ACCUEIL > Hétéro > Récit : La kermesse des écoles

La kermesse des écoles

+49

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 5 - Histoire postée le 16/09/2022

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Je m’appelle Sandrine, et vais vous raconter un passage tourmenter de ma vie.
J’ai vingt huit ans, mariée à Rémi depuis quatre ans, et avons un enfant âgé de deux ans. Mon mari travaille à le maison en sur ordi, pour une entreprise d’import/export. Ce qui lui permet de garder nôtre petit garçon, sans avoir à payer une nounou.
Quant à moi, je termine ma deuxième d’institutrice au collège «Jules Ferry ».
Je dois avouer que, sans m’envoyer des fleurs, je me trouve assez jolie.
Un mètre soixante douze, cheveux blonds cendrés, un corps ou il n’y a pas grand chose à jeter, bref toute la panoplie pour attirer l’attention des mâles en recherche d’aventures.
Cette année, on ma demandait de prendre charge organisation de la kermesse de l’école. Une tache considérable, aussi faisions nous appel aux parents d’élèves, à toute les bonnes volontés. Même le lycée attenant à l’école nous a envoyé de jeunes étudiants.
C’est à l’occasion d’une réunion de parent d’élèves, que j’ai rencontré Marc, environ soixante ans, très charmant. Il me dit être plutôt bon bricoleur, et bourré d’idées de décos. Il me dit aussi, accepter tous les petits boulot, pour survivre aux besoins de sa fille, qu’il élève seul.
Au fil des réunions pour répartir les taches, Marc et moi, nous somme rapprochés, finissant souvent nos réunions en tête à tête. Un soir, nous nous sommes retrouvés à l’infirmerie, lieu provisoire de stockage. C’est là qu’il me dit être séparé, qu’il vit seul avec sa fille, et qui l’avait définitivement tiré un trait, sur une relation durable. Dans ma tête, je me disais que c’était vraiment dommage.
Petit à petit, l’amitié qui s’était crée entre nous, se transforma en relation plus sérieuse, quand après une réunion, nous retrouvions à l’infirmerie. Il s’approcha de moi, et me coinça contre le mur. Il prit mes lèvres pour un tendre baiser. Surprise, je n’eus même pas le déclic de le repousser. Ce n’est que quand il a passé une main sous mon T-Shirt, caressant un sein, que j’ai réagi, en lui disant que j’étais mariée, et que j’aimais mon mari. Il s’excusa, et on en resta là.
Le lendemain, j’en parlais à Claire, ma meilleure amie, qui me dit de faire attention, que ce n’est peut-être pas l’homme qu’on croit. Je devais rester sur mes gardes.
Le soir, en donnant le bain à mon petit garçon, il me semblait sentir la douceur des lèvres de Marc sur les miennes, sa main titiller le bout de mon sein. Une fois le bain terminé, je trouvais l’excuse d’une lourde fatigue, pour dire à Rémi, que j’allais me coucher. Ma nuit fût agiter, ne cessant de penser à Marc.
Le lendemain, après les cours, nous reprenons nos activités pour prépare le fête. Je trouvais Marc très courtois, voire distant. En même temps, il avait dit qu’il ne voulait pas s’engager dans une relation, ayant été déçu par son mariage. Mais voila, au fur et à mesure de nos réunions et travaux, je me sentais de plus en plus attirée physiquement par cet homme. Au point que pour nôtre prochaine séance de travail, je décidais de mettre les atouts de mon côté, pour attirer Marc.
J’avais pour l’occasion un short moulant, et un T-Shirt., que la pointe de mes seins, dépourvus de soutien gorge, tendaient fièrement.
Marc me trouva montée sur un escabeau, en train de fixer des guirlandes. Sans un mot, il s’approcha de moi, posa une main sur un mollet. Je fit mine de sursauter, mais ne refusais pas la caresse. Puis la main monta lentement le long de mes jambes, jusqu’entre mes cuisses. Un doigt écarta le short, pour arriver à l’orée de ma fente. J’étais tétanisée, mais curieuse de voir la suite. Comme pour l’inviter à poursuivre, je mis une jambe sur la plus haute marche, pour faciliter l’accès à mon intimité. Je compris que le message étai passé, quand un doigt ouvrit mes lèvres intimes.
