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Soirée de folies inoubliables

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Lue : 14693 fois - Commentaire(s) : 5 - Histoire postée le 10/01/2010

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Mon garagiste vient de m’annoncer – à mon grand désespoir – que ma petite auto ne serait réparée que dans une quinzaine de jours et me voilà donc bien tristement privée de ma liberté de mouvement dans la grande ville.
C’est donc avec appréhension que je m’aventure dans le métro, ce long tunnel noir qui serpente sous le sol emportant une foule de gens inconnus à travers les méandres de tant d’endroits que je n’ai plus fréquentés depuis bien longtemps.

J’ai du mal à repérer mon chemin parmi tous ces navetteurs pressés et je sens que mon agoraphobie va encore faire des siennes, si je ne contrôle pas un peu mon stress.
Prise dans une bousculade, je finis par trouver la rame qui doit me ramener à destination et je m’engouffre avec crainte dans cette cabine lugubre, encombrée de monde. Comme un petit animal apeuré je cherche un signe quelconque pour me rassurer, un petit coin pour me réfugier, à l’abri de cette agression généralisée.

Mon regard croise alors celui d’un bel homme, grand et fort, collé contre la paroi du fond. Instinctivement, je me sens attirée par ses yeux malicieux et son sourire franc et je me fraye un passage dans la foule pour chercher un peu de réconfort auprès de cet inconnu dont la sympathie apparente me séduit d’emblée. Il me regarde venir à lui comme si nous nous connaissions déjà et je me sens troublée par son assurance. Ne vaudrait-il pas mieux que je reste à ma place ? Ne devrais-je pas descendre à la prochaine station ?

Avant même que je trouve une réponse à mes interrogations, un cahot de la rame me précipite tout droit contre le corps de ce bel inconnu. Rouge de confusion, je lui bafouille une vague excuse mais il semble que ma poitrine collée contre son torse lui fasse plutôt plaisir ! J’essaye de me dégager maladroitement mais – vu l’espace réduit dans lequel nous nous trouvons – je n’ai pas vraiment le choix de m’esquiver. Il me sourit de plus belle et son regard en dit long sur ses intentions … quoi de plus excitant que de peloter une inconnue « incognito » dans la foule ?

A ma grande surprise, je sens sa main entrouvrir le pan de ma robe et ses doigts chercher la lisière de mes bas. A nouveau je me tortille pour m’ éloigner de son emprise, mais l’habileté du conducteur de la rame semble être de connivence avec mon bel étranger, car une brusque secousse me pousse encore plus au creux de ses bras. Je lui souris timidement, mais une douce chaleur commence à m’envahir … dans le semi-pénombre, les pointes de mes seins se dressent avec excitation contre lui, pendant que sa main s’introduit plus précisément sous l’élastique de ma culotte en dentelle, à la recherche de mes lèvres intimes qu’il titillent fébrilement. Affolée l’espace d’un instant, je ne peux plus maîtriser mon excitation et sans plus réfléchir je parviens à bouger un pied pour pouvoir écarter légèrement mes cuisses et lui laisser un passage plus aisé.

D’une main cet inconnu me caresse les seins avec vigueur et de l’autre s’introduit plus profondément dans ma corolle qui s’ouvre tout doucement sous ses assauts. Mon clito gonflé d’envie vibre de plaisir. Je ne contrôle plus trop bien la situation mais la foule dense qui nous entoure sert de rempart secret à nos coquineries. Ma culotte est à présent trempée et des frissons de plaisir me parcourent le dos. Je ferme un instant les yeux pour mieux savourer cette intense montée de jouissance … quand je sens des douces lèvres se poser sur les miennes … instinctivement j’ouvre la bouche et nos langues se touchent, et s’enroulent en un baiser langoureux.

Sous le prétexte de ne pas tomber, je m’agrippe d’une main à la ceinture de mon partenaire de rencontre … mon genou légèrement soulevé atteint doucement son entrejambe, où je sens une bosse se former dans son pantalon et gonfler contre mon ventre. Notre excitation est donc bien commune ! A mon tour de te câliner un peu, mon gars … ma main libre s’immisce entre nous et descend vers sa braguette que je détache fiévreusement … mes doigts partent à la recherche de son membre en érection et entament des caresses de plus en plus poussées. Malgré le brouhaha général, je perçois un léger gémissement de sa part, ce qui m’encourage à continuer mes va-et-vient sur sa verge, cachée pour le pan de ma robe … son gland perle de jouissance et ma main est déjà toute collante des premières gouttes de sa chaude semence.

