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Le cadeau

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 19/10/2022

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Fin mars 2020. L’épidémie de Covid-19 fait rage. La France vient d’être confinée…
Marc, mon mari, a attrapé cette saleté. Il est patraque : fièvre, fatigue. Moi j’ai peur de cette maladie, avec tout ce qu’on entend… J’ai isolé mon homme dans une chambre de l’appartement. Après 6 jours, il ne va pas mieux. C’est même pire : il doit être hospitalisé en urgence.
Au final, il y restera 2 semaines, sous oxygène, heureusement sans passer par la case réanimation. Deux semaines sans recevoir de visite, après la semaine d’isolement à domicile. C’est très compliqué psychologiquement pour lui, mais aussi pour moi.

Après une huitaine de jours il était tiré d’affaire, il allait mieux, mais devait rester encore hospitalisé quelques jours, sous oxygène, pour bien dégager ses poumons.
Il se sentait seul et était impatient de pouvoir sortir. Nous échangions beaucoup durant la journée, via les messageries. Il s’est ainsi confié sur son manque de mon corps, sur les puissants rêves érotiques qu’il faisait alors que ça ne lui était jamais arrivé auparavant, hormis à l’adolescence. Il m’envoyait parfois des photos un peu hot de son boxer déformé par son sexe en érection, pour me faire comprendre qu’il était en forme et qu’il avait envie de moi ! Moi je ne suis pas très expressive concernant le sexe, je n’ai pas pour habitude de parler de mes désirs, de mes attentes.

Mon homme devait sortir de l’hôpital un mardi. Le lundi en début d’après-midi, quel étonnement de le voir débarquer à la maison !
Il a voulu nous faire la surprise de son retour ! C’est Laurent, un ami, qui l’a cherché à l’hôpital. Quand il passe la porte d’entrée, les enfants lui sautent dans les bras mais pas moi. J’ai peur de lui ! C’est terrible psychologiquement, pour tous les deux. Il accuse le coup… D’autant plus qu’au moment de sa sortie, le médecin lui a donné tous les documents administratifs, résultats d’examens et autres. Parmi ceux-ci, il en est un qui indiquait qu’il fallait qu’il reste encore isolé chez lui pendant 2 semaines. A l’époque on ne connaissait pas trop ce virus et on pensait qu’on était contagieux durant un mois. C’est la douche froide.
Il est déprimé : il pensait qu’en rentrant il pourrait prendre sa femme et ses enfants dans les bras, leur faire des câlins, me faire l’amour. Ça fait 3 semaines ! Et moi je l’accueille tellement froidement… La tête basse, il va s’isoler dans la chambre où il a déjà passé 8 jours avant son hospitalisation. Mais après 2 jours, il n’en peut plus.

Le soir venu, après que je me sois couchée, il vient se glisser dans notre lit. Immédiatement, je me love contre lui. Il a toujours bien chaud ! Il me dit qu’il ne supporte plus d’être seul, isolé comme un pestiféré, que si j’avais du attraper ce sale virus, je l’aurais déjà eu avant son passage à l’hôpital. Il est train câlin. Je sens son sexe dur contre mes fesses. Mais je suis fatiguée. Je suis souvent fatiguée le soir. Nous nous endormons donc ainsi, sagement. Il m’étonne car je sais qu’il a énormément envie de moi. Il aime le sexe, plus que moi, et il est certainement terriblement en manque. Mais patience...

