans un carton, il fallait la monter. Posée contre une paroi, elle a été rejointe par des sièges qu'on a calés les uns par rapport aux autres. On a fini avec des fauteuils et un auvent à monter. Une fois tout chargé, il ne restait plus un centimètre carré d'espace disponible.
Il fallait prendre le chemin du retour à présent, décharger, installer et monter ce qui devait être monté.
Je ne pensais pas que ça basculerait aussi vite. On était encore dans la zone commerciale, on avait quitté une artère pour basculer sur une autre, quand elle m'a dit:
--Mets-toi sur le parking, là, j'ai trop envie.
C'était une bande de terre le long d'une zone pas encore construite. Il n'y avait personne. J'ai ralenti et je me suis garé. Mes envies étaient aussi irrésistibles que les siennes. Moins que de sexe, ce dont j'avais envie, c'était de voir ce qu'elle pouvait me proposer, sous quelle forme. Je l'imaginais, vu le peu que je savais d'elle, sensuelle, imaginative et décalée. Les minutes, les heures, les jours qui ont suivi m'ont bien confirmé que je ne m'étais pas trompé.
J'ai coupé le moteur, pensant qu'il s'agissait d'une pause de plusieurs minutes, et pas juste pour vérifier si elle avait bien pris sa CB. Je ne me trompais pas vraiment. Elle a tendu la main vers mon pantalon, et avec une habileté qui ne m'a pas vraiment surpris, elle en a extirpé ma queue. Son expression m'a laissé penser qu'elle avait trouvé le Graal et c'était sans doute le cas pour elle.
--Une belle queue bien longue et bien dure...Exactement ce qu'il me fallait...
Elle m'a masturbé doucement, un geste simple, celui de faire aller et venir sa main sur ma queue. Je suis devenu plus épais, gorgé de sang jusqu'au maximum sans doute. Une fois que j'ai été aussi dur qu'elle pouvait l'espérer, elle est remontée sur mon gland, et de cet ongle long et carminé, elle est venu caresser celui-ci. Une caresse qui tenait à la fois du plaisir et de la douleur, parce qu'elle appuyait sur une chair ultra-sensible. Mais ça m'a énormément plu. J'ai remarqué que, dans un même temps, elle avait ouvert les cuisses en grand, et qu'elle se caressait à travers le slip de son maillot de bain. Il était tout sombre de ses sécrétions vaginales, une tâche d'abord minuscule qui s'était étendue au fil des minutes, le tissu se chiffonnant et venant s'enfoncer entre ses lèvres.
Elle s'est rapprochée de mon méat. Un liquide huileux, abondant, coulait de moi. De la pointe de l'ongle, elle a travaillé la chair à l'entrée de mon méat, plus sensible, dans cet équilibre entre plaisir et douleur, pour chaque griffure. Je me suis demandé si elle voulait me faire jouir. Elle, en tout cas, elle a été saisie par un orgasme qui l'a faite se tordre, en spasmes, et éjaculer comme elle semblait avoir l'habitude de le faire dans des jouissances intenses, ses jus frappant le tissu, le gonflant, et s'échappant en des ruisseaux autour de celui-ci.
C'est quand elle a glissé son ongle dans mon méat, l'enfonçant aussi loin qu'elle le pouvait, pour un trait plus fort, souffrance et douleur mêlés que j'ai compris que j'allais jouir dans les secondes qui suivaient. Fine observatrice, et connaisseuse de tout ce qui concernait le sexe, elle a compris le processus qui m'animait, et sa bouche est venue, avec un rien de précipitation, enserrer ma queue. Elle venait juste de me prendre, sa bouche ayant avalé un tiers de mon sexe, quand le premier jet de semence est venu taper contre l'intérieur de ses joues. Je me suis dit que je n'aurais pas du jouir, me préserver pour la suite, mais la caresse qu'elle m'avait prodigué ne pouvait que faire exploser, et c'était bien ce qu'elle avait voulu, confiante sans doute en mes capacités à rester dur, lui donner du plaisir et jouir encore.
