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Sexe et prospectus partie 1

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Lue : 1486 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/12/2020

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Je suis arrivé sur le coup de neuf heures. Les entretiens avaient lieu dans un hôtel. Le parking était plein, et je me suis demandé qui étaient les clients, et qui étaient les candidats.
J’ai eu la réponse quelques instants plus tard; J’ai pénétré dans le hall de cet hôtel sans âme, et j’ai vu un panneau avec une flèche vers la gauche. ENTRETIENS salle 4. Je suis donc parti sur la gauche.
Un long couloir. Tout le long de celui-ci dans une queue pas vraiment t ordonnée, des gens attendaient, éparpillés à gauche et à droite, écoutant de la musique, lisant, ou regardant dans le vague.
La salle 4, c’était la dernière au bout, et j’ai remarqué, que contrairement aux autres, elle était ouverte. Je me suis installé dans la queue, et j’ai attendu. Il y avait des personnes de tous âges, des jeunes, autour de 20 ans, à des plus vieux, comme moi.
Une jeune femme qui devait avoir 25 ans à tout casser es sortie de la salle, elle a scruté le couloir, puis elle a avancé jusqu’à moi. Un joli visage, bien dessiné, des cheveux blonds coupés courts, elle portait un tailleur bleu bien coupé, qui mettait en valeur ses formes.
—Bonjour, vous venez pour l’annonce?
—Si je suis dans la queue…
—Je vous donne une fiche à compléter ainsi qu’un numéro. Comme ça personne ne vous passera devant.
J’ai tout récupéré, la fiche, et un numéro 17, inscrit dans un cercle en matière plastique. Je me suis mis à genoux et j’ai rempli rapidement la fiche de renseignements en la posant sur le sol. Quand elle est repassée, je lui ai tendue. Il était huit heures trente, et les entretiens étaient supposés commencer à neuf heures. Seize personnes devant moi. J’aurais sans doute arriver plus tôt.
Je me suis appuyé contre le mur, et j’ai attendu, comme les autres, en repensant à l’annonce. Le texte était gravé dans ma tête.
‘Société de portage recherche trois personnes pour distribuer prospectus et journaux. Emploi à temps partiel. Il est nécessaire d’avoir son propre véhicule. ‘
Les entretiens ont démarré à partir de neuf heures. A ma grande surprise, ça s’est passé très vite. J’ai à peine eu une heure à attendre, et la blonde est venue me chercher.
—C’est à vous.
Il y avait quelque chose dans son regard qui m’intriguait, quelque chose que je ne savais pas bien définirir. Et puis je n’y ai plus pensé. J’ai passé le seuil, et je me suis retrouvé dans le local, beaucoup plus grand que je ne pensais. Il devait servir en temps habituel de salle de conférences. Mais il n’y avait qu’une seule personne, installée derrière une table, au bout d’un dispositif en U, avec face à elle, un siège pour le candidat.
J’ai avancé dans sa direction. Une brune dans la trentaine, plutôt jolie, même si elle avait un visage sévère. Etait-elle comme ça au naturel, ou était-ce le rôle qu’elle jouait qui l’imposait?
Tout en avançant vers elle, j’ai remarqué une infinité de détails. Un visage vraiment bien dessiné, avec des traits fins. Une coupe de cheveux avec une frange. Des ongles peints de carmin. Elle portait un très classique tailleur rouge bordeaux, veste, juste, avec un T-shirt sous la veste. La jupe était plutôt courte, et je pouvais voir une grande partie de ses jambes, bien dessinées, et gainées par un collant. Malgré, ou à cause de son air sévère, elle était plutôt sexy, et je sentais ma queue se durcir. Je me suis dit que ce n’était pas vraiment le moment. Mais bon, une queue n’obéit pas toujours à son propriétaire. Il fallait simplement espérer que ma semi-érection n’était pas visible.
Elle avait des escarpins avec de vrais talon aiguille, qui faisaient presque dix centimètres. Je me suis dit que ça devait être agréable de la voir debout. Ca devait réellement la cambrer.
Sans répondre à mon bonjour, elle m’a fait un signe sec pour m’inviter à m’asseoir. Son regard a glissé sur moi, mais j’ai bien compris que ce n’était pas tant mon apparence physique qui l’intéressait que de lire en moi, ce que j’étais, et quelle pouvait être ma motivation.
—Jean-Marc B…
—C’est bien moi.
—Vous avez 52 ans. Vous mettez sur la fiche que vous êtes actuellement à votre compte. Vous faites quoi?
—Je suis auto-entrepreneur. Jardinage et bricolage. J’aimerais avoir un complément, même si je m’en sors pas trop mal.
—Je lis aussi sur la fiche que vous étiez ingénieur avant.
