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Surveillance de nuit partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 17/07/2022

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SURVEILLANCE DE NUIT
partie 2
Le lendemain matin, on s'est retrouvés dans le bureau du chef.
--Alors?
--Rien.
--Il faut qu'on continue. On doit absolument les choper.
L'utilisation de cette expression populaire, inusitée chez lui, disait clairement que la situation le préoccupait.
J'ai failli parler. Dire que la vidéo avait pu ne pas être tournée ici. Et puis...Je me suis tu. Je ne pouvais rien prouver.
C'était reparti pour une nuit de surveillance.
On a travaillé le matin, avec l'après-midi libre. On revenait sur le coup de 18 heures, on mangerait sur place, et on prendrait notre poste plus tôt. On avait peut-être loupé le coche la veille.
Elodie n'a fait aucune allusion au moment de sexe ensemble. Une simple parenthèse sans suite, ou alors fallait-il espérer que ça deviendrait régulier? Même s'il n'y avait que des moments de sexe entre nous, sans rien de plus, ce serait déjà très bien. Le sexe, c'était une grande complicité, plus poussée en tout cas que celle qui existait entre nous jusqu'à présent. Elle me semblait une partenaire idéale, sans tabou, plutôt imaginative...
Mais il ne s'est rien passé en début de soirée. Puis le silence et la nuit nous ont enveloppés. Encore deux jours de clair de lune. Après on reviendrait dans l'obscurité. Autant d'approches différentes de son corps...Et du mien...
Sur le coup de onze heures du soir, je me suis dit que ca ne serait pas encore cette nuit. Elle s'est glissée dans la salle. Cette fois, aucun doute, j'étais bien éveillé. J'avais erré dans des pensées hautement sexuées, regardant encore plusieurs fois la vidéo, repensant à ce qui s'était passé entre nous la veille, j'étais sûr maintenant qu'il s'agissait de la réalité, et imaginant des moments de plaisir entre elle et moi.
Elle était particulièrement jolie aujourd'hui. Elle avait une jolie robe rouge, moulante et courte, et des cuissardes rouges avec des talons hauts et fins qui la cambraient et la redessinaient.
--Bon, ben, pour ce soir, c'est encore mort. Tu crois qu'on va y arriver?, elle m'a demandé, avec une nuance de découragement dans la voix.
Elle s'était posée face à moi. La clarté de la pleine lune me donnait à voir l'intégralité de sa personne. Pas de collant, mais des bas stay-up. Le matin, elle avait une petite culotte blanche, je l'avais aperçue, difficile de faire autrement vu le court de ses robes, mais ce soir le sexe nu. Elle avait voulu changer de slip, enlevant celui de la journée mais oubliant d'en mettre un autre? Ils étaient tous au sale, ou passés à la machine, mais pas encore secs? En sept mois, j'avais pourtant vu une collection de petites culottes qui semblait n'avoir guère de limites...Ou alors elle avait voulu me faire plaisir en offrant à mon regard son intimité?
--Il faut l'espérer. Sinon, on nous affectera sur autre chose, puisqu'on est la dream team du centre.
Je ne lui ai pas fait part de mes doutes.
--J'ai envie qu'on ait un moment de plaisir comme hier soir. Ca compensera pour l'inaction, l'ennui et l'attente.
Elle est venue se caler devant moi. Je la voyais toujours parfaitement, dans la clarté lunaire.
--Et si tu soulevais ma robe?
Pour reprendre une phrase devenue un cliché: 'C'est le genre d'offre qui ne se refuse pas !' En tout cas, je ne l'ai pas refusée. J'ai posé mes mains sur les bords du tissu, à mi-cuisses, et je l'ai remonté le long de son corps, aussi ému que j'aurais pu l'imaginer. Un moment intense, qui, peut-être, n'avait d'existence que parce que nous étions dans un contexte précis, au bout de la nuit, et dans un moment fantasmagorique. Hors de la réalité quotidienne que nous connaissions ensemble depuis plusieurs mois, et dans laquelle, j'en étais en tout cas convaincu, il ne se serait rien passé.
