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mes débuts professionnelles

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 29/01/2024

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Bonjour à mes lecteurs, me revoilà pour quelques anecdotes très courtes sur le déroulement de ma vie.

Tout d’abord j’aimerais être claire, si je suis contre le viol, je ne me reconnais pas dans le mouvement féministe actuelle trop pudibond, puritain, je revendique le droit d’être importunée avec élégance, effleurée légèrement, forcée un petit peu, matée discrètement, l’expérience m’a montrée que tous les hommes ne sont pas des bourrins, qu’ils ne sont pas tous des porcs, mais qu’il y a des cochons qu’on apprécie, tout comme ils apprécient plus les salopes au lit que les frigides ou bigotes.

J’informe en même temps que mes histoires « ça a commencé au ciné » et « mari volage et cocu » ont fusionnés, et que je ne peux pas les raconter pour éviter des recoupements, fidèle à mes récits, je ne raconte que ce qui n’est pas banale, ce qui n’arrive pas à tout le monde, l’érotique mais pas que le porno, je commence donc mes anecdotes ci après.

A 16 ans j’apprenais la coiffure, je suis tombée sur un bon patron, la seule petite anecdote à raconter, dans un salon, comme apprentie, il y avait une pièce avec un placard de 3 vestiaires en fer ou je me déshabillais et rangeais mes affaires, fermé par un cadenas que j’avais apporté, la première semaine, je mettais ma blouse par-dessus ma robe, mais je n’étais pas à l’aise dedans, la semaine suivante, je n’avais que ma culotte et soutif dessous.

A cette époque je ne faisais que du B au niveau poitrine, au bout de 2 semaines grâce à une ampoule qui grille, me retrouvant dans le noir, je me suis aperçu d’un trou dans la porte ou filtrait une lumière et qui disparait, j’enfile ma blouse et la boutonne avant de sortir, la pièce suivant était éclairée, je me contrôle si les bouton sont bien mis et je vais signaler l’ampoule grillé à mon patron, un homme de la 50 aine, très gentil, le seul que j’ai eu, il va contrôler puis avant d’ouvrir le salon, il remplace cette ampoule.

Le midi, me rappelant ce trou, je décide de regarder ce qui était éclairé dans le noir, je ne vois qu’un nœud dans le bois qu’on peut retirer facilement, le reste est facile a deviner, la colère me vient, mais je me calme, d’autres copines m’ayant racontées les sales types qu’elles avaient comme patron, le soir je prends ma robe dans le vestiaire et je me déshabille sur le coté de la porte, non visible du trou, le bonsoir du soir n’a pas été chaleureux de ma part.

Sur le chemin pour rentrer, je me pose la question sur ce que je dois faire, le dire aux parents, me faire traiter de menteuse, perdre cet apprentissage cool car il est très gentil malgré tout, je décide d’attendre et je ne dis rien, le soir au lit, je repense à cela, et ce n’est pas de la colère qui m’envahie, mais de l’excitation, ça me rend toute chose et je fini par me caresser en imaginant la scène, je me donne un orgasme assez intense.

Le lendemain, sur le chemin, je repense au trou, je repense à mon orgasme et repense au trou, puis je mouille ma culotte, un petit ange me dit d’oublier mes pensées malsaines, mais un gros diable me dit le contraire, un petit bonjour souriante et je file au vestiaire me changer, je fixe indirectement l’endroit du trou et je vois bouger très légèrement, je n’ai plus aucun doute sur ce qu’il fait, je me change comme d’habitude, mais de dos.

Ce patron est très gentil, il me laisse mes pourboires, me laisse coiffer des clientes sous son contrôle, me reprenant, m’expliquant calmement, le soir, je fais la même chose en m’habillant et restant de dos, un grand sourire pour lui dire bonsoir, en moi-même, je me dis que quand je vais raconter ça aux copines.

Le jour suivant, un samedi, je pratique pareil encore, le dimanche passe en famille et lundi avec les copines, contrairement a ce que je pensais faire, je n’en parle pas, l’une d’elle faisant coiffure aussi, me raconte son quotidien peu réjouissant, je suis contente de n’avoir rien dit, ce qui aurait risqué de nuire à ce patron qui somme toute, nourrit son vice de façon discrète.

