Sexe imprévu au hammam

Je me présente, j’ai 50 ans, un beau regard ténébreux mais malheureusement des kilos en trop en raison de ma trop grande gourmandise (1m85 pour 110 kg).
Mon épouse qui partage ma vie depuis 20 ans a 2 ans de moins que moi. Elle est magnifique, 1m75, 65 kg, une taille de guêpe malgré deux grossesses et surtout elle a un cul qui me rend fou. Il est superbe et m’excite en permanence !
Le sexe, elle n’en est pas dingue comme moi mais je peux dire avec fierté que je l’ai convertie à pas mal de pratiques sexuelles qu’au moment de notre rencontre, elle n’avait jamais envisagé.

Comme beaucoup de monde, nous apprécions aller au spa pour nous détendre et sortir ainsi un peu du train-train quotidien boulot-enfants-maison… Souvent, nous en profitons également pour nous offrir un massage chacun, histoire de nous évader complètement et nous faire plaisir.
Personnellement, je ne suis pas fan du sauna et je lui préfère largement le hammam qui a par ailleurs l’avantage d’être plus intime : souvent dans la pénombre, embué de vapeur, bref où on ne voit pas à 2 mètres… C’est idéal pour s’y chauffer, ce que nous ne manquons jamais de faire !

L’autre jour, nous voilà donc partis vers notre spa préféré : accueil aimable, passage au vestiaire dont nous ressortons en maillots de bains, douche rapide. Après quelques brasses dans la piscine, nous nous posons dans le jacuzzi. Comme nous arrivons généralement tôt, peu de temps après l’ouverture, il n’y a pas grand monde. J’en profite donc, en chaud-lapin que je suis, pour caresser ma moitié. D’abord gentiment, puis rapidement mes doigts effleurent son sexe à travers le maillot. Elle n’apprécie pas trop ces caresses « au grand jour » et sort de l’eau. Avant que mon érection naissante me condamne à rester dans le jacuzzi sous peine d’être dévisagé par les rares personnes présentes, je lui emboîte le pas et nous voilà partis vers l’espace sauna-hammam.
Nous accrochons nos maillots à l’entrée du hammam, de même que nos serviettes qui s’y gorgeraient de l’humidité présente. C’est donc nus que nous nous installons sur le banc chaud en pierre. Nous sommes seuls à cet horaire matinal. Quel plaisir ! Je ferme les yeux, de toute façon, on ne voit quasiment rien. Je profite des senteurs florales, je laisse la chaleur m’envahir.
Ma femme est installée à côté de moi. Après quelques minutes, elle pose sa main sur ma cuisse, provoquant un léger sursaut. Elle s’en amuse. Sa main parcourt ma cuisse et remonte de plus en plus haut, comme elle sait si bien y faire, l’air de rien, puis frôle mes testicules au cours de ses caresses. Évidement je bande. Je pose également ma main sur sa cuisse et la caresse de même, remontant vers sa grotte intime.

Elle soupèse mes boules, palpe mon sexe, le branle doucement, tandis que j’excite son clitoris. Elle me demande de me lever afin qu’elle puisse me sucer. Elle ne veut pas s’allonger ou s’accroupir. Elle a toujours peur d’être surprise en flagrant délit… Un nouvel arrivant aurait toutefois peu de chances de nous surprendre dans une position tendancieuse : on l’entendrait arriver, on est au plus loin de la porte (plus de 5m), on ne voit quasiment rien !
Je me lève donc et elle me prend en bouche avec délice pour m’offrir une fellation dont elle a le secret. Lors de notre rencontre, elle n’appréciait guère cette pratique qu’elle jugeait sale. J’ai réussi à la faire changer d’avis et aujourd’hui c’est une suceuse merveilleuse bien qu’elle ait toujours refusé d’avaler ma semence, il est vrai très abondante. Elle s’active donc sur mon engin, le lèche, l’avale, agaçant le méat, gobant également mes boules rasées. Je me tourne et me penche pour qu’elle puisse me lécher le périnée et le cul : j’adore l’anulingus, une autre pratique que je lui ai fait découvrir.