C'était bien au final, que de tels moments permettent de matérialiser ce qui serait resté à l'état latent. Il y avait du désir, de la satisfaction et de l'intensité dans ce moment.
J'ai apprécié ces sensations, alors que mes doigts glissaient sur elle, remontant sa robe. Le nylon de ses bas, puis la douceur et la chaleur de sa peau. J'ai dégagé son ventre. Elle est venue attraper l'ourlet de la robe. On avait la même envie. Ému, je suis venu effleurer ses lèvres. Sous l'effet de ma caresse, elles se sont mises à gonfler rapidement, se gorgeant de sang. En même temps qu'un liquide sirupeux, celui-là même que j'avais vu couler d'elle la veille, venait poisser mes doigts. J'ai lapé mes doigts, pour la goûter.
--Masturbe-moi bien, j'ai envie que tu me donnes du plaisir.
J'ai obéi, adoptant un rythme régulier pour caresser ses lèvres qui gonflaient encore. Ses sécrétions, de plus en plus abondantes, avaient coulé sur mes doigts et le long de mon avant-bras, rempli ma paume, coulant le long de ses jambes, et directement sur le sol. Elle, elle a amené ses doigts au niveau de son gland clitoridien. Il était encore couvert de peau. Elle l'a décalotté. Une tige fine est apparue, qu'elle s'est mise à masturber comme elle aurait masturbé une queue, pour compléter le plaisir que je lui donnais. Elle a joui très rapidement, un premier orgasme suivi par plusieurs autres, chacun d'entre eux marqué par un jaillissement de liquide. J'ai pensé à ceux qui nettoieraient la salle le lendemain matin, sans se douter que le sol avait été marqué, au milieu de la nuit par des jets de mouille.
Elle a été jusqu'au bout de sa jouissance, restant figée, les doigts encore sur le clitoris. Elle a repris ses esprits, s'est redressée. C'est elle qui a redescendu sa robe le long de son corps. Ce strip-tease à rebours m'a troublé. J'avais remonté sa robe, elle la redescendait. La voir descendre au-delà de son ventre, masquer enfin son intimité, penser que sous le tissu, il y avait son sexe nu, encore dilaté et humide de jouissance, m'a donné envie de retrousser la robe à nouveau pour revoir ce sexe, en profiter encore, mais aussi lui donner à nouveau du plaisir.
On était quasiment arrivés à ce minuit fatidique au-delà duquel les carrosses redevenaient des citrouilles.
C'est sur le parking, on approchait de nos véhicules, qu'elle s'est inquiétée.
--Moi j'ai joui, et toi non. Tu veux que je te caresse?
Je venais de débloquer la portière et de me caler à l'intérieur. J'ai été un peu surpris par sa proposition, parce que j'avais totalement accepté le fait qu'elle ait joui et moi non. J'acceptais très bien le fait de rentrer chez moi et me donner du plaisir en pensant à elle avant de m'endormir.
Sans attendre ma réponse, elle s'est rapprochée. Rapide, souple, habile, elle m'a défait et trouvé dur. Il n'y avait qu'une issue à mon érection. Avec un sourire, elle s'est penchée sur moi, mais, au lieu de me masturber, s'est contenté de balader la pointe de sa langue sur ma chair. Ca m'a mis à vif. Je n'ai pas tenu très longtemps. Elle a resserré sa bouche sur la partie supérieure de ma queue quelques secondes avant que je ne commence à jouir, laissant tout mon sperme couler dans sa gorge.
Elle m'a souhaité une bonne soirée la bouche pleine de sperme.
Je suis rentré chez moi la tête ailleurs. Cela faisait des mois qu'elle me plaisait, et je n'avais jamais osé rêver de tels rapprochements. J'étais pourtant convaincu que ce rapprochement ne durerait que le temps de la surveillance. Ensuite, on reviendrait à la normale. C'était la nuit qui avait ouvert une porte qui serait refermée ensuite.
Le reste de la semaine s'est déroulé à l'identique. Quatre, cinq heures de surveillance, pour être toujours bredouilles. Enfin, pas totalement, puisqu'il y avait toujours un moment, je le savais maintenant, et je l'attendais, à la fin de la planque, où elle me rejoignait. Et on prenait du plaisir ensemble, avant de se séparer.