- Mais que faites-vous...arrêtez…
- Dites-moi pourquoi vous êtes toute mouillée…
- C’est vôtre faute…oh mon dieu…
Cet homme me rendait folle. D’une main, j’écartais mon short pour libérer ma chatte, afin qu’il puisse en disposer à sa guise. Ce salaud faisait rouler mes lèvres intimes, décalottait mon clitoris qu’il faisait rouler lui aussi. Puis deux doigts pénétrèrent ma chatte. Ils se mirent en mouvement un instant, puis stoppèrent sans prévenir. C’est moi qui pris le relais, montant et descendant sur ces doigts qui me donnaient tant de plaisir. Soudain…
- Regardais ce que vous me faites...vous me faites jouir...salaud.
Marc me rattrapa quand je vacillais sur l’escabeau. Il me reçu dans ses bras.
- Je suis désolé Sandrine me dit-il en s’éloignant.
Je partais vite à l’infirmerie me rincer, et troquer mon short pour une courte jupe, que j’avais dans mon placard. Ma culotte étant irrécupérable, je n’en mis pas.
En sortant de l’infirmerie, un violent orage s’abattait sur l’école. Mon dieu, ce n’était pas prévu. Je me précipite à ma voiture, et rentre chez moi. Je file à la douche, me sèche, enfile un peignoir et attends sagement mon mari.
Je ressassais la scène de l’escabeau, ou je me branlais sur les doigts de Marc, qui, impassible, me laissait faire tout le travail.
Le lendemain, après un court silence, la réunion pût commencer. Mais ma tête était déjà à l’infirmerie, réfléchissant dans quelle position j’allais me le faire mettre.
J’étais devant le plan de travail de l’infirmerie en train de faire des fleurs en papiers, quand il arriva derrière moi. Immédiatement, je sentis son souffle dans mon cou, ses mains se faufiler sous mon T-Shirt, prendre mes seins. Je fermais les yeux, appréciant la caresse. Je me retournais, me pendis à son cou, et lui pris les lèvres. Elles étaient douces, sensuelles. Il abandonna mes lèvres le temps de faire passer mon T-shirt par dessus ma tête, libérant mes deux globes durcit par le désir, puis se souda à nouveau à ma bouche. Il me lâche, va fermer la porte de l’infirmerie à clés.
Il revient, me prend par les hanches, et me hisse sur la table de soins. Il ôte mon short et mon string, écarte mes jambes. Ma petite chatte épilée apparaît, offerte. Il se penche, écarte mes lèvres intimes, lèche l’intérieur déjà humide, deux doigts extraient mon clitoris, l’aspire, m’arrachant mes premiers gémissement. Je me cramponnais à ses cheveux, exprimant un orgasme imprévisible. Malgré le fait de m’être offerte aussi facilement, je lui demandais de me baiser.
Je fermais les yeux, refusant de voir cette queue qui me pénétrait, et que je venais de réclamer. Je la devinais de bonne tenue. Je la sentais vibrer en moi, tandis que Marc augmentait la cadence de ses coups de reins, augmentant du même coup, mon plaisir. .
- Hum...ah...ah...oh oui…je viens…
Je n’eus en réponse, qu’un simple râle, suivit de longs jets de sperme. Il me prit par le cou, prit mes lèvres dans un torride baiser. Il se rhabilla, et sans un mot, quitta l’infirmerie. Je pris un linge dans le placard, et entrepris de nettoyer ma chatte.
Je rentrais chez moi vers vingt heures, juste au moment ou mon mari finissait de donner le bain à nôtre fils.
- Je vais prendre une douche, lui dis-je en l’embrassant.
- OK ma chérie, je sers l’apéro et mets la table.
C’est en me regardant dans la glace, que je réalisais que je venais de tromper mon mari. J’avais honte de m’être donnée comme une audacieuse gamine, à un homme, que je connaissais depuis à peu, et y avoir pris énormément de plaisir. Je me dis que ce genre d’aventure ne se reproduirai plus, que j’aimais mon mari, et que j’étais heureuse avec lui. Le soir, on fit l’amour, mais mes pensées étaient sur la table de l’infirmerie. Demain, vais-je oser le regarder en face.