—C’est vrai, malheureusement j’ai perdu mon poste il y a dix ans. Depuis, j’ai toujours travaillé, et j’ai fait pas mal de petits boulots. J’ai fait du désamiantage, j’ai tenu un bar, j’ai été ouvrier agricole…Je n’ai pas peur du travail…Quel qu’il soit…
Elle était un rien décontenancée, je le comprenais bien, par mon profil. Quelqu’un de diplômé qui était parti sur des travaux peu gratifiants.
Ca a été de manière machinale que mon regard a glissé sur ses jambes. Sa jupe, sans doute courte au départ avait certainement remonté quand elle s’était assise, et puis encore quand elle avait bougé. Là, elle était carrément à ses hanches. Sa position laissait bien voir ses jambes, effectivement très bien dessinées, et magnifiées par son collant. J’en voyais en tout cas l’intégralité. Et je ne voyais pas que ça.
Elle avait les jambes ouvertes, les chevilles seulement réunies. Et je me suis rendu compte que, si elle portait un collant, elle n’avait pas mis de slip dessous. Ce n’était d’ailleurs pas surprenant. Certaines filles estimaient que cela suffisait comme sous-vêtement. Il était vrai que certains collants proposaient un véritable slip qui masquait tout, et d’autres un empiècement qui allait dissimuler les parties intimes. Là, ce n’était pas le cas, et elle offrait son intimité à celui qui se trouvait face à elle.
Je me suis demandé si c’était de la simple impudeur, si elle était inconsciente de l’impact que voir un sexe nu pouvait avoir sur son interlocuteur, ou si elle en jouait, pour déstabiliser la personne en face d’elle.
Je n’ai pas été vraiment déstabilisé, même si j’étais célibataire, des filles, j’en avais eu pas mal, mais j’ai senti le désir monter en moi de plusieurs crans. Il y a des moments dans la vie où on se voit agir, un instant coupé de la réalité, et ça a été le cas. Je l’ai vue, posée, non pas sur sa chaise, mais sur le bord du bureau, et attendant, toujours peu souriante que je vienne sur elle. Défaisant mon pantalon pour sortir ma queue dure. Je me suis vu, moi, remontant le long de ses jambes à partir du genou, caressant sa chair, ses jambes, sentant au bout de mes doigts la chaleur de sa peau sous le contact aussi plaisant qu’irritant du nylon, me glissant enfin sous la jupe et montant, pas très haut, car elle était déjà bien retroussée, jusqu’à la lisière du collant, là où il était accroché à son ventre, pour l’attraper et le descendre. Je le descendais bas, au niveau de ses chevilles, pour qu’elle puisse ouvrir les jambes.Je m’approchais d’elle, elle ouvrait les jambes pour me donner libre accès à son sexe et je venais en elle, après avoir rapidement gainé ma queue d’une capote. Je poussais ma queue dilatée en elle jusqu’à ce que la tête de mon sexe vienne buter contre son utérus. Totalement en elle, je sentais sa chaleur autour de moi, et l’humidité de ses sécrétions qui coulaient, abondantes, arrosant ma queue et dégoulinant sur nos chairs. Je la fouillais, et elle réagissait avec intensité, se tordant, gémissant, jusqu’à finalement jouir, avant de lancer un cri: ‘Je t’en prie, continue…Je veux jouir encore…’ et d’exploser dans plusieurs orgasmes, à chaque fois crachant du liquide qui arrosait nos chairs.
Mais ça n’était qu’un fantasme. La réalité, c’était qu’elle était devant moi, toujours aussi peu souriante, et qu’elle me présentait son sexe, dont je capturais les détails en répondant machinalement. Chaque femme a un sexe conçu pareil, mais son dessin est unique. Le sien, c’était la proéminence de son sexe, coupé en deux, avec un bout de lèvre qui sortait de chaque côté, dans une position différente, sur la gauche un grand bout de lèvre replié sur lui-même, sur la droite un morceau plus court qui lui était tout droit. Elle avait rasé le pourtour de son sexe, par contre elle avait taillé un triangle sur son pubis, triangle de poils noirs dont la teinte était en harmonie avec ses cheveux. Je voyais bien aussi ses fesses, sur lesquelles elle était posée, rondes, et la fente qui les coupait en deux.
—Je vous remercie. La réponse, ce sera demain, une fois que j’aurai vu tout le monde.
