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Soumission et exhibition sur le parking

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/01/2024

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Voilà bientôt 4 ans que je suis devenue une soumise. Mon maître continue mon apprentissage en m'imposant des paliers que je m'efforce d'exécuter pour le plus grand plaisir de celui que j'aurais dû rencontrer bien avant. Une nouvelle fois, je vais raconter ce que mon maître m'apprend et le publier sur ses instructions. Bonne lecture.

Mon maître m'exhibe encore plus facilement lorsque nous sortons de notre ville où les risques d'être reconnue sont diminués.

La dernière fois, nous sommes partis pour l'après-midi.
J'avais une jupe assez courte, un chemisier ample et mon collier d'appartenance. Après quelques kilomètres, mon maître m'a ordonné de me déshabiller dans la voiture et de prendre une position obscène. Je me suis dévêtue facilement. J'avais les cuisses complètement ouvertes et mes mains sous mes seins pour les exhiber. Mon maître, après environ deux bonnes heures de voiture, nous a arrêtés sur une aire d'autoroute, a stationné la voiture à côté d'une zone boisée et m'a fait sortir de la voiture. En étant tenue en laisse attachée à mon collier de soumise, je suivais mon partenaire alors que nous pénétrions dans la forêt. Mon dominant m'a ordonné de m'agenouiller, de sortir son pénis et de le sucer. J'ai commencé à le sucer comme mon maître aime. J'enfonçais sa queue profondément dans ma gorge pour faire sortir mon jus de gorge. Mon maître appréciait pleinement cette bonne fellation baveuse réalisée par sa salope gourmande. J'étais de dos à notre voiture et j'engloutissais sans interruption son pénis en émettant des bruits de gorges. Après de longues minutes, mon maître s'est approché par derrière en me demandant de manière autoritaire de mettre mon cul de soumise en l'air et ma tête dans l'herbe. J'ai tout de suite compris qu'il désirait remplir ma grotte à foutre. »
J'ai écarté mes genoux et plongé ma tête dans l'herbe un peu haute qui effleurait mon visage. Depuis notre arrivée, mon maître me traitait avec des mots crus. Quand il est passé derrière moi et que ma bouche était vide, il m'a ordonné de me traiter moi-même à haute voix pour qu'il m'entende clairement. Pendant que je me qualifiais de salope, de chienne, de vide couille, mon maître a enfourné sa queue bien dure au fond de mon vagin. Elle est rentrée sans difficulté, d'abord parce qu'elle était imprégnée de mon jus de gorge, et aussi parce que j'étais tellement excitée que ma cyprine débordait sur mes cuisses. Mon maître a commencé à me baiser lentement pendant que je continuais à lui décrire ce que j'étais. Il comblait abondamment et profondément mon orifice, ce qui me faisait couiner telle une truie obéissante. Cela me rendait folle, j'ai fermé les yeux et avec sa permission, j'ai pu jouir à quatre reprises.

J'ai tout à coup ressenti que mon maître avait changé sa façon de m'enfiler. J'ai alors ouvert les yeux et en tournant la tête, j'ai aperçu un couple à quelques mètres de nous. J'ai voulu me redresser, mais une gifle sur mon postérieur d'esclave m'en a vite dissuadé. Mon maître a renouvelé la gifle en me rappelant qu'il devait m'entendre parler clairement et j'ai recommencé à me traiter. J'ai entendu mon maître inviter le couple à s'approcher.
Mon maître gardait toujours sa queue bien profondément en moi et me baisait doucement. À ce moment-là, j'ai voulu regarder ce couple et j'ai tourné la tête vers eux. J'ai réalisé qu'ils étaient là depuis un certain temps. La main de la jolie femme blonde masturbait un membre bien raide, sa robe était complètement ouverte et ses mamelles dépassaient : ses auréoles étaient clairs avec des tétons très longs.
Au fur et à mesure qu'ils s'approchaient, mon maître les invitait à observer une grosse salope soumise en train de se faire baiser. J'étais excitée par la situation, les paroles de mon maître, mon collier de soumise, ma laisse sur le dos et par ce couple qui maintenant m'entendait me désigner vulgairement comme un objet sexuel à combler....Je ne pouvais pas me retenir plus longtemps et j'ai demandé à mon maître l'autorisation de jouir. Dès que j'ai entendu son accord, j'ai laissé échapper un cri de plaisir prolongé, provoquant un jet abondant de liquide qui, retenu par la queue de mon maître, s'est répandu dans toutes les directions, nous aspergeant tous les deux.
Épuisée de plaisir, j'avais les yeux fermés, les jambes tremblantes et le cœur battant la chamade.J'ai entendu des échanges entre mon maître et le couple. Mon excitation était en train de monter, même si je n'avais pas tout compris. Toujours à quatre pattes dans l'herbe, une main s'est posée sur mon cul de trainée et a glissé entre mes cuisses. À la douceur de cette main, j'ai compris que c'était ma future partenaire qui caressait les lévres de mon chatte. J'étais aux anges, j'étais une soumise sexuelle, une simple marionnette de plaisir. Les doigts de Christine, dont j'ai appris le prénom en écoutant son compagnon lui parler, caressaient mes lèvres et mon clitoris, provoquant un débordement de plaisir. J'ai tourné la tête pour la remercier et l'inciter à continuer. Elle était accroupie derrière moi, sa robe ouverte et a commencé à frotter ses mamelles sur mon entrejambe (elle m'a ensuite avoué que c'était son fantasme, celui de doigter une femme avec ses tétons). Elle avait les tétons tendus et longs, semblables à de petites phalanges. Elle a frotté son téton contre mon clitoris, ce qui m'a fait jouir par surprise. J'ai senti qu'elle hésitait à me parler de manière crue, même en écoutant mon maître qui me traitait sévèrement. Alors je l'ai invitée à le faire en lui demandant de répéter après moi. Après quelques mots, elle m'a inondée des termes crus et obscènes que j'aimais. Mon maître est revenu derrière moi et Christine a attrapé sa queue sur les instructions de son homme, l'a masturbée et l'a placée sur mon anneau. J'ai posé mes mains sur mes fesses pour les ouvrir. Elle m'a traité de grosse chienne et a regardé mon maître m'ouvrir mon conduit sombre. Mon maître a commencé à m'enculer et a ordonné à Christine de me présenter son entrejambe. Elle est venue s'allonger devant moi et a offert ses cuisses ouvertes à ma bouche et à mes doigts. J'ai commencé à embrasser ses lèvres humides et ouvertes avec ma langue. Ma tête heurtait son antre humide à chaque coup de butoir dans mon cul. J'ai vu son partenaire s'agenouiller et présenter sa queue à la bouche de Christine qui gémissait sous les caresses de ma langue. Elle a rapidement joui dans un long cri étouffé par une bite bien dressée et enfoncée dans sa gorge. J'ai ensuite léché l'excès de son jus de chienne sur les lèvres de sa vulve. Son partenaire a poussé un cri rauque et s'est complètement vidé dans sa bouche. J'ai observé Christine avaler d'un trait le foutre de son compagnon.
Mon dominateur a continué à me ramoner, ouvrant mon conduit de traînée. Suivant ses instructions, j'ai une fois de plus joui de cette situation. J'étais épuisée mais je désirais encore quelque chose, alors j'ai supplié mon maître de permettre à Christine de me fister. Mon maître m'a lancé un regard courroucé et m'a informé que j'allais le regretter. Je savais en quoi j'avais fauté, mais j'en avais tellement envie. Je ne trouve pas assez souvent une main assez fine pour me fister, je ne voulais pas gâcher cette chance. Je me suis allongée sur le dos et j'ai invité Christine à s'approcher, ce qu'elle a fait à quatre pattes. J'ai pris sa main tendue, l'ai frottée sur mon chatte baveuse, ai commencé à insérer ses doigts délicats dans mon vagin et je lui ai laissé prendre les initiatives pour débuter une pénétration plus profonde. Elle s'est penchée, a craché sur mes lèvres et a continué à tourner son poignet tout en poussant sa main à l'intérieur de moi. Sa main a été pratiquement aspirée par mon vagin, déclenchant un cri de plaisir suivi de mots crus que j'adore prononcer. Les deux hommes étaient positionnés de chaque côté de moi, leur queue sous mes yeux. Je les ai pris chacun dans une main et j'ai commencé à les masturber. Chaque mot que je prononçais était source d'une excitation intense, tant pour eux que pour moi. Christine faisait des mouvements lents de va-et-vient avec sa main, provoquant un orgasme puissant que mon maître m'avait autorisé à avoir si je le criais. Je n'en pouvais plus, j'ai crié, hurlé que je jouissais. Mes mains serraient deux manches qui, sous la pression, se sont vidées sur mes grosses outres à lait, tout leur foutre engluant ma peau. Après ma descente, Christine avait quitté ma grotte, léchant ma cyprine abondante en promenant sa langue sur mes lèvres (elle m'apprendra plus tard que cette rencontre avait été une première pour avoir touché la queue d'un autre homme, pratiqué le fist-fucking sur une femme et avoir léché une chatte). Elle s'est avancée à quatre pattes vers moi et après m'avoir déclaré on ne va pas gâcher, elle a aspiré et léché tout le sperme de nos partenaires. Après quelques secondes, j'étais nettoyée. J'ai attrapé ses cheveux et forcé sa tête pour que nos bouches se retrouvent. Elle a ouvert ses lèvres et nous avons partagé cette liqueur dans un échange de langue. Mon maître semblait satisfait de cette situation. Peut-être serai-je pardonnée.