J'avais toujours des éjaculations copieuses, et j'ai craché un sperme abondant dans sa bouche, qu'elle a laissé glisser dans son gosier. Mes spasmes passés, elle m'a gardé sans sa bouche, lapant les dernières coulures qui sortaient de mon méat.
--Ca nous permettra de tenir jusqu'à la maison.
De retour à notre point de départ, il a fallu tout installer. On a commencé par ce qui ne nécessitait aucun montage avant de se rendre compte qu'il allait falloir pas mal de temps pour assembler les éléments disparates. A commencer par comprendre un mode d'emploi incompréhensible.
--Viens, l'après-midi avance trop vite, ce n'est pas pressé. Ca nous donnera l'occasion de nous revoir.
Elle m'a amené à l'intérieur. Un vaste living, clair, évidemment, à cause des ouvertures. Elle frémissait d'envie, et je n'étais sans doute pas mieux. Elle s'est posée sur le canapé, et elle m'a défait. Si elle avait pu s'en inquiéter, j'étais de nouveau tout raide.
--Tu as vraiment une belle queue...
Et pour me prouver qu'elle l'appréciait, elle m'a pris dans sa bouche, et elle m'a gainé de sa chaleur et de son humidité, faisant tourner sa langue autour de la quasi moitié de ma queue qu'elle avait avalé. C'était un moment de pure volupté, renforcé par le fait de la voir se caresser. Lasse de se masturber à travers le tissu du slip de maillot de bain, elle a descendu celui-ci le long de ses jambes, et elle s'est retrouvée le sexe nu, venant introduire le bout de ses doigts dans l'entrée de son sexe pour se caresser intimement.
Elle m'a fait glisser sur le divan. Je me suis demandé où elle voulait en venir. Elle a fait passer sa robe par dessus ses épaules, et dégrafé son soutien-gorge. Ses seins libres étaient bien ronds, fermes, avec des tétons très érigés. Elle les a pris dans ses mains, les deux en même temps, et elle en a amené un puis l'autre à sa bouche. C'était tellement excitant que j'ai cru que j'allais me jouir dessus. Je savais que je devais tenir au maximum pour avoir tout le plaisir qu'elle me proposerait dans les minutes qui suivraient.
Elle a chopé le premier téton, puis le second, entre ses dents, et elle l'a étiré. Déjà congestionné, il s'est épaissi sous l'effet de la traction. Revenant à son état premier, il était plus long. Elle a répété ce petit jeu deux ou trois fois, offrant à mon regard des tétons dilatés comme je n'en avais jamais vus. Elle a attrapé la main pour que je les tâte. Ils étaient longs et durs. Je me suis dit que si elle voulait me les faire tâter comme ça, ce n'était pas seulement pour me faire voir qu'ils étaient exceptionnels de longueur et de dureté, et, effectivement, elle a plongé sur moi et elle s'est mise à caresser ma queue avec.
J'ai été un rien sidéré, je l'avoue. Ce qui se passait entre elle et moi, je l'avais de toute façon senti dès la première minute où mon regard s'était posé sur elle, n'avait rien à voir avec ce qui se passait avec mon épouse. Le plaisir était au rendez-vous mais d'une manière très classique dont j'avais fini par me lasser à force. L'être humain aime le changement et la nouveauté. On était sur deux ou trois positions qui nous assuraient un orgasme confortable et routinier. Et là, un nouveau monde s'ouvrait à moi, dont je n'entrevoyais même pas les infinies possibilités. Si seulement notre relation se prolongeait...Il y aurait des moments d'une rare intensité...
