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Sur la plage, j'ai eu envie

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 29/01/2024

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J'ai envie de raconter ma seconde aventure avec un homme.
En 2018, j'étais Sur la cote d’azur, chez des amis. Nous avions décidé d’aller nous balader sur le sentier du littoral, mais quelle ne fut pas ma surprise lorsque je me suis aperçu que le sentier bordait une plage naturiste qui évidemment n'est fréquentée que par des hommes.
Ce serait juste une anecdote sans intérêt si je n’avais pas décidé d’y retourner une fois seul ! Je prolongeais donc mon séjour, prétextant une brouille avec ma compagne. Mes amis reprenaient le boulot le à la fin du we.
Je me suis donc réveillé le lundi suivant, déterminé à retourner sur cette plage. à 13h malgré mon ventre noué par le trac, je prenais un petit sac sur l’épaule, et je me mettais en route. La dite plage s’appelle plage du Bau rouge, il faut prendre la voiture, emprunter une petite route sinueuse, se garer là où on peut et descendre le long d’un sentier escarpé. Une fois arrivé en bas, il faut encore trouver un endroit où l’on puisse être à l’abri du vent. Si le soleil était bien là, le mistral s’était invité aussi. J’étais parti tôt pour pouvoir retrouver un endroit que j’avais repéré la semaine d’avant, une petite alcôve entre deux rochers qui laisserait venir les rayons de soleil en me protégeant du vent. Je voulais être installé avant que d’autres promeneurs n'arrivent.
Je me suis complètement déshabillé et me suis allongé nu sur les rochers. l’endroit était tranquille, calme et paisible. Cela m’a beaucoup plu. Au bout de quelques minutes, Je ne me sentais plus exposé et fragile, mais plutôt serein. Une vingtaine de minutes passe, des hommes commencent à passer aux alentours. D’abord un gars qui s’installe à une vingtaine de mètres de moi. Il est caché par des rochers, il me faut relever la tête pour le voir, Il sait que je suis là, mais semble attendre. Un type s'approche, me demande du feu, me dévore du regard, mais ne me laisse pas le temps d’engager la conversation, il s’éloigne.
Le temps passe, je vide mon esprit, Je m’immerge dans cette nature, le soleil, la mer, les rochers, le vent (le feu, l’eau, la terre, l’air!). Je me plonge dans mon bouquin, et décide d'ignorer les mateurs qui passent sans m'aborder. Cette sensation d’être regardé est plutôt plaisante. Je ne fais rien d'invitant ou de provoquant. Je jette un œil quand je tourne la page dans l'espoir d'une approche qui pourrait me mener je ne sais où.
Vers 16 heures les nuages ont commencé à voiler le soleil. ma situation n’est plus aussi agréable et décide donc de partir. Je longe donc cette plage à rebours, en recherchant le sentier qui me ramènera à ma voiture, mais je me perds, ne retrouvant pas le sentier. Au bout de quelques pas, je tombe presque « nez à nez » avec un homme qui a ouvert son pantalon, et laisse entrevoir une érection qui ne me laisse pas indifférent, je sens mon sexe durcir. Mais je continue ma route pour m'apercevoir que la plage se termine quelques mètres après et que je suis obligé de faire demi-tour.
Je repasse donc devant le gars qui est debout adossé à un rocher. Il est à quelques mètres, porte des lunettes de soleil, je ne vois pas ses yeux. Je regarde son gland qui dépasse de son caleçon. À cet instant, il y eu une espèce de déclic, j’ai arrêté de réfléchir, de penser. Quelque chose s’est emparé de moi. C’était maintenant ou jamais…
Je me suis approché de lui, il m’a souri, j’ai demandé si je pouvais toucher, il a acquiescé en baissant son slip et en me dévoilant sa verge. Il avait une belle bite, plutôt longue avec un gland plus gros que le corps. j’ai pris sa bite dans ma main, et j’ai commencé à la caresser, à la palper, il ne disait rien, je voyais juste le sourire énigmatique de cet inconnu. Je n’ai rien dit mais je reconnaissais au toucher ce sexe d’homme que j’avais tant de fois imaginé. Il n’était pas très ferme, pas très tendu, pas très raide, mais il était dans ma main et cela m'a fait chavirer, basculer dans un autre monde.
Dans cette fraction de seconde ou je me décidais à aller vers lui, tout ce que je suis « en temps normal » à été mis de côté. J’ai ouvert la porte à un autre moi. je sais pas comment l’expliquer. Là, debout, face à cet homme inconnu avec son sexe dans ma main.
