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Mari volage et cocu

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Lue : 2944 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/05/2020

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Voici une histoire très récente puisqu'elle dure encore, tout ce qui serait reconnaissable a été remplacé, modifié, déplacé.

Comme je l'ai déjà dit sur d'autres histoires, mon mari et moi, nous sommes libertins, la différence est que si moi, j'évite autant que possible les hommes mariés, lui, il ne chasse que dans celles qui le sont, ce sont les moins chiantes et qui n'ont pas intérêt à l'être, elles demandent de la discrétion et je leur en donne dit-il.

La dessus, je reconnais qu'il passe leur vie privée en priorité, prenant tout sous sa responsabilité et assurant un SAV derrière, cela va jusqu'à tabasser le mari s'il est violent avec sa femme ou lui dire qu'il l'a forcé. Le cocu de cette histoire, n'a que ce qu'il mérite, il ne trouvera pas grand monde pour le plaindre, si un jour il se retrouve seul comme un con.

Cela a commencé il y a plus de 3 ans, si je ne l'ai pas raconté avant, c'est parce qu'au départ, c'était une banale histoire de baise, au fil des rendez-vous, celle-ci est devenue sa favorite, il faut dire qu'en plus d'être belle et bien foutue, elle est sympathique et a de la conversation, de plus, malgré la situation du couple, elle n'a pas la grosse tête.

L'histoire commence lors d'une fête public, mon mari parfois fait des efforts pour qu'on sorte un peu ensemble, un adjoint au maire (n'oublions pas que je change aussi le statut des personnages) prés du maire qui faisait un discours, cet adjoint se la pétait, un rien prétentieux, se suffisant à lui même, reprenait le maire sur des mots qui ne lui semblait pas suffisamment précis.

Apres ce moment rasoir, tout le monde s'approche du buffet, et c'est là qu'on voit derrière l'adjoint, une très belle femme, mon mari me pousse vers elle pour engager la conversation, en arrivant, bien sur, l'adjoint m'entreprend avec un sourire jusqu'aux oreilles, sourire qui se fige quand je lui présente mon mari derrière moi.

je suis BCBG et mon mari ressemble plus à un bucheron, limite coupeur de gorge, comme nous disent les copains qui nous ont vu la première fois, une collègue m'avait dit il y a 19 ans, ton mari, je le croise un soir d'hiver dans une rue, il me demande l'heure, je lui donne mon sac et mes bijoux, puis je pars en courant.

Mon mari comme souvent, me plante là avec le pénible (l'adjoint), il me dira après, "je t'ai laissé avec lui car j'avais envie de lui refaire le pif", le pénible me drague, disant qu'il m'a déjà vu ici etc., ce qui est vrai, je suis déjà venu, mon mari tente une approche avec la femme qu'il avait vu de loin, mais celle-ci est avec des connaissances.

Dans la foule, ou beaucoup de notable sont là, mon mari cherche une belle proie, mais celle qui l'intéresse, c'est la première qu'il a vue, j'arrive enfin à me débarrasser de l'adjoint qui parlait dans le vide, en prétextant une connaissance qui vient d'arriver, que je dois aller voir.

N'aimant pas plus que mon mari ce genre d'endroit, nous nous éclipsons peu après, veni, vidi, parti, mon mari dit, c'est la dernière fois que tu m'emmènes là, y'a que des têtes à claques et tu ne veux pas que je m'en serve. je suis retourné encore 2 autres fois, seule à ce genre de fêtes, pas par plaisir mais par nécessité professionnel, j'ai revue cette belle femme, entourée de ses connaissances, plus âgées, étant seule, j'ai du écouter les âneries des sempiternels dragueurs.

Par la suite, j'ai trouvé un accompagnateur qui était du même style que l'adjoint, aussi puéril l'un que l'autre, presque des jumeaux, il me servait de rempart contre ceux qui cherchaient une pute gratuite, j'ai donc pu me faire briller à cette fêtes, c'est la que j'ai appris que cette belle femme, était la femme de cet adjoint, elle est aussi belle qu'il est con, c'est dire sa beauté.