Le lendemain, après les cours, je poursuivais les préparatifs de la fête. Marc ne vint pas. S’en voulait-il lui aussi, d’avoir abusé d’une femme mariée, devenue en un seul coup de queue, une femme infidèle. N’avait-il pas divorcé, parce que sa femme l’avait trompé, et brisé son couple. Mesurait-il les conséquences que ça pouvait avoir pour le mien.
Je rentrais chez moi, déçu malgré moi de ne pas l’avoir vu. Ce soir là, j’ai simulé en faisant l’amour, mes pensées allant vers Marc. Et ça, c’est pas bon signe.
Le lendemain, je le croisais à la cafétéria du lycée. Quand il me vit, il se leva, me frôla en sortant « Dix sept heures à l’infirmerie ».
J’avais toute la journée pour réfléchir à sa proposition, mais il était évident, que je n’allais pas lui donnais suite. Il me fallait trouver une excuse.
C’est à ce moment que je reçu un coup de fil de mon mari, me disant que, suite à un bug informatique, il devait se rendre à la maison mère, et qu’il ne rentrerai pas avant demain, à le mi-journée. Il me dit aussi avoir prévu une nounou, pour nôtre fils. Je lui répondis que ce n’était pas nécessaire, que je serai rentrer avant qu’il ne parte. C’était surtout pour décliner la proposition de Marc.
J’arrivais juste au moment ou mon mari bouclait son sac. Il m’embrassa et me dit n’avoir pas eu le temps de prévenir la nounou, et qu’elle n’allait pas tarder. Je lui dis de ne pas s’inquiéter, que je réglerai le problème avec elle. Je couchai mon fils, et filais à le salle de bains prendre une douche. Je me mis à l’aise, enfilant juste un peignoir, sans rien dessous. Je m’installais sur le canapé, et alluma la télé.
Puis mes pensées divulguèrent sur Marc, qui n’avait pas du digérer mon « Lapin ».
J’étais bien calée à regarder les infos, quand on sonna à la porte. Ah...la nounou.
Je me précipitais pour ouvrir, et là, stupeur. Je me trouvais nez à nez avec...Marc…
- Mais...non...ne me dites pas que c’est vous la…
- Nounou...ben si…
- Non mais c’est bon...mon petit est couché. Je peux gérer.
- Mais vôtre mari à régler ma prestation...et…
Marc s’approcha de moi, me prit par la taille, sans que je réagisse. Il posa sa tête au creux de mon épaule, m’embrassa dans le cou. Je me sentais défaillir, irrésistiblement attirée par lui. Je ne me rendis même pas compte quand mon peignoir glissait au sol. Je me retrouvais entièrement nue devant lui. Je n’esquissais aucune résistance, fascinée par le virilité de mon beau parent d’élèves. Il me prit dans se bras, me porta sur le billard de la partie jeu du salon, ou il m’y allongea. Je me trouvais totalement nue, jambes écartés, offerte aux mains d’orfèvre de Marc. Je sentais le bout de mes seins s’ériger sous ses douce caresses, ma chatte s’humidifier sous la pénétration de ses doigts, mon clitoris vibrer sous son majeur vicieux. Je me tordais comme un ver, sur un débris végétal. Soudain, je me vriller d’avantage quand je propulsais un puissant orgasme qui s’écoulait sur le tapis vert. Les mains de Marc parcouraient mon corps, comme pour atténuer les spasme de l’orgasme qui quittait mon corps. Dans un ultime sursaut, je me tendais à son cou, lui pris les lèvres pour un sulfureux baiser, puis lui proposais d’aller à la chambre. Je me devais à mon tour, lui rendre le plaisir qu’il m’avait donné.
Nus sur le lit, je part à la conquête de son corps, que je parcours de ma langue, jusqu’à atteindre l’objet de tout mes fantasmes. J’ai longtemps rêvé de cet instant, ou je prendrai cette queue en main, que je la décalotterai, la sucerai. Ce moment est arrivé, à moi d’en tirer le meilleur profil. Lentement, je le branle, emprisonne le gland de ma langue, parcours sa hampe de haut en bas, jusqu’à le prendre en bouche. Marc caresse mes cheveux, rythme la cadence de ma fellation. J’y mets tout mon cœur de débutante, car j’ai très peu sucé mon mari, encore moins avaler, ce qui allait se produire avec la bite de Marc, dans la minute qui suivit. Pourtant, Marc avait envoyé des signes avant coureur d’une éjaculation qui se profilait. Il avait tenté de se retirer, mais c’est moi qui avait la maîtrise du jeu, qui en définissais les règles.Marc capitula, se raidit et éjacula par de puissants jets de sperme au fond de ma gorge. Je venais de tailler ma première pipe, et c’est pas mon mari qui en avait eu la primeur. J’avalais l’abondante semence, nettoyais le gland du bout de ma langue. Après m’être rincé la bouche, je lui donnais un baiser.
