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Sexe pour une ATSEM partie 2

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Lue : 583 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/05/2020

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Il fallait attendre trois semaines avant qu’on ait les résultats. Pourquoi trois semaines ? Corriger une série de QCM ça ne devait pas trainer… Mais c’était la règle. On devait ronger son frein avant de savoir si oui ou non on pouvait accéder à l’oral. J’ai continué ma petite vie faite de petits boulots, avec au fond du cœur un mélange d’angoisse et d’espoir. Et le regret que rien n’ait été possible entre Naima et moi, qui m’affectait plus que je ne le pensais.
La veille du jour où les résultats devaient être affichés, normalement sur le coup de dix heures du matin, je suis passée au CDG. J’avais l’espoir que peut-être, ils seraient affichés plus tôt.
Je faisais un remplacement de serveuse qui avait débuté pile le lendemain du concours. Je suis arrivée direct après mon service, dans un tailleur très moulant et avec des talons de huit centimètres qui ont tapé sur les marches en béton, puis sur celles en plexi alors que je descendais. J’ai marché directement jusqu’au panneau d’affichage.
—Il n’y a encore rien !
Je me suis retournée. J’avais bien reconnu sa voix. C’était le directeur du CDG lui-même qui me parlait. Un grand type baraqué d’une quarantaine d’années, qui, bien qu’encore jeune, avait déjà les cheveux tout blancs. Il avait assuré les cours sur le droit et le métier d’ATSEM et nous avait impressionnés, parce qu’il avait des connaissances énormes, et on ne le prenait pas facilement en défaut. Surtout, contrairement à d’autres, il était chaleureux.
—Les copies ne sont pas corrigées ici, on fait un échange entre CDG, je serais donc incapable de vous dire si vous avez réussi. Normalement, on aura les résultats demain matin sur le coup de neuf heures. Mais c’est impossible que vous ne soyez pas sur la liste…
—Rien n’est jamais sûr.
Il a semblé réfléchir, avant de dire :
—Tiens, venez dans mon bureau.
Je l’y ai accompagné.
—Ca tombe bien que vous soyez passée…
Du bureau, on avait une vue magnifique sur la vallée qui s’offrait au Sud de la ville. Il m’a fait signe de m’asseoir.
—Si vous voulez vraiment vos résultats, je peux les avoir. Par contre, demain, il faudra jouer le jeu, venir et faire comme si vous ne saviez rien.
Je me suis demandée s’il y avait un marché sous-entendu. La vie m’avait appris qu’il y avait toujours un marché. Du sexe ? Il était très attirant.
Lisant peut-être en moi, il a ajouté :
—Vous ne me devrez rien. Et puis je voudrai vous parler études aussi, puisque j’en ai l’occasion.
Il a attrapé son portable, a cherché un numéro dans le répertoire. Un appel. Quelques paroles prononcées,
—Salut Bernard, tu vas bien... Dis-moi, tu pourrais me donner les résultats de Laetitia D… C’est une de nos étudiantes… OK… Oui, très bien… J’attends…’
Il m’a fait un signe de tête qui se voulait encourageant, avant de replonger dans sa conversation.
—Très bien…Merci infiniment.’
J’étais tendue à l’extrême quand il s’est tourné vers moi et m’a dit :
—N’avez pas de souci… Vous êtes admissible, et même si officiellement, il n’y a pas de classement, vous êtes la première… C’est très bien… Mais je voulais vous parler d’autre chose. Je vous ai eu cinq heures en cours, et je suis intimement convaincu que vous avez d’immenses capacités. Et que vous pouvez faire bien mieux qu’être une simple ATSEM, même si ça n’a rien de dégradant en soi. Il y a une tonne de formations auxquelles on peut accéder dans la fonction publique territoriale, et je crois que vous pourriez occuper un poste de responsabilité.
Je l’ai écouté, un rien surprise. J’étais très surprise qu’on puisse de soucier de moi. Un discours qu’aucun de mes enseignants n’avait jamais tenu.
—Tenez, je vais vous donner une brochure… Ca vous permettra de réfléchir… Après, il n’y a rien de déshonorant à être ATSEM, j’en suis convaincu. Mais s’il vous prend envie d’autre chose…
Il a contourné son bureau et s’est approché pour me tendre la brochure. Je l’ai attrapée. Elle était épaisse, j’aurais de quoi lire.