Le vendredi soir, bien sûr, il n'y avait pas de surveillance. Tout le monde est rentré chez lui. Un week-end de repos. Et le lundi, on a repris. Hors de question de lâcher l'affaire.
C'est le vendredi suivant, le matin, que ça s'est dévoilé. Je faisais une ronde et j'étais passé devant ces fameuses toilettes. La porte était entrouverte sur le local vide. J'y ai jeté un coup d' oeil, espérant une réponse dont je savais déjà qu'elle ne viendrait pas. Je me sentais comme le héros du DESERT DU TARTARES qui passe sa vie à attendre quelque chose qui ne vient pas. La différence, mais elle était de taille, c'était que j'avais droit à des moments de plaisir qui compensaient l'attente et l'immobilisme.
Il était pas loin de dix heures quand je l'ai vue traverser le couloir et venir dans ma direction. Je venais de me poser dans un bureau vitré pour faire des papiers. Silhouette impeccable soulignée par un jean collant, sa chevelure rousse bougeant alors qu'elle avançait. Je savais que notre surveillance ne serait pas éternelle, et penser que tout redeviendrait bientôt comme avant me faisait mal au cœur. Elle avait son portable à la main.
--Le chef vient de m'appeler, elle m'a dit, en pénétrant dans le local.
Elle m'a tendu le téléphone.
--Jean? J'ai finalement décidé de mettre les informaticiens sur le coup. Ils ont retrouvé l'auteur du post. Il voulait mettre le bordel. La vidéo n'a pas été tournée ici. Votre mission est terminée.
La communication terminée, on s'est regardés Elodie et moi. Deux semaines de surveillance pour rien, comme je l'avais suspecté très rapidement.
Elle s'est approchée de moi, et elle m'a soufflé:
--Et si, maintenant que tout est fini, on en profitait, nous, de ces toilettes ? Ce soir...
Je l'ai regardée. Sans dire un mot. Qui ne dit mot consent, selon le proverbe.
On finissait à dix-sept heures. On est restés jusqu'à ce que l'établissement soit quasiment vide.
Elle m'a envoyé un SMS.
--Rejoins-moi là-bas.
Elle était déjà sur les lieux quand j'y suis arrivé. Sur le seuil de ce local qu'on connaissait par cœur, elle m'a fait un clin d’œil, avant de se glisser dedans. Elle s'était changée, et son jean et son débardeur avaient laissé place à une robe noire longue mais fendue haut sur les côtés.
Elle a ouvert la porte de la cabine. Lieu d'un supposé crime.
--On pourrait faire une vidéo et la balancer sur les réseaux sociaux. Cette fois, ce serait vrai.
--On a un contrat de six ans, j'ai envie de le terminer.
Elle a bloqué la porte, au cas où...Puis elle s'est mise pile devant moi, me souriant, et elle a défait la fermeture-éclair qui permettait à sa robe de tenir. Le tissu est devenu flou, elle l'a attrapé au niveau des épaules, a tiré un peu dessus, et il a glissé le long de son corps, la dévoilant une fois encore. Ses seins enveloppés dans un soutien-gorge, son absence de slip et une autre paire de bas stay-up. Elle a amené sa main sur son sexe, et elle s'est mise à se caresser.
--Je pense plus qu'à ça ces derniers temps. J'avais envie qu'on fasse comme eux, enfin pas vraiment parce qu'ils n'ont rien fait, mais qu'on profite de cette cabine.
Sous l'effet de sa caresse, et l'impact de son excitation, son sexe s'est ouvert, gonflé, et son liquide intime a trempé sa main et ses chairs.
--Nos vœux se réalisent parfois, je lui a répondu.
Elle a continué de se caresser d'une main, de l'autre, elle s'est penchée pour sortir ma queue, qu'elle connaissait déjà bien, de mon pantalon. J'étais dur à en être douloureux de désir. Ca m'avait effleuré qu'on pourrait faire comme le jeune couple, même si j'aimais qu'on se rapproche dans la salle à côté. C'était une belle manière de finir cette mission, en attendant la prochaine.
