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Sodomie avec Margot

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Lue : 3130 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 25/02/2014

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Margot me plait bien. Grande, seins pas très développés, hanches larges, elle correspond bien à mon type de femme. Je me la paierais bien si elle l’acceptait. Mais, d’après mes copains, c’est plutôt elle qui choisit. C’est vrai que je ne l’ai jamais vu avec un homme, des fois avec des copines, comme toutes les filles. Nous nous croisons souvent : je lui fais toujours un grand sourire. Elle me répond toujours.

Des fois dans ma solitude je me masturbe, comme tout le monde en pensant à elle. Je la rêve sur moi, son sexe sur ma bouche, ma langue dans sa chatte et elle sur moi tétant ma bite.

Elle marche devant moi avec un gros paquet dans les bras. Qu’elle est excitante avec ses mouvements de fesses oscillantes. Le bas de sa robe suit avec un léger retard, d’où une certitude : elle ne porte rien sous elle. J’imagine voir en entier ses fesses nues, ses jambes gainées de bas transparents.

Margot fait un faux mouvement : son paquet tombe sur le trottoir. Je me précipite pour l’aider. J’ai l’objet en main en me relevant. Seul le paquet nous sépare. Nous nous regardons dans les yeux. Nous restons immobiles, comme hypnotisés. Silencieusement mes hormones font un grand tour dans ma carcasse.

Elle prend le paquet et prend en même temps mes mains. Je sens sa douceur, sa chaleur corporelle. Je la sens qui commence à caresser doucement ma main gauche. Je la laisse faire, je voudrais, moi lui faire d’autres caresses plus intimes.
• Merci de m’avoir aidée.
• De rien.

Je suis un imbécile, j’aurais dû lui dire…. Je ne sais pas, vous êtes belle. Non, c’est crétin. Vous êtes charmante. Oui c’est ça, charmante. Mais je n’ai rien dit, alors elle s’en va en soulevant les épaules. Je reste planté sur le trottoir, regardant sa robe s’évader dans l’air tiède du soir. C’est promis, la prochaine fois je lui dis que je voudrais l’accompagner un samedi soir.

Dans la boite c’est plein de bruit, d’odeurs corporelles. Elle est là, au milieu de la salle. Margot n’est pas seule. Bien sûr elle n’est pas venue incognito : des copines sont avec elle. C’est quand même elle la plus attrayante pour moi. Je prie le ciel pour qu’une danse à deux soit enfin jouée.

Ca y est, je peux l’inviter dans mes bras. Elle ne refuse pas la danse, nous sommes assez serrés. Elle me tient pas le cou, moi par la taille. Nos corps se rencontrent sans cesse. Elle se colle à moi. Elle se colle et se frotte. Je sens mon organe se durcir : elle le sens aussi. Comme toute femme elle est flattée de voir l’effet qu’elle me fait. Elle aurait dû se retirer un peu.

Margot sourit, se colle encore. Si elle continue ainsi, je vais éclater.

Elle laisse son visage contre le mien, près de moi, trop près. Je l’embrasse. Nous ne restons pas longtemps sur le parquet. Près du bar un petit espace suffit pour nous comprendre. Nos mains parlent seules, elles en disent des choses intéressantes. Surtout ses mains qui n’hésitent pas à venir sur moi, sur la ceinture.

Margot est plus coquine que je le pensais. Sa main passe derrière moi, sous la ceinture. Elle force pour entrer la main. Je l’embrasse encore, elle me serre contre elle en appuyant sur une fesse. Je ne peux que continuer à l’exciter en posant une main sur le haut de son compas. Elle ne résiste pas, elle détourne simplement ma main vers ses fesses. Je sens la raie sous ma main. Le tissu est léger, j’enfonce un peu un doigt. Margot me laisse faire.

Nous sortons pour nous réfugier dans ma voiture. Elle voudrait faire je ne sais quoi, là immédiatement.

C’est dans un sentier de la forêt toute proche, que je l’embrasse encore. Cette fois plus de fausse pudeur, nos mains sont sur le corps de l’autre. De son genou à plus haut, je caresse une peau tendre. Elle a remis sa main sous mon pantalon. Même si elle arrive à je ne sais quel but, je suis sur sa féminité. Elle n’a rien pour en défendre l’entrée. Pas de pont levis, ni de grille. Le château fort doit se rendre à plus puissant.

J’y trouve un peu de ce que je cherchais : des poils autour du puits au trésor. Et des lèvres adorablement exquises qui donnent des envies de passer outre. Des doigts, mis à part les siens ne vont pas là, une langue, la mienne pourquoi pas pour lui donner un maximum de plaisir et m’en donner rien qu’en goutant son miel. Ou à l’extrême plonger ma bite si elle en veut bien. Elle reste gentiment assise dans la voiture quand j’en sors. J’ouvre sa portière : elle se retourne les jambes dehors.

C’est ce que je pensais, elle est coquine en me donnant sa fleur à sentir. Je lui fais écarter les cuisses, je distingue dans la lumière diffuse du clair de lune son centre d’intérêt. Ma tête va se coincer vers sa chatte. L’exercice doit lui plaire quand elle pose ses jambes sur mes épaules. Je peux l’embrasser sur son sexe, venir chatouiller le grain de riz. C’est drôlement humide tout ça. C’est bon à sucer.

Margot se retient au siège par le bras droit et me dirige avec l’autre.
• Vient me baiser après.

Après quoi ? Elle n’en dit pas plus. Et puis la baiser ainsi dans une voiture je ne trouve pas ça commode. Je la fais jouir un bon moment. Enfin je peux la faire sortir.

Margot pose ses fesses sur la calandre. Je relève sa robe, elle la tient bien haut en me donnant son corps. Je me baisse un peu pour être bien à sa hauteur. Je tenais sa bite dans la main quand elle me la prend. Elle la dirige là où je voulais. Elle fait durer le suspense en trainant le gland sur son bouton. Enfin elle consent à mener ma queue à son garage naturel. Je ne suis plus maître de ma bite.
Elle ne me pousse pas, je ne force pas, elle appuie sur mes fesses, je la baise.

Elle jouit plus vite que moi. Je voulais rester en elle à cet endroit. Rien à faire, il faut changer de site. Elle me tourne le dos, me montre ses fesses. Elle prend toujours ma pine pour la mettre là où elle désire.

Margot se fait enculer pour sa première fois. Elle voulait essayer pour voir l’effet que ça lui faisait. Ça lui va bien : je sens des contractions de son cul quand elle jouit ainsi.

Cette sodomie nous vaut une relation durable : nous vivons toujours ensemble.
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Histoire de baiserjouir

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