C’était très curieux. Tous les hommes avaient envie de coucher avec moi, et lui je sentais bien que c’était différent. Non qu’il soit gay, j’avais bien senti son regard sur moi, sur mes jambes que la jupe, courte, avait largement révélées en remontant, mais j’avais l’impression qu’il attendait AUTRE CHOSE, qu’il ne pensait pas forcément que je puisse lui donner. Ce genre d’intuition qu’une fille a…
Je me suis levée. L’entretien était terminé.
—On se croisera peut-être demain.
—Oh certainement, il a répondu.
J’ai feuilleté la brochure dans la soirée, il y avait effectivement énormément de possibilités. On verrait si je parvenais à obtenir mon poste d’ATSEM.
Le lendemain, sur le coup de neuf heures et demie, je me suis retrouvée dans le grand hall. Mes ex-camarades arrivaient les uns après les autres, la boule au ventre. Moi je savais déjà, mais j’ai fait celle qui ne savait pas. J’ai vu arriver Naima. Elle m’a tourné le dos, hostile.
Une des secrétaires est arrivée sur le coup de 9 heures 55 et elle a collé une feuille avec l’intitulé du concours et les noms sur un tableau. Nous avions été 25 à passer, il y avait un nom sur deux.
Ma plus grande surprise a été de constater que Naima n’était pas admissible. Elle est devenue blême. Une sorte de revanche pour moi. On s’est félicités, on a réconforté ceux qui avaient échoué. Il était temps de se séparer. Mais avant de partir, j’avais quelque chose à faire. J’ai avancé jusqu’au bureau du directeur et j’ai frappé. Il m’a invitée à entrer. Il était seul. Il m’a souri.
—Alors vous avez réfléchi ?
—J’ai lu la brochure, comme vous me l’aviez conseillé hier soir. Il y a des options, et des choses qui me tentent, bien sûr. Pour l’instant, je vais essayer de réussir le concours d’ATSEM, d’avoir un boulot stable, avec une fiche de paye tous les mois, ensuite on verra.
—Croyez-moi, je vous sens capable d’aller loin. Et je ne me suis jamais trompé.
—Je vous suis très reconnaissante, j’ai continué. Pas tant de m’avoir fait ces propositions, que d’avoir cru en moi. Tout au long de mes études, il n’y a pas eu beaucoup de monde, pour ne pas dire pas du tout, qui m’a encouragé et m’a dit autre chose que ‘tu es une sinistre imbécile.’ Alors, je voudrais vous remercier à ma manière.
Pour venir j’avais mis une nouvelle robe, en velours, simple et moulante. Je me suis penchée et j’ai attrapé l’ourlet pour remonter lentement le tissu, en me dévoilant. Dessous, j’avais des bas stay-up, avec une attache en dentelle, pas de culotte, et un soutien-gorge rouge. Le regard qu’il a posé sur moi m’a convaincu que, si j’avais pu me poser la question, non, il n’était pas homosexuel. Je me suis dévoilée sur mon côté face, la robe figée à mes épaules, avant de lui présenter mon côté pile.
—Je pense que j’ai un joli corps, en tout cas il plait à pas mal de monde, c’est un beau cadeau.
—Vous êtes effectivement magnifique.
—Si vous avez envie de plus, que je vous caresse ou que je vous prenne dans ma bouche, j’ai dit en laissant retomber la robe…
—Vous savez, j’ai des goûts très particuliers… Et très personnels.
—J’ai l’esprit très ouvert.
Il a paru réfléchir, avant de répondre :
—Si vous êtes tenté par une sexualité, disons… différente… Oh, rassurez-vous, rien qui tend vers le BDSM… Une fois que vous aurez passé votre oral et eu vos résultats, appelez-moi… Je vous inviterai chez moi…
Il a griffonné un numéro de portable sur un bristol qu’il m’a tendu.
Je suis partie avec la curiosité au ventre. Une sexualité différente… J’en avais connu déjà pas mal des sexualités différentes… Un garçon qui ne vivait que pour être masturbé par une fille, un autre qui voulait qu’on le sodomise avec un gode, une fille qui ne pouvait jouir que si on lui touchait les seins, une autre qui voulait absolument se travestir en cosplay pour faire l’amour… Et lui, c’était quoi ?