Nous nous sommes redressées, j'étais la seule à être toute nue. La soirée semblait belle, masquant ma nudité de loin. Une poignée de main, des bisous et nous repartons chacun vers nos voitures respectives. La laisse m'imposait mon itinéraire. Nous ne prenions pas la direction de la voiture mais du bloc sanitaire. Je n'étais pas inquiète de ma nudité à la vue de tous il n'y avait aucune voiture à part la nôtre et tellement mon plaisir avait été intense. Nous sommes entrés dans le bloc des femmes. Mon maître m'a imposé de me branler pendant qu'il allait chercher mes vêtements. En sortant mon maître a laissé la porte du box ouverte m'interdisant de la toucher. Je commençait à me branler, j'avais dans la tête tous les moments de plaisirs que je venais d'avoir. Je voulais jouir mais mon maître n'avait pas laissé d'instruction en ce sens. Le temps passé j'avais trop envie, mon clito me faisait mal, mes outres étaient douloureuses et mon maître ne revenait pas. J'ai entendu un bruit, mon maître revenait, j'allais pouvoir jouir si mon maître m'y autorisait. J'ai commencé à parler mais je me suis immédiatement tut, une femme était devant moi et me regardait avec ahurissement. La femme s'est approchée, souhaitant savoir si tout allait bien. Elle voulait savoir si j'avais été attaquée, alors que j'avais encore mes doigts sur mon clitoris et, malgré la situation, mon envie de jouir était toujours présente. Je mordillais mes lèvres pour ne pas partir. Mon maître apparut subrepticement, ce qui me soulagea. Il me regarda et comprit mon envie. Le clignement de ses yeux me suffit pour comprendre son ordre de jouir. J'ai repris quelques caresses sur mon clitoris et j'ai immédiatement joui sous le regard surpris de ma spectatrice involontaire. La situation était surréaliste, j'étais nue devant une inconnue devant laquelle je venais de jouir. Elle me regardait interloquée de m'avoir vu prendre du plaisir. Le regard de mon maître et son mouvement de tête n'ont pas été difficiles à comprendre. J'ai attrapé la main de la femme et je l'ai attirée vers moi. Elle s'est laissée faire, étonnée. Je l'ai embrassée, mais face à son inaction, j'ai commencé à la caresser doucement. Mes mains se promenaient sur son corps, elle ne réagissait toujours pas. J'ai lentement remonté ma main sous sa jupe et je l'ai glissée entre ses cuisses. Je ne savais pas jusqu'où j'allais aller, c'est elle qui, en écartant ses pieds et libérant son entrejambe, a montré la voie. Ma main est arrivée jusqu a une culotte trempée, j'ai immédiatement commencé à stimuler son clitoris à travers le tissu. Elle a fermé les yeux, commençant à gémir sous mes caresses. Ses mains ont commencé à s'activer, attrapant fermement une de mes outres et malaxant une des siennes. Nos bouches toujours collées, ses gémissements devenaient de plus en plus audibles et soudain, elle a atteint l'orgasme. Un plaisir intense qui a affaibli ses jambes, me forçant à la soutenir.
Mon maître n'avait rien manqué, son sourire en coin en disait long. Je pensais que ce moment était terminé, mais j'ai senti sa main se poser sur mes lèvres et son doigt frotter mon clitoris. Je n'en revenais pas, mais j'étais toujours partante pour jouir. Je l'ai traité de petite salope et je l'ai laissé me branler. Mon envie est rapidement revenue, mon clitoris était toujours sensible, mais je voulais que l'on atteigne l'orgasme ensemble et j'ai glissé à nouveau ma main sous sa jupe mais cette fois-ci, j'ai écarté le tissu de sa culotte pour sentir son clitoris durcir sous mes doigts. Elle a compris ce que je voulais et nous nous sommes rapidement masturbées, atteignant toutes les deux l'orgasme en quelques secondes. Nous étions à bout de souffle, mais quel plaisir.
Mon maître s'est fait entendre, ma partenaire a été momentanément perturbée, mais vite rassurée par mes lèvres sur les siennes. J'ai rapidement remis ma jupe et mon chemisier. Elle était toujours contrariée et je lui ai présenté mon maître, lui expliquant que j'étais sa soumise, son esclave sexuelle. Elle a semblé comprendre. Après m'être rafraîchie avec une petite lingette, j'ai pris un morceau de papier dans mon sac et j'y ai inscrit mon prénom et mon numéro de téléphone. Je l'ai remerciée de son aide en souriant, lui tendant le papier. J'ai posé mes lèvres sur les siennes pour une étreinte qui voulait dire au revoir à très bientôt.
Nous sommes partis vers la voiture, la laissant encore ébahi dans le bloc sanitaire. Nous avons repris notre route. Durant le trajet de retour, mon maître revient sur cet après-midi où il m'explique que le couple était de connivence et qu'ils s'étaient rencontrés sur un site, que la femme dans le bloc sanitaire était le fruit du hasard et qu'il avait attendu qu'une voiture s'arrête pour revenir avec les vêtements, que le hasard avait bien fait les choses. Je lui ai demandé : et si elle n'avait pas réagi du tout de cette manière ?
Il m'a dit qu'il était juste derrière elle et que nous serions partis immédiatement.