Voilà donc un bon moment que je me tourne et me retourne, que ma chère et tendre me suce et me lèche, du gland à l’anus. Je suis à point mais je ne veux pas déjà jouir !
A mon tour de la chauffer !
Elle est assise face à moi, je lui fait écarter les jambes pour avoir accès à son bel abricot, je m’accroupis et me voilà en train de déguster sa chatte adorée. Elle apprécie et met ses fesses au bord du banc en mosaïque pour s’offrir à moi le plus possible. J’aime tout particulièrement son goût, le fait qu’elle mouille abondamment sous ma langue. Sentir son clitoris gonfler sous mes baisers et mes succions, c’est ma récompense ! Après quelques minutes de ce traitement elle est au bord de l’orgasme.
On décide alors de s’offrir une petite pause histoire de faire baisser la pression !
Puis je l’invite à venir s’asseoir sur moi, en me tournant le dos. Je positionne ma tige bien raide à l’entrée de son con. Elle s’assoit et ma bite disparaît entre ses lèvres. D’une main je lui triture le sein droit, de l’autre je caresse son clitoris. Je la sens totalement détendue et réceptive. Elle gémit doucement... Elle n’a jamais été très loquace pendant nos ébats mais je sais qu’elle aime ça. C’est le paradis !

J’ai une idée derrière la tête et envie que ce moment magique se prolonge. Je la fait se lever. J’ai ses fesses devant le visage. Je les écarte avec mes mains pour accéder à son petit trou que je commence à lécher. Elle attrape elle-même ses fesses pour les écarter, me permettant ainsi de libérer mes mains dont l’une retourne immédiatement agacer son petit bouton d’amour….
Elle apprécie que je lui lèche le cul. Elle sait que cela est souvent le préliminaire à une sodomie, autre pratique que je lui ai fait découvrir. Cette virginité là, elle me l’a offerte. Au début elle n’appréciait guère, ne me donnant son cul que pour me faire plaisir. Mais depuis peu, elle y a pris goût et c’est parfois elle, de sa propre initiative, qui prend ma queue en main pour la faire passer de sa chatte à son anus.

Elle se penche donc un peu en avant. Ainsi, j’ai une vue idéale sur son cul dont je suis totalement obsédé. Je peux sans peine lui introduire deux doigts dans la chatte et un troisième dans le cul. Ma salive, sa mouille et la sueur aident à bien lubrifier. J’insère un deuxième doigt dans son conduit anal avant de la faire se rasseoir sur moi, toujours en me tournant le dos. Je pénètre sa chatte en lui mordillant l’oreille ce qui la rend folle. Je lui murmure :
- tu veux que je t’encule ? Elle n’aime pas que je parle ainsi, aussi crûment.
- si tu veux, répond-t-elle timidement.
- si tu veux ce n’est pas une réponse. C’est ton corps, ton cul ! Tu décides. C’est oui ou non !
- oui, dit-elle dans un souffle.
- oui quoi ?
- ben viens derrière !
- où ? Je joue avec elle, elle le sait…
- dans mes fesses.
- je dois faire quoi avec tes fesses ?
- encule-moi ! Encule-moi mon amour ! Elle est mi-agacée, mi-impatiente.
- ok. Mais c’est toi qui le fait !
Elle se lève donc pour sortir ma queue de son sexe. Elle se tourne, me suce brièvement pour bien baver sur ma queue puis, prenant ma bite en main, elle se tourne à nouveau et se rassoit. Posant son anus sur mon gland, elle descend doucement, s’ouvrant centimètre par centimètre.

