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Sous la tente du gitan

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 15/11/2022

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J’ai trompé mon mari, pour une nuit de sexe torride.
Je suis mariée depuis un mois, mais vit en couple depuis un an. Cela s’est passé une nuit de juillet.
Je m’appelle Jessie, vingt quatre ans, et Jérémy, mon époux, vingt huit.
Tout a commencé lors de nôtre retour de lune de miel. Les potes de Jérémy, mon mari, nous avaient invité à passer le week-end dans le camping, ou ils avaient loués quinze jours. Un coin très discret, situé dans un petite pinède, à cinquante mètre de la plage.
Fatiguée, ça ne m’enchantais pas plus que ça d’y aller, d’autant qu’il fallait emménager le petit trois pièces que nous venions d’acquérir. Mais sous l’insistance de mon mari, je me laissais tenter. Il ne m’aurait jamais pardonné d’avoir refusé l’invitation de ses potes.
Nous arrivons le samedi matin, et nous joignons aux trois couples déjà sur place. Je remarquais que quatre tentes étaient montées, dont une nous était réservée. J’y jetais mon sac qui contenait le strict nécessaire. Maillots, une nuisette et des effets pour la nuit, une sorti de plage, maillots et bermudas pour mon mari.
Après avoir prit le café, nous nous décidons d’aller nous baigner. Nous avons joués au ballon...attrapes moi si tu peux..etc...de suite, les copains de mon mari, se concentrent sur moi. Faut dire que je suis, paraît-il, plutôt canon, et que certaines épouses me jalousent, et se seraient bien passés de ma présence.
Dès que l’un d’eux m’attrape, ses mains partent à l’aventure de mes seins, ou glissent entre mes jambes, sur ma chatte, sous le regard indifférent de Jérémy.
Après un apéro corsé, nos passons à table. Repas léger, composé d’une salade, d’une tranche de gigot froid, et d’un morceau de fromage. Pendant tout le repas, je sentais les regards braqués sur moi. Certains, en plaisantant, me proposait d’aller faire la sieste avec lui. Il était vite recadré par l’épouse jalouse.
Je les rassurais en leur disant que la sieste, je la faisais avec mon mari chéri.
Pendant la sieste, Jérémy et moi, n’avons pas osé faire l’amour, de peur que les autres couples nous entendent. Nous nous sommes donc contentés de coquines caresses, nous emmenant jusqu’à la jouissance totale.
Puis, après un léger sommeil, nous sommes retourné à la plage.
Est-ce moi qui les ai chauffé, toujours est-il que les époux deviennent plus entreprenant avec leur femme. Elles devienne féline, se pendent au cou de leur cher et tendre, restent soudées à leur lèvres. Leurs mains partent à la pêche d’un oursin, pour celle qui ne sont pas épilées, ou d’une queue bien bandée. Jérémy, lui est allé plus loin. Il m’a carrément mis deux doigts dans la chatte, et m’a branlée.
J’ai discrètement étouffé mon cri de plaisir au creux de son épaule.
Après cet intermède coquin, et après une bonne douche, nous avons commencé à boire. Les packs de bières, et autres disparaissaient à un vitesse vertigineuse. Je m’inquiétais pour Jérémy, qui n’avait pas l’habitude de boire, et qui, malgré mes conseils, s’abreuvait copieusement. Pendant que les femmes préparent les salades et autres crudités, les hommes s’occupent d’aller chercher du bois, pour les grillades.
Pendant tout le repas, mon mari, déjà éméché, ne cessait de vanter ma beauté. Le pire, c’est qu’il prenait des libertés que je ne lui connaissais pas. Il glissait ses mains sous ma robe de plage en éponge, sachant très bien que je ne portais rien dessous.
- Elle est pas belle ma femme, bégayait-il. Qui aimerai la baiser ce soir. Là, sa chatte est sèche, mais elle mouille très vite.
J’étais obligé de calmer ses ardeurs, aidées en cela, par les épouses jalouses de ses potes. Je suis certaine qu’elles aimeraient me voir me faire baiser, mais par un autre que leur mari.
- Pas de candidat, poursuit Jérémy...faudra te contenter de moi ma chérie.
Voyant la tournure des évènements, je lui murmurais à l’oreille qu’on aille se coucher, que j’allais bien m’occuper de lui. Il se leva, et me suivit sous la tente.