Pendant ce WE, le soir, je me masturbe en me faisant un film, ou je me retourne vers le trou en me montrant sous tous les angles, l’excitation est telle que je jouis aussitôt, une fois comblée, je me dis que je suis folle, presque a me faire la morale, mais le lendemain soir, le démon reprend le dessus, j’ai même eu un criée mais personne n’a entendu fort heureusement.

Le mardi, un bonjour souriant et au vestiaire, après ou pendant tout le chemin, je me disais que je ne resterais que de dos, je me lance et me retourne, je ne regarde pas le trou, je suis en culotte et en soutif à sa vue, je retarde même le moment d’enfiler ma blouse, je devais être écarlate autant qu’humide dessous.

Le soir je refais pareil, je nourrie ma masturbation du soir, le lendemain matin aussi et je me dis que peut être, il ne vient pas regarder tout le temps, en journée, je m’arrange pour aller mettre la tige d’un trombone entre le nœud et le bois de la porte, si on retire le nœud, le trombone tombe, le soir, lorsque je rentre, je vois le trombone en place, le temps de sortir ma blouse et de me retourner, le trombone était a terre, ce qui inonda ma culotte.

La semaine était la même routine, je me pavanais plus devant mon voyeur, je n’étais plus écarlate mais toujours humide. Le mardi suivant, la confiance avec mon patron installé, mes masturbations avait des pensées plus hard, je l’imaginais rentrer dans la pièce et me faire l’amour, chose que j’aurais aimé dans la réalité.

Ce mardi, je remets le trombone, l’exhibition, c’est comme une bicyclette, si elle n’avance pas, elle tombe, citation de mon mari, le trombone au sol, je retire mon string et soutif et je mets une culotte à la place et un soutif de la couleur de la blouse, ceci pour justifier de m’être mise nue, je n’avais plus aucune pudeur pour lui, les semaines suivant, j’arrivais en string rouge ou noir et mettais un autre de couleur blouse.

J’avais même mis un miroir sur la porte du vestiaire pour me regarder dedans, justifiant ainsi mon exposition à ses yeux, il m’a vue dans toute ma nudité, jusqu'à fin du contrat, toujours aussi gentils, j’ai passe 3 mois super et utile, jamais, il n’a eu de gestes déplacés, presque a mon grand regret, mais j’étais mineur a l’époque.

Apres le CAP, à mes 18 ans, j’ai l’idée d’aller me faire coiffer par lui, je prend rendez vous sans qu’il sache que c’est moi, j’y vais en tenue sexy avec un décolleté qu’il a du apprécier, on parle de ces 3 mois comme apprentie, ou je le remercie et ou il me dit que c’était un plaisir pour lui comme apprentie, pour le reste il ne l’a pas dit, je venais de trouver celui qui allait devenir mon mari, alors je n’ai pas parlé du trou.

J’y suis retourné une autre fois, sexy aussi, puis mon mari trouve un travail mieux payé à paris et nous sommes partis, j’ai du faire 5 salons de coiffure, la première semaine, tout se passe bien, le samedi je refuse un resto et le mardi, on ne me donne que le balai, on me parle mal, on m’humilie devant les clients et je mets fin a mon contrat, ces 5 patrons n’avaient rien à voir avec celui eu en apprentissage.

J’ai eu également une patronne, tout aussi conne, j’étais sexy sans que ce soit vulgaire ni osée, mais ça ne lui convenait pas, une autre fois, je trouve un salon pour un remplacement, première semaine ok mais pas la deuxième, mais celui-ci est moins virulent que les autres, il faisait les femmes et moi les hommes, ça ne me dérangeait pas, l’un d’eux était particulièrement gentils, il y avait une tirelire pour les pourboires, mais il en vidait pas mal avant le partage.

Ce client donnait autant que ce que lui coutait sa coupe, et la 3-ème fois, je lui dis de ne pas mettre dans la tirelire car c’est le patron qui se la ramasse pour lui, il a voulu aller lui dire qu’il ne donne qu’a moi mais je lui ai dis que ça me retombera dessus, alors il s’est abstenue, il m’a glissé un billet dans ma blouse quant il a sorti son porte monnaie et a fait tinter la tirelire avec des centimes.

Il est revenu et comme il n’y avait personne, mon patron le prend, mais il n’a voulu qu’être coiffé par moi, attendant son tour, car j’avais un client, il m’a à nouveau redonnée un billet en douce, que je ne voulais pas par principe, on a discute de tout et rien, mon patron me dit, qu’est ce que tu lui à fais à ce type, il venait toutes les 4 à 5 semaines et c’est presque toutes les semaines maintenant.