Nous frémissons du plaisir de nos masturbations mutuelles en cadence … nos respirations s’accélèrent … nous sommes au bord de l’extase et transportés de spasmes rythmés … nous en oublions le lieu et l’heure … quel moment sexy et intense !!!

Hélàs, un énorme coup de frein et la sirène du métro nous ramènent brusquement à la réalité et c’est les yeux hagards et la bouche sèche que nous reprenons nos esprits. Je suis bientôt à destination : nerveusement, je referme pan de ma robe sur ma culotte trempée de cyprine, tandis qu’il referme en hâte son pantalon où quelques taches de son plaisir sont encore visibles. Nous nous embrassons une dernière fois fougueusement et je glisse ma petite carte de visite dans la poche de sa veste avec un petit clin d’œil malicieux. Il me sourit avec connivence … et nous nous quittons sur ce perron du quai …

Demain, même heure … même station … mêmes plaisirs coquins ??? Voilà notre prochain rendez-vous déjà pris pour un nouvel instant d’extase !!!
C’est pas si mal les transports en commun tous comptes faits !!!
………
Une rencontre sensuelle dans cette rame de métro, ma carte de visite laissée au hasard d’un nouveau rendez-vous vers des plaisirs défendus … "Demain, même heure … même station … mêmes plaisirs coquins ???" … et au hasard d’une grève du métro le lendemain, nous voilà devenus de fougueux amants d’une fin de journée dans ta voiture, sur un parking de gare !!!

Après cet effeuillage fébrile entre nous et nos premières étreintes passionnées, je ne peux me résigner à te quitter ainsi.

Quant tu m’as dit : "je te ramène chez toi ?", j’ai accepté avec enthousiasme en souriant malicieusement. Bien que le soir tombe et que je me suis promise de me coucher tôt, je ne peux résister à ton invitation très suggestive, encore toute émoustillée de notre étreinte que je compte bien prolonger encore et encore !!!

J’ai bien remarqué une caméra de surveillance braquée sur nous dans ce parking et le fait qu’un gardien puisse nous épier n’a encore fait qu’attiser mon excitation à te faire jouir à la vue du tous … je me suis même appliquée à ce que l’on nous aperçoive en pleine action bien à ton insu d’ailleurs, toi me caressant le clito avec fébrilité et moi te prodiguant une intense fellation ! C’est donc avec amusement que je vois ton regard affolé lorsque tu quittes le parking en trombe … mais je fais un clin d’œil complice à la caméra en passant, tout en me passant lubriquement la langue sur les lèvres. Qu’il en soit au moins pour ses frais, ce garde !

La voiture est bien évidemment bloquée dans les embouteillages urbains et nous restons un moment en silence, comme si chacun de nous reprenait ses esprits et songeait à la suite des événements. L’air ambiant, encore empreint de nos odeurs de jouissance, nous taquine les narines et nous titille à nouveau les sens. Tout en me caressant machinalement un sein encore tiède de tes coups de langue, mon autre main s’approche lentement de ton entrejambe et recherche cette belle verge encore moite de mes caresses buccales. Je ne tarde pas à la sentir reprendre vigueur sous le tissu et, tout en observant la route, tu commences doucement à gigoter sur ton siège … doucement, bel étalon, un peu de patience … encore quelques kilomètres et nous serons à destination !

Nous arrivons enfin devant ma porte. Tu sembles hésiter … je laisse planer un doute sur mes intentions pour te faire languir quelque peu … tu me regardes d’un œil inquisiteur … mais je suis trop impatiente de retrouver ton étreinte … « tu veux entrer un instant ? » te dis-je avec candeur. Mon regard brillant de désir ne laisse aucun doute sur la suite de notre programme, tu me souris avec joie, gare ta voiture dans l’entrée et te précipite derrière moi vers mon appartement.

A peine la clef tournée dans la serrure, tu me plaques dos au contre le mur du couloir, tu te jettes fougueusement sur moi et m'embrasses passionnément. Je fonds littéralement sous les baisers, m'accroche à ton cou, ferme les yeux pour mieux savourer cet instant intense ... nos bouches se cherchent ... nos langues tournoient en un ballet sensuel ... je te caresse la nuque, le dos, les fesses ... tes mains se baladent un peu partout sur mon corps ... nous en perdons la raison ... je mouille à nouveau terriblement de désir et je sens - à ton érection de plus en plus apparente - que nos sensations sont réciproques.

En reprenant haleine, je t'indique où se trouvent le salon et la cuisine ... et parviens à te murmurer : "Dans le frigo il y a tous les rafraîchissements que tu souhaites ... sers-nous quelque chose STP ... et mets-toi à l'aise surtout ... je vais à la salle de bains pour me rafraîchir un peu".

