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Sylvie divorce...

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Lue : 1758 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/07/2021

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J’étais en pleine lecture des dernières lois lorsqu’elle s’est glissée dans le bureau. J’ai relevé la tête.
—Je vais aller porter le courrier à la poste. Tu as encore besoin de moi après?
Son bureau et le mien étaient largement pourvus en baies vitrées, que la lumière traversait largement. De la sorte, et avec la position du soleil, en cette belle journée d’avril, ses vêtements étaient implacablement traversés et son corps se dessinait plus que nettement sous la jolie robe blanche avec des motifs imprimés de toutes les couleurs dessus qu’elle portait.
Elle avait cinquante-huit ans, mais elle était, à mes yeux en tout cas, bien plus attirante que des filles plus jeunes. J’aimais son corps élancé, elle approchait du mètre quatre-vingt-cinq, et la façon dont il se dessinait, quelle que soit la manière dont elle s’habillait. Elle allait au sport tous les soirs, et le résultat se voyait sur sa silhouette. Pas de poids en trop, et des courbes féminines, avec des parties charnues qui ne pouvaient que troubler. La lumière n’avait aucune pudeur, enveloppait ses formes, les faisait visibles, se glissant même à travers les mailles de ses sous-vêtements. J’ai eu honte de la regarder ainsi, alors j’ai rebaissé les yeux sur mon écran d’ordinateur.
—Bien sûr. Bonne soirée et à demain.
—Au fait, j’espère bientôt avoir de bonnes nouvelles.
Elle s’était avancée jusqu’au bord du bureau. J’ai respiré son parfum. Un nouveau parfum. Elle en changeait souvent. Mais ils étaient tous aussi agréables les uns que les autres.
—Le jugement du divorce sera rendu dans une semaine. C’en sera enfin fini.
Je l’ai regardée, et je suis revenu quatre ans en arrière. Le jour où, en arrivant un matin, je l’avais trouvée à ma porte. J’avais été troublé dès la première seconde, je crois, par elle. Une silhouette impeccable, en tailleur, un joli visage, aux traits délicats…Et une tristesse immense dans le regard. L’ensemble m’avait déstabilisé.
—Je peux vous parler, s’il vous plait? C’est au sujet de l’emploi qui se libère dans deux semaines.
Ma secrétaire partait effectivement, et j’avais posté sur les réseaux sociaux une proposition d’embauche, comptant également sur le bouche à oreille, plutôt que de passer par une quelconque agence de recrutement.
Je l’ai invitée à entrer et à s’asseoir pendant que je mettais le percolateur en marche. Mon regard avait glissé, pour la première fois, il y en a eu plein d’autres depuis, sur sa silhouette. Une croupe haut perchée, bien charnue, bien rebondie, des jambes bien dessinées, et ça c’était vraiment très rare pour une femme…Elle était vraiment magnifique…Et ce regard…Il y avait quelque chose qui ne collait pas…
Mais ce n’était sans doute pas mon problème. Moi, ce qu’il me fallait, c’était une employée. Car pour le moment, les trois personnes que j’avais vues ne faisaient vraiment pas l’affaire.
Quand j’ai rejoint mon bureau, elle avait glissé sur le bureau un CV. J’y ai jeté un coup d’oeil. Il était copieusement rempli. Elle avait de nombreuses compétences, acquises par des études, des formations, aussi bien que par l’expérience. Trois fois plus qu’il ne m’aurait fallu, au final. Evidemment, elle n’était pas de la première fraicheur, ceci expliquait cela.
—Vous avez un CV impressionnant.
—J’ai besoin d’un emploi, elle m’a répondu. Je viens de me séparer de mon époux, je n’ai pas travaillé pendant quatre ans, et je n’ai pas de ressources personnelles.
—Au moins vous êtes franche. Ecoutez, voilà ce que je vous propose. Demain, vous faites une journée d’essai. Vous pouvez avoir un CV très prestigieux, cela ne prouve pas qu’on parviendra à s’entendre vous et moi. Donc on voit si ça colle entre nous. Si c’est le cas, demain soir, on signe un CDI.