Comme cette caresse du téton tout dressé le long de ma chair...Elle a tourné sur moi, tenant son sein en coupe pour mieux le guider...Un frottement contre ma chair très excitant, mais ce qui l'était encore plus, c'était l'évidence d'être dans un moment de sexualité unique, inventif, imaginatif, que je ne connaîtrais avec aucune femme et certainement pas avec la mienne. Elle me frottait bien, en appuyant sur ma queue. Ca a été plus fort quand elle est venue sur mes couilles avec son téton, prenant le temps de bien me caresser, et intense, jusqu'à l'insupportable. Elle a finalement rompu le contact pour basculer sur mon gland avec son téton, et elle l'a caressé un moment.
--Viens...Ce n'est que le début. Il faut juste que tu gardes bien le contrôle. Tu en es capable ?
--On va essayer.
Le contrôle, il m'en a effectivement fallu dans les minutes qui ont suivi. Ce qui s'était passé jusqu'à ce moment n'était rien comparé à ce qui est venu après. Elle m'a fait me rapprocher d'elle, écartant bien les jambes pour me donner une meilleure approche. Elle a attrapée ma queue, et elle s'est mise à la promener sur moi, sans me faire rentrer en elle, mais je n'y tenais pas spécialement, démultipliant les plaisirs issus de sensations différentes, selon la zone parcourue, du relief tourmenté de ses lèvres à son clitoris tout gonflé, en passant par l'entrée de son sexe, ouvert, et dont les jus qui suintaient venaient se mêler à ceux qui sortaient de mon méat. Elle a fini par me ramener sur son clitoris, et m'a caressé, à moins que ce ne soit moi qui la caresse...La rondeur de son gland clitoridien, contre le gland de ma queue... Elle a poussé la tête gonflée dans l'entrée de mon méat...Son gland était trop gros pour rentrer en moi, mais la caresse contre l'entrée du méat était d'une grande efficacité...
Je n'ai jamais compris comment le préservatif a atterri dans sa main. Elle en disposait partout dans la maison? Elle l'avait récupéré quand on était rentré dans la pièce? Elle l'avait sur elle? En tout cas, un emballage argenté est apparu, elle l'a déchiré pour mettre à nu une rondelle de latex qu'elle a fait coulisser avec souplesse le long de ma queue. Deux secondes plus tard, elle se positionnait sur moi et elle guidait ma queue vers son sexe.
--J'ai besoin de sentir une queue qui me caresse à l'intérieur. Celle de mon mari est trop absente de ma chatte...
Et elle s'est laissée descendre sur moi, m'avalant totalement avant de se mettre à se faire monter et descendre sur ma queue. Son sexe était brûlant, il m'enveloppait d'une caresse qui me faisait basculer dans un plaisir dont je n'avais pas eu d'équivalent dans le passé. J'avais peur de jouir trop vite, mais il y a eu une sorte de tournant, au-delà duquel la peur de jouir trop rapidement n'a plus été une crainte, et j'ai profité pleinement de la sentir autour de moi, frottant mon sexe. J'aurais aimé que ce moment dure encore plus longtemps...
il y a eu ce moment, longtemps après, où elle s'est soulevée, et elle m'a remis à l'extérieur d'elle. Je crois bien que je n'avais jamais été aussi gros, même dans mes rapports avec une femme. J'avais gagné un tiers de volume, plus long, plus épais, avec un gland énorme. Elle a enveloppé la latex trempé de ses sécrétions de sa main et elle m'a masturbé vivement. Je n'ai pas pu résister. Un premier jet de sperme est parti dans le réservoir qu'elle avait agrandi. Elle m'a refourré en elle, et elle s'est mise à se pincer le clitoris pendant que mon sperme venait taper contre ses parois intimes, la faisant se tordre, crier, et jouir. J'avais l'impression que mon sperme ne cesserait jamais de sortir. En tout cas, et ça c'était une certitude, je n'avais sans doute jamais joui aussi fort, un orgasme à l'image du sien, qui m'a semblé très puissant.