Hé oui, j'en ai bien besoin : j'ôte rapidement mes vêtements déjà semi déboutonnés ou arrachés dans la fougue vécue dans ta voiture ... je me précipite sous la douche, me rince le corps en toute hâte ... réajuste un peu ma coiffure, mets quelques gouttes de parfum et enfile un peignoir de bain sur ma nudité frissonnante d'impatience de nouvelles sensations !

Arrivée dans le salon, je ne te vois pas ... par contre, ta chemise et ton pantalon sont jetés négligemment sur le canapé, tes chaussettes et tes chaussures jonchent le sol ... waouh, c'est donc çà pour toi "se mettre à l'aise ?" ... mais où te caches-tu donc ??? ... toute émoustillée par ton petit jeu du chat et de la souris, je sors sur ma terrasse prendre un peu l'air ... une douce brise printanière me rafraîchit très agréablement et je respire sereinement dans l'attente de ta sensuelle présence à mes côtés. Au loin, les lumières de la ville scintillent et en bas, quelques piétons flânent dans la rue sans se douter des coquineries qui se passent à quelques mètres au-dessus de leur tête.

Je ne t'entends pas arriver dans la pénombre... mais doucement je ressens ta présence derrière moi ... ta haute sature me domine légèrement et tes bras m'entourent les épaules, tandis que tes mains habiles plongent malicieusement dans l'échancrure de mon décolleté. Je sens ton souffle chaud contre ma nuque et ta langue qui me lèche tendrement le lobe de l’oreille.

Je me cambre de plaisir de te retrouver aussi tendrement ... ma tête s’appuie contre ton torse pendant que tu me palpes les seins, ma peau vibre à nouveau sous tes caresses ... mon peignoir s'entr'ouvre impudiquement sous les regards éventuels de voisins d'en face, mais je m'offre lascivement à ton étreinte ... mes tétons s'érigent sous tes doigts à l'appel de tes caresses, je miaule doucement de plaisir et me colle fiévreusement contre ton corps nu ... tu fais glisser mon peignoir à mes pieds et tes doigts descendent coquinement vers mon ventre qui tressaille ... mmmmhhhhhh délicieux ... j'en veux encore, je te désire, j'ai envie de plus et d'encore plus de sensations, j’ai envie de sexe... la cyprine dégouline de ma chatte en fusion le long de mes cuisses, je ressens des picotements intimes annonciateurs de jouissance, mon clito se gonfle d'excitation ... tes doigts pénètrent mes lèvres intimes, viennent titiller, pincer, tourner mon bourgeon luisant ... tu me chuchotes quelques mots crus dans l'oreille ... je frémis de nouveaux plaisirs que je découvre ... je sens ton membre dressé me caresser le bas des reins ... tu t'agites contre mon dos et d’une main par l’arrière je te titille le gland humide, ce qui te provoque un long gémissement ... nos peaux sont en sueur ... et brusquement tu me bascules le haut du corps vers l'avant sur la balustrade.

Surprise par ce nouvel élan de fougue sensuelle, j’offre mes fesses tendues vers toi … ta verge vient me titiller la fente offerte à tes assauts … tu joues encore un peu à nous faire languir tous les deux en me caressant le bord de mon intimité …. tu t’agrippes à ma croupe rebondie … tu présentes nerveusement ta queue fièrement dressée à l’entrée de mon vagin … et d’un cri rauque tu me pénètres sauvagement … mon antre d’amour est chaud et envahi par ton dard tendu à l’extrême … je ressens une énorme plénitude de te sentir empli de toi et je soupire de plaisir …

Comme un cheval fou pris dans un élan irrépressible, tu entames de puissants va-et-vient au plus profond de mes entrailles … je m’accroche au bord de la balustrade, pour soutenir ta cadence … je me cambre au rythme de tes mouvements saccadés … nos gémissements se font de plus en plus bruyants … j’entends tes bourses qui claquent en mesure … ma vulve s’ouvre et se resserre sur ton pieu de chair qui s’agite … nous sommes au bord de la jouissance ... tu me cries ton plaisir … je me sens venir aussi … je te supplies de te laisser aller, car mon orgasme est imminent … et – dans un dernier coup de boutoir sec et intense – je te sens expulser ta chaude semence au fond de ma grotte … oui, oui, viens, c’est bon, mmmmhhhhh …. nous ressentons la même décharge électrique qui nous fait vibrer à l’unisson … et nous crions notre plaisir en cœur !