Je l'ai remercié de m'offrir cette soumission si jouissive et il a continué en me parlant de mes désirs que j'avais exprimés. Je sais qu'il n'apprécie pas les excuses, c'est pourquoi je lui ai parlé de l'échange de foutre avec Christine, ce à quoi il a semblé être d'accord en guise de compensation. Il m'a demandé mes impressions concernant ce fiste et je lui ai demandé si mes cris de plaisir n'étaient pas suffisamment significatifs.

Nous nous sommes à nouveau arrêtés sur une aire d'autoroute un peu à l'écart. Mon maître m'a expliqué que même si l'échange de foutre avait été une bonne initiative, l'exigence de mon envie ne pouvait pas être excusée. J'avais compris, j'allais être punie. Nous sommes sortis de la voiture, mon maître s'est dirigé vers le coffre et sans rien demander, j'ai ôté ma jupe et me suis mise en appui sur le capot. Mon maître est revenu content de mon initiative. J'ai écarté mes pieds au maximum et posé mes mains à plat sur le capot, les bras tendus le plus loin possible. J'attendais ma punition, ma grotte était trempée et mes seins étaient douloureux à cause de l'excitation de mes tétons. Le premier coup de cravache est tombé, j'ai compté et j'ai remercié mon maître. Le dixième et dernier coup est arrivé, je sentais mon cul en feu tout en ayant ma chatte qui dégoulinait littéralement. Je ressentais mon clitoris complètement gonflé, je l'ai signalé à mon maître, qui m'a retournée, fait écarter les cuisses, et en me regardant dans les yeux, m'a ordonné de jouir sans me toucher. Mon regard sceptique n'a pas perturbé mon maître. Un doigt dans ma chatte a confirmé mon excitation, et le récit de mon après-midi a donné raison à mon maître, entraînant un orgasme différent, mais épuisant.
Une nouvelle lingette rafraîchissante marqua la fin de cette journée de soumission.

Nous devons revoir Christine seule, elle et son compagnon se sont séparés. Christine souhaite découvrir une relation entre femmes plus complète. Je suis sûre qu'elle souhaite essayer le fist fucking mais dans l'autre sens, lol
Quant à l'inconnue, nous n'avons plus eu de nouvelles. Je ne pense pas m'être trompée de numéro. Si elle lit notre récit, peut-être que cela l'incitera à nous contacter.
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Histoire de vivi

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Commentaires du récit : Soumission et exhibition sur le parking

Le 14/02/2024 - 14:43 par Bigben0308
Très beau récit, en tant que Maître dominateur je me suis délecte de chaque mot... et votre maître a bcp de chance car quel maître ne rêverait pas de posséder une aussi parfaite esclave

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