- Hé...les gars...bouchez vos oreilles si vous ne voulez pas l’entendre crier...hi...
Le pauvre, dans l’état qu’il est.
On était enlacé en train de se caresser. Il enfouis son visage entre mes jambes, voulant m’offrir un cuni, avec maladresse, au point de ne me faire aucun effet. Il se contenta d’embrasser mes seins. De mon côté, je fis des efforts pour raviver la flamme. Je pris sa queue en bouche, la suçais pour lui donner de la vigueur, en vain. Elle restait toute flasque. Je finis par renoncer.
Deux minutes plus tard, il tomba dans les bras de Morphée, dans un ronflement d’homme ivre. De mon côté, impossible de dormir, frustrée de ne pas avoir eu un câlin digne de ce non. J’enfilais ma robe en éponge, et décidais d’aller faire un tour. Je sentais une légère brise s’engouffrer sous ma fine robe, caresser mon corps nu sous le vêtement.
Le ciel était dégagé. Seul quelques nuages noirs se profilaient à l’horizon.
De loin, sur les rochers, j’aperçois une faible lueur, et un air de guitare.
« Jeux interdits », rien que ça. Je m’approche de la petite lueur, qui n’est autre qu’une lampe, et découvre, de dos, un homme assis, en train de jouer la célèbre mélodie. Il a les cheveux noir jais, tombant sur les épaules. Je dirais qu’il fait partie d’une communauté gitane.
- Bonsoir, lui dis-je, c’est beau ce que vous jouez là.
- Bonsoir, me répond-il en se retournant, ça vous plaît..
- Magnifique…je peux m’asseoir?
- Bien sûr...
Je ne peux pas dire que nos premiers échanges soient d’une grande originalité, mais la façon dont ce garçon s’exprime sur son instrument, avec un mélange de délicatesse et d’assurance, m’attire. Mon instinct me dit très vite qu’une alchimie est possible entre nous. Nous parlons de nos goûts, de nos vies, de nos envies, de nos aspirations. Il me dit être célibataire et rejoindre les Saintes Maries de la mer, pour le pèlerinage gitan. Moi je lui avoue être mariée depuis deux mois. Soudain, de fortes gouttes frappent nôtre visage. Il ramasse lampe et guitare, et me propose de s’abriter sous sa tente.
Je devrais avoir peur, et pourtant je le suis, dans la plus grande insouciance, l’esprit léger. J’ai soif de liberté et de découverte ce soir.
Une petite boule me noue l’estomac. Je perçois une légère réserve chez lui, mais il m’a prévenue qu’il était plutôt du genre discret. Nous échangeons quelques mots, quand il me prend la main, la fixe.
- Je tiens cela de ma grand-mère, me dit-il. Lire les lignes de la main.
- Dites-moi...j’ai hâte de savoir.
- Je vois une nuit agitée, poursuit-il en m’allongeant sur son duvet.
Il me touche, il entrevoit mes formes et ça lui plaît. Je suis assez pulpeuse, alors oui j’ai une belle poitrine et de belles fesses, de belles hanches, misent en valeur par la nuisette, qui mouillée par la pluie, colle à ma peau.
Je me sens en totale confiance et me laisse aller.
Je devrais avoir honte mais n’y arrive pas. Mon mari est en train de cuver son vin, et moi je suis sous la tente d’un inconnu, à moitié nue.
Ses yeux parcourent mon corps, le scanne.
Il se tient à genoux devant moi, mon visage à la hauteur de son sexe. Je passe ma main sur son bermuda, je le sens durcir instantanément.
Trop à l’étroit, il retire son short. Ça queue est plus longue, plus épaisse que celle de mon mari. Je la caresse, le prends dans mes mains puis sans réfléchir le porte à ma bouche. Il durcit et gonfle encore davantage au contact de mes lèvres. Je sens sa surprise, j’ai peut-être été trop rapide, je l’ai pris de court, mais c’était plus fort que moi. J’adore la fellation, ça m’excite. Il va avoir celle que je n’ai pu faire à mon mari.
Je le suce doucement avec joie. J’aime le goût de son sexe, je sens que ma chatte déjà mouillée est désormais trempée.
Je lèche son gland décalotté, nos regards se croisent, il m’allonge sur le duvet, m’embrasse et me murmure.