Ce serait peut-être une expérience agréable…
Je n’ai pas trop pensé sexe durant la semaine qui a suivi, excepté quand j’allais me détendre le soir avec mon voisin. Il fallait que je tienne vingt minutes à l’oral. On me donnerait un bref texte lié aux enfants que je devrais commenter, et ensuite les questions partiraient dans tous les sens. Et si le directeur estimait que je pouvais avoir facilement ce concours, rien n’était sûr pour moi.
Je devais passer un jeudi matin sur le coup de dix heures. J’ai décidé pour une fois de ne pas marquer ma féminité. J’avais peur que ça me desserve. Pull, chandail, tennis, les cheveux noués. Et puis, au moins je serais notée sur ce que je valais vraiment, et pas sur ma capacité à séduire les hommes…
Je suis arrivée sur le coup de neuf heures et quart, le ventre noué. Un papier à l’entrée indiquait la salle, simplement une des salles où on avait eu cours. J’ai été me caler devant. Alyson était là, une des filles qui avait fait les trois mois avec moi, et que j’avais souvent matée du coin de l’œil, tout en sachant qu’elle était trop coincée pour que quelque chose soit possible entre nous, une très jolie blonde, très grande, fine, mais avec des formes très marquées, et qui ressortaient d’autant mieux à cause de sa finesse. Contrairement à moi, elle avait pris l’option du charme, très maquillée, avec un tailleur à la jupe très courte, qui mettait en avantage ses jolies jambes gainées par un collant, des bottes noires et hautes, un top décolleté sous la veste et un visage maquillé. C’était une option. Elle n’avait jamais brillé pendant l’année, mais ça, ça ne voulait pas dire grand-chose, Naima en savait quelque chose.
—Ca va Alyson, je lui ai demandé ?
—Ca va, elle a répondu, moins parce qu’elle était stressée, et elle l’était, ça se voyait, que parce qu’elle n’avait pas, et n’avait jamais eu l’envie de parler avec moi. J’étais bien consciente que je représentais un modèle qu’elle honnissait, et encore plus depuis le jour où elle nous avait surprises Naima et moi dans les toilettes, bouches collées et la main enfoncée dans la culotte de l’autre. Elle nous avait jeté ce jour-là un regard d’horreur et s’était enfuie. J’avais souvent croisé son regard depuis ce jour-là, et je n’y avais lu que du dégoût. Une fois j’avais eu envie d’aller la trouver et de lui dire qu’elle avait tort d’être aussi horrifiée. Qu’elle n’en était pas consciente, mais qu’elle manquait peut-être quelque chose, et que je pouvais lui faire découvrir ce quelque chose. A un moment, j’avais pas mal fantasmé sur elle, et le contraste entre un corps décidément attirant et un esprit borné me séduisait énormément. Je la voyais bien, plaquée contre un mur, me laissant faire mais à son corps descendant, pendant que j’aurais défait un jean, soulevé une jupe, baissé une culotte et que je l’aurais caressée de la langue et des doigts, d’abord révulsée, puis, à son corps défendant, éprouvant du plaisir, et se laissant enfin aller à la jouissance. Mais ça n’était qu’une ligne de possible qui n’aurait jamais lieu.
La porte s’est ouverte. Max, un des trois garçons est sorti. Son visage disait clairement que ça s’était mal passé. L’un des jurés, après un moment de vide, a fait son apparition. Grand, mince, un visage sévère.
—Mademoiselle D… s’il vous plait.
Me tournant délibérément le dos, Alyson s’est glissée à l’intérieur. J’avais une demi-heure devant moi. J’ai été chercher un café au distributeur, et je me suis installée sur un banc, en désaxe par rapport à la salle. Le temps est passé très vite. Alyson est sortie et j’ai tout de suite vu à son visage, un mélange de colère et de chagrin, elle était au bord des larmes, que ça s’était mal passé. Je n’ai pas insisté, vu le dégout que je lui inspirais, je me voyais mal à la consoler, et j’ai attendu que le juré m’appelle. Un type pas très grand, obèse et barbu. J’ai pénétré dans la salle. Le jury était composé de trois hommes, alignés, avec en face une place pour le candidat. Je leur ai dit bonjour. Celui qui m’avait accueilli m’a tendu un texte.