Je ne réponds pas, mais il a raison, je n’ai pas grand-chose à couper, j’avais aussi d’autres clients de son âge qui étaient gentils, certains savait sûrement que la tirelire n’était pas pour moi, ils me mettaient des petites pièces dans ma blouse et me réclamaient à chaque fois, les hommes préfèrent les femmes pour être lavés et coiffés.

J’étais tiraillée par prendre de l’argent à cet homme qui me donnait des billets, il me défendait quand mon patron cherchait à m’humilier devant les autres clients, il lui disait, gardez là cette petite, en plus d’être jolie, elle est souriante, de bonne compagnie et compétente, souriante et de bonne compagnie oui, quant à compétente, on ne me laisse pas l’occasion de le montrer.

Peut être 10 jours plus tard, mon client VIP revient, ha ma coiffeuse préféré est la, finissez ma fille, j’ai tout mon temps, j’étais sur un client, une fois terminé, il prend place et pendant que je le coiffe devant avant de couper, je sens son dessus de doigt caresser ma cuisse, à un autre j’aurais reculé en montrant que je suis en colère, mais là, je ne peux pas me privé du seul client généreux.

Je le regarde en lui disant d’arrêter, il me dit doucement, « je suis un vieux monsieur et vous êtes si belle et fraiche », il me tend un billet de 10 frs, je fais non, en regardant dans le miroir, contrôler si personne ne peut voir, mais ma position cache sa main, sans bouger je lui dis stop, il me dit qu’on ne fait rien de mal et qu’ici, je ne risque rien.

Le billet qu’il me donnait à chaque fois correspondait à plus d’une heure de travail, je n’avais pas les moyens de refuser et pour le petit toucher qu’il me faisait, toucher ma blouse avec ma cuisse dessous, je le coiffe en prenant le billet que je mets dans ma poche et le laisse faire à chaque fois que je suis à sa porté.

Parfois, je mets le ciseau sur son oreille, comme pour la couper en disant, qu’est ce qui me retient de vous la tailler en pointe, votre gentillesse répond t'il, je me surprends même parfois à m’arranger pour me mettre volontairement à sa main, chose qu’il a vue aussitôt puisqu’il me dit que je suis un amour.

Il ne revient que 2 semaines plus tard, j’étais impatiente et anxieuse, lui est il arrivé quelque chose, l’ai-je vexé, je finissais un client, il s’installe, je me place là ou il peut me caresser, chose qu’il fait aussitôt, je lui dis qu’il est terrible, il me dit, « vous êtes si belle et je rajeunis en vous voyant », je jette un œil sur mon patron bien occupé avec des rombières, je vois sa main avec un billet que je dois mettre dans ma poche sans que cela se voit, en allant prendre ce billet, il attrape ma main droite ou il tient le billet.

Fauchée, mais pas profiteuse, je dis que ce n’est pas nécessaire de donner à chaque fois autant, sa main déboutonne les 2 boutons du bas de ma blouse, hé arrêtez dis-je, une fois fait, ma main droite toujours retenue, la gauche le peignant pour montrer que je travaille, sa main insidieuse tient ma cuisse sans bouger, il voit mon trouble, « voyez mon petit, ce n’est pas méchant ni désagréable, qu’est ce que vous avez la peau douce ».

Me forçant a accepter le billet, je m’aperçois que c’est un billet de 50 frs, je refuse, je suis plus occupée a dire non qu’a sa main dessous, je finis par le prendre pour ne pas que notre discussion se découvre le prends en disant que c’est la dernière fois, ma cuisse tient avec le bout de ses doigts, tout en parlant plus fort parfois pour montrer qu’on discute normalement, il me dit d’approcher un peu, je répond avec la voix de quelqu’un qui n’est pas sans ressenti de ce qu’on lui fait, allez approchez, je vous promet d’être sage.

La peau de ma cuisse est tirée, je m’approche et il me l’attrape mieux, je fais des bruits de ciseaux pour donner le change, il voit mon trouble, il voit le manque de crédibilité de mes suppliques d’arrêter, vous êtes si douce, j’aime vous voir ainsi, mes « non je, arrêtez », il ne s’en occupe pas, disant, « vos paroles ne correspondent pas a la réalité ».