Elle avait parue soulagée de ma proposition qui était tout à fait honnête.
Le lendemain elle était là très tôt. C’était un point positif. Ca aurait pu être le seul. Ca n’a pourtant pas été le cas. Elle était très efficace. C’était un peu comme si elle avait été capable de lire dans mes pensées. Effectivement, je pouvais totalement me reposer sur elle. Et c’était ce dont j’avais besoin.
Le soir même on a signé le contrat.
A débuté notre relation professionnelle. Elle m’a beaucoup apporté. Elle était totalement efficace, et me rendait plus efficace. 
Au-delà, il y avait le personnel, et je sentais bien qu’elle était totalement fermée sur le sujet.
Il s’est passé deux ans avant que, en décembre, je n’ose l’inviter un soir. Sans aucune visée amoureuse. Une manière de la remercier.
A ma grande surprise, elle a accepté.
On s’est retrouvé le soir dans un restaurant de la ville. J’avais réservé une table.
Elle m’a rejoint, et je dois dire que, pour la première fois en deux ans, même si elle était toujours coquette, je l’ai regardée comme une femme. Capable de susciter le désir, et le mien en tout cas. Elle avait une magnifique robe de soirée, qui était vraiment sexy. Audacieuse même pour quelqu’un qui habituellement était certes féminine mais sans une touche d’érotisme. Je ne m’attendais pas vraiment à ça.
J’ai du la regarder bouche bée, et avoir l’air totalement stupide.
Même si on considérait que la robe était faite d’un seul bloc, en fait elle était composée de deux parties. La partie supérieure était faite d’une résille transparente qui mettait son torse à nu, sauf sur ses seins où un rond de tissu avait été cousu, masquant la partie stratégique, aréole et téton, sans pour autant dissimuler le reste du sein.
La partie inférieure de la robe, était plus classique, du tissu qui arrivait aux chevilles. Mais pas pour autant plus sage. en effet de part et d’autre une fente était ouverte dans le tissu, qui la dévoilait quand elle se déplaçait. Et la fente ne s’arrêtait pas à mi genou, mais montait jusqu’à la hanche, à un centimètre sous la résille.
Elle était éblouissante, toute sa féminité déployée.
D’évidence, ou alors ça se serait vu, elle n’avait pas le moindre sous-vêtement dessous.
Pour compléter, elle avait chaussé des escarpins avec des talons…Ils devaient faire douze centimètres…Je n’en avais jamais vu de pareils. Pourtant elle semblait totalement à l’aise dessus.
J’ai été décontenancé par l’exposition de cette quasi nudité qui mettait en évidence le fait qu’elle avait un très beau corps à son âge, sans le moindre relâchement. Mais évidemment, deux heures de sport tous les soirs, ça aidait.
Je découvrais vraiment le dessin de ses formes. Ses hanches, son ventre plat, et des seins plus généreux que je n’aurais pu le penser, et qui étaient encore remarquablement fermes et dressés.
Elle s’était maquillée, un maquillage plus appuyé qu’à l’accoutumée, d’habitude c’était très léger, et qui mettait vraiment en valeur la beauté de son visage, en accentuant les points forts.
—J’ai voulu marquer l’événement. Ce sera peut-être la seule fois où on se verra en dehors du travail.
—Tu es vraiment magnifique, j’ai reconnu avec un étrange pincement au coeur.
—Merci pour ton invitation…Je ne suis pas sortie depuis si longtemps…
On est partis pour le centre ville, en direction du restaurant où j’avais réservé. Elle était assise à côté de moi et je la percevais autrement, dans un mélange de fascination et de désir. J’ai eu cette pensée étrange, mais qui se révélait vraie, au final, qu’elle était, à 58 ans, plus désirable que bien des filles plus jeunes. Il y avait quelque chose qui montait d’elle qui m’enveloppait, m’entourait, me tordait les tripes…Je trouvais ça tellement étrange, d’être passé d’une relation au quotidien tout à fait neutre, même si la première fois où nous nous étions vus, j’avais lorgné ses formes, à la prise de conscience qu’elle était une femme très désirable.
Ca a été une soirée de rêve, un de ces moments parfaits, si rares dans une existence. Le restaurant était ainsi composé qu’on a été totalement isolés, tranquilles elle et moi, même s’il y avait d’autres clients. Il y avait un accord tacite entre nous pour parler de tout autre chose que du métier, et ça a été très bien comme ça.
Je n’envisageais pas toutefois que les choses allaient basculer. Je restais son patron, et elle une employée, et puis je ne souhaitais pas qu’on glisse sur un moment qui fausserait nos rapports par la suite.
Ca a été après le plat principal que ça a basculé. J’ai senti que quelque chose se passait sous la table, un mouvement, et son pied est venu se poser sur ma cheville, avant de remonter le long de ma jambe. Elle l’avait dégagé de son escarpin, et sa nudité portait de la chaleur, et une caresse habile, qui a glissé sur moi. Elle s’est arrêtée sur mon aine, en évitant ma queue qui venait de se durcir sous l’effet de cette caresse forte et glissant sur mon autre jambe, avant de descendre jusqu’à mon autre cheville. Elle avait tracé un arc-de-cercle.
Je me suis demandé si on allait en rester là. J’ai eu la réponse quelques secondes plus tard, quand c’est sa main qui est venue à la rencontre de cette partie qu’elle avait négligé. Une manière de me déstabiliser, ou de me surprendre? Je n’en savais trop rien. La seule chose que j’ai bien comprise, ça a été son habileté. D’une seule main, elle m’a défait, et elle a sorti ma queue de mon pantalon. Elle s’est mise à me caresser doucement, et si je n’avais pas été totalement raide jusqu’à ce moment, la chaleur de sa main sur moi et son habileté m’ont fait long et dur en quelques secondes.
—Je voulais juste une sortie pour me changer les idées avec quelqu’un que j’apprécie…Et puis ça a évolué, et là, j’ai envie d’autre chose. Est-ce que tu crois qu’on pourrait avoir un peu de sexe, sans aucune conséquence? C’est-a-dire que lundi, on se retrouverait et on se remettrait à travailler comme si rien ne s’était passé.
—Tu crois que ce serait possible?
—Si on fait vraiment un effort, oui.
J’étais totalement décontenancé. Sa tenue, ce soir, m’avait rappelé, ou révélé, je ne savais plus trop, qu’elle était une femme, et qu’on pouvait la désirer. On était habituellement sur une autre dimension, pour le travail, et c’était tant mieux. Mais il devait y avoir quelque chose de souterrain, pour elle comme pour moi d’ailleurs, qui remontait.
Elle caressait ma queue avec habileté. J’ai senti, et j’en ai été le premier surpris, que la jouissance montait en moi…Je me suis laissé aller…L’orgasme s’est enroulé autour de moi, me prenant totalement, alors que je crachais ma semence dans sa main, qu’elle avait resserrée autour de moi. Elle l’a gardée autour de moi un moment, avant de la remonter à son visage et de lécher méticuleusement tout le sperme qui s’y était déposé.
—Je ne pensais pas que tu jouirais aussi vite…Tu crois que tu peux encore faire quelque chose?
Elle ne m’a pas laissé le temps de répondre, vérifiant en amenant sa main autour de ma queue, qui bien que j’aie joui, n’avait pas vraiment dégonflé.
—Viens, on va dans les toilettes…Ca sera sympa…
Elle a rentré ma queue dans mon pantalon, a refermé la fermeture-éclair. Le garçon arrivait.
—On prendra le dessert et un café dans dix minutes.
Son expression disait qu’il voyait exactement ce qui allait se passer.
On s’est engagé, dix mètres sur la gauche, dans un long couloir…Pour arriver devant deux portes vertes. Une avec un logo mâle, l’autre avec un logo femelle…
—On va aller chez les filles, c’est toujours plus propre, elle a suggéré, poussant la porte sans attendre mon avis.
L’endroit était effectivement propre, et sans âme. Une dominante rouge, des carreaux aux murs, un lavabo, deux toilettes, et personne. On s’est glissés dans l’une des larges cabines.
Ca a été très vite, à la mesure de nos envies. Elle m’a poussé sur le siège fermé des toilettes, a glissé à genoux, et est venue sortir ma queue de mon pantalon. Dans la fellation qu’elle a amorcé, tournant autour de ma queue de sa langue avant d’avaler mon gland, puis d’effectuer des mouvements de va-et-vient sur moi en allant à chaque fois plus loin, il y avait en elle le souhait de donner du plaisir, mais aussi, d’évidence, la joie, intense et profonde, de renouer avec le sexe après une longue période de vide. Elle m’a caressé longuement avec sa bouche jusqu’à ce qu’elle estime qu’il était temps de passer à l’étape supérieure. Elle s’est redressée, et elle a attrapé le bas de sa robe, pour la remonter lentement, et m’offrir sa nudité, même si, vu la manière dont la robe était conçue, chaque mouvement m’offrait de grands pans de chair. Malgré son âge, et d’évidence parce qu’elle faisait pas mal de sport, elle avait vraiment un corps magnifique. Mon regard a glissé sur ses jambes bien dessinées, sans fausse note, jusqu’au sexe qu’elle a fini par dévoiler, un triangle taillé sur son pubis au dessus de l’ouverture que son excitation avait sorti de l’inertie pour le gonfler et l’ouvrir, son ventre plat, une poitrine que l’âge n’avait pas affaissée, couronnée de tétons tout durs…Elle s’est tourné pour me présenter sa partie antérieure, une croupe charnue, ronde et ferme…Difficile de ne pas la désirer. 
Elle a récupéré, dans le petit réticule qui pendait contre sa hanche un préservatif. Avec une expression transfigurée sur le visage, difficile de vivre sans sexe, elle est venue faire glisser le latex sur ma queue. Elle a attrapé cette dernière pour la guider vers son vagin, et elle s’est laissée tomber sur moi.
Je n’avais pas anticipé un aussi bon moment, c’était certain. Une simple sortie, je l’aurais ramenée, on se serait séparés devant chez elle. D’ailleurs, peut-être qu’elle-même n’avait pas anticipé plus, c’était venu dans l’urgence du moment, dans l’envie. Il y a plein de choses qu’on ne planifie pas…
La seule certitude que j’avais, c’était que ce moment que nous partagions là, maintenant, était vraiment un moment de plaisir. Qui serait une parenthèse qu’il faudrait soigneusement refermer après. Un moment vraiment très bon, dont on garderait sans doute une trace dans nos mémoires. Il y avait entre nous une harmonie, et un plaisir partagé, totalement complémentaire. Sa muqueuse caressait ma queue et m’amenait vers la jouissance, tout comme le va-et-vient de ma chair en elle lui procurait des sensations très fortes, à en juger par son expression, ses petits gémissements…Elle a complété son plaisir en se frottant fébrilement le clitoris.
La phrase qu’elle m’a dite, juste avant qu’elle n’explose, se mordant pour ne pas hurler:
—Oh mon Dieu, comment on peut vivre sans queue…
avait sans doute plus de poids qu’on ne pouvait être tenté de lui en donner.
J’ai eu moi aussi un orgasme très fort, ce genre d’orgasme qui vous traverse et vous laisse un sentiment de bien-être absolu. Sentir mon sperme jaillir l’a faite jouir une deuxième fois.
On est restés figés un moment, ma queue encore en elle, dans quelque chose qui était plus que du sexe. La reconnaissance, sans doute, que ce moment partagé avait été vraiment bon, et que quelque chose était passé entre nous. Qu’il y avait eu une sorte d’harmonie.
Nos desserts nous attendaient sur notre table. On a prolongé la soirée en allant marcher le long des quais. On n’avait pas envie de se séparer, d’autant qu’on savait qu’on se retrouverait sur un mode antérieur, selon notre accord, le lundi. On était un peu surpris de de se retrouver au final si proches.