Je suis reparti chez moi avec l’image de ce sexe dans la tête. Je me suis rendu compte que je bandais encore. J’avais une vie sexuelle qui était faite d’aventures sans lendemain. Et qui me convenait parfaitement. Ma dernière aventure, si on pouvait appeler ça comme ça, remontait à deux semaines. Une femme chez qui j’allais jardiner. La cinquantaine, une cinquantaine bien conservée. Elle dirigeait, en partie de chez elle, une petite entreprise de vente d’éléments de décoration pour l’intérieur. Cela faisait deux mois que j’allais chez elle. Si dans un premier temps, notre relation était neutre, elle m’avait très vite fait des avances. Tenant un discours qui était censé me faire comprendre, et je l’avais très vite compris, qu’elle était en manque de sexe, et qu’elle aimerait bien qu’on fasse quelque chose ensemble, quand je venais jardiner, en plus du jardin proprement dit. Et qu’elle était même prête à me verser un peu plus d’argent. Je lui avais répondu que si quelque chose devait se passer entre nous, ce serait vraiment pour le plaisir, gratuit, et que je n’étais pas un prostitué mâle. Ensuite, elle était devenue de plus en plus sexy. Elle n’avait pas trop eu à se forcer, elle l’était déjà au départ.
On avait pris un nouveau départ un jeudi en début d’après-midi.
—Je crois que j’ai fait tout ce que j’avais à faire. Je reviendrai à l’automne.
Etait-ce cela qui l’avait poussée à réagir? Ce jour-là, elle était hyper désirable, moulée dans un pantalon en vinyle qui ne laissait pas ignorer grand chose de ses charmes, pas plus que le haut très moulant dont ses seins semblaient vouloir s’échapper. Plus jeune j’avais pensé que, passé la quarantaine, une femme n’était plus désirable. J’avais sous les yeux la preuve du contraire.
Elle m’avait proposé qu’on boive un café ensemble, avant que je ne me mette au travail. On l’avait bu en discutant de tout et de rien, puis elle avait planté son regard dans le mien, l’y avait laissé longuement, avant de s’approcher de moi et de mettre ma queue à nu. Je bandais à moitié. Elle m’avait masturbé, me caressant avec douceur et habileté, sans que son regard se détache du mien une seule seconde. Quand j’avais été bien dur, elle avait attrapé une chaise, posée pas loin d’elle, et elle s’y était assise, pour me faire une fellation. Je m’en étais voulu d’avoir perdu du temps, car elle était indéniablement très habile.
—Tu veux jouir dans ma bouche, ou tu veux me pénétrer, elle m’avait demandé?
—Les deux, ça serait possible?
Elle m’a entrainé dans le living. Là, poussé par une envie trop longtemps refoulée, elle me l’a d’ailleurs reproché par la suite, elle a basculé à quatre pattes sur le canapé,après avoir tiré bas son pantalon en vinyle et le slip qu’elle portait dessous. Pour n’importe quel homme, une fille qui passait dans cette position, c’était un argument irrésistible. J’étais de toute façon, après pas mal d’hésitation, saisi d’une telle envie que n’importe quelle position qui m’aurait permis de la pénétrer m’aurait satisfait. On était survoltés tous les deux. Elle a poussé un long soupir, quand je l’ai pénétrée, qui s’est transformé en gémissements quand je me suis mis à aller et venir dans sa chatte…Son sexe s’est mis à juter abondamment. Ca faisait des bruits visqueux quand je bougeais en elle, et quand je m’enfonçais dans son sexe, ça poussait à l’extérieur des jets de liquide qui coulaient sur elle…
Elle a amené sa main sur son sexe, et elle s’est mise à se masser le clitoris pour se faire jouir. Est-ce que ça a été le mouvement de ma queue en elle, ou le frottement de son clitoris, ou les deux, qui l’ont faite exploser de jouissance? En tout cas, elle a eu plusieurs orgasmes avant de se dégager de mon sexe, et d’arracher la capote de ma queue distendue pour venir engloutir un tiers de mon sexe, et masturber le reste. Inévitablement, parce que j’étais au bord de la jouissance, mon sperme est sorti dans sa bouche, qu’elle a bu jusqu’à la dernière goutte.
Assez ironiquement, ou peut-être était-ce normal, ça a été quand j’ai cessé de travailler chez elle que je suis devenu son amant, passant en fin d’après-midi pour des moments de sexe sans tabou.
Et là, elle venait de partir en vacances.
J’ai passé l’après-midi chez plusieurs personnes. Je ne pensais plus trop à ma candidature, et puis je me disais que de toute façon, même si je n’étais pas pris ce n’était pas grave.
Mon téléphone a sonné sur le coup de 18 heures.
—Bonjour, c’est Christelle Oniglia.
—On se connait?
—Vous avez passé un entretien ce matin, face à moi.
J’ai repensé à la belle brune et à sa chatte.
—Je suis très intéressée par votre profil. Je pense que vous ferez un excellent porteur. Donc je vous propose de signer un contrat. Passez demain à nos bureaux, et vous pourrez commencer tout de suite.
Ca m’a d’autant plus fait plaisir que je ne m’y attendais pas.
J’allais devenir porteur de prospectus.
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