Puis je vais finalement derrière lui pour continuer mon travail, Il me demande de revenir une dernière fois avant de partir, je lui dis plusieurs non, il me le redemande autant de fois, je fais « oufff » en me mettant en place en regardant en l’air, voyez, c’est rien, osez me dire que vous n’aimez pas, chose que je dis avec le sourire, je ne vous crois pas dit-il en me lâchant et se levant, a voix basse toujours, il me dit a la prochaine, il paie et s’en va.

A son départ, je vais mettre le billet dans mon sac et prend un cachou pour justifier mon absence, je remets mes boutons, me passe de l’eau sur le visage et je viens voir pour coiffer les femmes qui sèchent, avec ce client, je suis dans une oasis de paix, avec mon singe, c’est l’enfer, je ne fais rien de bien, mes finances ne me permettent de lui claquer le casque sur la tête ni de lui laquer le visage.

Le soir, je n’ai même pas les faveurs conjugales, qu’importe, je repense à cette main derrière ma cuisse et dans mes pensées, je suis au salon, et mon client m’agace le clito avec sa main, je ne suis pas baisée, mais j’ai un orgasme plus intense.

un autre jour j’avais du monde et dans la rue je reconnais ce client coquin, me mentant a moi-même, je cherche comment échapper a sa main tout en étant toute excitée par sa venue, zut me dis-je avec le monde que j’ai, mais après plusieurs minutes, personne ne rentre, peut être que je me suis trompé, ce n’était pas lui, je suis déçue, déçue et vexée, je me blâme, j’ai été trop distante, trop mijaurée, trop menteuse, j’aurais du lui faire plaisir, en lui disant que j’adorais sa main sur ma cuisses.

Il y a un grand décalage entre ce que je veux et ce que j’ai envie, j’ai envie de sa main, mais je ne veux pas, 2 jours plus tard, il arrive, je suis rassurée, pourvu qu’il recommence, qu’il n’écoute pas mes conneries quand je dis que ca ne me fait pas d’effet, je réalise aussi qu’il doit venir plusieurs fois et ne rentre que dans je n’ai personne qui attend, je fini celui que je coiffe, et j’attends avec impatience sa main en me mettant en position.

A la maison, je suis plus à me faire du bien toute seule que de grimper au rideau, si bien que quand il me dit a 2 reprises de défaire les 2 boutons du bas, j’obtempère, une fois fait, bien, approche dit-il en sortant un billet de 50, je fais non, il me dit que j’en ai besoin pourtant, je réponds non pour le billet, mais nos discussion soft du début, ma situation familiale ou mon mari qui croyait gagner plus, avec le prix du loyer, on est plus que perdant.

Prenez, vous en avez plus besoin que moi dit-il, je n’ai pas envie que vous retourniez en province, je suis dans tous mes états, j’ai l’impression d’avoir un gyrophare rose au-dessus de la tête indiquant que je suis excitée comme il n’y a pas, il me demande des réponses franches, et aussi ce que je ressens.

Je suis complètement à sa merci, au diable les convenances, au diable les mensonges, a ses question, je réponds la vérité, que j’aime, que ça m’excite, que je mouille, que je l’attends toujours avec impatience, il me dit, je t’adore, penche toi sur le devant pour me peigner, et de son autre main, il m’attrape un sein, j’ai un léger sursaut ou il fait ne bouge pas, je le fixe dans les yeux ou il lit dedans comme dans un livre, « humm ça te plais ça se voit, il me pinçait le bout du sein.

J’ai toujours eu les bouts sortis, quand je suis excitée, il durcisse, c’est tout, pendant qu’il me prodigue ses bienfaits, je surveille le singe et la porte, je fais celle qui le peigne, personne ne regarde, je le vouvoie, il me tutoie, les bonnes chose ayant une fin, je m’excuse de ne pas rester plus car ça risque de faire louche, disant qu’il comprend et regrette.

Avec mon patron, ma patience s’émoussait et je lui répondais devant les clientes comme lui ne se gênait pas, déjà qu’a la maison, l’humeur n’était pas joyeuse, malgré avoir appris que j’étais enceinte, chose étonnante, je n’étais pas malade, si bien qu’un samedi, ou les 2 mois de remplacement se terminait, il m’annonce ne pas me garder, malgré que celle que je remplaçais ne revenait pas tout de suite.