La situation était extrêmement troublante pour moi, pourtant sans beaucoup plus d’hésitation, je me penchais sur son sexe. lorsque mes lèvres entrèrent en contact avec son gland, je fût comme transporté. Ce geste que j’avais tant imaginé, fantasmé, depuis ma première fois devenait réalité, prenait forme, prenait corps. je passais ma langue sur son gland et quelque chose me disait que j’aimais cela, que j’en avais envie! Quand j’ai commencé à avaler son sexe et à le sucer, j’étais fou d’excitation, je commençais à envisager d’autres choses, à penser:" jusqu’où pourrais-je aller? "
J’ai eu envie de me mettre à genoux devant lui. J’avais peur et pourtant envie que quelqu’un d’autre arrive et me (nous) surprenne. Très peur, et très envie! Cette éventualité me faisait bander, mais mon sexe était comprimé dans mon short. Il a posé ses mains sur mon crâne pour imprimer un rythme et cela ne m’a même pas dérangé . j’étais disposé à l'emmener, à le guider vers le plaisir (en n’oubliant pas les précautions d’usage mais je laisse ça de côté car c’est trivial! ) .
Pendant quelques instants, je me suis senti prêt à tout! à le pomper comme un dingue, à me faire prendre. Je voulais tout lâcher, et me donnais la (potentielle) liberté de sucer toutes les queues qui se seraient présentées à moi, de donner du plaisir à tous les corps qui seraient venus s'offrir. Je n’avais plus de limites, j’aurais pu me laisser aller n’importe où! L’éventail des possibilités qui se bousculaient était comme enivrant. J’avalais sa bite avec une sorte d’acharnement car la crainte d’être surpris me nouait, et m'excitait. Au bout de quelques minutes, je repris mon souffle et mes esprits. Je le suçait plus langoureusement, avec application, léchant sa verge sur toute sa longueur, enroulant ma langue autour de son gland. Je savourais goulûment ce sexe que je sentais gonfler, se dilater. Je voulais qu'il remplisse ma bouche. J'étais transporté par le sentiment de pouvoir que me procurais le fait de tenir cet inconnu sur le bout de ma langue. Sans un mot, il avait l’air d’apprécier!
Il a passé une main sous mon t-shirt, commencé à me caresser la poitrine , les tétons, mais j’ai pas aimé ces caresses. j’ai essayé de les esquiver, mais très vite, elles sont devenues insupportables. Au point que je me suis interrompu, il m’avait fait sortir de mon délire, m’avait ramené à la réalité. Soudain la situation m’est apparue un peu glauque et sordide! Je décidais de partir, rejoindre ma voiture et rentrer à l’appart.
à peine arrivé, je me suis enfermé dans la chambre d'amis, je me suis masturbé frénétiquement, presque violemment (comme pour exorciser un truc) submergé par les émotions que je venais de vivre. Une fois que ma semence avait coulé sur mon ventre, je me suis senti apaisé. J’ai jouis et j’ai tout rangé dans un tiroir de ma tête.
Plus tard, j’ai réalisé que c’était un test que je venais de me faire passer. Cet homme ne me plaisait pas plus que ça, c’était juste la situation qui était excitante. J’avais mis de côté mes « exigences » pour savoir si j’avais toujours envie de cela. Cela m’a confirmé que j’aimerais bien « faire l’amour » avec un homme mais que ça ne pourrait pas être n’importe qui! (Cela dit, j’aimerais bien que ça arrive un jour!) En attendant, je cherche l'opportunité d'aventures qui soient pas dégradantes et décevantes.
J'avais lu dans un bouquin dont j'ai oublié le titre "Tant que l'excitation est là, on n'est plus soi-même. Pendant l'instant de la rencontre, on est une autre personne et tout est plus direct qu'avec une femme." dans un sens ça m’a parlé!
J'ai pris énormément de plaisir lors de ces deux rencontres. Certainement parce que c'était nouveau, particulier, inattendu et aussi parce que je pouvais me laisser aller vers quelque chose que je ne suis pas dans la vie de tous les jours. Ça permet de se vider la tête.
Alors oui, pendant quelques instants, il n’y avait plus rien. Que moi sur cette plage, et ce sexe d’homme qui me faisait envie (presque par transgression, )
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Histoire de Desiderium

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Commentaires du récit : Sur la plage, j'ai eu envie

Le 31/01/2024 - 09:05 par OlgaT
Un beau texte sur la bisexualité masculine!
Le 29/01/2024 - 17:41 par Sexty53
Bonjour très jolie histoire vas-y c'est très agréable quand tu trouves la bonne personne, faire l'amour avec un homme c'est bon, pas baisers mais faire l'amour partagé le sexe. Je suis comme toi marié

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