Il était encore tôt, et je ne connaissais pas ses limites. Par contre, moi connaissais les miennes. Bien que satisfaite sexuellement avec mon mari, j’étais prête à passer la nuit avec lui, tel était mon intention. Fallait connaître les siennes.
Je lui proposais de décongeler une pizza, afin de ne pas rester le ventre vide, même si j’avais déjà pris un petit en cas.
A table, il se dévoila un peu plus.
- Cela faisait un bail, qu’ on ne m’avait tailler une pipe...t’es une experte, dis moi…
Je n’osais pas lui dire que que je n’étais allé jusque là avec mon mari. Que je le suçais, tout simplement.
- Heureuse que ça t’ai plus. Tu sais, je suis parfois maladroite.
Une fois la pizza poussée par un ballon de rouge, nous retournons au lit. Je voulais à tout prix, sentir sa queue s’enfoncer dans ma chatte, ou autre s’il le souhaitait. On s’enlaçait, entamant de logs préliminaires. Puis il me coucha sur le dos, inséra sa grosse bite dans dans ma chatte. Elle n’avait rien perdu de sa vigueur. J’enroulais mes jambes dans son dos, tandis qu’il entamait de lents va et vient. Je commençais à gémir, savourait cette queue qui labourait ma chatte. J’avais déjà bien joui sur le billard, que déjà, un deuxième orage s’annonçait. Il le compris, et accéléra ses coups de reins. Les jambes nouées dans le dos, mes bras autour de son cou, je fus prise de spasmes incontrôlables, suivi d’un orgasme terrible, que je lui transmettait, quand il jouit en moi. L’intensité du rapport calma mes ardeurs, mais décuplèrent les siennes. Il se mit sur le dos, m’invita à le chevaucher. Il me prit par les hanches, me fit descendre lentement, jusqu’à ce que je m’empale sur sa bite toujours en érection.
Il resta sans bouger, me laissant faire tout le travail. En voyant son sourire, je ne savais pas si je faisais bien, ou mal. C’est quand il ferma les yeux, et qu’un rictus apparu sur son visage, que je compris qu’il était satisfait. Il se vida totalement en moi.
A mon tour, j’atteins la jouissance. Mon corps entier se mis à vibrer au rythme de ses décharges dans mon ventre. Je m’écroulais sur le côté, laissant mon esprit se remettre en place. Je m’apprêtais à me lever pour aller prendre une douche, quand des bras vigoureux me prirent par la taille. Il me culbuta sur le lit, me força à me mettre à quatre pattes. Ses intentions étaient claires, il voulait me prendre en levrette, ma position préférée. J’adorais sentir les couilles de mon mari cognaient mes fesses, quand il me prenait dans cette position. Je sentais son gland courir sur ma fente, jusqu’au clitoris, puis pénétrer ma chatte mouillée de sperme et de cyprine.
Il me lima jusqu’au porte d’un nouvel orgasme qui ne vint pas, car il se retira.
Je sentis sa queue taquiner mon petit trou, zone interdite à mon mari. Allais-je lui offrir cet endroit intime, qui, à ce jour, seul un thermomètre avait pénétré. Je sentais la tête décalottée se poser sur mon petit orifice. Marc se doutait que c’était une première, aussi y allait-il doucement. Je sentais inexorablement, mes reins s’ouvrir sous la douce pression. Je serrais les dents, même si la douleur était supportable.
Finalement, mon corps acceptait avec bonheur, l’intrus qui le sodomisé. Marc était insatiable, increvable. Il me prit par tous les trous, dans toutes les positions, jusqu’à quatre heures du matin...encore et encore. Je n’avais jusqu’à ce jour, jamais connu une telle intensité de jouissance.
