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Sortie de boîte

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Lue : 12427 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/10/2010

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J’ai levé cette gonzesse à la sortie de la boite ou j’avais passé une bonne partie de la nuit. La soirée avait été calme. Sans doute le mauvais temps, l’hiver, la crise…. Enfin pas grand monde, pas d’ambiance.
Je m’apprêtais à rentrer chez moi. J’avais déjà les clés de ma bagnole en main quand je la vis. Elle me paraissait un peu pompette le dos appuyé contre une voiture à proximité de la mienne. Sur ce parking triste, froid et mal éclairé, je ne sais pas pourquoi mais elle me fit un peu pitié et c’est sans arrière pensée que je lui demandai si je pouvais lui venir en aide.

Oh mais je vous connais vous. Vous êtes là presque tous les soirs.
Elle avait raison, cette boite c’est un peu mon quartier général.
Vous savez si je ne vous avais pas reconnu, je ne vous aurais pas parlé. Il y a tellement de gens bizarres. Mais vous c’est pas pareil. Je vous ai souvent observé quand je m’ennuyais à l’intérieur. Tout le monde à l’air de vous aimer.

Si nous nous mettions à l’abri pour continuer cette conversation car il recommence à pleuvoir. Venez dans ma voiture, je vous raccompagne. Vous récupérerez la votre demain, je pense qu’il ne serait pas raisonnable que vous rentriez avec cette nuit. Je lui ouvris la portière passager et c’est sans protester qu’elle s’installa sur le siège. Dans le mouvement qu’elle fit sa mini noire remonta très haut sur les cuisses. En fait elle ne me cachait plus rien de son sexe , la demoiselle ne portant pas de sous vêtements. Pas le moindre petit string. Grâce à la lumière du plafonnier, je pus même voir qu’elle était complètement épilée. A la vision de cette chatte une vague de désir m’envahit. Une boule de feu se formait dans mes reins.

Il faut dire que la mignonne est plutôt bandante et sexy car en plus de sa petite chatte épilée elle a une paire de seins énormes qui menacent à tout moment de faire exploser le devant de son tee-shirt blanc.
Visiblement, je ne suis pas le seul à avoir des pensées lubriques.
Profitant de ce que j’étais toujours debout devant sa portière ouverte, sa main droite était remontée le long de ma cuisse et commençait à ouvrir ma fermeture éclair.
J’avais une barre qui déformait le devant de mon pantalon et je me serais senti à l’étroit dans mon slip……….. Si j’en avais mis un.

Avec une dextérité que je n’aurais pas soupçonnée vu sa position par rapport à moi, elle sortit ma bite et commença à la branler, lentement d’abord, avec des mouvements réguliers, puis de plus en plus vigoureusement.
Au début je me prêtais au jeu avant de me dérober. Je voulais autre chose.

Je m’avançais de nouveau en cambrant bien les reins de façon à ce qu’elle ait ma bite devant la bouche.
Elle pigea tout de suite, ne se fit pas prier et pris mon gland déjà un peu luisant entre ses lèvres. Elle se mit à me pomper, fit quelques aller-retour avant de s’immobiliser, ses lèvres entourant la base de mon gland tandis que sa langue par des caresses enveloppantes se chargeait de lui donner encore plus de volume.

Cela dura un temps qui me parut interminable. A la fin n’en pouvant plus, j’agrippais sa tête entre mes mains pour la bloquer et, avec des coups de reins furieux je me mis à lui baiser la bouche. Quand la jouissance me prit, je plantai ma bite au fond de sa gorge éjaculant à longs traits dans sa bouche en poussant un cri rauque.
Nous sommes restés là un moment sans réaction. Sans se parler, sans même se regarder.
C’est elle qui reprit contact avec la réalité la première. Et quel contact !
C’est bien joli tout cela me dit-elle, mais moi, j’ai pas eu mon compte !

