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Sur la route des vacances

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 13/09/2022

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‌Enfin, le jour du départ en vacances était arrivé. Victor et Amandine avaient chargé la voiture, placé leurs enfants sur le siège arrière et mis le cap sur le mobil home loué pour une quinzaine au bord de la mer. Comme il faisait déjà chaud, Victor conduisait en short et Amandine avait ressorti de l'armoire sa mini robe à dos nu nouée derrière son cou, exhibant la peau blanche de ses cuisses. Prototype de la petite blonde menue et bien proportionnée, on lui trouvait souvent une ressemblance avec l'actrice Isabelle Carré, ce qui la flattait. Victor arborait ses premiers cheveux blancs de proche quadragénaire dans sa tignasse châtain et quelques poils argentés pointaient déjà dans sa barbe.

Il trompait la monotonie de la conduite sur autoroute en jetant de temps à autre un oeil sur les cuisses de son épouse, savourant à l'avance le moment déjà prévu où il se glisserait entre elles pour faire l'amour et fêter leur première nuit de vacances; C'était une sorte de rite où tous les deux se conformaient avec joie, une fois leurs enfants endormis. Il ne résista pas à l'envie de caresser cette peau tendre de la main droite tout en tenant le volant de la main gauche. D'abord touchée par cette marque de tendresse, Amandine réagit cependant quand la main s'aventura un peu trop haut :
- Arrête, regarde la route, tu t'échauffes pour rien et tu nous mets tous en danger.
Néanmoins, Victor suivait son idée. Le moment de s'arrêter pour pique-niquer se précisait. Plutôt que s'arrêter sur une aire d'autoroute surchargée, il décida de prendre la tangente, et de chercher un coin plus agréable. Amandine l'approuva, quitte à rallonger un peu le voyage. Après quelques tâtonnements, ils finirent par trouver en pleine campagne un lieu boisé au bord d'une petite rivière, idéal pour un pique-nique. Amandine sortit le panier déjà préparé, étala la nappe prévue et le déjeuner sur l'herbe commença. Victor avait la vue largement découverte sur les cuisses de son épouse et aperçut même son string. Déjà électrisé par ses petits seins pointant sans entrave sous la toile légère du dos nu, il se dit que, non, il ne pourrait pas attendre le soir. Les deux enfants s'étaient déplacés au bord de la rivière pour bâtir une espèce de barrage. Victor en profita pour se déplacer derrière Amandine et glissa ses main à l'intérieur du dos nu pour empaumer ses seins. La réaction de son épouse fut vive :
- Qu'est-ce que tu fais ? Tu crois que c'est le moment ? Tu ne peux pas attendre ce soir ?
- Je bande comme un dingue. Je te promets 20 cm. Là, maintenant.
- Non, arrête, pas avec les enfants à côté.
- On n'a qu'à aller derrière, ils ne nous verront pas et tu vois bien qu'ils sont occupés.

Et tout en devisant, il continuait à caresser Amandine, à lui filer quelques bisous dans le cou. Il la sentait mollir. Il connaissait suffisamment son épouse pour savoir que quelques caresses bien placées finirait par vaincre sa résistance. Très sensuelle, en particulier au niveau des seins, elle capitulait presque toujours devant la perspective d'une pénétration vigoureuse qui la ferait immanquablement jouir. La promesse d'une grosse bite avait déjà commencé à la faire mouiller. Depuis ses deux accouchements, elle aimait de plus en plus l'organe plantureux de Victor qui, au début de leur liaison, avait connu quelques difficultés à trouver sa place, au moins à l'entrée. Elle jeta un oeil sur ses deux enfants, il est vrai très occupés à leur barrage.
- Bon, d'accord, mais vite fait, hein ?

Elle fourragea dans le coffre et en sortit une serviette de bain et le couple s'enfonça dans les frondaisons. Marchant derrière elle, Victor lui palpait déjà les fesses. Il adorait son petit cul bien rond, bien ferme, que le string laissait à découvert. Il triquait déjà. Amandine étala la serviette, dénoua son dos nu, apparut en string et arrêta son mari lorsqu'il voulut déboutonner son short.
- Non, ça c'est pour moi.
Comme beaucoup de femmes, Amandine considérait que libérer le pénis de ses entraves constituait son premier plaisir, un peu comme celui de monter l'escalier pour les hommes. La langue entre les lèvres, elle baissa ensemble short et slip et l'objet de son désir surgit comme un diable de sa boite, tendu, turgescent, déjà volumineux. Victor la vit l'engloutir, le short encore sur les chevilles, croisa son regard énamouré de femelle prête pour l'amour. Il avait eu bien raison de ne pas attendre le soir. Elle avait à l'évidence une grosse envie de baiser. Il l'observa faire glisser son string le long de ses cuisses et se débarrasser de ses sandales, s'offrir totalement nue, la bouche humide et le regard allumé :
- Allez, viens ! Tu en as très envie et moi aussi. Fais-moi jouir.