Elle nous a caressés de concert, un prélude à quelque chose de plus sérieux. Elle a concrétisé nos envies communes en me disant:
--J'ai envie de ta queue en moi.
Elle a glissé sa main dans son soutien-gorge, en rajoutant:
--Ca fait trop longtemps que j'ai envie. Tu ne semblais pas le voir. On a perdu trop de temps.
--Oui, je n'arrivais pas à le comprendre.
--Pas grave. On va rattraper le temps perdu.
Elle a tiré d'entre ses seins un préservatif dont elle a déchiré l'emballage. La rondelle de plastique huileuse, dépliée, a fini sur ma queue.
--Je m'étais jurée que, quoi qu'il arrive, d'ici la fin de la semaine, on ferait quelque chose ensemble.
Elle s'est rapproché de moi, de telle sorte que nos deux ventres soient quasiment en contact.
--Il va falloir rattraper le temps perdu. Maintenant, ce sera sexe, sexe et sexe.
Elle ruisselait de désir, sa mouille coulait le long de ses cuisses, et en gouttes sur le latex du préservatif.
--Dans la journée, ça va être compliqué, je lui ai dit, alors que sa main venait encercler ma queue pour la guider vers son sexe, et qu'elle commençait à se laisser descendre pour qu'il y ait un contact.
--On viendra ici. Personne ne pensera qu'on est là. Le meilleur endroit, pour se protéger, c'est le cœur du cyclone.
On a regardé ensemble nos sexes rentrer en contact. Le gland enveloppé de latex appuyer contre ses lèvres. On s'est figés comme ça, et puis, en même temps que je venais prendre ses fesses à pleines mains, et comme la queue était parfaitement ajustée, elle a commencé à se laisser descendre sur moi, avalant ma queue. On a regardé ma verge disparaître, que mon gland bute contre son utérus a été le signe qu'elle m'avait totalement mis en elle.
Le plaisir a été là tout de suite, immédiat, pour elle de sentir mon sexe dans le sien, comme une caresse quand il s'est mis à bouger, pour moi d'être enveloppé par la délicatesse de sa muqueuse, souple et chaude. Le plaisir a été fort, d'autant plus, sans doute, qu'on l'avait attendu.
Il y avait sans doute pas mal d'ironie dans le fait qu'on se soit rapprochés dans un lieu où des couples étaient supposés faire l'amour, alors que ce n'était pas le cas.
On a explosé de jouissance, elle d'abord moi ensuite, un orgasme d'une rare puissance, à la mesure sans doute de cette envie accumulée au fil des semaines. Une envie que j'avais crue unique et qui était partagée.
On n'en finissait pas de jouir, mais ça s'est finalement calmé.
Elle s'est arrachée de ma queue, qui demeurait obstinément dure, quant bien même je venais de jouir. Elle s'est mise en devoir de retirer le préservatif, le faisant coulisser le long de ma queue, tout en bloquant le réservoir. J'ai pensé qu'elle voulait éviter que du sperme ne coule partout, et jeter la capote dans une poubelle. Au-lieu de cela, elle a étiré le latex autant qu'elle le pouvait et elle s'est mise à laper le sperme étalé jusqu'à ce qu'il n'en reste plus trace.
--Viens finir la nuit chez moi. J'ai encore envie. Toi aussi, ta queue le dit. On ne dormira pas, mais au moins on passera de bons moments ensemble. Et après, tu pourras venir passer toutes les nuits.
Ca au moins, c'était un engagement. Et la promesse de jours à deux, peut-être meilleurs.
Le lendemain, on s'est retrouvés dans le bureau du chef. On était revenus à des tâches plus classiques. En attendant la prochaine mission.
--Merci de vos efforts. De toute façon, on a décidé de prendre le taureau par les cornes. On a installé une caméra hier après-midi dans le cabine. Si jamais quelque chose doit se produire...Ce n'est pas très légal, mais on ne va pas le crier sur les toits...
On s'est regardés, Elodie et moi.
Les prochaines heures allaient être difficiles.
C'est plus tard qu'on appris que la caméra avait été mal branchée et n'avait rien enregistré.
















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Histoire de JamesB

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