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Tanya

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Lue : 7278 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/11/2011

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Chapitre 1 : Ma rencontre avec Tanya

J’avais fait la connaissance de Tanya dans des circonstances un peu particulières, un soir en rentrant du travail.

Comme il faisait déjà nuit, et qu’il pleuvait assez fort, je roulais prudemment. En plein virage, je vis une jeune fille presqu’au milieu de la route, qui faisait du stop. Je voulais m’arrêter pour l’houspiller, lui dire que c’était très dangereux d’être au milieu de la route en pleine nuit, mais lorsque je la vis, je n’en n’eus pas le courage. La pauvre n’avait même pas de veste sur elle, et, était dégoulinante d’eau de la tête aux pieds. Mais surtout ce qui me frappa, c’est la tristesse qui émanait de son visage. Malgré les circonstances, je pouvais constater qu’elle était très charmante, et pas trop mal faite.

Je m’arrêtai donc, mais plus du tout avec les mêmes intentions. A peine eut-elle ouvert la porte qu’elle me supplia :

- C’est gentil de vous arrêter, s’il vous plaît, aidez-moi.

Elle avait eut une crevaison avec sa voiture, et ne savait pas réparer. Comme il pleuvait très fort, elle avait attendu plus d’une demi-heure dans sa voiture, en espérant voir une voiture. Ne voyant aucun véhicule venir, elle s’était décidée à partir à pieds chez elle. Elle avait fait déjà plusieurs kilomètres, ce qui expliquait sa tenue si imbibée.

Je proposai de la ramener à sa voiture, et de changer sa roue.

- Je n’habite plus très loin, je préférerais que mous me conduisiez jusqu’à mon domicile pour que je me change, sinon je vais attraper une grippe terrible. Demain, j’essaierai de trouver quelqu’un pour réparer. Me dit-elle.

En fait elle n’habitait pas très loin de chez moi, ce qui ne m’obligeait pas à changer ma route.
Le long du chemin, nous avons échangé quelques banalités sur ce mauvais temps désespérant. Arrivés chez elle, elle m’invita à prendre un verre pour me remercier.

Lorsqu’elle m’eut servi un bourbon, elle s’excusa de me laisser seul, le temps qu’elle prenne une douche. Pendant qu’elle était dans sa salle de bain, j’eus pitié d’elle.
Lorsqu’elle revint après s’être changée, je lui proposai alors :

- Si vous voulez, je vous reconduis à votre voiture, et je change la roue. Comme cela vous serez tranquille demain, et vous pourrez dormir paisiblement. De plus, personne ne m’attends, et j’ai tout mon temps.

Elle était gênée, mais comme il n’y avait pas très longtemps qu’elle était dans la région, et qu’elle ne connaissait pas grand monde, elle accepta.

Moins dune demi-heure après, elle repartait avec son véhicule, non sans m’avoir demandé mon numéro de téléphone.

Quelques jours plus tard, je reçus un appel de Tanya qui m’invitait à dîner chez elle le soir même pour mieux me remercier.

Arrivé chez elle, elle fut embarrassée de voir que je lui avais apporté des fleurs.

- C’est à moi de vous remercier, vous n’aviez pas à m’offrir quelque chose, ce serait plutôt le contraire.

Je lui expliquai alors, que le repas serait déjà bien assez comme remerciements. Et que pour les fleurs, j’étais encore de la vieille école qui conseillait lorsque l’on était invité, et de ne pas venir les mains vides.

C’est vrai que je devais avoir une bonne dizaine d’années de plus qu’elle, et que ceux de son âge ne pratiquaient guère plus ce genre de traditions.

Au cours du repas, j’en appris un peu plus sur elle. Elle avait emménagé ici, chez son copain, il y avait deux mois. Celui-ci était militaire, et en campagne en Afrique depuis presqu’autant, il ne devait revenir que dans deux mois.
Elle avait 21 ans, était caissière depuis une semaine dans un supermarché non loin de là, et ne connaissait personne. Elle trouvait ses soirées bien longues.

Avant de partir, comme elle m’avait trouvé « super sympa », elle me proposa de venir boire un verre le lendemain soir.

Depuis ce jour là, c’est presque tous les jours que le lui rendais visite. Nous avions vite sympathisé, et j’avais adopté le tutoiement depuis longtemps. De son côté, même si elle m’appelait pas mon prénom, et malgré mon insistance, elle continuait à me vouvoyer.

Au fil des jours, nos conversations déviaient assez souvent sur la sexualité, même si c’était sur le ton de la plaisanterie.

- Vous ne m’avez jamais invité chez vous. Me dit-elle.

- Tu sais, je suis un vieux loup solitaire, et les seules personnes qui sont venues, sont mes anciennes amies.

Elle s’étonna de ce que je n’aie pas de petite amie.

- A mon âge, j’ai une sexualité un peu particulière. Lui répondis-je du tac au tac. Et peu de femmes n’apprécient mes désirs.

J’avais piqué sa curiosité, et elle voulait en savoir plus. Pour l’intriguer davantage, je lui dis simplement.

- En général, soit on apprécie tout de suite, ou soit on part en me traitant de malade ou de pervers. Mais si on aime, la sexualité plus classique parait très vite bien fade.

Ne trouvant pas que j’ai l’air d’un obsédé ou d’un vicieux, elle voulait tout savoir sur cette « sexualité particulière. ». De mon côté, je trouvais qu’elle était encore bien jeune pour s’intéresser au domaine SM. J’ai trouvé une excuse bidon pour partir immédiatement.

Le jour suivant, elle relança la conversation sur mes petites habitudes sexuelles qui pourraient choquer. Une nouvelle fois je changeai de conversation.

Au fil de nos rencontres, plus elle voulait savoir, plus je trouvais un motif ou une excuse pour ne pas en parler. La seule chose que j’ai lâchée par mégarde fut :

- J’aime que les filles fassent ce que je leur demande, sans se poser de question.

- Et c’est si choquant que cela ? répliqua-t-elle. J’aimerais que vous m’invitiez chez vous.

Lassée de ne pas obtenir de réponses à ses questions, et que je refuse de la faire venir chez moi, elle me lança un ultimatum :

- Si vous ne m’invitez pas chez vous, je ne vous parlerai plus, et vous ne viendrez plus ici.

J’aimais bien nos rencontres, qui nous permettaient de deviser sur toute sorte de sujets, et pas uniquement de sexe. Elle me plaisait beaucoup, mais mes anciennes partenaires étaient à peu prés de mon âge, Tanya avait presque quinze ans de moins. D’autre part elle avait un petit ami, même si elle n’en parlait jamais, je pense qu’elle devait l’aimer. De plus, il n’était pas dans mes intentions de sortir avec elle, je la voyais plus comme une amie, que comme une amante. Mais à force d’insistance de sa part, et voulant continuer à la voir, je finis par lui dire :

- Et bien je t’attends samedi à vingt heures, mais tu ne viendras pas te plaindre. Comme tenue, je ne veux pas de celles que tu portes habituellement (Jean’s et sweat shirt), je te veux féminine en jupe et chemisier.
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