—Dix minutes !
Il m’a désigné une place, du brouillon. Je me suis installée. Un article d’une vingtaine de lignes, assez simple, sur l’accueil des enfants. J’ai pris quelques notes. Au bout de dix minutes, je me suis levée, et j’ai été m’installée sans qu’ils me le demandent.
—On vous laisse présenter cinq minutes ou moins, et ensuite, on démarre l’entretien.
J’aurais été bien incapable, en sortant, de dire que ça s’était bien passé ou pas… Ni même de me rappeler de ce que j’avais pu dire. C’était fait. Il fallait attendre trois jours.
Je n’ai pas eu à me rendre au CDG. J’ai eu le coup de fil dans l’après-midi. Un numéro s’est affiché, que j’ai identifié immédiatement, celui du directeur du CDG. Je me suis demandée comment il avait pu avoir mes coordonnées, avant de me rappeler qu’elles étaient dans mon dossier.
—Je vous annonce la bonne nouvelle ? Vous êtes reçue… C’est une nouvelle vie qui démarre pour vous. Il ne vous reste plus qu’à trouver un poste. Si vous avez besoin d’aide dans cette démarche, je peux vous aider.
J’avais déjà pris des contacts avec une école près de chez moi, qui était prête à m’embaucher, mais de la promesse à l’embauche… Je lui ai fait savoir que je serais intéressée si je n’avais pas la place que je convoitais.
—Ma proposition tient toujours. Quand vous serez prête…
Je l’ai rappelé deux jours plus tard. J’avais digéré ma victoire, et je m’étais rendu à l’école. Sous l’égide du maire, ils m’avaient fait un contrat. L’esprit libre, je pouvais à présent satisfaire cette curiosité qui m’aiguillonnait depuis un moment déjà. J’ai composé son numéro. Il a répondu aussitôt.
—J’ai de bonnes nouvelles. Je suis recrutée.
—Tant mieux.
—Je suis libre ce soir. Ca vous dit que je passe vous voir, où vous avez déjà oublié ?
—Non, non au contraire, je serai ravi de vous voir. J’attends ce moment avec impatience. Je suis chez moi sur le coup de 17 heures ce soir. Passez quand vous voulez.
Je voulais vraiment marquer le coup. J’ai opté pour une robe que j’avais achetée mais jamais encore portée, noire, fluide, dont l’audace tenait moins au fait qu’elle soit assez collante qu’à ce qu’elle soit fendue haut, des deux côtés. J’ai gainé mes jambes de bas stay-up en omettant tout autre sous-vêtement, et j’ai complété avec des escarpins aux talons de plusieurs centimètres. Un peu de maquillage, et j’étais parée.
J’ai jeté un coup d’œil sur Google Maps avant, et j’ai fait une visualisation de la rue. Il habitait une grande maison blanche sur une des collines au Sud de la ville. Il ne me restait plus qu’à me rendre chez lui.
Il discutait avec un voisin quand je suis arrivé. Etait-ce parce qu’il m’attendait ? Il avait passé une veste, lui qui n’en portait jamais au bureau. Il a salué son voisin et est venu vers moi, souriant.
—Je suis ravi de votre visite. Je vous attendais.
La maison était fraiche et spacieuse. Il m’a guidé vers un vaste living. Sur une table basse, des bouteilles d’alcool nous attendaient ainsi que des amuse-gueule.
—Vous êtes une jeune femme qui a beaucoup de qualités, même si vous n’en êtes pas forcément consciente. Croyez-moi , vous avez tout intérêt à aller au-delà d’une carrière d’ATSEM…
—J’aimerais en savoir un peu plus… Pas sur les carrières, ça j’ai les informations, mais sur vos goûts en matière de sexe.
—Oh, c’est très simple… Je suis passionné par l’ondinisme…C’est quelque chose auquel m’avait initié ma première maîtresse, et je n’ai jamais pu y renoncer. Il faut avoir une bonne partenaire pour s’adonner à de tels jeux, mais je pense que vous êtes celle qu’il me faut.
—L’ondinisme…Vous voulez dire… Des jeux avec du pipi ?
—J’espère que cela ne vous choque pas.
—J’aime le sexe sous toutes ses variantes.
Un lointain souvenir m’est remonté, celui d’un de mes amants qui était passionné de porno et qui avait une culture encyclopédique à ce sujet. Il connaissait tous les films, tous les réalisateurs… Les genres. On avait eu une liaison de plusieurs mois. Souvent, j’allais chez lui l’attendre, et je m’étais mise par curiosité à regarder des films, piochés au hasard dans son incroyable collection. Et j’étais effectivement tombée sur un film dont les participants passaient leur temps à s’arroser de pipi entre deux pénétrations. Je ne savais pas que l’on baptisait cela ‘ondinisme’. Il n’est jamais trop tard pour bien faire. J’avais trouvé cela très excitant à l’époque. Et puis…Le temps était passé.
On s’est calés chacun sur un divan, face à face. Je me suis servi un whisky, lui préférait apparemment de la vodka. J’ai bien compris à quoi devaient servir, à côté des verres pour l’alcool, les grandes carafes remplies d’une eau glacée, et les grands verres, et je me suis généreusement servie. Il en a fait de même. Je n’avais pas fait pipi depuis midi, la vessie sans doute déjà en partie pleine. On a discuté. Je n’ai pas été surprise qu’il corresponde tout à fait à mes premières impressions. Quelqu’un de cultivé et d’intelligent… Ce que je n’avais pas suspecté, c’était son goût pour l’ondinisme…
Il y a eu un seuil, au-delà duquel j’ai senti que ma vessie était pleine à exploser. Dilatée d’eau. Avec quelque chose qui allait au-delà de la simple envie de faire pipi. Même si je l’avais voulu, je n’aurais pas pu me pisser dessus.
J’ai supposé qu’il était dans le même cas, lui qui finissait encore un verre d’eau glacée.
Je ne savais pas trop ce qu’il attendait, mais j’ai pensé que c’était peut-être la bonne démarche. Je me suis levée, et je me suis approchée de lui. J’ai lu dans son regard que c’était sans doute la bonne initiative et que je n’avais pas fauté… Il m’a souri, comme un encouragement supplémentaire, alors que je roulais ma robe jusqu’à ma taille, en lui révélant ma nudité. Le ventre nu, les choses auraient du être simples, mais elles ont été compliquées.
Un miroir mural dans le coin de la pièce me renvoyait mon image. Mon ventre nu, mon sexe ouvert, dilaté, avec mon urètre saillante, bien qu’aucune urine ne sorte. Je me suis trouvée excitante ainsi, dans un schéma inédit.
Voyant que rien ne sortait, j’ai amené ma main sur mon ventre, et je l’ai faite tourner doucement. Ma caresse m’a décrispée, et le premier jet de pipi, intense, de quelques secondes, est sorti, venant frapper sa veste et sa chemise, les souillant, et les faisant sombres. Il a eu un petit rire, qui disait sa satisfaction, et, comme si ç’avait été un déclic, il a dézippé sa queue pour la mettre à nu. Comme une mesure de son excitation, je l’ai vue se gorger de sang à une vitesse record, devenant longue et dure. Il avait une belle queue, sur laquelle j’ai immédiatement eu envie de m’empaler. Sans nul doute, ça allait être un bon moment. Il ne fallait pas que je regrette d’être venue.
J’ai compris très rapidement que je pouvais contrôler ma vessie, et je me suis libérée, en choisissant d’alterner. Quelques traits courts, puis d’autres traits beaucoup plus longs, en essayant de tremper toute la surface de ses vêtements. C’était, semblait-il, exactement ce qu’il voulait. On est restés dans un moment qui semblait ne pas pouvoir finir. Je ne pensais pas avoir absorbé autant d’eau, et avoir autant d’eau dans le ventre. Puis, la source, s’est tarie.