J’ai voulu lui demander de rester encore une semaine, le temps de trouver autre chose, il me répond que je suis trop sauvage, ce qui signifie que je ne suis pas allé au resto avec lui, aller au resto est le chemin de l’hôtel, accepter est une pré acceptation, je suis mariée et enceinte ai-je répondu, même si ce n’était pas la raison, mais il s’en foutait, au moins là, il était honnête.

Coup de chance, 3 jours après je trouve une place, patron souriant mais au début tous le sont, lui c’est sa femme qui est en maternité, femme de 33 ans et lui 40, je commence le lendemain, qui est un vendredi, les 2 jours se passent bien, le salon est un peu plus petit, les miroirs au lieu d’être sur les coté, sont face à la vitrine, comme j’avais dit que je faisais beaucoup les hommes d’où je viens, il m’a dit que ça tombait bien, lui préfère faire les femmes, moi non, la plupart sont des emmerdeuses qui ne savent pas ce qu’elles veulent, les hommes sont beaucoup plus cool, du moins avec une femme.

Un bon mois se passe, et un mardi en sortant d’une boulangerie ou j’yen vais pour la première fois, je tombe sur mon client coquin, je lui explique pourquoi je ne suis plus la bas, en contradiction avec ce que le singe lui a dit, j’étais soit disant partie un soir et jamais revenue, salaud jusqu’au bout le macaque, je donne ma version plus juste et lui indique ou je travaille maintenant.

Nous discutons sur le trottoir et il me demande, vous voulez que je revienne vous voir, hypocritement je lui réponds, ne suis-je pas votre coiffeuse préféré, répondez moi dit-il, hypocrite encore je réponds a coté, il me dit, « méfiez vous, si je reviens, je pourrais être moins sage, mais dites moi, votre salon est il aussi bien disposé que celui qu’on avait, c’est comment », je lui dis la disposition en disant que c’est presque mieux surtout le jeudi, il y a moins de monde vers 15 heures, vous en avez vraiment envie me dit il, pour me donner toute ses précisions, je dis, c’est vous plutôt. On se quitte en souriant.

Le jeudi, ou à cette heure là, il n’y avait personne, mon patron allait draguer une commerçante qui vendait des tableaux pour mettre des photos, profitant que sa femme était alité, ce qui n’était pas plus mal car la conne c’était elle, voila mon client, il va à sa rencontre, le client dit qu’il a retrouvé sa coiffeuse et que c’est moi qui va m’occuper de lui, j’explique que c’est un client que j’avais dans l’autre salon et qui me préfère.

Tout sourire, je vous laisse dit t’il, en sortant dans le dos du client, il me faisait le signe du téléphone au cas ou il n’arriverait pas aussitôt si quelqu’un entrait qu’il n’aurait pas vu, la vitrine a un rideau épais ou on ne voit pas l’intérieur sauf à faire 2 mètres de haut, il se met sur le fauteuil et vite venez dit-il, espiègle, je dis pour quoi faire, défaites 4 boutons, aller.

Je m’exécute aussitôt, ces moments m’ont beaucoup manqués, chaque demande de sa part est comblée, manque de chance, une cliente rentre, je me mets de dos et cherche a voir si mon patron arrive, ce qui est le cas, il s’occupe de la cliente qu’il connait déjà, la tête mouillée de mon client, je ne lui fais rien, c’est lui qui me caresse, sa main remonte sur mon sexe, mais sans le toucher.

J’ondule un peu, attendant le moment ou je vais recevoir le grand frisson, je le regarde, mes yeux lui demande et il me dit, demande le moi, je dis quoi et il répond, tu le sais bien, allez demande dit-il, je fais oui, oui quoi demande t-il encore, et n’y tenant plus, je lui dis de me faire ce qu’il a envie, il me demande d’être précise et comme il ne fait rien de plus.

je lui dis de me toucher le sexe, tu le veux dit-il, je fais oui, et la sa main remonte, je fais un haa de soulagement aussitôt suivit par un tchoum, pour camoufler mon cri, il me dit a vos souhaits tout en me caressant, mon patron également, il me fini mon orgasme, il n’y a pas que mes cheveux qui sont mouillé me dit-il, avant que je le sèche.

Mon patron et cliente ne peuvent nous voir à cause du mur allant à l’arrière boutique, c’est mieux mais plus dangereux, s’il arrive, je ne le verrais trop tard, il me donne 50 frs, je refuse, il insiste, il me dit qu’il reviendra jeudi prochain, il me demande si c’est ce que je veux aussi, je réponds que oui et il me dit, jeudi, rien sous la blouse, je fais non, il me répète sa demande et va payer.

Mon string est complètement trempé, je vais au vestiaire le retirer et fini la journée sans, j’ai coupé les cheveux à 7 clients ensuite, cela me faisait frissonner de me savoir nue dessous, le lendemain, quand j’ai mis ma blouse en coton je précise, contrairement à l’été ou elle est en nylon, plus fine, le matin, je ne mets ni string, ni soutif, je suis nue dessous.

Ce patron, c’est le seul gentil que j’ai eu depuis que je suis à paris, j’avais déjà regardé sur la porte du vestiaire s’il n’y avait pas un trou pour me mater, mais rien, jamais de geste déplacé sur moi, jamais une quelconque proposition graveleuse, si je ne le savais pas draguer celle en face, je dirais qu’il respecte sa femme enceinte.

Ce qui fait que nue sous ma blouse, je m’occupais des clients et n’empêchait pas les attouchements involontaires ou presque des clients et parfois de mon patron lorsqu’on se croisait entre les fauteuils, a 2 reprises sa femme avait appelé et j’avais dit qu’il était partis chercher un café et thé, quand il revenait, je lui disais que sa femme avait appelé et ce que je lui avais répondu, il a compris que je connaissais la vraie raison, ce qui fait qu’il m’appréciait plus, c’est la première fois que j’avais une espèce de liberté dans un salon, j’étais celle qui entend, qui voit, mais qui ne dit rien.

Le jeudi suivant, mon client VIP arrive, je ne me rappelais même plus de ce qu’il voulait, nue dessous, mais j’y étais, mon patron savait que pour la coupe des hommes, j’étais compétente, je vais me chercher un café me disait il, je répondais d’accord, lui et moi savions ce que ça signifiait, je n’étais pas d’accord pour son attitude mais je ne voyais mes avantages.

le client me dit d'approcher, humm tu es très docile, j’aime ça, toi aussi si j’en juge à l’inondation dessous, il me caresse, continuez dis-je, il me dit, avant, je veux te voir nue, j’ignore sa demande, il me lâche, je fais non, encore, il me dit, mets toi derrière le mur, là, ce mur qui mène aux toilettes et vestiaire.

Cet endroit n’est pas visible lorsqu’on rentre, ensuite je peux aller au WC rapidement sans être vue, il se lève en prenant une revue et me dit, aller montre moi ton corps, tu dois être si belle, après je te ferais ce que tu attends, je retire ma blouse, puis écarte les bras, enlève là complètement, allez complètement, met la à terre, je l’enlève, fichtre comme tu es belle, tourne toi, jamais ne n’ai vu en vrai une aussi belle femme que toi.

Personnellement, je ne me trouvais pas terrible, même si on me disait souvent le contraire, mais jamais je ne l’ai cru, ce client, qui m’avait déjà dit qu’il aurait aimé me violer au début, m’avait dit qu’à son âge, il n’en avait plus du tout les moyens et que là-dessus, je n’avais aucune crainte à avoir.

Il jette un œil dehors, puis vient sur moi pour me caresser les seins et me doigter, la situation me fait peur et m’excite, j’attrape sa tête pour la coller plus fort sur moi et je jouis en criant, après 3 spasmes de plaisir, la raison revient, allez vous asseoir dis-je, je remets ma blouse et je le rejoins pour lui mouiller la tête.

Nous sommes contents tous les 2, j’ai jouis, il m’a embrassé le corps, nous avons fait quelque chose d’exceptionnelle, il me dit que la prochaine fois on recommencera, je dis ho non, ça pourrait ne pas se passer aussi bien, je me remets en position et il devine que j’ai encore envie, je lui tiens la tête pour l’équilibre, il me prend un sein et doigte ma chatte, me donnant 2 autre orgasmes qui me mettent sur les genoux.

Je vais me rafraichir et en revenant, le client était assis là ou sont les revues, mon patron toujours en face, je le regarde sans me faire voir, le client vient derrière moi et me caresse les seins, cela ne dure pas, je vois arriver mon patron, je l’encaisse au moment ou il arrive, ça me gène, je ne lui ai mouillé que les cheveux, et il paie une coupe, mais bon, il ne m’a rien donné, que du plaisir et c’est beaucoup.

Le lendemain, il emmène sa femme qui va accoucher, il me laisse gérer dit-il, je suis fière, je vais diriger le salon, je suis obliger de refuser des personnes, je passe de l’un à l’autre, j’avais eu 3 femmes d’un coup et 2 hommes, le soir la caisse est bonne, je suis fière de moi, je me dis que peut être vais-je devenir non pas patronne, mais être une figure du salon.

Le lendemain, il me félicite et s’il travaille le matin, l’après midi, il va voir sa femme, je ferme même 2 heures plus tard pour faire tout le monde, je suis crevée mais contente, sauf arrivé à la maison ou la bouffe n’a pas été prête à l’heure, à la maison c’est la routine sexuelle, quant routine il y a, au salon, mon patron est là chaque matin ou c’est calme, et l’après midi je suis débordée, le jeudi, mon client coquin arrive, il hésite à rentrer, je sors lui expliquer la situation en lui demandant de revenir le lendemain à 13h05, heure ou je suis seule, mon patron parti voir sa femme.

Voyant que je gère comme il disait, je crois qu’il profite de la situation en me laissant seule et prenant comme des vacances, ingénue que j’étais, je pensais me rendre indispensable en agissant au mieux pour le salon. À 13 heures, mon patron part, j’attends 5 minutes, puis 10, puis 15 minutes où je me dis qu’il ne viendra pas mon coquin, je broie du noir, mon seul jour sexuel de la semaine est foutu, mais je reprends confiance, car le voilà qui apparaît.

J’ouvre avant qu’il ne frappe au carreau, je jette un œil aux alentours, voir si personne ne regarde, je tire aussi le rideau de la porte qui indique qu’on est fermé, le salon est à nous pendant plus d’une demi heure, à peine le rideau tiré, il vient derrière moi et déboutonne ma blouse, je le laisse tout faire, d’ailleurs, je lui dis quand il me demande ce que j’aimerais, « tout ce que vous voulez ».

Ma blouse à terre, il m’entraine sur un fauteuil coté femme, qu’il allonge comme pour le lavage des cheveux, il m’embrasse les seins, le ventre puis je vois ou il va aller, il me lève les jambes et me suce le clito, je peux hurler de plaisir, mon mari actuel m’a dit que pour un homme de 70 ans environ, sucer une chatte de 19 ans, c’est royale, ça l’était pour moi aussi, je ne suis pas certaines d’en avoir déjà eu 10, avec les petits copains que j’ai eu et mon ex mari.

Heureusement que j’étais nue sous ma blouse me dis-je, mon sexe était bien aéré, ma position était inconfortable, mais j’avais la souplesse de ma jeunesse, j’avais un cunni royal d’un homme expérimenté, il me sent partir sur l’orgasme, il stoppe, me laissant en équilibre entre la frustration et l’orgasme, insupportablement excitant, je me démène pour approcher ma chatte de sa bouche, tentative infructueuse.

je le supplie puis d’un coup, il reprend de plus belle, je jouis et il accompagne mon orgasme en le faisant durer le plus longtemps possible, il continue de plus belle et me voila repartie pour un autre voyage, j’ai le cœur qui bat a 100 à l’heure, ces 2 orgasmes sont sur le podium de tout ce que j’ai connu jusqu'à la, pendant qu’il m’embrasse partout, je reprend mon souffle.

Il me caresse, m’embrasse, me disant, tu es belle et tu le seras encore plus, tu verras d’ici quelques années, je passe sur d’autres compliments et me levant du fauteuil, il me demande si j’aime être regardée, ne comprenant pas ce qu’il veut dire, il se met contre le bout du mur du couloir, me colle a lui et me dit, « ne bouges pas, tu sais l’immeuble en face, je n’en étais pas sur, mais maintenant oui, un type au 2eme nous regarde depuis tout à l’heure, c’est un homme de 30-40 ans, je l’ai vu dans le miroir et je l’ai déjà vu sur le trottoir ».

J’essai d’aller me cacher, mais il me tient, ne bouge pas dit-il, laisse le regarder, tu n’as rien à craindre, il ne le dira à personne, il sait qu’il n’a pas le droit et ce qu’il risque, je veux partir, mais il me retient, laisse le regarder, ca ne t’enlève rien, quelle belle femme doit-il se dire, sais tu ce qu’il doit faire en ce moment, le client ne répond pas à mes nombreuses questions, il me tient et me parle, il doit se branler là, imagine le.