Le matin je me lève toujours tôt. J’aime ce moment qui m’appartient quand toute la maisonnée dort encore. Je déjeune tranquillement puis je retourne m’allonger près de mon homme. Il dort. Je le trouve beau, il fait chaud en ce mois d’avril, le drap le couvre à peine. Je commence à lui caresser le torse, le ventre, les cuisses. Son sexe commence à réagir. Je lui lèche doucement un téton. Son sexe se dresse quasi instantanément ! Il ouvre un œil et me dit bonjour. Lentement, tout en l’embrassant partout, j’arrive à son sexe bien raide. Je dépose des baisers sur son gland avant de le prendre en bouche. C’est bon, ça m’a manqué…. Et pourtant je ne suis pas une fan de la fellation. Je le suce, lèche bien toute la tige, passe par ses boules que je gobe goulûment…
Son sexe en bouche, je lui lance un regard pervers, ce qui est très inhabituel car on n’échange généralement pas de regards pendant le sexe oral. Puis je l’avale entièrement. J’ai mon nez dans ses poils pubiens. Il fait de grands yeux, il doit penser : « la vache, jamais elle ne m’a fait de gorge profonde !! Qu’est-ce qui lui prend ? Elle fait ça comme une pro ! »
Effectivement, j’effectue des va-et-vient sur son engin, plein de ma bave, je le prends jusqu’au fond… Il devient fou. Il va jouir, il me prévient car il sait que je refuse qu’il vienne dans ma bouche :
- je viens
- hmmm.
Je ne me retire pas. Il insiste :
- je vais jouir !
- j’ai bien compris, dis-je en abandonnant provisoirement ma succion. Je te veux entièrement.
Je le reprends en gorge profonde tout en malaxant ses boules. Il jouit. Plusieurs jets puissants giclent directement dans ma gorge. Son orgasme est terrible, il lâche une quantité phénoménale de sperme. Je déglutis bravement, sans en perdre une goutte.
Sa queue ramollit mais je ne la lâche pas. Je le suce jusqu’à la dernière goutte, consciencieusement.
Cela fait, je m’allonge à coté de lui, fière et satisfaite.

Quelques minutes passent, en silence. C’est lui qui rompt ce silence :
- c’est incroyable ce que tu viens de me faire là !
- tu n’as pas aimé ?
- si beaucoup, mais tu me dois une explication.
- pourquoi donc ?
- ben tu n’as jamais réussi à me prendre entièrement dans ta bouche quand je te le demandais. Tu n’as jamais voulu que j’éjacule dans ta bouche non plus. Et là tu fais les deux et tu avales tout.
- je voulais te faire plaisir. Je sais que les dernières semaines ont été difficiles pour toi alors je voulais te faire oublier tout ça en faisant quelque chose de différent, de nouveau.
- c’est réussi ! Et c’était comment pour toi ? Toi qui n’a jamais voulu goûter mon sperme, comment tu le trouves ?
- bof, ni bon ni mauvais. En fait, il est parti directement dans ma gorge donc je n’ai pas vraiment pu goûter...
- ça m’excite ce que tu me dis… Tu ne veux pas recommencer cette super pipe mais sans avaler directement mon jus ?
- cochon ! Je prends un air faussement offusqué en disant cela.
- moi !? Tu me fais une gorge profonde, tu bois mon sperme et c’est moi le cochon ? Suce-moi, fais-moi grossir dans ta bouche et ta gorge, fais-moi jouir de nouveau dans ta jolie bouche. Je t’aime.
- ok mon amour.

Et me voilà repartie vers son sexe. Il est mou mais je l’ai fait grandir dans ma bouche. Je l’ai de nouveau sucé de manière admirable, il faut le dire ! Et souvent en gorge profonde, bavant bien et le rendant fou. Il a été plus long à venir mais j’ai tenu le rythme et il a de nouveau explosé dans ma bouche en poussant des cris de bête en rut. Avant que j’ai le temps d’avaler, il m’a demandé de l’embrasser pour que nous partagions son sperme. Une fois fait, il m’a dit qu’il pouvait bien goûter à son propre jus puisque moi je le bois...

Après quelques instants pour se remettre de ces émotions, il me dit :
- il faut que tu m’expliques où tu as appris à faire une gorge profonde.
- je n’ai pas appris ! Je me défends.
- si. Je ne suis pas naïf. Cette pratique demande de l’entraînement, ça ne vient pas comme ça. Et avaler, déglutir mon sperme avec ma bite au fond de la gorge, ça demande aussi de l’entraînement pour ne pas s’étouffer… Je suis stupéfait par cette pipe. Tu ne m’a jamais fait de gorge profonde, tu n’as jamais avalé mon jus d’homme. Et là, tu fais ça comme une pro ! Je ne suis pas naïf, je mate des films X, je lis un peu des articles concernant le sexe. Une gorge profonde ça se travaille, ça ne vient pas du jour au lendemain : il faut apprendre à contrôler le haut-le-cœur quand la bite tape dans le fond de la gorge...
Je commence à me décomposer et à pleurer. Il ne comprend pas ce qui se passe.
Entre deux sanglots, je lui dit que je voulais juste lui faire plaisir, rien d’autre, que finalement je n’aurais pas du. Il me répond que ça va aller, qu’il m’aime, qu’il a vraiment adoré ces fellations, qu’il ne voulait pas me blesser, que je peux tout lui dire.
Et là j’avoue tout...

Quand il était hospitalisé, j’ai eu bien entendu très peur pour lui, l’ambiance générale n’aidant pas : confinement, maladie inconnue, infos continues angoissantes, beaucoup de morts, etc.
Quand j’ai su qu’il s’en sortirait, qu’il me parlait de ses rêves érotiques, j'ai été évidemment très soulagée et j’ai eu l’idée de lui faire une surprise pour son retour à la maison, sexuellement je veux dire.
J’y ai réfléchi. Lors de notre rencontre je n’étais pas très branchée sexe. Mon éducation judéo-chrétienne campagnarde a fait que le sexe, hors rapports vaginaux, c’était mal… Lui, c’est le contraire : il adore ça et c’est central dans sa vie. Il est bisexuel, il me l’a avoué. D’ailleurs juste avant de me rencontrer il baisait avec un mec… J’ai eu du mal à accepter cette facette de sa personnalité.
Il m’a donc initiée à plein de choses : il m’a fait apprécier les cunnilingus. Je le suce bien volontiers, parfois avec passion, souvent pour son plaisir à lui car je l’aime. J’ai aussi découvert l’anulingus, le recevoir ou lui faire. Et enfin, je lui ai offert ma dernière virginité : mon anus. Il adore me prendre par derrière. Sans doute son côté bi. Mais il faut dire que j’ai un beau cul qui le rend fou ! En revanche j’ai toujours refusé qu’il jouisse dans ma bouche trouvant l’aspect du sperme dégueu, quand bien même je n’y avais jamais goûté malgré ses demandes répétées.

Je me suis alors dit que j’allais lui offrir ma bouche : une fellation complète, avec gorge profonde en plus. Il avait déjà essayé quelque fois de me mettre son sexe tout au fond de la gorge, sans grand succès… bien que son engin ne soit pas surdimensionné puisqu’il doit faire une quinzaine de centimètres.
Je n’avais que quelques jours devant moi pour parvenir à relever ce défi, 4 ou 5 tout au plus…
J’ai donc commencé à m’entraîner avec ce que j’ai pu trouver : banane, concombre. Mais ce n’était pas top. C’était froid, rien à voir avec un sexe d’homme qui palpite, qui vit. Et comment simuler une éjaculation ? Comment savoir le goût ? Une seule conclusion s’imposait à moi : il me fallait un vrai sexe pour m’entraîner !

J’ai alors pris mon courage à deux mains et fait l’impensable : je suis allée voir Laurent, notre ami qui habite à deux pas de chez nous. Je l’aime bien, il est sympa et il est célibataire. Je n’osais pas aller sur un site de rencontres, je serais tombée sur qui ? Il m’était impossible d’envisager de faire ça avec un parfait inconnu. Laurent était le candidat idéal pour cet apprentissage ! Je lui ai expliqué que je voulais offrir un « cadeau » à mon mari pour son retour à la maison. Il était d’accord et emballé par cette idée mais quand je lui a expliqué de quel genre de cadeau il s’agissait et surtout que j’avais décidé de m’entraîner avec lui, il s’est décomposé…

Il m’a fallu le convaincre, argumenter : « c’est purement sexuel, uniquement des fellations, tu ne me toucheras pas, ne me baiseras pas... C’est pour Marc… Personne n’en saura rien, etc. »
Il a fini par accepter. Je pense que la perspective de se faire sucer de la sorte a quand même du le motiver. Ce n’est qu’un homme après tout !
Avant qu’il ne change d’avis, j’ai commencé à lui caresser le sexe à travers son pantalon. J’étais persuadée que si on ne le faisait pas tout de suite, il changerait d’avis, et moi aussi probablement !

Cette première fois a été compliquée, il y a eu de la gêne entre nous. Mais finalement on l’a fait. Je n’ai pas réussi à l’avaler entièrement. Sa queue est plus longue que celle de Marc. Du coup, je me suis dit que si j’arrivais à faire une gorge profonde à Laurent, j’y arriverai avec mon mari. Je l’ai sucé et il a éjaculé sur son ventre ; j’ai juste léché quelques gouttes, pour savoir si j’aimais le sperme. Ça allait. Après avoir débriefé cette première pipe devant un café – oui c’était un peu surréaliste ! - je l’ai sucé de nouveau et là il a joui dans ma bouche. J’ai tout avalé… J’étais fière de moi, imaginant déjà la tête de mon mari quand son tour viendrait. Le sperme de Laurent n’était pas mauvais.
Nous avons donc convenu de nous retrouver chez moi matin et soir. Le matin, j’enverrai les enfants jouer dehors dans notre cour pour qu’on ne soit pas dérangés, et le soir il viendrait une fois les enfants couchés.

De retour chez moi, je me suis retrouvée dans ma salle de bains, devant le miroir. J’ai ouvert ma bouche me disant que j’étais une belle salope, que j’avais trompé mon mari, que c’est là que Laurent s’était vidé. Paradoxalement, je mouillais comme une folle. J’ai commencé à m’exciter seule, moi qui ne fait jamais ça d’ordinaire. J’ai même cherché le concombre qui ne m’avais pas été très utile lors de mes expériences orales mais qui, cette fois-ci, était parfait pour mon minou !

Laurent et moi avons instauré le programme suivant : fellation rapide pour le vider dans ma bouche, puis après un petit temps de récupération, une autre pipe pour s’exercer. C’était parfait car la deuxième fois il mettait davantage de temps pour durcir ce qui était très bien pour travailler la gorge profonde. Il avait la santé car je le faisais quand même jouir 4 fois par jour !
Il m’a aidé car nous n’y arrivions pas, nous n’avions pas la bonne technique. On a regardé des vidéos, lu des articles. C’était assez étrange cette proximité entre nous, c’était une sorte de formation pratique... Finalement j’ai réussi à avaler Laurent entièrement et dans plusieurs positions : lui debout et moi accroupie ou assise ; lui allongé sur le dos et moi à genoux ; ou encore, comme dans les films X, moi couchée sur le lit sur le dos, la tête pendante, et lui debout.

Du coup, le faire à Marc, mon homme, c’était presque facile. Mais il a tout deviné et je n’ai pas eu d’autre choix que de tout avouer. Il ne m’en a pas voulu.
2-3 jours plus tard, il a invité Laurent à boire un verre pour fêter sa convalescence. Il en a profité pour lui dire qu’il savait tout, instaurant un certain malaise. Mais rapidement il lui a dit qu’il ne lui en voulait pas, que grâce à nos travaux pratiques j’étais devenue une suceuse de premier ordre.
Et là, c’est lui qui nous a fait une surprise en disant qu’il avait très envie d’essayer la double pénétration, lui dans mon cul et Laurent dans ma chatte :
- ton cul, m’a-t-il dit, je l’ai dépucelé et personne d’autre ne t’enculera car il est m’est réservé…
Mais ça c’est une autre histoire…
On s’aime.
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Histoire de Marco

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Commentaires du récit : Le cadeau

Le 20/10/2022 - 06:28 par Rasoir
Merci pour cette belle histoire bien excitante !
Le 19/10/2022 - 22:01 par OlgaT
La pandémie a totalement changé la vie de ce couple. Une suite est prévue?

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