Je te raccompagne, tu m’offre un dernier verre, et qui sait ?.... la nuit est à nous dis-je en riant.
Elle n’habitait pas très loin. Ce fut l’affaire d’un quart d’heure pour rejoindre son appartement.
A peine entrés une douce chaleur nous enveloppa. Elle en profita pour enlever son tee-shirt sans autre forme de procès. Elle avait fait ça sachant l’effet quasi hypnotique de sa poitrine sur la gente masculine. Pour la première fois, je pus admirer ses seins magnifiques. Elle a de la suite dans les idées cette petite, j’aime ça. Et puis il faut dire que le petit intermède en voiture pour revenir à son appartement m’avait permis de reprendre un peu mon souffle. Avec un bon café je me sentirais d’attaque pour un deuxième round.

Pendant que nous buvions notre café je ne pouvais détacher mes yeux de ses seins. La vision de ces globes de chairs énormes mais néanmoins fermes avec de grandes aréoles, et au milieu de chacune d’elles une petite framboise rose que l’on devinait très sensible, me mettais à nouveau une gaule d’enfer. Je suis sur que j’aurais pu la faire jouir rien qu’en m’occupant de ses seins.

Après le café, je passai à la salle de bain histoire de faire disparaître les dernières traces de la séance précédente. A mon retour dans le salon quelle ne fut pas ma surprise de voir la belle allongée sur la table basse, ses jambes gainées de dim up, repliées et complètement écartées, sa mini remontée autour de la taille. Elle se caressait le clitoris en me souriant. De la tête elle me désigna un fauteuil dans lequel je pris place, les yeux rivés sur sa chatte.

Bientôt de sa main gauche elle sortit de dessous la table un gode de belle taille et sans dire un mot, me fixant droit dans les yeux d’un air de défi, se planta le gode dans le sexe. D’un coup. Jusqu’à la garde. Elle se mit à le faire aller et venir doucement, très doucement. J’étais fasciné par ce spectacle. Ma pine me faisait mal à force d’être gonflée. Le sang commençait à battre à mes tempes je sentais mon visage brûlant. J’aurais voulu le frotter contre ce sexe inondé pour le rafraîchir. En cet instant, j’aurai donné n’importe quoi pour être à la place de ce gode.

Ne quittant pas son visage des yeux, au bout d’un moment, je vis son regard chavirer. La jouissance montait en elle.
Ça a eu le don de me rendre dingue. Je me levai d’un bond, arrachai son gode et me plantai en elle d’une longue poussée vigoureuse. Je n’en pouvais plus. Je la pris sauvagement. Elle bramait secouant la tête en tous sens comme une folle pendant que je l’insultais :
Tu aimes hein ! Salope, tu aimes que je te défonce comme une chienne que tu es
Hein ! Putain, dit que tu aimes ça, je veux t’entendre, gueule salope, gueule !

Au comble de l’excitation nous sommes tombés de la table basse. Cela n’a pas réfréné nos ardeurs. Nous avons continués sur la moquette.
Elle s’était arrêtée de crier. C’était maintenant de petits gémissements. Je ralentis mon rythme.
J’étais couché sur elle, mon oreille contre sa bouche quand elle me murmura :
Je veux que tu m’encule
Ces simples mots m’électrisèrent.

Elle se mit à genoux face à la table basse, écrasa ses seins sur le plateau et releva les fesses. La vision de ce cul offert devant moi faillit me faire jouir sur ses reins. Je savais que la fin était proche, que ne résisterais pas longtemps à ce cul magnifique et serré.

J’essayai quand même de faire durer les choses le plus possible, la pénétrant lentement en concentrant mon esprit sur autre chose. Peine perdu. Ce fut elle qui se mit à imprimer le rythme venant s’empaler sur ma queue. N’en pouvant plus, j’agrippai ses hanches à pleines mains me plantant au plus profond d’elle. La jouissance nous pris en même temps. Je poussais un beuglement avant de m’affaler sur son dos, hors d’haleine. Au bout de quelques instants nous nous sommes laissés glisser à terre, les bras en croix, anéantis.
Je crois que nous nos sommes un peu endormis à même la moquette.
La soirée avait mal commencée, mais la fin de nuit fut grandiose.
On s’était promis de se revoir. Le lendemain en arrivant au travail j’appris que ma mutation avait été acceptée avec effet immédiat.
Je ne revis jamais la belle et je crois bien que je le regrette.
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Histoire de firenze 134

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