Plein de choses me passe par la tête, le client continu à me parler, il se branle de t’avoir vu jouir, c’est beau une femme quand ça jouit, il a pu admirer ton corps comme il doit admirer ton cul en ce moment, tu sais ce que tu vas faire, mais ne te sauves pas, il faut faire comme s’il ne savait pas qu’il a été repéré, ainsi lui non plus fera comme s’il n’avait rien vu, retourne toi lentement qu’il voit tes seins, je t’embrasserais dans le cou, regarde le mais indirectement et discrètement.

Je dis non, mais il me rappelle le tout ce qu’il veut que je lui ai dis, je me retourne et je regarde, mais je ne vois rien, il me dit, allume le plus, je demande comment et il me guide, caresse toi les seins, oui comme ça, continue, ta chatte maintenant, sur un balconnet à fleur, il y a un endroit ou il a ce que je pense être une bouteille, elle est couché, je lui demande si c’est là, ou il y a comme une bouteille, c’est une lunette longue vue me dit-il, il te voit comme si tu étais à 2 mètres de lui.

Continu de te caresser, ne pense à lui que comme un voyeur qui se fait du bien, bien caché afin de ne pas être vu, l’excitation commençait à remplacer la frayeur, quand tout d’un coup, j’entends un bruit de voiture que je reconnais, mon patron arrive, je ramasse ma blouse, je regarde l’heure, ¼ d’heure avant l’ouverture, je lui dis de se mettre sur le fauteuil, j’ouvre le rideau de la porte, je mouille ses cheveux et quant ils rentrent tous les 3, je vais au devant d’eux.

Etonné qu’il y ait un client, après leur avoir dit bonjour, je réponds que j’ai du à 2 reprises le refuser et lui ai dit de venir exceptionnellement avant l’ouverture, ha bon fait-il, je vois sa femme pour la première fois, je souri, elle me détaille de la tête aux pieds, sans sourire, on s’est juste parlé au téléphone, je connais très bien ce regard qui ne m’annonce rien de bon, je fini mon client qui à son regard me dit bonne chance.

La journée se passe bien, le lendemain l’atmosphère est différente, mon patron ne me parle pas, le malaise est palpable, le samedi, les parents de la patronne sont là apparemment, et à midi, la nouvelle maman descend à la fermeture, après mon dernier client, elle me remercie de l’avoir remplacé, nous sommes très content de vous, mais maintenant que je suis rentré, je me sens bien et je peux reprendre le travail, mon après midi et samedi ont été payés, je ne pouvais rien dire.

En partant, les larmes à l’œil, je regarde ce qui ressemble à une bouteille sur la jardinière d'en face, mais je n’ai pas assez de recul pour voir, je suis resté une semaine sans travailler, le jeudi je suis revenue dans la rue, attendre mon client, mais personne, je vois que sur le coté du salon, il y a une entrée de l’immeuble et au dessus les paliers de l’escalier, je les grimpe pour atteindre le 2-ème et demi pour voir le 2-eme étage en face ou il y a le voyeur, il y a bien quelque chose mais ce n’est pas une lunette, d’ailleurs la fenêtre était fermée et il n’y a pas de trou dans la vitre.

Je réfléchie à la raison de m’avoir fait croire à un voyeur, ce n’est que dans la nuit que j’ai pensée qu’il voulait surement savoir si l’idée m’excitait, je suis revenue le samedi pour laisser l’adresse du nouveau salon ou j’étais pour mon client coquin, la femme coiffait un client, mon ex patron une cliente, je lui ai donné mon bout de papier, il a regardé sa femme, il ne m’a pas sourie, ni dit bonjour, encore un homme avec des couilles, en tout cas, je n’ai jamais revue ce client coquin.

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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : mes débuts professionnelles

Le 01/04/2024 - 01:01 par alexandre8819
jadore tu es tres joueuse c'est génial j'aimerais beaucoup jouer avec vous, je suis moi même joueur et coquin bisous alexandre8819@yahoo.fr
Le 14/02/2024 - 20:20 par annizette
je crois que notre vie est façonnée par nos expériences je suis devenue exhibe depuis cet apprentissage avec ce patron voyeur je suis devenue "tripotable" et "effleurable" en public depuis ce client coquin qui a aussi ouvert la porte à "mon 1er amant" et à "aventure en maison de retraite".
Le 05/02/2024 - 15:13 par OlgaT
Une expérience marquante!

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