Lentement, nous reprenons notre souffle … tu te penches vers moi pour m’embrasser longuement dans le cou … je frémis de bonheur … et t’attire langoureusement vers le salon … oh non, bel étalon, tu ne vas pas me laisser ainsi … je te veux encore et encore !!!

En nage de notre étreinte ardente, tu me suis en souriant vers le canapé et t’y laisse tomber éreinté. C’est le moment d’un petit remontant pour continuer cette nuit magique … nous buvons un petit rafraîchissement les yeux dans les yeux pleins de malice et savourons cet instant de merveilleuse plénitude. Nos ébats passionnés m’ont rendue encore plus coquine et j’ai décidé de t’achever de la plus délicieuse manière qui soit !

Je me laisse glisser en bas du canapé, m’installe à genoux entre tes cuisses et me fait câline … ton membre au repos me tente encore … je m’en empare, le fait glisser sur la paume de ma main, lui lisse la peau, te titille coquinement les bourses, te décalotte et joue doucement avec ton gland … tu me regardes naïvement car tu ne t’attends pas une nouvelle initiative de ma part … je me lèche les lèvres et une lueur gourmande brille dans mes yeux.

Lentement, je glisse ma langue sur ton pénis, m’applique à la faire virevolter tout le long de ta hampe et en suçote le bout … des petits soubresauts de ta verge m’indiquent que ton désir revient … tu penches la tête en arrière, les yeux révulsés tu savoures ce moment de nouveau plaisir qui s’annonce … je te prends plus à fond dans ma bouche et suces frénétiquement ton bel engin vigoureux. Tu ne tardes pas à gémir à nouveau sous mes coquineries … je te sens te tendre de plus belle … oui, c’est bien bel étalon, encore mmmhhhhh …… frénétiquement, je me masturbes le clito en même temps … de nouvelles vibrations m’envahissent !

Au moment où je sens les premières gouttes perler de ton méat, je lâche prise et me redresse … je monte sur toi à califourchon et viens m’empaler langoureusement sur cette verge au garde à vous … encouragée par tes râles de jouissance, je descends sur toi et ressens une fougueuse envie d’un dernier plaisir en commun. Je me tortille au-dessus de toi, me cambre au maximum pour sentir ta peau contre les parois de mon vagin. Tu me tiens par les hanches et m’aide à trouver le bon rythme de mes montées et descentes sur ta colonne de chair … on entend des bruits de clapotis de nos jus d’amour mêlés … tu me lèches et me pinces les tétons, ce qui m’arrache un autre petit cri étouffé par plein de voluptueux baisers … j’accélère mes mouvements … tu halètes sous mes assauts ... je viens, oui !!! … tu cries ton plaisir … et nous terminons notre étreinte dans un violent orgasme partagé. :008:

Enfin rassasiés de nos désirs érotiques, nous savourons encore un instant notre plaisir en nous serrant l’un contre l’autre, tout en tendresse et en doux câlins. Hélas, l’heure tourne et il est temps de nous quitter … tu te rhabilles lentement, m’embrasse une dernière fois et part dans la nuit vers ta vie, me laissant en mémoire un merveilleux souvenir de cette rencontre fugace mais passionnée.

Hé oui, « l’appétit vient en mangeant » dit-on et là, ce n’est pas vraiment une faim de nourriture que j’attrape soudain, mais une envie dévorante de poursuivre cette soirée de jeux érotiques, qui avait débutée par des galipettes dans ta voiture, et s’étaient poursuivies par des ébats de plus en plus chauds sur ma terrasse et dans mon salon … mais là, dans cette douche - où je croyais pouvoir reprendre mes esprits en toute intimité, tes assauts « crescendo » m’ont fait découvrir des plaisirs jusque là inconnus, étonnants mais assez intenses !

Il nous faut cependant reprendre un peu de force et je te propose, non pas un repas au resto (trop impersonnel, çà !) mais plutôt un petit repas en tête-à-tête « en toute simplicité » dans ma cuisine !

Je sors donc de la salle de bains, encore toute palpitante des émotions sensuelles que tu m’as procurées … juste vêtue d’un paréo nouée autour de ma poitrine … pendant que tu achèves ta douche tonifiante !

Avec tous les ingrédients que j’ai au frigo, pas de problème pour nous préparer rapidement des assiettes froides avec un petit rosé bien frappé … je m’affaire donc pour rendre ce petit dîner improvisé aussi tentant que possible, tandis que je t’entends chantonner dans la salle de bains, tout fier de tes exploits apparemment ... et dont je n’ai vraiment pas à me plaindre non plus !

Tu me rejoins dans la cuisine, une serviette éponge nouée autour de la taille et déjà tu te colles à moi profitant que j’ai les mains occupées à présenter notre plateau pique-nique … tu m’embrasses doucement dans le cou … tes mains passent sous mon paréo, me titillent malicieusement le bout de seins qui sont encore un peu douloureux de tes derniers attouchements, mais qui réagissent immédiatement en se dressant à nouveau d’excitation … puis tu les abandonnes, et ma passe les doigts entre les cuisses … me frôle l’entrée de ma grotte toujours aussi humide … mmmhhhh … oui je mouille toujours !

« Tu peux ouvrir la bouteille de vin, STP ? »
« Ok, je m’en occupe »
… A mon tour de te raviver ton excitation, mon petit gars, je vais te rendre la pareille … et pendant que tu te bats avec le tire-bouchon, je détache ta serviette éponge … je te fais des petits bisous dans la nuque, me colle aussi contre ton dos et me tortille contre ta peau nue … tu sens la pointe de mes seins contre ton échine, pendant que je te malaxe les bourses et te taquine la verge au gland turgescent de nos récents ébats … rapidement, ton membre reprend vigueur sous mon regard émerveillé ! Avant de nous asseoir, tu vérifies encore une fois si ma chatte est toujours aussi gluante et ouverte à de nouvelles coquineries … je sursaute de plaisir de sentir tes doigts pénétrer entre mes lèvres intimes et me câliner le clito échauffé … pas de problème, je t’attends avec impatience !

En nous regardant les yeux dans les yeux, et en nous faisant de tendres bisous de gourmandise, nous nous attablons face à face … nous trinquons à notre soirée de folie … pendant que tu commences à manger avec appétit et que je grignote nonchalamment quelques crudités, mon pied nu glisse subrepticement sous la table, glisse vers ton entrejambe et mes orteils te chatouillent le membre qui tressaille, gonfle, s’érige … j’adore ce petit jeu coquin entre nous … et je guette la moindre de tes réactions pour m’encourager à poursuivre …

Brusquement, tu lâches tes couverts, repousse les restants du repas et te relèves en un énorme sursaut de nouvelle combativité virile ! Tu me saisis à bras le corps et déposes mes fesses nues sur le bord de la table … surprise d’une telle vigueur si rapidement retrouvée, j’écarte instinctivement les cuisses … ton énorme queue en érection vient me caresser l’entrée de ma grotte dégoulinante de cyprine … ton gland frôle ma fente de haut en bas, m’arrachant un miaulement rauque d’envie … tu introduis tes doigts dans mon écrin pour mieux l’écarteler et ma corolle s’ouvre à tes nouveaux élans avec fougue et passion.

Je m’accroche les bras autour de ton cou et ma langue parcourt ton cou et ton torse … ta bouche vient me rejoindre et pendant nos baisers fébriles, tu introduis ton membre bandé en moi d’un coup rapide et profond … tu glisses parfaitement au fond de mon antre, vu la moiteur qui s’en dégage … debout devant moi, tu t’arc-boutes pour que nos membres soient collés l’un à l’autre … puis tu entames de vigoureux va-et-vient de plus en plus saccadés … je me cambre pour sentir ta verge frotter les parois de mon vagin … nos gémissements en cadence sont devenus des cris de plaisir imminent … tu accélères, je te supplies de m’achever … et avec d’énormes frissons d’excitation partagée, tu décharges une fulgurante giclée chaude de ta semence au plus profond de mes entrailles !!!

Nous reprenons lentement notre souffle … épuisés par les puissantes folies de nos deux corps … tu ressors plus délicatement de mon écrin en ébullition, et après encore quelques baisers plus tendres, nous allons chacun à notre tour dans la salle de bains pour nous rafraîchir les idées et nous laver des traces de notre dernière jouissance.

Cette fois il est bien temps de se quitter … tu as plusieurs messages sur ton portable te confirmant des réunions très matinales et tu as intérêt à profiter du « repos du guerrier » bien mérité. Cette fois, dans un dernier baiser sur mon palier, je te dis bien adieu – toi, mon ardent amant d’une soirée de folies érotiques inoubliables – et je verrouille la porte derrière toi, pour ma jeter dans les bras de Morphée, la tête remplie de souvenirs coquins et le corps endolori par tant d’ardentes étreintes.
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Commentaires du récit : Soirée de folies inoubliables

Le 19/05/2010 - 10:39 par Decibel
Hé oui ! Merci, lablondesophie ;o) Bisous
Le 11/02/2010 - 10:10 par lablondesophie
vive la vie.....
Le 24/01/2010 - 19:35 par Decibel
Thanks a lot, Warry ;o)
Le 13/01/2010 - 21:39 par warry62
verry good

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