Elle ne pensait plus qu'à la bite, qu'elle saisit à pleine main pour la guider vers sa cible. Il entra en elle très facilement, la faisant immédiatement couiner et croiser ses chevilles dans son dos. Forte de cet appui, elle venait à sa rencontre avec toute son ardeur de femme amoureuse, de surcroit surexcitée par cet impromptu agreste. Victor n'était plus seulement son mari, il était aussi son amant qui la baisait en pleine nature comme une maîtresse adultère. Malgré son injonction préalable d'en finir vite avec ce coït, Victor comptait bien ramoner Amandine le plus longtemps possible tant elle manifestait de l'enthousiasme à ses coups de boutoir. Il l'invita à venir sur lui pour lui offrir le spectacle de la femme qui baise, les hanches mouvantes, le nombril instable, les seins dressés (qu'il excitait du doigt), la bouche en banane et le regard extasié.
- Montre-moi ton cul.

Elle se retourna sans moufter et la vue de sa raie dansante sur l'axe rigide de sa queue l'aurait fait éjaculer si cette position n'avait pas eu la vertu de diminuer le frottement et ainsi de prolonger encore leurs ébats. Il l'entendait gémir, la tête rejetée en arrière, ses cheveux blonds cascadant sur le haut de son dos. A l'évidence, cette position la vue sur les arbres et la bite bien enfoncée la ravissait. Elle se retira après avoir connu un orgasme qui la fit frissonner, à en juger sur la chair de poule sur ses fesses. Il eut alors une furieuse envie de l'enculer.
Elle aimait être prise en levrette, a fortiori avec une vue sur la nature pendant qu'il la possédait et elle se mit à quatre pattes sur la serviette sans faire de manières. Il commença à la besogner les mains sur les hanches, la laissant venir à sa rencontre, signe de sa totale adhésion qui, décidément, ne se démentait pas. Il se disait qu'il y avait un certain temps qu'elle n'avait aussi bien baisé. Quand il se retira pour positionner son gland sur son petit trou, elle se retourna vers lui, le regard noyé de plaisir :
- Fais-le mais d'abord, lèche-moi.

Cela faisait encore partie de leur rituel amoureux. Amandine acceptait d'être sodomisée seulement si Victor explorait son anus de sa langue. Elle lui avait avoué un jour que cela lui procurait un plaisir particulier, qu'elle n'aurait jamais avoué. Qui en effet aurait imaginé que cette petite femme plutôt discrète dans la vie, archétype de la mère et de l'épouse modèles, avait un faible pour l'anulingus ? Après l'avoir copieusement explorée et humidifiée en lui écartant les fesses, il s'introduisit avec précautions, passa sans trop de difficulté l'obstacle des sphincters, et s'engagea le bas-ventre contre sa croupe, ses grosses couilles battant contre la chatte. La nuque redressée, Amandine accompagnait les coups de boutoir en roulant des hanches, lâchant quelques exclamations sonores à faire envoler les oiseaux alentours. Tout en besognant, il lui lâcha à l'oreille :
- Tu baises ?
- Ahoh, oui, je baise !
- Tu es bien baisée ?
- Mmmmh, ouiiii ! Continuuue !
- Tu aimes te faire enculer ?
- Houuu ! J'adooore ! T'arrête pas !

Les peaux claquaient sous les frondaisons. Mais quand Amandine glissa une main entre ses jambes pour lui attraper les couilles ballottantes, Victor ne se retint plus. C'était le signal de son épouse pour qu'il éjacule dans son rectum. Le nez sur sa nuque, il rua et la posséda comme une chienne tandis qu'elle s'aplatissait sur ses coudes puis, alors qu'il giclait, carrément à plat ventre, étouffant ses cris dans la serviette. Ils avaient joui ensemble.
Ils se détachèrent lentement, reprenant leur souffle. C'est alors qu'Amandine se redressa sur son séant :
- Mon dieu ! Les enfants ! On les a complètement oubliés.
Elle enfila prestement sa robe sans même son string que Victor ramassa, chaussa ses sandales et sans attendre son mari, courut vers la rivière. Elle poussa un gros ouf de soulagement en constatant que sa fille et son frère jouaient toujours au bord de l'eau. Mais elle resta sans voix quand celle-ci lui dit :
- Maman, pourquoi tu as pris une serviette pour aller chercher des champignons ? Vous en avez trouvé ?
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Commentaires du récit : Sur la route des vacances

Le 14/09/2022 - 10:42 par frcamalu
merciii du partage , agréable a lire , comme dit @OlgaT , il ny a pas de mal a se faire du bien :)
Le 13/09/2022 - 20:31 par DBHB24
Merci pour ce joli récit très plaisant à lire. Comme le dit si bien Jean de la Fontaine: "Amour amour quand tu nous tiens, on peut bien dire: Adieu prudence!"
Le 13/09/2022 - 14:20 par OlgaT
Une très belle histoire de plaisir conjugal, sur la route des vacances. Victor et Amandine n'ont pas pu attendre. Comme on dit: " il n'y a pas de mal à se faire du bien!"

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