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Soirée open bar

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Lue : 21509 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/02/2010

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Me voilà accompagnée par mon copain de l’époque, j’avais alors 26 ans. Etudiante en chimie à Paris et un peu portée sur la chose (encore maintenant) mais pas au point d’imaginer ce que je vais vous raconter.

Nous étions invités à une soirée étudiante organisée exceptionnellement en dehors des lieux traditionnels genre boite et compagnie. Nous arrivâmes vers 23H dans ce qui ressemblait à une grande maison façon bourgeoise. Je commençais à interroger mon copain pour savoir s’il ne s’était pas trompé. « Non, non » me répondit il en souriant. Il fallait dire que nous avions était prévoyant et avions dîné pas très loin du lieu de la soirée et profité pour l’occasion de vider une bonne bouteille de ce délicieux vin blanc dont j oubli toujours le nom. Bref, je n’étais pas plus inquiète que ça quant à la situation.

Nous entrâmes après avoir subi le regard sévère du videur qui du coup me rassurait plus que ne m’inquiétait ne connaissant ni l’endroit ni les gens qui le fréquente.
A l’intérieur, l’endroit avait finalement l’allure d ‘une boîte comme on en trouve dans tout Paris ce qui me mis rapidement en confiance.

Une conso était offerte avec l’entrée et open bar pour les filles. Nous nous dirigeâmes rapidement vers le bar où mon copain commanda 2 mojitos plutôt bien chargés.
Jusqu’aux environs de 3H, la soirée se passa superbement bien. Quelques couples avaient entrepris de se faire plaisir surtout ces demoiselles en se frottant à quelques beaux mecs.

Mon copain entrepris alors de faire de même avec moi ce que je ne refusai guère. L’alcool avait commencé avoir raison de moi. La tête me tournait et malgré tout le lieu à la fois familier et inconnu me mettait en bonne disposition pour exciter mon mâle.
Peu à peu, nous allâmes nous installer dans un petit recoin confortablement agrémenté avec coussins et pénombre.

Une main entre ma jupe et mon string commença à avoir raison de ma pudeur naturelle. Après tout c’était certainement la première et dernière fois que nous passions la soirée ici donc au diable la pudeur ! Petit à petit je senti son membre prendre de plus en plus de place.

Il me susurra alors à l’oreille qu’il y a avait à l’étage quelques endroits fait pour ça….
A peine surprise par cet aveu, je le suivi titubant légèrement par l’ivresse des quelques mojitos qui suivirent le premier de notre arrivée. Arrivés à l’étage, le filet d’une porte entre ouverte laissait entendre et entrevoir un couple en plein action accentuant alors mon excitation.

Après quelques pas, il m’entraîna dans une minuscule pièce au bout du couloir qu’il s’empressa de refermer derrière nous. Enfin je croyais…
Une fois assise sur ce qui servait de mini banquette lit (enfin je crois qu’il s’agissait de ça car je n’étais pas vraiment préoccupée par la déco…), je m’empressai de retirer mon string et lui de me présenter sa queue bien raide.

Je débutais de lui sucer rageusement ce sexe qui me tentait tant depuis le début de la soirée. Je gardai les yeux fermés pendant qu’il m’enfournait la bouche. La fatigue me contraint à me laisser faire sans gémir. Après avoir jouit d’une première saccade dans ma bouche (c’était la première fois que je goûtais son jus), il s’empressa de me mettre en levrette et commença à me pénétrer délicatement comme il avait l’habitude de le faire pour s’exciter et retrouver de la vigueur après avoir jouit.

J’avais la tête dans les coussins entendant à peine ses gémissements de jouissance à glisser sa queue entre mes cuisses lesquelles ruisselaient de ma mouille. La jupe remontée sur mes fesses, j’imaginai le spectacle que je lui offrais mon cul de petite salope soumise à me faire baiser dans un endroit … fait pour ça.
C’était sans imaginer la suite.

Il se retira quelques instants prétextant (du peu que j’entendais) mettre une capote pour ne pas m’inonder la chatte de foutre.
J’étais tétanisée de plaisir. Il ne se passa pas alors une minute sans que je sente deux grandes mains m’agripper les hanches puis un sexe me remplir brutalement. Je hurlais de stupeur sous mes coussins. Je comprenais alors qu’une bite bien plus grosse que celle de mon copain me fourrait de toute sa longueur claquant à chaque aller ses bourses contre mon clito.

Ce membre me remplissait complètement écartant mes lèvres lesquelles l’enserraient comme celles d’une pucelle. J’étais prisonnière de ses mains qui maintenaient mon bassin à portée de ses va-et-vient.
Je senti alors ses coups s’accélérer puis sentir son foutre cracher en moi malgré sa capote.
J’étais engourdi par ses assauts qui cessèrent lorsqu’il se retira et me claqua les fesses comme pour me marquer de son passage.
Je m’assoupi comme comblée par ses assauts.

Mon copain revint alors me chercher pour me rabattre ma jupe froissé. J’en oubli mon string et descendit les marches pour enfin m’affaler sur un divan dans lequel je m’endormi. Ce n’est que vers 6H du matin qu’il me porta jusqu’à la voiture puis rentrèrent. Nous ne parlâmes jamais de cette soirée. Nous rompions quelques semaines plus tard sans que cette soirée n’ait pesé dans la fin de notre histoire.
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Histoire de sara75

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