Marc parti, c’est épuisé, mais heureuse, qu’après une bonne douche je parvenait à m’endormir.
Le lendemain, je croisais Marc à la cafétéria. On se salua normalement, puis me glissa en douce, de le rejoindre à l’infirmerie.
Il me dit être invité pour fêter les vingt ans de mariage d’un couple d’amis, et me propose de l’accompagner. Bien évidemment, je décline l’invitation, pensant que ce n’était pas place. Puis je ne pouvais concevoir de laisser mon mari tout un week-end, avec le bébé, sans une excuse valable. Ce qui ne m’empêcha pas d’y réfléchir toute la nuit.
Plus on se rencontrait, plus Marc insistait. J’en arrivais à me demander, s’il ne voulait pas briser mon couple, comme on avait brisé le sien.
Puis l’attirance vers lui, l’emporta.
Je disais à mon mari que j’avais une formation pédagogique, et qu le lycée me demandait d’y participé. Mon mari ne réfléchit pas. Un stage un week-end, qui pouvait ce faire duper à se point. Il s’inquiéter plus de me sentir partir seule. Je le rassurais en lui disant qu’un parent d’élève s’était proposé pour m’accompagner. Il fut rassurer, et me demanda de l’appeler pour donner des nouvelles. Je lui fis remarquer que trois jours, c’était vite passé.
J’annonçais à Marc que j’acceptais son invitation, que j’avais dit à mon mari, que j’avais un stage. Il sauta de joie, et me prit dans ses bras.
Le week-end venu, on fut accueillis les bras ouverts chez les amis de Marc.
Après la soirée anniversaire, je regagnais ma chambre, n’étant pas censé passer le nuit avec Marc. C’est en sortant de la douche, que j’entendis toquer à la porte. C’est sans surprise, que je me trouvais en face Marc. J’avais les jambes comme du coton, et fut parcourue par un frisson. C’est alors que Marc s’avança et posa ses lèvres sur les siennes. Je ne pus résister lorsque je sentis sa langue investir sa bouche.
Nous avons échangé un baiser fougueux qui sembla duré une éternité. Je sentais cette langue qui s’enroulait autour de la mienne. Marc me poussa lentement dans la chambre, referma la porte, il me prit dans ses bras, me fit pivoter d’un quart de tour et me plaqua contre le mur, m’embrassait tendrement. Je n’en finissais pas de gémir. Il se serrait contre moi, je sentais son sexe déjà dur contre le mien. v
Tout en l’embrassant dans le cou, il passa sa main sous sous mon peignoir, j’étais nue dessous. Il remonta par l’extérieur de ma cuisse, frôla ma chatte. J’écartais les jambes pour que le contact soit plus fort. Je ne résistais plus, m’offrais totalement, je ne pouvais m’empêcher de laisser échapper des petits soupirs.
Marc ne tenant plus, s’agenouilla, aperçut ma fente humide, ce qui redoubla son excitation. Il défit la ceinture et ouvrit le pantalon. Je ne pensais plus à rien, ni à mon mari, ni à mon enfant. J’avais seulement envie du sexe de cet homme.
La queue jaillit, fière, au top de son érection. Je n’avais qu’une envie, la toucher, la prendre en bouche, l’avoir en moi. Je la pris dans ma main et la fit coulisser. A y bien y réfléchir, je ne pus m’empêcher de penser que ce sexe était beaucoup plus gros que celui de mon mari. Marc était impatient. Il me souleva en me prenant sous les cuisses. Je me tenais à son cou et referma mes jambes dans son dos. Je sentais maintenant sa grosse queue qui pointait entre mes lèvres déjà ouvertes.
J’avais envie d’être prise. Jamais je n’avais été aussi excitée. Marc réussit à déplacer ses mains sous ses fesses qu’il tenait fermement. Il me pénétra d’un coup en me faisant coulisser sur sa bite, la sensation fut étrange, je n’avais jamais été pénétrée par un sexe aussi gros, dans cette position. On restait immobile quelques secondes. C’était très agréable, de sentir cette queue vibrer dans ma chatte.