Par chance, le maire lui demande de venir, je reste avec elle à discuter et dit à mon ombre d'aller au buffet, faisant signe que je veux rester avec elle. belle, sympathique, on se complimente mutuellement, elle a la trentaine, ils habitent un endroit que je connais un peu, du moins j'y suis déjà passé plusieurs fois, c'est un héritage de sa famille à lui ainsi que les terres et bois autours.

Je n'en saurais pas plus, une femme arrive et l'entreprend, je lui fais signe au revoir et récupère mon ombre en pleine discussion avec des élites du même acabit, autant ce genre de fêtes me gonfle, autant lui, il est dans son monde. Plusieurs autres fois, je l'ai emmené, mais je n'ai pas pu m'approcher d'elle, car elle était toujours avec des dindes autour.

Avec mon mari, on se raconte tout, moi, ce qui est en train de se passer ou de se préparer, alors que lui, il me raconte bien souvent après coup, que se soit positif ou négatif, je pense que parfois, les râteaux qu'il prend, il les zappe, concernant la belle femme de l'adjoint, il ne me la raconté que quand il a réussi.

Si j'ai une préférence pour les hommes entre 30 et 40 ans, mon mari, c'est plus pour les jeunettes de 20 à 25 ans, ça ne m'empêche pas d'avoir eu des jeunes de 18 ans passé de quelques jours pour le plus jeune et de 75 ans passé pour le plus âgé, la situation fait le larron, concernant cette femme qui a la trentaine, c'est comme il dirait un coup de foudre.

Voila donc comment tout a commencé, comme je lui ai indiqué ou elle habitait, quel genre de travail que faisait l'adjoint, ainsi que ce qu'elle m'a dit suite aux questions que je lui ai posé discrètement, "vous n'avez pas peur toute seule la journée, c'est isolé", sa réponse, "je ne risque rien, j'ai 2 locataires au RSA qui sont à l'entrée de la propriété et un gros chien qui est libre autour de la maison.

Elle a raconté ce qui peut l'être, en fait, les locataires sont logés gracieusement sans charge et racontent tout ses faits et gestes à l'adjoint, en plus d'être rapporteurs, ils ont une tendance à aimer le vin vendu au litre avec des bouchons en plastic.

Je ne sais plus si ça existe encore, avant, avec 3 consignes vides, les poivrots avait une bouteille pleine et les bouchons servaient à fabriquer des rideaux, le seul raisin de ce vin, était dessiné sur l'étiquette, surement pour ne pas le confondre avec un détergent quelconque.

Vous l'aurez compris, cette femme est dans une cage dorée, si elle sort dans la journée, le soir elle a une scène, sauf à le prévenir qu'elle va voir de la famille et à ce moment là, il l'a rejoint sans prévenir à n'importe quel moment, étant riche avec une belle situation, il est mieux vu qu'elle dans sa propre famille.

Peu importe la difficulté, mon mari a jeté son dévolu sur elle, cette femme, BCBG, mon mari, c'est la bête et elle est la belle, derrière sa maison, il y a une vingtaine de mètre entre la clôture et une chambre de la maison. Tous les soirs, mon mari va au grillage de cette clôture, avec des restes de viande.

Il capture des chats errants sur place, les nourrit, et lorsqu'il s'approche, le gros chien se met à aboyer, les locataires arrivent pour voir si ce n'est pas un voleur, c'est à ce moment que mon mari lâche un chat en le faisant gueuler, coté extérieur ou il n'y a pas le chien bien sur, d'entendre le chat gueuler, les locataires se disent, "ça va, c'est un matou" et repartent chez eux.

Cela a duré 3 fois avant qu'ils en aient marre de se déplacer et le laisse aboyer, à chaque fois, le chien avait son morceau de viande, après il arrivait sans gueuler, en 2 semaines, il le nourrissait directement dans sa main en le caressant, mon mari se promenait sur la pelouse avec le chien en évitant d'être vu de là ou ils logeaient.

En bon professionnel, mon mari s'était bricolé une échelle double en bois, plus silencieuse que l'aluminium. une fois le chien amadoué, les habitudes des locataires connues, au repas du soir, ils se déglinguaient le foie avec leur breuvage chimique, la journée non, car l'adjoint les engueulait s'il les voyait dans un état second, menaçant de les virer.

L'adjoint partait vers les 7h30 et rentrait pour 19 h, on a su plus tard, qu'il était aussi fidèle que moi pucelle, un après-midi, vers les 17h, mon mari rentre chez elle, elle se retrouve nez à nez avec lui, elle a eu la peur de sa vie dira t'elle plus tard, elle se voyait faire la une des journaux, elle le détaille, il est en chaussette pour ne pas salir.

Mon mari est conscient de cela, il a beau la rassurer, elle ne crie pas, car elle a peur qu'il s'énerve, il lui dit, n'ayez pas peur, je ne vous veux aucun mal, regardez, je n'ai rien volé, et je m'en vais, quand je reviendrais, vous saurez que vous n'avez rien à craindre", faisant ce qu'il dit, il s'en va sous son regard, elle dira aussi qu'elle y a pensé toute la nuit et le lendemain, elle n'y comprenait rien, elle ne dit rien à son mari, il risquerait de la priver encore plus de liberté.

Mon mari surveille les alentours après son départ et aussi le lendemain, il laisse passer quelques jours, il regarde les alentours et rentre à nouveau par une autre fenêtre, toujours surprise, il l'a rassure, chose plus aisé que la première fois, il lui dit, ne craignez rien, si je vous voulais du mal, je l'aurais fait l'autre jour, mais que voulez vous dit-elle, comment avez vous fait avec le chien, et ceux qui habitent devant.

Il lui dit, je vous trouve très belle, le plaisir de vous voir, est plus fort que le molosse et les deux poivrots qui vous collent de loin, je ne vous veux pas de mal, et je vous le prouve à nouveau, en m'en allant à contre cœur. Mon mari s'en retourne encore une fois, lui adressant un baiser quand elle le regarde de la fenêtre, cette fois ci, elle ne s'est pas précipité pour la refermer, elle le regarde partir en n'y comprenant rien.

La troisième fois, sachant que son mari est absent du weekend, il retourne chez elle peu avant 22 h, le sursaut habituel, et le "ha c'est vous", il lui dit, "je vous aurais bien apporté un bouquet, mais je préfère rester discret, votre sécurité est ma priorité", elle lui dit, "mais vous voulez quoi à la fin et vous êtes venu en chaussettes".

Il répond, c'est gadouilleux dehors, qu'est ce qu'un homme digne de ce nom peut vouloir à une femme aussi jolie", il rajoute, ne craignez rien, sans un consentement de votre part, je ne ferais rien du tout, je vous l'ai dit, je suis un Homme avec un grand H comme dans Honneur, je ne suis pas une lopette, vous êtes seule, je vous tiens compagnie.

Elle lui dira plus tard, que ce soir là, elle n'avait plus peur du tout, amusée de la situation, un salaud en aurait profité la première fois, son mari ne lui a jamais rien dit, car elle a pensé qu'il l'a testait, un type soigneux qui ne veut pas salir, qui brave le chien et les gardes chiourmes, elle se disait autant en profiter, ce n'est pas les visites que j'ai, ce n'est pas mon type d'homme, mais il a de l'humour.

Sans réfléchir, elle lui dit, je vous offre un café, il répond que non, que c'est très gentil de sa part, je ne compte pas vous empoisonner dit-elle, il répond, "voyez, nous sommes fait pour nous entendre, vous n'êtes pas Lucrèce Borgia et je ne suis pas Landru".

Mon mari connait plein d'histoires drôles, il en a toujours une sous le coude, qui se rapporte à ce qui se dit dans la discussion, je le connais, il a réussi à m'avoir. Quoi qu'il en soit, un vendredi soir, avant d'aller me coucher, je lis mes mails pro, familial et perso, sur le familial je lis, "je ne rentre pas, yeeeessssssss".

Il a réussi, tel Defunes dans le film "le corniaud", en moi même je me dis, "moi il m'épate, il m'épate", des types qui auraient plus leur place dans un cerisier en juin s'ils n'étaient pas footeux, vedettes ou politicards, en sommes, friqué, et qui se soulèvent des bombes aimant le pognon, là je comprendrais.

Mais mon mari sans avoir le physique pour le cerisier, n'a rien d'un Delon ni d'un Redford et encore moins d'un friqué, niveau dimensions, je dirais qu'il est dans la bonne moyenne, il n'est ni une bête de foire ni Rocco Sifredi, mais c'est mon mec, je l'aime et c'est réciproque, au lu de son message, je l'attend avec impatience pour qu'il me raconte, non pas sa nuit, ça, on sait comment ça se passe, mais comment a t'il fait pour l'avoir.

Mon mari me raconte autant ses conquêtes que ses râteaux après coups, après m'avoir raconté, ce que je viens d'écrire depuis le début, il s'y rend régulièrement les WE, car il faut savoir, que l'adjoint la prend pour une conne et sous couvert de rendez vous politique, il va aux putes de luxe, délaissant sa femme sous prétexte qu'il est surbooké, d'après ce qu'elle dit, un petit coup vite fait mal fait certains soirs, baise pépère à la missionnaire ou il vide popol avant de s'endormir.

Cet idiot veut une femme poupée, qu'il exhibe en public presque pour sa chasteté, et s'éclate au bordel, mon mari discret autant que perfectionniste, a joué sur du velours, la femme lui plait, j'en serais presque jalouse, mais je n'ai plus l'âge et ne l'ai jamais été, l'amour et le plaisir sexe, sont deux choses différentes, quand il prend du plaisir en faisant du motocross, je ne suis pas jalouse de sa moto qui pourtant file plus vite que moi.

Personnellement, même si je sais qu'il est très méticuleux sur les protections caoutchouc, je suis plus rassurée quand il reste sur la même femme, car contrairement aux autres ou ça dure de 1 journée a 3 mois, là on compte en années, il faut dire que le cocu est assez régulier, mon mari reprend du Brassens en disant que c'est son cocu préféré .

Comme sa femme ne lui dit rien quand il découche du vendredi soir au dimanche soir, et qu'il a ses gardes chiourmes (locataires) qui lui font leur rapport si elle sortait, de plus, il l'appelle irrégulièrement sur le téléphone fixe, elle n'a pas droit au portable, il est plus que rassuré, ensuite, les deux locataires rapporteurs ressembles plus à des barriques qu'a des don juan.

Au bout de quelques mois, le chien obéissait plus à mon mari qu'aux deux autres, qui je le signale, ont comme loisir la chasse, culminant le midi a 0.5 gr et 1.5 gr le soir. Il y a des pièces qu'ils peuvent voir de dehors et d'autres non, mon mari est presque chez lui là bas, il circule dans la maison comme chez lui, il a ses chaussons, sa brosse à dents, du rechange, qu'il amène et ramène à chaque fois dans un petit sac à dos, il ne veut laisser aucune trace.

Comme je l'ai dis aussi dans mes histoires, nous sommes un petit groupe coquin de grands amis, nous étions 5, deux hommes et trois femmes, le copain demande à mon mari, "mais tu n'as pas peur que les poivrots te tirent dessus s'ils te voit", mon mari de répondre, "pour moi non, par contre, cocu comme il est, j'ai peur que ces deux là le prennent pour un cerf et lui tire dessus, quand il rentre le dimanche soir.

Comme de mon coté, j'ai aussi une vie active, le WE en soirée, il va la rejoindre, en journée, ce sont les copains et les loisirs, quad motocross etc. et au moins une fois par trimestre, je me tapais cette fameuse fête avec celui qui m'accompagne par plaisir, ou je retrouve le cocu que j'évite au maximum, au loin toujours, je vois sa femme que je regarde plus attentivement, longuement ainsi que discrètement.

Elle est vraiment attirante, elle a un charme, et je repense en la voyant à ce que ma dit mon mari et effectivement, autant elle sourit à qui lui parle, autant elle a l'air de s'ennuyer quand son interlocutrice est partie, souriant à nouveau l'instant suivant, quand on lui parle à nouveau, elle est la pour faire bonne figure, montrer que le couple est heureux.

Plus je la regarde, et plus elle ne m'est pas indifférente, mais je suis connue ici, je ne peux me permettre de l'aborder en étant directe, je m'ôte cette idée de la tête, et après avoir salué ceux que je connais, je m'éclipse, au regrets de celui qui m'accompagne qui est la comme un poisson dans l'eau.

Le soir, je dis à mon mari que sa copine est vraiment très jolie, qu'elle a du charme, l'ai-je dis a dessein ou sans réfléchir, il me dit qu'il a déjà essayé de savoir si elle était bi, mais que rien ne l'indique dans ses réponses et son comportement. Tant pis pour moi dis-je, mais mon mari ne bute jamais sur une difficulté, il la contourne, chaque WE ou il la rejoint, il œuvre pour savoir, pour que ca se fasse.

Un soir justement, sans me nommer, il lui parle de moi, "tu te rappelles une fois, ton mari discutait avec une femme, elle est toujours accompagné d'un peigne cul qui la suit comme un klébard", elle répond, "oui, je vois, mon mari, la première fois, n'a fait que de me parler d'elle, mais il a du se casser les dents car il m'a dit que c'était une conne prétentieuse".

Voila, tu vois qui c'est dit-il, "tu la trouves comment", "c'est une belle femme, elle dégage quelque chose", mon mari tel un poète lui dit, "tu n'aimerais pas qu'elle te broute le minou", ha toi alors, tu ne penses qu'a ça, que je change de bord, quoi qu'a choisir, si je devais essayer, c'est avec une femme comme ça que j'aimerais, il lui dit, tu n'as qu'a demander, et je te l'apporte sur un plateau.

le WE passe, ils en parlent, mais elle fait sa réticente, à ce moment là, il ne m'avait pas informé de cette conversation, par contre, à la fête suivante, il me demande d'aller juste lui dire un petit bonjour, va y me dit-il, je verrais si elle me parle de toi, je me dis que s'il me demande cela, c'est qu'il a une idée derrière la tête, ou qu'elle veut me voir de plus prés.

je me rend à cette fête en mettant tous les atouts de mon coté, seule, maquillage léger, mon plus beau sourire, et après avoir éconduit les coureurs, je fais celle qui passe par hasard à coté d'elle, elle zappe celle avec qui elle discutait et me dit, "ha bonjour, il y a longtemps qu'on ne vous avait pas vue.

Je réponds, je suis passé mais comme vous étiez très demandée, je n'ai pas voulu vous déranger, elle lève les yeux et souriante dit, "rien d'important, vous auriez du venir", son sourire ne dure pas, elle dit, "ma belle mère, repassez une prochaine fois", je la salut et me dit, "merde, encore une emmerdeuse qui arrive", j'ai voulu attendre un autre moment propice, mais les emmerdeurs autour s'agitaient et je suis partie.

Le WE passe, mon mari me dit que je lui plais, qu'elle me trouve très sympathique, un autre WE passe et mon mari toujours poète me dit, "toujours partante pour la gougnotter", je lui demande comment il l'a convaincu, il dit, "j'emploierais pas vraiment ce terme", accouche dis-je.

Il m'explique qu'elle n'osera jamais me regarder dans les yeux, et il me dit que ce sera un peu comme avec la brune à cote de la rivière, j'explique, j'ai déjà eu envie d'une fille, du même âge d'ailleurs, et elle ne voulait pas, ne voulait-elle pas par honte ou timidité, quoi qu'il en soit, mon mari a toujours un as dans sa manche.

Ce jour là, il me place dans un espèce d'hangar ou je dois surveiller une lumière qui se trouve en hauteur au dessus de la porte de la maison, d'arriver sans bruit en passant par la fenêtre, me dévêtir dans cette pièce et venir dans une autre avec pour chaussons, ce qu'ils donnent dans les hôpitaux pour se mettre aux pieds.

Mon mari à toujours des idées de ce genre, j'avoue que moi aussi, la fille n'était pas du tout au courant, avant de lui bander les yeux, il avait mis des bas, et une légère touche de parfum, il lui avait attaché les mains dans le dos, mis un bâillon et dit, "maintenant, tu vas imaginer que c'est avec une femme que tu es, je ne dis plus rien", il toussote indiquant que je peux entrer.

Il m'avait dit qu'elle voulait pouvoir faire celle qui ne savait pas qu'une femme la touchait, ce qui était faux, il me l'a dit après, par mes caresses, et ma langue, je l'ai faites jouir 2 fois, pendant que je lui faisais un cunni, mon mari me bourrait, j'ai jouis, ce qui m'a fait arrêter ce que je lui faisais, mon mari me fait signe de partir et il l'a pénètre en lui disant, "ho putain, je tiens plus".

Pendant qu'il baisait, je me suis rhabillée et j'ai été l'attendre plus loin de la maison, elle a été excitée par ma prestation, elle lui a dit avoir joué le jeu, en imaginant qu'elle s'était donné à une femme, nous avons recommencés deux autres fois, avec godes cette fois, le plus difficile, ça n'a pas été d'attendre dans le hangar et de passer par la fenêtre, mais de ne pas rire en voyant mon mari avec des bas.

Mon mari, ce qu'il aime, se sont des situations comme celle là, un simple rendez-vous baise, ça lui convient les 5 premières fois, mais ça ne dure pas, il lui faut gagner ce qu'il fait, et cette fois là, avec la femme de l'adjoint, super cocu de son état, il avait reprogrammé la même chose, sur ce sujet, je suis comme lui, j'adore les situations rocambolesques, les baises de 5 à 7, c'est bien pour l'hygiène, quand on a rien d'autre, mais niveau plaisir, ça reste sous le plancher.

C'est donc tout naturellement que j'accepte la condition, comme je connais la maison pour y être passé plusieurs fois, j'ai également vu le chien qui n'a pas l'air accueillant, il y a 2 gardes armés autant qu'imbibés, il y a un arc en ciel en moi, entre l'envie que j'ai de cette femme et le risque d'être à découverte, entre la clôture et la fenêtre, qui est à un demi étage, j'ai 20 mètres à parcourir ou je serais comme un lapin, vais-je être dévorée par le chien, ou farcie de plombs.

A coté de ça, je connais mon mari, j'ai hélas eu l'occasion de le voir à l'œuvre, dans ce genre de situation, il a tout prévu façon commando, le chien lui mange dans la main en faisant le beau, depuis le temps, il a appris à l'amadouer, quand aux deux gardes, avec deux coups de poings, il en fait son affaire, et le soir, même pleine lune, pour eux c'est nuit noire.

Habillée d'un jogging noir et des baskets de même teinte, je suis mon mari, qui avec son échelle passe la clôture, caresse le chien arrivé en courant, pas fière, je le suis, la bête me renifle, je lui donne le morceau de viande que mon mari m'a donné, il fait le beau pour l'avoir, mon mari retire l'échelle et on se dirige vers la fenêtre pendant que le chien se restaure.

Je n'ai plus peur, avant qu'il pose l'échelle pour que je monte confortablement, le chien à fini son repas et réclame des caresses, mon mari me dit de le caresser sous le ventre sur le cote, j'approche ma main, il se met sur le dos et je lui gratte sur le coté, celui ci pédale avec sa patte en tendant son cou, mon mari dit, ça suffit, tu es ici pour le chien ou sa maîtresse.

Je monte l'échelle, mon mari aussi et à l'aide d'une ficelle, l'a fait descendre derrière le bosquet dessous, coinçant la ficelle au volet qu'il ferme, je me dis que sa copine, si elle ne sait pas que je suis la, c'est qu'elle est sourde, il m'explique qu'elle est à l'autre bout de la maison et surveille les gardes au cas ou ils sortiraient. Ouf je suis dans la place, j'espère que le cocu ne rentrera pas à l'improviste, quelle explication pourrais-je lui donner sur ma présence.

Mon mari va préparer ma bienheureuse victime, je rentre à mon tour, dans la chambre à la lumière très tamisée, elle est vraiment tres belle, elle a juste un bandeau, je fais un signe à mon mari pour ses mains restées libre, il me fait signe que ce n'est pas grave.

Au premier toucher, elle frissonne, elle a la chair de poule, je poursuis mes caresses, elle ondule, gémit, je comprends aussitôt qu'elle sait qui je suis, ou alors, elle pense que je suis une autre femme qu'elle n'a jamais vu et qui ne la connait pas, une chose est certaine, elle sait qu'une femme la touche.

J'ai une mission, faire d'elle une femme qui assume sa bisexualité, elle a fait le premier pas en pensant peut être faire plaisir à mon mari, à moi de faire en sorte que se soit un très grand pas, nous ne sommes pas en concurrence avec les hommes, nous sommes complémentaire.

Je caresse son corps offert, je frôle prés de ses parties intimes sans les toucher, je la fais onduler de plus en plus, son sexe cherche ma main, elle avance et je recule (comment veux tu que je ....), je la fais languir au maximum, ses cuisses, serrées lorsque je suis arrivé, sont maintenant écartées au maximum, plus aucune pudeur l'habite, elle m'appartient.

je poursuis le jeu, m'amuse de ce corps qui réclame la caresse ultime, je connais pas cœur ce qu'on ressent dans ce cas présent, et après encore quelque savantes caresses, sans qu'elle s'y attende, mon majeur pénètre sa fente, elle laisse échapper un "haaaa" en se raidissant et soulevant ses fesses, mon autre main caresse un sein.

Je suis agenouillée sur son coté droit, je la doigte, tantôt vite, tantôt lentement, suivant comment elle réagit, j'embrasse ses seins, son ventre, je descends plus bas, je remonte un peu, je redescends encore, elle n'ignore pas ce qui va lui arriver, cette pensée l'excite davantage, son souffle est plus fort, ses cuisses sont écartées au maximum.

ma bouche finit par atteindre son sexe, je roule son clito sous mes dents, et l'inévitable arrive, elle jouit dans ma bouche, elle ne se retient plus, elle enserre ma tête de ses cuisses en hurlant, "hoooooo putain, hoooo merde, je, je jouiiiiis, haaaa c'est bon", de ses mains, elle presse ma tête sur son sexe, j'accélère la cadence et elle en redemande, "encore, encore, oui comme ça, haaa c'est bon, c'est bon".

Mon mari, qui se régalait du spectacle, en s'astiquant la colonne comme il dit, ne se touche plus, de peur d'arroser dans le vide, toujours suivant son expression, serrée entre ses cuisses, je continu à lui brouter le minou, je suffoque, mais ce que je sens arriver me booste, elle jouit à nouveau, "hooo non je jouis encore haaaaa, c'est bon, c'est ...........".

Elle n'arrive plus à parler, épuisée, son étreinte se relâche, j'en profite pour respirer, je remonte en l'embrassant partout, le ventre, les seins, le cou, je tente la joue, elle approche ses lèvres, je les lui frôle avec les miennes et nous nous embrassons fougueusement, elle m'enlace de ses mains, me caresse, quand nos bouches se quittent, elle dit, la chevelure, la poitrine, le parfum, je me doute de qui vous êtes, je peux retirer le bandeau.

je passe les mains derrière sa tête et lui enlève, on se voit pour la première fois telle que nous sommes, plus de convenances, plus d'hypocrisie, seulement deux femmes qui ont et vont assumer leurs envies, aucune de nous n'a plus peur de ce que pense l'autre, nous sommes identiques, deux salopes dans le bons sens du terme et fière de l'être.

A suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Mari volage et cocu

Le 24/09/2021 - 07:13 par Balista
Très joli conte d'un couple sans complexe.

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