Me voilà entièrement dans son cul. Elle soupire. Je la devine les yeux fermés, attendant que la douleur due à l’intromission de ma tige dans son conduit arrière passe. Je sais que les premiers instants de sodomie sont tendus et qu’il faut être patient. Pour l’aider à se détendre, je reprends mes massages de l’un de ses tétons et de son clitoris. Après quelques instants sans bouger, elle me caresse les boules puis commence à onduler son bassin. Elle ne fait pas de mouvement vertical de va-et-vient : elle est juste enculée sur moi et bouge ses fesses. C’est divin. Je la caresse de mes deux mains libres et je lui mordille l’oreille en lui susurrant :
- je t’aime. Je t’encule et on prend notre pied !
- hmmm, oui, c’est bon ce que tu me fais. J’aime !
Ça aussi c’est une nouveauté : elle me dit qu’elle prend son pied par le cul !

Soudain, la porte s’ouvre. Merde ! Pris dans un tourbillon des sens nous avons oublié notre environnement ! Heureusement, nous sommes dans un recoin et le hammam est grand ; nous ne sommes pas immédiatement visibles depuis la porte. Un couple entre et s’installe près de l’entrée ; ils ne peuvent donc pas nous voir mais je les devine en raison de la clarté au niveau de la porte d’entrée vitrée.
J’ai tapoté sur la fesse de ma femme pour lui signifier de se lever et de cesser cette enculade. Elle ne bouge pas. Elle a entendu et vu, comme moi, que nous n’étions plus seuls. Je lui chuchote :
- lève-toi, il y a du monde !
- et alors, ils ne peuvent pas nous voir de là où ils sont.
- et s’ils viennent par ici ?
- ils n’ont pas de raison de venir. Là je suis trop bien pour arrêter. J’aime comme tu t’es occupé de moi avec ta langue, tes mains... et là, ton sexe dans mes fesses, c’est bon...
- ... Sa réponse me laisse sans voix. Quelle audace, elle d’habitude si réservée...

On continue donc cette tendre sodomie. Je garde néanmoins un œil sur l’autre couple. Malgré la vapeur, je devine qu’ils se chauffent également mutuellement car chacun à l’une de ses mains au niveau du sexe de l’autre.
Ma femme ondule de plus en plus sur ma bite. Elle fait maintenant des va-et-vient francs ce qui n’est pas sans faire un certain bruit à cause de la sueur dont nous sommes couverts. En plus elle gémit, certes doucement, mais l’autre couple doit l’entendre…
Et en effet, ils se lèvent et viennent vers nous. Ma femme ne bouge pas, preuve qu’elle doit prendre son plaisir les yeux fermés. Moi je n’ose rien dire, je veux en profiter au maximum, j’ai peur qu’en disant quelque chose cela rompe le charme de ce moment. Et puis je suis curieux à l’idée de ce qui va se passer...

Le couple s’approche. Lui bande dur. Il a une bite plus longue que la mienne, dans les 18cm, mais du même diamètre. Sa compagne est superbe, une poitrine magnifique. Ils sont plus jeunes, autour de 35 ans. Ils ne disent pas un mot. Ils sont debout à un mètre de nous. Ils ont compris depuis longtemps ce que nous faisons. Elle a d’ailleurs la bite de son mec en main et le branle doucement.
J’écarte les jambes de ma chérie afin qu’ils puissent constater qu’on baise effectivement et que nous sommes en pleine séance de sexe anal.
Sans dire un mot, la femme s’agenouille et suce le clitoris de mon épouse ce qui fait pousser à celle-ci un puissant gémissement de contentement et/ou de surprise. Elle introduit également sa langue dans sa chatte détrempée et me gratifie en passant d’un léchage de boules ! Ma femme l’encourage en lui attrapant les cheveux.
L’homme reste là, ne sachant que faire car tout le monde semble très occupé. D’une main, je lui fait signe d’approcher et de l’autre j’introduis un doigt dans la bouche de ma femme qui me le suce immédiatement. L’homme a compris, il ne se fait pas prier.

J’hallucine ! Ma chérie, de part son éducation stricte, a toujours pensé que le sexe, hors pénétration vaginale, c’était sale. Avec beaucoup de temps, d’efforts et de patience, je lui fait découvrir et apprécier beaucoup de choses. Mais là, elle a ma bite dans le cul, celle d’un inconnu dans la bouche et une fille lui bouffe le minou !
Elle ne tarde pas à jouir s’agitant en tous sens. Ma queue quitte son cul. Immédiatement, celle qui lui suçait le clitoris me prend en bouche pour une fellation inattendue. Ma femme reprend vite ma bite en main pour la remettre dans son cul. Elle en veut encore !
Elle continue à sucer l’homme. Moi j’ai cette vision de ma femme qui suce une bite, là, juste sous mon nez. Je suis excité à mort alors je me joins à cette fellation : je lèche cette bite, les couilles, je la prends en bouche, alternant la fellation avec ma femme, pour le plus grand plaisir de celui que l’on suce. C’est vraiment trop bon !
Le gars annonce qu’il ne va pas tarder à jouir. Je lui dit que ma femme n’avale pas mais qu’il peut jouir dans ma bouche s’il le souhaite. Sans la moindre hésitation, il m’enfourne sa queue que j’avale immédiatement.
Ma femme me regarde sucer cette belle bite, la prendre quasi en gorge profonde. J’attends l’explosion finale qui ne tarde pas à arriver. L’homme se répand dans ma bouche avec des grands râles rauques. Un, deux, trois jets puissants !
Tout d’un coup, ma chérie m’arrache cette queue délicieuse pour l’emboucher : elle veut sa part de jus d’homme ! Il lui en donne encore, deux ou trois jets vu les soubresauts de sa pine.
Je ne tiens plus. Je jouis et je remplis le cul de mon épouse d’une quantité énorme de sperme. Je pense n’avoir jamais autant éjaculé, c’est sans doute l’orgasme le plus puissant de toute ma vie ! Mon amour me roule une pelle et nous mélangeons le sperme du bel inconnu avant de tout avaler.
Ma queue sort du cul dilaté de mon épouse avec une bonne quantité de sperme. Immédiatement, l’autre femme entreprend un nettoyage de mon outil qui crache encore un peu de jus et ramollit rapidement.
L’autre couple, comme nous quelques secondes auparavant, se roule une pelle pour se partager mon jus. Puis ils quittent le hammam sans dire un mot.
Mon épouse et moi restons là, sans bouger, totalement épuisés par cette improbable partouze et par les orgasmes puissants que nous avons eu. Les minutes passent ainsi.
Je prends la parole le premier et la taquine :
- tu es une belle salope qui cache bien son jeu. Je t’ai connue très coincée, je t’ai initiée à plein de choses pour mon plus grand plaisir et le tien également, mais aujourd’hui tu m’as scotché ! Tu es super pudique et là tu t’exhibes en pleine sodomie devant des inconnus. Toutes ces années, tu as toujours refusé que je jouisse dans ta bouche et là, tu suces et tu goûtes le sperme d’un inconnu. Je suis jaloux ! Je t’aime plus que tout mais je suis jaloux et peiné de ne pas avoir été le premier à te faire goûter à mon jus, comme je l’ai été à jouir dans ton cul.
- oh, je suis désolée. Je ne l’ai pas fait exprès, c’est venu comme ça, naturellement. Ce sont les circonstances qui ont fait que cela est arrivé. Mais c’est de ta faute ! J’étais bien, j’ai adoré comment tu m’a prise par derrière, et la fille qui me léchait devant ! Et quand j’ai vu qu’il jouissait dans ta bouche à toi et que tu aimais ça, j’ai voulu le goûter aussi. Comment me faire pardonner ?
- comment ? C’est simple : là je suis vidé mais quand nous partirons tout à l’heure, tu me suceras dans le vestiaire et tu avaleras tout jusqu’à la dernière goutte.
- c’est d’accord. J’ai hâte…
- je t’aime.
- moi aussi, plus que tout.