- Tu fais ça pour me faire plaisir ou tu aimes ça ?
- Les deux, je lui répond, j’aime ça et je veux te faire plaisir.
Je guide sa main jusqu’à ma chatte, il découvre que je suis trempée, me caresse et enfonce deux de ses doigts en moi. Je prends son sexe dans mes mains quelques secondes, puis je le sens qu’il se retire et il me murmure.
« Nous avons tout notre temps. »
Alors je me cale sur son rythme et ralentis la cadence. Il me confie qu’il n’a pas eu de relation sexuelle depuis plusieurs mois et qu’il veut savourer chaque instant.
Il m’embrasse à nouveau, je le sens cette fois-ci beaucoup plus entreprenant. Il a réussi à dompter son désir et le voilà tout en assurance qui enlève ma robe de plage. Il découvre mon corps entièrement nu. Il se penche et embrasse mes superbes seins. Il y fourre sa tête, sourit et nous rions ensemble. Je découvre ses épaules et son dos au contact de mes mains. Nous sommes tous deux un peu émerveillés de ce cadeau que nous offre cette rencontre.
Je réapprends le bonheur d’apprivoiser chaque centimètre du corps de mon partenaire. Il me couvre de caresses puis me lèche. Je sens sa langue jouer avec mon clitoris.
Habituellement, il me faut de très longues minutes pour peut-être atteindre l’orgasme. Mais là, très vite, je sens les spasmes parcourir mon corps, j’ai totalement lâché prise. Pendant la relation, je suis souvent à me demander si ce que je fais est bien, si je suis désirable, si je ne devrais pas plutôt faire autrement. Mais là rien, je m’abandonne, je frissonne… Mes cuisses et mon ventre se crispent de plaisir… Je jouis et je crie mon bonheur.
Il me regarde avec assurance, pose ses mains sur mon visage puis sur mes seins, il ne peut plus attendre et moi non plus. Il saisit mes cuisses et doucement me pénètre. Je sens son sexe s’enfoncer en moi, c’est doux, calme et très intense à la fois.
Je m’offre aujourd’hui nue à un inconnu, à la simple lueur d’une lampe, et ne ressens aucune gêne, je suis bien. Après cette délicate entrée en matière, le moment se fait plus fougueux. Il accélère les va-et-vient, saisit mes poignets et utilise des mots crus, qui m’excitent encore plus.
- Je vais te baiser comme ça toute la nuit ».
Il se redresse, place mes jambes sur ses épaules et me baise avec de violents coups de reins. Je crie à nouveau, ses mains se resserrent sur mes chevilles, il jouit une première fois, lâche mes jambes et s’écroule à coté de moi. Nous restons tous les deux allongés côte à côte en silence, j’écoute sa respiration qui doucement se calme.
Je pensais qu’il faudrait attendre un peu plus de temps, mais je vois que mon partenaire n’a aucun problème à enchaîner. Il me lèche avec fougue et me doigte en même temps, je n’ai plus aucune retenue, je gémis et crie mon bonheur. Je saisis sa queue pour la branler, doucement puis plus vivement.
J’ai envie qu’il me prenne encore. Je lui glisse à l’oreille.
- Baise moi encore, s’il te plaît .
Je me suis empalée en une longue, lente et douce poussée. Il ne bouge pas et, pourtant, même immobile, il me procure des sensations infernales. J’ai l’impression de sentir le sang affluer dans sa queue. Mon ventre est en feu. Et la boule de plaisir qui y loge ne cesse de grossir et d’irradier mon corps. Une seule ondulation du bassin suffit à me transporter à deux doigts de l’orgasme. Je suis tiraillée entre l’envie de faire durer et celle d’exploser de suite. J’essaie un mouvement de va-et-vient. C’est terrible, délicieux, merveilleux…Je recommence et c’est encore mieux, encore plus fort. Mon gitan pose ses mains sur mes seins et ça suffit à m’électriser d’avantage. Oui, c’est ça...je suis électrique. Je suis le cœur d’un réacteur en pleine fusion. La pression devient énorme. Mes cris sont une soupape insuffisante… ça vient, ça monte, ça enfle, ça…explose dans un puissant orgasme…
Je peine à retrouver mon souffle et mes esprits. Un regard, et m’aperçois que mon partenaire est encore tout surpris de ce à quoi il vient d’assister.