En me laissant faire, il faisait aller et venir sa main sur sa queue. Maitrisant mieux mon corps, je l’avais visée, et touchée, à deux ou trois reprises avec un jet de pipi. Je me suis ébrouée, lâchant d’ultimes gouttes de pipi, de simples gouttelettes qui sont parties dans les airs sans l’atteindre, avec une autre envie au ventre. J’ai été chercher entre mes seins l’un des deux préservatifs que j’avais amenés, et me penchant sur lui, je l’en ai enveloppé, d’un geste sans doute plus habile que je ne l’aurais souhaité. Deux secondes plus tard, m’appuyant d’une main sur ses épaules, j’ai attrapé de l’autre sa queue, et je l’ai guidée vers mes lèvres. La jonction a été parfaite, je l’ai senti me remplir, avec ce bonheur que j’avais toujours lorsqu’un homme me pénétrait, et que le temps et la répétition ne diminuaient pas. Il m’a attrapée par les fesses, et il m’a faite monter et descendre sur sa queue, qui me fouillait, et me donnait l’impression, à chaque nouvelle pénétration, de rentrer plus loin, creuser mon ventre pour arriver jusqu’à ma gorge. Etait-ce lui, la situation, j’ai très vite joui, et mon premier orgasme a été suivi par plusieurs autres. J’ai senti, surtout, que je me liquéfiais, et que je libérais d’un Niagara de liquide, signe de mon plaisir, parce que ça ne m’arrivait pas toujours, en tout cas pas à ce point là. Je me suis hissée suffisamment pour dégager sa queue de ma chatte. Elle était épaisse et très dilatée, elle avait encore grossi au creux de mon ventre. Je savais exactement ce que je voulais. J’avais du mal à me passer de sodomie, pour moi c’était vraiment le plaisir ultime. J’ai amené sa queue contre ma muqueuse anale, et je me suis laissée tomber dessus. Je l’ai sentie glisser dans mon fourreau étroit avec un plaisir qui m’a coupée en deux. Je crois que ça lui a plu aussi, d’autant qu’il ne s’attendait pas à ça. Il a eu une sorte de sourire sur le visage, qui est resté jusqu’au moment où il a commencé à cracher ses premiers jets de sperme, me faisant à nouveau jouir. Il n’y avait rien que j’aimais plus que de sentir la semence taper contre les parois de mon rectum. Mon orgasme a été comme une boule de flipper, rebondissant jusqu’à me laisser une poupée de chiffon, sans plus de volonté.
Quand je me suis arrachée à lui, sa queue était encore toute dure. J’ai enlevé la capote, et je suis venue laper son contenu. J’avais toujours aimé le goût du sperme.
Il a perdu quelques centimètres, mais est quand même resté bien raide, quand il a commencé à lâcher, j’étais face à lui, le dominant, lui toujours dans la même position, en dessous de moi, les premiers traits d’urine. Contrairement à moi, d’évidence, il maitrisait mieux. Sa vessie était aussi pleine que la mienne. Il a arrosé ma chair et ma robe.
Je n’avais pas imaginé que cette expérience puisse m’exciter autant. Jai frotté mon clitoris comme une damnée pendant qu’il me trempait d’urine, avec encore des orgasmes à la clef. Lui-même après s’être vidé de flots d’urine, s’est masturbé vivement, pour cracher encore des jets de sperme qu’il avait en réserve, je ne savais où.
Le reste de la soirée a été plus classique. On est passés tous les deux sous la douche, il s’est changé. Moi j’avais amené un survêtement. C’était moins glamour, mais ça n’a pas paru le gêner.
On a diné ensemble. C’est à la fin de la soirée que j’ai dit ce que peut-être il espérait.
—J’ai passé une excellente soirée. Le diner, le fait qu’on s’entende, mais aussi les jeux de pisse. J’aimerais qu’on remette ça très vite.
Il s’est produit quelque chose de magique. On s’est revus très régulièrement pour des soirées dont l’élément saillant était toujours ces jeux de pisse. On s’arrosait l’un l’autre, signe certes d’une bonne entente mais aussi pierre angulaire d’une relation qui s’est prolongée jusqu’à ce qu’il me propose le mariage. Tout nous séparait, mais c’était la première fois que je m’entendais aussi bien avec quelqu’un.
Depuis… On vit ensemble, en harmonie, j’ai repris les études, changé de métier… La seule chose qui n’a pas changé, c’est notre goût pour l’ondinisme !
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Histoire de JamesB

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