On s’est séparés devant chez elle sur le coup de minuit.
—Le carrosse redevient citrouille, elle a dit simplement.
Et effectivement le lundi tout était effacé. A croire que rien ne s’était jamais passé entre nous. C’était sans doute nettement plus raisonnable, pour qu’on puisse travailler ensemble.
Pourtant, et je l’ai bien vu dans les semaines qui ont suivi, il y avait en nous le regret de ne pas être parti sur une autre voie. Ca tenait à un regard que l’on surprenait, une expression.
Dans la vie, sans doute à chaque instant, on peut hésiter entre différentes routes, sans même s’en rendre compte d’ailleurs. On sort de chez soi, on prend une direction au lieu d’une autre…Les possibles, restent là, non matérialisés, mais bien réels. L’idée que l’on puisse partager d’autres moments tels que ce samedi soir est devenue au fil du temps une sorte d’éléphant blanc. Les mois passant ont sans doute enjolivé ce moment.
Et on s’est donc stabilisés dans une relation de travail teintée d’amitié.
Elle n’était jamais totalement rentrée dans les détails, mais j’avais bien compris que sa relation avec son mari avait été compliquée.
Il y avait eu des désaccords sur les modalités du divorce.
Jusqu’à ce que les choses se débloquent enfin.
Et donc je lui ai fait cette promesse.
On fêtera ça ensemble.
Mais je n’avais aucune idée préconçue. Fêter ça ensemble, ça signifiait plein de possibles.
Un mardi matin, elle m’a dit: ‘Je vais au tribunal jeudi après-midi. Je rattraperai les heures après, bien sûr.’
—Aucun souci. Quant à rattraper…Tu restes tard le soir pour finir du travail, sans que je te paie des heures supplémentaires…
Et le jeudi, elle est restée jusqu’à midi avant de s’éclipser. Je la sentais tendue.
—Ca va bien se passer.
Elle s’est avancée vers moi.
—J’ai envie d’en finir et en même temps, j’ai pas envie d’y aller. Si tu m’embrassais, ça me donnerait du courage.
J’ai été un peu décontenancé. Un baiser, c’était basculer sur autre chose, sur cet autre chose auquel on avait renoncé. Ses paroles ont fait remonter de l’envie en moi. Pour couper court, je suis parti pour l’embrasser sur les joues, mais elle a esquivé et elle est venue directement sur ma bouche. Je l’avais remarqué un an et demi plus tôt, elle embrassait bien, et le baiser lèvre contre lèvre a pris une autre dimension quand elle a glissé sa langue dans ma bouche pour venir caresser la mienne. J’ai perdu le contrôle, et elle aussi, et on s’est embrassés avec une fougue à la mesure de nos envies étouffées. Je crois même que, si elle n’avait pas reculé, on aurait totalement perdu le contrôle.
Elle m’a jeté un dernier regard, puis elle s’est éclipsée.
J’ai pensé à elle tout l’après-midi. Je l’imaginais dans les conditions inconfortables du tribunal, qu’elles soient matérielles ou morales. Pas de quoi se réjouir. Je pensais d’ailleurs plus à elle qu’à moi. Je me disais que ça serait bien pour elle d’enfin en finir et de pouvoir démarrer une nouvelle vie.
J’allais fermer quand elle a surgi dans le local. Apparemment exténuée, mais soulagée.
—Voilà, c’est fini. Nous sommes séparés. Je ne le verrai plus jamais et c’est bien tout ce que je souhaite.
Je me posais beaucoup de questions, mais ce sont sans doute les circonstances qui nous ont guidé, tout naturellement, et on ne s’est plus jamais posé de questions après.
On a su à ce moment qu’on choisissait de basculer sur cet autre chose, avec tous les risques que cela pouvait comporter, possibilité dont on avait eu un aperçu plusieurs mois plus tôt, qui ne nous avait jamais quittés, même si on était convaincus du contraire. C’était un risque à prendre, mais il valait mieux tenter et aboutir sur quelque chose d’éblouissant que se dire dans dix ans de cela qu’on avait eu tort.
La certitude qu’on avait en tout cas, dans ce moment, c’était qu’on avait envie l’un de l’autre, et qu’on allait se laisser aller à cette envie.
J’ai défait le bouton qui tenait la veste de son tailleur fermée en même temps que je plongeais sur elle pour venir prendre sa bouche. Nos langues se sont retrouvées, une sorte de prolongation de ce qui s’était produit sur le coup de midi. Mais cette fois on avait tout notre temps, et on pouvait en profiter comme on le voulait. La soirée et la nuit étaient à nous.
J’ai fait glisser la veste, et je suis venu défaire le soutien-gorge pour m’approprier ses tétons. Dans ma bouche, ils ont grossi, devenant durs. Elle a gémi alors que je les mordillais.
—Je suis très sensible des seins…C’est bon…
Elle a tendu la main vers ma queue pour la mettre à nu, pendant que je continuais de travailler ses seins. On a joui de cette réciprocité. Elle s’est finalement dégagée, en me disant:
—Il va falloir rattraper le temps perdu…Mais je pense que c’est faisable…On va alterner sexe et travail…
Elle m’a laissé faire alors que je défaisais sa jupe avant de baisser son slip, de le descendre jusqu’à ses chevilles. Mu par l’envie, je suis venu prendre ses fesses à pleines mains, en même temps que je plongeais sur son sexe. Elle a gémi quand j’ai donné un premier coup de langue de bas en haut sur sa fente, encore close, qui s’est ouverte, et a déversé un liquide amer dans ma bouche. J’ai mis tout mon coeur à caresser son sexe de ma bouche, la faisant gémir.
Elle m’a entrainé vers le divan de l’entrée, basculant dessus à quatre pattes, tendant vers moi ses parties les plus intimes, offerte du corps, et du regard qui était sur moi et qui me disait que je pouvais venir en elle.
J’aurais été bien incapable de m’éloigner d’elle, de partir. Son sexe était bien ouvert, inondant ses chairs.
—Il y a toujours des préservatifs dans mon sac. Sers-toi.
J’ai effectivement trouvé une boite, dont j’ai extrait un préservatif emballé. J’ai déchiré l’emballage et j’ai fait coulisser le latex le long de mon membre. Elle attendait, me regardant.
—Je ne vais pas me défiler, je l’ai assurée. Ca fait trop longtemps que j’en ai envie, même si je ne me l’avouais pas réellement.
—Moi non plus je ne voulais pas accepter cette évidence. Qu’on pouvait être bien ensemble.
J’ai posé mon gland protégé sur ses lèvres, et je suis rentré lentement en elle. Elle a exprimé son plaisir en gémissant, mais j’étais autant dans le moment qu’elle, submergé par les sensations. Je l’ai fouillée, sa muqueuse souple et brûlante qui me gainait me caressant et me poussant vers la jouissance. Elle a amené sa main en arrière, et m’a retiré de sa vulve, à présent grande ouverte d’excitation, pour me poser sur les plissements de son anus. Au moins, son désir était clair. Je n’aurais peut-être pas osé la sodomiser sans ça. J’ai appuyé et mon gland dilaté a passé la barrière de sa muqueuse. Je suis rentré encore plus loin. J’étais en transes, et la voir amener ses doigts sur sa vulve et se caresser fébrilement n’a rien fait pour me calmer. Je suis rentré quasi totalement en elle, et je l’ai fouillée, allant et venant dans le conduit plus étroit, jusqu’à ce que le plaisir nous fasse perdre tout contrôle. J’ai crié en crachant mon sperme, qui, en venant taper contre la muqueuse souple a déclenché sa jouissance.
On s’est détachés l’un de l’autre. Elle avait le regard brillant.
—C’était un bon hors d’oeuvre, mais j’ai envie de plus. Si tu me raccompagnais?
On s’est rhabillés et on est partis dans la nuit, avec de l’espoir dans le coeur, celui d’une relation qui serait parfaitement réussie.
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