Je lui fais comprendre du regard que tout va bien.
Il me retourne, attrape mes fesses, me met plusieurs fessées. Je n’aurai jamais pensé que cet homme doux et discret se révélerait aussi bestial, ça me plaît d’autant plus. Il me prend en levrette, j’adore ça. Il attrape mes cheveux, je sens son excitation monter encore d’un cran.
- Je vais t’en mettre partout, me murmure-t-il avant de retirer son sexe et d’éjaculer sur mes fesses. Je sens son sperme couler dans mon dos, il l’étale en me caressant. Je me retourne il sourit et s’écroule à nouveau à côté de moi.
Malgré la pluie, je file à la mer pour me rincer, et le rejoins dans le duvet. J’ai l’impression qu’il s’est endormi. Je pose ma tête sur son torse et lui glisse.
- Surtout si tu veux que je te laisse dormir, dis-le moi
Il ne répond rien me prend dans ses bras, m’embrasse, me caresse. Je le caresse à mon tour. Nous ne nous arrêtons pas
J’ai l’impression qu’on ne s’arrêtera jamais. Je descends sous le duvet pour le sucer. J’adore sentir ses réactions au passage de ma langue ou de mes lèvres, je fais durer ce plaisir partagé.
Je me rallonge contre lui. Il m’embrasse fougueusement, me dit qu’il adore ma bouche, je lui demande alors si l’idée de jouir dans ma bouche lui plairait. Il n’a pas besoin de me répondre, je comprends tout de suite qu’il en a très envie. Il revient derrière moi pour me pénétrer à nouveau, ses gestes sont à la fois directifs et appliqués.
Il me caresse, me baise, innove en me prenant le petit trou, fait tout pour que je prenne du plaisir, et c’est plutôt très réussi. Le plaisir est intense et la situation m’excite tellement que je jouis à nouveau. Il n’en faut pas plus pour que l’excitation l’emporte, il se retire et m’appelle. Je le prends dans ma bouche délicatement, je décalotte intégralement le gland, parcours son énorme bite de haut en bas. Il se met à joué « Jeux interdit » tout en se vidant de son sperme dans ma bouche. J’avale tout, nettoie le gland de mes lèvres pulpeuses, l’enroule autour de ma langue, et embrasse sa queue avant qu’il m’embrasse à son tour.
Je deviens chienne. Il me rend folle et me met dans des états incroyables. Pour ma première infidélité, j’ai rarement joui comme ça. Cette façon qu’il a de jouer avec moi, son déhanché, son coup de rein qui peut être aussi bien langueur qu’ardeur, voire fureur. Je prends tellement de plaisir, que j’en oublie tout, tous mes tabous. Jamais je n’avais supplié un homme de me "baiser" ni de "m’enculer", jamais je n’aurais imaginé gémir de plaisir en sentant mon partenaire jouir dans ma bouche, jamais je n’aurais pensé laisser une queue pénétrer mon petit trou.
Il est quatre heures du matin, nous nous endormons l’un contre l’autre.
Au matin, je me lève, enfile ma nuisette. On s’enlace et s’embrasse tendrement, puis je le quitte. Je dois maintenant rejoindre la tente, ou m’attend peut-être mon mari. Je l’ai trompé, c’est vrai, après seulement deux mois de mariage, et ne le regrette pas, tant j’ai pris du plaisir.
Je ne sais si cette nuit restera unique, ou si ma vie sera parsemée d’autres aventures aussi intense.
Ce dont je suis sûre, c’est qu’avec lui, j’ai vraiment pu être moi-même et jouir en une nuit, plus qu’en un mois avec celui qui est devenu mon mari.
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Commentaires du récit : Sous la tente du gitan

Le 17/11/2022 - 20:51 par Jacques du Canada
C’est certain que vu comme ça vous êtes bien chanceuse d’avoir eu une telle expérience. Mais la vie étant ainsi faite, il va toujours y en avoir un qui fera mieux que l’autre. Par contre seul l’amour de votre vie vous rendra heureuse tout au long de celle-ci. À jouer à ces jeux dangereux vous gagnerez sur un point mais vous perdrez le plus important. L’avenir est tout proche vous la vivrez bien prochainement
Le 16/11/2022 - 22:11 par OlgaT
Une histoire torride! Bravo

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