Il me pilonna violemment à peine une minute me tenant fermement par les fesses, ainsi plaquée contre le mur. Cette force brutale jusqu’alors inconnue pour moi décuplait mon excitation. Je sentis rapidement ma chatte se contracter, et ne pouvais plus rien contrôler, une chaleur intense envahit alors mon ventre. On jouit en même temps, Marc éjacula en moi plusieurs jets chauds et épais. On s’écroulait sur la moquette, épuisés.
Jamais je n’avais connu un orgasme aussi fort que celui-là, et n’avais jamais été prise d’une façon aussi sauvage et fougueuse. Après quelques secondes de répit, je pris conscience de ce qui venait de se passer. Ce n’était pas possible, j’étais en train de tromper son mari avec cet homme qui avait presque le double de son âge.
Je me mis à pleurer, pensais à mon mari, à mon fils, à nôtre projet d’avoir un autre bébé. Je sentait le sperme de Marc qui s’écoulait de ma chatte, le long de mes cuisses. Tout à coup, je fus prise de panique, je ne prenais plus la pilule et j’étais dans ma période d’ovulation. Je me levais, me précipitais à la salle de bain, me mis immédiatement sous la douche en prenant soin de me laver le sexe. Je savais qu’il était peut-être trop tard mais je ne pouvait rien faire d’autre. Quand je ressortis de la salle de bain une serviette enroulée autour de mon corps, je dis à Marc que je voulais rentrer chez moi. Je pris le téléphone pour avertir mon mari, et constatais que avait plusieurs appel et message de sa part.
Même si Marc fut surpris de ma décision, il n’alla pas contre.
Arrivé à la villa, je me jetais littéralement dans les bras de mon mari, le couvrais de baiser. Il me demande si mon stage s’était bien passé. Je lui répondis que s’était un peu barbant, mais bon...Il me donna un tendre baiser.
Ce qui me rassurait, c’est qu’il ne s’était aperçu de rien. Mais il me fallait d’urgence régler ce problème d’éventuelle grossesse.
Le jour de la kermesse arriva enfin. Tout les parents étaient présent.
Marc tenait le stand de tir, moi la roulette. Nos stands étaient côte à côte.
De la tristesse se dessinait su mon visage, car je savais que Marc devait quitter la région, à la fin de l’année scolaire.
Soudain, de gros nuages noirs traversent la cour de l’école. Marc me fait signe de le suivre derrière son stand, attenant à une remise.
Je sautais à son cou, l’embrassais à pleine bouche. Nos langues se nouaient dans un dernier adieux. Il me retourna, souleva ma robe légère, quitta mon string. Sa queue en érection allait de ma chatte, à mon petit trou, comme s’il hésitait dans lequel il allait me pénétrer. Il prit ma chatte pour lubrifier son gland, puis me sodomisa. J’étais fougueuse, et triste à la fois, à la pensée que c’était la dernière fois que cette queue, qui m’avait donné tant de plaisir, me baisait. Mais je ne pouvais le quitter sans goûter une dernière fois, la saveur de son sperme. Je me retournais, pris sa queue en bouche, et lui laissais tout le temps de se vider les couilles.
Je me relevais, pour l’embrasser, laissant nos langues faire le mélange de son sperme, et de nos salives.
Après des adieux déchirant, je rentrais tristement à la maison, laissant les parents le soin de débarrasser.
Dans le semaine, j’eus mes résultats. Ils étaient négatifs. Une partie de moi était heureuse, l’autre déçu.








49 vote(s)


Histoire de Aurore34

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : La kermesse des écoles

Le 03/08/2023 - 13:54 par Bigben0308
C est vraiment une histoire excitante... Je ne sais pas si c'est une histoire réelle ou non, mais j'ai imaginé chaque instant comme si je les vivais
Le 20/09/2022 - 22:44 par vieuxmec
Bonsoir Aurore Belle histoire.Pouvez vous me dire ce que prend votre personnage pour avoir une telle forme à son âge. Je suis envieux
Le 18/09/2022 - 16:58 par Paqmwn
Merci Aurore pour ce moment excitant. Toujours un plaisir de vous lire.
Le 16/09/2022 - 22:27 par OlgaT
C'est plus qu'un adultère. Sandrine a-t-elle quitté son mari?
Le 16/09/2022 - 20:01 par Franck 34480
Récit joliment écrit

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :