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Ski, Sex and Snow 01

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 07/10/2022

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Chapitre 1
Ginou et Patrick se sourient dans la Peugeot 3008 qui les emmène dans la vallée du Stubai au sud du Tyrol autrichien.
Ils ont en rêvé de cette escapade d’une semaine, tous les deux, seuls, sans les enfants (deux filles de11 et 8 ans, laissées chez les parents de Ginou), loin d’un travail qui pour elle comme pour lui phagocyte la vie. Il y a aussi les parents, les frères et sœurs et toute cette multitude de petites obligations qui les éloignent l’un de l’autre.
C’est Patrick qui a finalement pris l’initiative de réserver cette promo sur Booking.
Un hôtel 4 étoiles avec un Spa, centre de fitness, piscine. Tout y est compris, même les forfaits et la location de l’équipement. Donc pas de regrets si un jour ou deux ils préfèrent rester sous la couette.
Cela fera du bien à Sa Ginou, elle le mérite. Elle qui courre du matin au soir entre la maison, les écoles, le bureau, le supermarché et toutes les sollicitations familiales. Il l’aide de son mieux mais il voit bien qu’elle n’a plus ce sourire qui, avant, ne quittait jamais le coin de ses lèvres. Elle n’a plus ses éclats de rires qui sonnaient dans les oreilles de son mari comme un clairon annonciateur de joie et de détente.
Oh elle est toujours disponible et ne se plaint pas, mais même leurs ébats ne sont plus aussi fougueux. Ils font toujours l’amour mais c’est maintenant à la sauvette, mécaniquement et sans faire de bruit pour ne pas être entendus. Elle qui gémissait longuement et libérait son plaisir dans des cris, se contente d’un petit « Oh oui » pour marquer la fin de la récréation. Il est sûr qu’elle simule.
Ils viennent de passer à Innsbruck et sont dans la vallée, ils arrivent à Neustift, leur hôtel se dresse au bout d’une impasse sur la droite de la route principale, il est encore plus majestueux que sur les photos. La réceptionniste charge un groom en tenue traditionnelle de les accompagner à leur junior suite composée d’une entrée carrée équipée d’un petit banc et de plusieurs porte-manteaux, puis vient le salon avec la télévision garni du sofa et deux fauteuils, puis, il ouvre la porte de la chambre dont le lit king size donne d’un côté sur un balcon avec vue montagne, de l’autre une armoire le longe, enfin une télévision plus petite lui fait face. Le tout dans des tons de beige, de bois brun et vert pastel.
Le garçon les quitte en leur souhaitant un bon séjour (enfin, ils l’imaginent vue qu’ils ne comprennent rien à L’allemand).
Il arrive cependant à leur expliquer les horaires du gouter du Skieur (entre 15 et 17h) le dîner servi dans la grande salle entre 19h et 20h30.Une fois la porte fermée, ils se regardent s’enlacent et se jettent sur le lit, s’embrassent, il commence à la caresser, sur les jambes, remonte délicatement vers les cuisses, et arrive à son sexe. A travers le jean il débute une masturbation lente, elle ondule mais ne s’abandonne pas complètement.
-Arrête chéri, on doit ouvrir les valises, se rafraîchir et prendre un peu de repos avant d’aller diner.
Il est déjà 6h et j’ai faim. On verra ça demain, on a tout le temps hein ?
-On verra « ça » ! Mais ça comme tu dis, je ne sais plus quand c’était la dernière fois qu’on a fait « ça », Justement je pensais que les vacances ça servait à « ça ».
-Mais oui t’énerve pas, ce soir on verra.
Patrick se résout car il sait qu’il ne sert à rien d’insister, il va devoir attendre le retour du restaurant.
Ils descendent donc à 19h30. Dans la salle les tables sont presque toutes occupées mais le maître d’hôtel les accompagne directement à une table pour deux, au centre leur numéro de chambre, le 225
En face d’eux, un couple, surement des jeunes mariés à voir les bisous qu’ils se prodiguent à la sauvette entre deux plats, elle blonde assez fine 25/30 ans, lui le même âge, avec des moustaches et une carrure impressionnante. Sourires échangés avec les tables voisines.
Ils s’installent, lui commande le vin, elle inspecte le menu, mais tout est en allemand ! Ils essaient de comprendre mais même le garçon est incapable de préciser quel type de poisson ou de viande ils peuvent choisir.
C’est alors qu’un de leur voisin qui dine avec deux autres hommes demande :
-On peut vous aider ?
-Oh oui merci dit Patrick, vous êtes français ?
-Non malheureusement, nous habitons à la frontière allemande à 12 km de Strasbourg mais nous y travaillons. Pour le poisson, il s’agit de flétan et la viande c’est, oh comment on dit en français
-En anglais c’est deer, reprend le deuxième homme.
C’est alors que le troisième, le plus jeune, sourit en disant : Bambi.
-Ah Ok c’est de la biche ou du chevreuil, reprend Patrick.
Ginou se met à rire : Tu ne vas pas manger Bambi ?
-Non mais du chevreuil oui
La conversation entre les deux tables se poursuit tout au long du repas.
Les hommes se présentent. Il y a d’abord Sigismond que tout le monde appelle Sig, c’est lui le premier qui s’est proposé pour aider, il n’est pas très grand, un visage engageant encadré de boucles mi rousses mi blondes ; ensuite c’est au tour de Gerhart, un brun cheveux courts sur une tête dont on dirait qu’elle est posée sur le corps directement. Enfin Friedrich, un beau blondinet dont la barbe ressemble plus à un duvet.
Vers la fin du repas, les trois amis se lèvent et sortent pour aller fumer une cigarette.
-Ils sont sympas ces Chleus dit Patrick
-Je t’en prie ne les appelle pas comme ça, on est plus en 40.
-Oh ça va je rigole
-Oui peut-être, mais tu n’as pas remarqué les regards de celui qui s’appelle Gérard ?
-Gerhart
-Oui bon, en tout cas il me regardait d’une façon obscène.
- je suis sûr qu’ils sont pédés. Trois mecs seuls dans la même chambre !
-N’en sois pas si sûr, ils avaient l’air intéressés par la serveuse !
Tout à coup, Patrick aperçoit du coin de l’œil la main de l’homme du couple d’en face s’aventurer sous la jupe de la jolie blonde, il le signale à Ginou qui discrètement glisse un regard dans leur direction. Elle, fait face à Patrick et plisse les yeux au moment où, semble-t-il, son mari atteint son entrejambe. Elle écarte imperceptiblement les cuisses.
Elle pourrait se laisser aller mais elle s’aperçoit du regard de Patrick et se ressaisit, elle chuchote quelques mots à son mari qui se retourne et adresse un clin d’œil au couple voyeur.
Le repas terminé, Sig propose d’offrir une tournée de Schnaps aux convives des tables voisines c’est à dire Ginou, Patrick et le petit couple d’amoureux. Ainsi tout ce petit monde se retrouve au salon devant une imposante cheminée.
La jeune femme s’appelle Tilda et son mari Martins, autrichiens tous les deux mais, au moins, parlent un peu le français mais avec un fort accent. A leur tour ils offrent un verre, mais cette fois les femmes choisissent un limoncello, les hommes restent sur le schnaps.
L’alcool aidant les plaisanteries se font plus grivoises et les traductions plus tendancieuses.
Ginou a la tête qui tourne de plus en plus, elle demande alors la permission de monter à sa chambre.
Patrick, à qui c’était le tour d’offrir est un peu gêné.
-Monte chérie, je dois rendre la politesse et je te rejoins.
Tilda décide que pour elle aussi il est temps de se coucher et prend congé.
Quand Patrick arrive dans sa chambre, il trouve sa femme déjà dans le lit, une jambe négligemment en dehors des draps. Il est un peu surpris, il s’attendait à la voir endormie dans son pyjama.
Elle a les yeux bien ouverts et son regard est même flamboyant. Elle rejette la couverture pour offrir à son mari une vue sur ses jambes écartées. Elle a un sourire au coin des lèvres et prononce confuse :
-j’ai envie que tu t’occupes de moi
Interloqué par cette invitation, Patrick s’agenouille au bord du lit et commence un cunni passionné.
Il n’est pas au bout de ses surprises car Ginou commence une ondulation qui ne laisse aucun doute sur le plaisir qu’elle éprouve. Très vite elle halète en rythme et plaque sa main sur la tête de son mari pour l’obliger à appuyer sa langue sur son sexe. Lui, sent l’orgasme quand il a la bouche inondée. D’ailleurs, les gémissements s’accélèrent pour terminer en cris qu’elle essaie d’étouffer.
Enfin il lève les yeux, dans cette position, il aperçoit le visage de sa femme qui sépare les deux globes de ses seins, elle a les yeux embrumés mais semble apaisée. Il sait que la fête est finie et que ce n’est pas ce soir qu’il va la prendre. Elle va lui proposer une petite masturbation et puis « Bonne nuit ».
-Déshabille toi et mets-toi sur le dos !
Elle a dit ça sur un ton autoritaire ; Il obtempère, un peu désarçonné.
A peine allongé, elle s’empare de son sexe déjà rigide et commence à le masturber, elle approche son visage de plus en plus de sa verge, il espère, sans trop y croire qu’elle le prendra en bouche, elle qui n’a jamais accédé à cette demande. Cette fois encore elle se refuse mais donne quelques coups de langue furtifs. Il est aux anges « vive les vacances ».
C’est alors que Ginou le chevauche et guide la verge dans son vagin pour débuter un ondoiement lent. Elle voyage sur la tige tendue en profitant de chaque centimètre. Elle gère la cadence le réduisant au rôle de spectateur de sa fougue. Et quel spectacle au-dessus de lui !
Ginou, en sueur, la poitrine gonflée, halète, gémit, lui prend les mains, les lâche, se cambre, il n’en peut plus.
-Je vais jouir, a-t-il le temps de dire
-Non attend, pas de suite, c’est bon
-Chérie, j’en peux pluuuus, et dans un soupir rauque libère son sperme.
Le jet chaud en elle provoque un orgasme, il la sent se raidir, elle soupire un petit « Oh oui » puis s’affale sur le côté.
-Désolé, lui chuchote-t-il
-Ce n’est rien, mon cœur, c’était déjà très bon.
-Nouvelle surprise, elle plaque sa bouche ouverte sur la sienne et lui prodigue un long baiser, leurs langues se caressent, il n’en revient pas. D’habitude après l’orgasme c’est Salle de bain et dodo.
Au moment de reprendre son souffle, elle lui chuchote :
-tu aimes m’embrasser ?
-Oh oui mais…
-Et bien ça te fait un point commun avec Tilda.
Sur le coup il ne comprend pas mais quand il demande ce qu’elle veut dire.
-tu es sûr que je tu veux que je te raconte, tu ne te mettras pas en colère ?
Comme il insiste elle reprend :
-Tu sais quand je suis montée avec Tilda, je zigzaguais un peu, j’ai pas trop l’habitude de ces alcools forts, elle oui, et a proposé de m’accompagner à ma chambre.
Dans l’ascenseur, je tenais à peine debout, elle m’a plaqué à la paroi et a commencé à me caresser le visage, elle se collait de plus en plus. Tu sais au début je n’étais pas très partante mais de sentir son ventre puis son sexe presser le mien, ça m’a toute retournée.
Dès qu’on est arrivé à l’étage, elle m’a demandé la clé et m’a amenée dans notre chambre.
Elle a insisté pour m’aider à me déshabiller. Je ne voulais pas, lui ai dit que j’y arriverai.
Mais elle ne s’est pas arrêtée, ses mains m’ont enlevé la robe et je me suis retrouvée en dessous et talons devant elle. Elle m’a maté un petit moment et m’a dit qu’elle aimerait voir mes seins.
Je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai enlevé mon soutien-gorge et elle a commencé à les palper et puis a pris mes tétons entre son pouce et l’index et s’est mise à doucement les faire rouler.
C’était délicieux, j’en pouvais plus et c’est là qu’elle m’a embrassée, je ne sais pas combien de fois elle a recommencé ; mais à un moment elle m’a dit avec son accent allemand.
-Ton mari ne va pas tarder, mais nous continuerons, je te le promets. Nous avons une semaine pour ça. On se voit demain.
Patrick peine à y croire mais l’ardeur inhabituelle de son épouse semble confirmer ce récit.
Il décide de passer l’éponge mais pour se prémunir de nouvelle déconvenue il propose :
-Bon, écoute, je pense que vous étiez un peu beurrée toutes les deux, ça t’a plu et j’aime te voir si audacieuse mais tu es ma femme et je ne voudrais pas que tu recommences, sinon j’irai voir son mari.
C’est alors que Ginou se redresse sur ses coudes :
-Je suis ta femme et tu devrais me faire confiance, il serait temps. Je verrai bien si elle tente quelque chose, je suis assez grande pour réagir mais je t’interdis de t’en mêler laisse-moi faire je t’en prie.
Abasourdi par cette diatribe il articule :
-Bien sûr, oui je t’aime, mais….
-Alors nous sommes d’accord, elle l’embrasse alors avec fougue puis collant son bassin sur ses lèvres, elle laisse couler le sperme encore en elle sur les lèvres de son mari et se renverse sur le côté pour s’endormir presque instantanément, le laissant pensif mais curieux de la suite des évènements.
-Ouf, quelle journée !
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Histoire de Robert Mayell

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