On ne s'est pourtant pas arrêtés là. Sans doute parce que la situation me surexcitait, je suis resté dur et elle s'est faite bouger sur moi longtemps, Elle avait atteint un seuil de jouissance extrême où les orgasmes sont venus tous seuls. Elle a fini par s'arracher à moi et elle m'a masturbé à nouveau sans me refourrer en elle...Je n'arrivais pas à jouir et puis c'est venu, et j'ai balancé à nouveau du sperme. Elle a eu le réflexe d'élargir le réservoir . Je crois que je n'avais jamais craché autant de sperme. Elle a continué de me caresser, alors que la semence coulait de ma queue.
Elle a enlevé le latex de sur moi avec délicatesse, en s'efforçant de préserver son contenu. J'avais déjà utilisé des préservatifs sans jamais balancer autant de semence. Elle a ramené le condom près de sa bouche, et, coup de langue après coup de langue elle a mangé le sperme jusqu'à ce que le latex soit transparent.
Au terme de sa dégustation, elle a fixé ma queue qui demeurait obstinément raide.
--Tu as encore envie...Tu n'as pas baisé depuis longtemps, ou alors je te plais beaucoup...
--Tu es exceptionnellement attirante...Et avec ma femme le sexe est passé au second plan, ou alors il est ultra-classique...
--Tu pourras trouver un refuge ici, tu viendras quand tu voudras quand je serai seule, et le plaisir, ce sera sous toutes ses formes...Tu veux que je te fasse jouir encore?
--Bien sûr, j'ai répondu.
Ca a été très rapide. Elle s'est penchée sur moi. Une de ses mains est venue encercler ma queue, pendant qu'un de ses doigts venait peser sur ma muqueuse anale, et sans transition rentrait en moi. Ca ne m'a même pas fait mal. Par contre, le plaisir a été immédiat. Je n'avais jamais imaginé que cette zone, que ma femme n'aurait jamais touché parce que par là, c'était 'sale' puisse receler autant de plaisir. Un champ à explorer quand je reviendrais la voir. Deux axes de plaisir, sa main qui frottait ma queue, et son doigt qui fouillait ma muqueuse anale...Je n'ai pas tenu très longtemps. Un dernier orgasme pour cette journée, d'une rare puissance, et un geyser de sperme.
Il fallait se séparer. Les premières ombres commençaient à se dessiner.
--Je t'attends demain pour que tu m'aides à monter les meubles. On aura tout l'après-midi.
Encore allongée sur le divan, elle a ouvert de nouveau son sexe avec ses doigts, même si, l'effort à faire était moindre, son sexe encore dilaté d'excitation. C'était clair, on ne passerait pas l'après-midi à monter les meubles.
J'ai refermé la camionnette. Dans tout ça, je n'avais pas fini de tailler les haies.
Ma femme est arrivée un quart d'heure après. Toujours irrésistible dans un jean ultra-moulant, soigneusement maquillée, cheveux coupés au carré...Tous les hommes la regardaient. Pourtant, quand je me suis approché d'elle, et que je suis venu poser mes mains sur ses hanches, en lui disant:
--J'ai envie de sexe
elle m'a répondu:
--Pas le temps ce soir. Je vais prendre un bain et ensuite je faire la cuisine. Demain on a un dîner, il faut que je prépare à l'avance.
Elle s'est dégagée. C'était la même réponse qu'elle me faisait ces derniers temps. Même en ayant joui trois fois, j'avais encore envie. La voisine avait allumé quelque chose en moi. J'avais espéré un instant renouer quelque chose avec mon épouse. C'était aussi un test. La réponse je l'avais. J'irais vers ma voisine sexy, et qui laisserait le plaisir s'épanouir entre nous sans aucune hésitation.
Le lendemain après-midi serait là très vite.










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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Sexe et mobilier de jardin 2

Le 19/06/2022 - 18:57 par JamesB
Merci!!!!
Le 19/06/2022 - 15:56 par nudemum
belle histoire,bien écrite

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