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Tanya 2

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Lue : 6053 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/11/2011

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Chapitre 2 : Tanya découvre mon univers.


Le samedi, à vingt heures précises, la sonnette d’entrée retentit dans ma maison. Je découvris alors une Tanya que je ne connaissais pas, plus féminine que jamais.

Je la mis en garde avant qu’elle ne franchisse le seuil :

- Réfléchis bien, tu peux encore partir. Si tu fais un pas de plus, tu devras faire tout ce que je te demande, sans te plaindre.

Pas un mot ne sortit de sa bouche, mais elle s’avança jusque dans l’entrée.

- Tant pis pour toi, c’est ton choix.

J’avais déjà préparé le premier accessoire : des lunettes de piscine. La particularité de ces lunettes était que je les avais totalement peintes en noir, à l’intérieur des verres. Tanya ne pourrait donc plus rien voir autour d’elle.

J’avais remarqué qu’une fille qui avait les yeux bandés obéissait plus facilement. De plus, c’était plus pratique qu’un foulard qui n’occultait pas forcément bien la vue, et qui risquait de se décrocher. Et pour une première rencontre, c’était moins choquant que les accessoires spécialisés que je possédais.

Je lui donnai alors les premiers conseils habituels :

- Tu mets ces lunettes, et à partir de maintenant tu ne dis plus un mot sauf si je t’interroge. Lorsque tu t’adresses à moi, tu termines tes phrases par Monsieur. Si le jeu devient trop dur pour toi, il te suffira de retirer les lunettes, et je te laisserai tranquille. Est-ce que tu as compris, et est-ce que tu es d’accord ?

- Oui Monsieur. Me répondit-elle simplement et sans hésitations.

Sur ce, je la guidai au milieu du living, et la laissai plantée là debout sans rien lui dire. Je partis me verser un bourbon, et vint m’installer sur un fauteuil face à elle.

Je la laissai ainsi pendant une demi-heure, sans rien dire, pour tester sa motivation. Durand tout ce temps, elle ne dit pas un mot, et ne bougea quasiment pas. Je lui demandai alors doucement d’ouvrir son chemisier.

Je vis ses mains se lever, et ouvrir un à un tous les boutons attachés. Lorsque ce fut fait, j’eus la joie de découvrir un magnifique soutien-gorge sexy de couleur rouge, ma couleur préférée, avec le noir. Et d’après le peu que je pouvais en voir, une non moins magnifique poitrine.
Après une minute ou deux, je lui demandai de retirer son chemisier. Elle le fit immédiatement sans appréhension.

Je la laissai mariner quelques instants, avant de lui demander d’ôter sa jupe.

Une nouvelle fois sa réaction ne se fit pas attendre, la mini-jupe glissa immédiatement le long de ses cuisses pour rejoindre le sol. Un magnifique string rouge m’apparut, parfaitement assorti à son haut.

Comme je le faisais à chaque première rencontre, et profitant de ce que mes conquêtes ne pouvaient pas me voir, je les prenais en photo. Au moins si elles ne revenaient pas, j’avais toujours ces souvenirs visuels pour alimenter mes phantasmes.

Je lui demandai alors de faire un tour complet sur elle-même en prenant bien son temps, ce qu’elle fit toujours sans un mot de protestation.

Sa rotation prit presqu’une minute, au moins j’avais eus le temps de l’admirer, et de prendre de belles photos.

Pour la suite, je voulais qu’elle dégrafe son soutien-gorge. Continuant à m’obéir, elle le décrocha, et commença à ôter les bretelles sur ses épaules. Je l’arrêtai immédiatement, sur un ton assez dur :

- Je t’ai demandé simplement de le dégrafer, et pas de l’enlever complètement. Contentes-toi de faire ce que je te demande, sans prendre d’initiative. Lorsque je voudrai que tu en prennes, je te le ferai savoir.

Je vis à son visage qu’elle était surprise par le ton que j’avais employé. Jusqu’à ce soir, j’étais toujours resté calme et tranquille lors de nos rencontres. Elle n’était pas habituée à une intonation aussi autoritaire de ma part.

Pour la suite, je lui demandai de faire descendre son string, jusqu’au dessus de ses genoux.

Le message était bien passé. Elle sa contorsionna pour le faire descendre à la hauteur voulue, en faisant bien attention à ne pas perdre son haut. Son minou était comme je les aimais, sauf qu’il était surmonté d’une légère touffe de poil, et que je les aimais glabres. Mais ce ne serait pas un problème longtemps, si mes petites manies lui plaisaient.

Mon appareil photo commençait à se remplir doucement.

- C’est bien. Continuai-je. Maintenant laisse tomber ton soutien-gorge tout seul.

Elle était très intelligente, et comprit immédiatement ce que je souhaitais. Au lieu de se servir de ses mains, elle tortilla son buste et ses épaules, pour que le vêtement chute tout seul.
J’adorais cette séquence, je pouvais ainsi constater de la fermeté de la poitrine de mes conquêtes. Je ne fus pas déçu par celle de Tanya, elle était consistante à souhait.

- Tu fais pareil pour le string à présent.

Une nouvelle fois, elle tortilla du bassin et des cuisses pour ne pas à avoir à se servir de ses mains.

Elle ne semblait pas gênée d’être entièrement nue à présent devant moi. Par contre, ce qui me surprit de sa part, c’est qu’elle se prenne au jeu, et qu’elle n’ait pas encore retiré ses lunettes. Mais aussi, c’est qu’habituellement elle était extrêmement volubile, et que jusqu’à présent elle n’avait toujours pas dit un mot.

- Tu mets tes mains derrière ta tête, et tu fais un tour sur toi-même comme tout à l’heure.

Là encore son tour fut assez lent, j’eus bien le temps d’admirer sa plastique, et de prendre de nouveaux clichés.

- Est-ce que tu n’es pas trop choquée par ce que je te demande ?

- Non Monsieur. Répondit-elle.

-Est-ce que tu veux t’arrêter maintenant ? Après, ce que je te demanderai sera encore plus pénible pour toi.

Sa réponse fut la même, je pouvais donc continuer sur ma lancée.

- Tu gardes tes mains derrière la tête, et tu écartes les cuisses.

Léger mouvement de ses pieds, qui étaient à présent disjoints par environ cinquante centimètres.

Je m’approchai alors d’elle, et commençai par caresser son visage, un léger sourire apparut. Mes mains descendirent ensuite doucement de chaque côté de ses seins, se contentant d’en effleurer les bords. Sans s’arrêter, l’une d’elle continua sur son ventre, alors que l’autre se dirigea sur son dos. Celle qui était devant alla jusqu’au Mont de Vénus, l’autre descendit jusque sur le haut du postérieur de Tanya. De concert, elles continuèrent leurs caresses, se satisfaisant de ces zones, sans jamais aller plus bas.

Les frissons de Tanya prouvaient qu’elle appréciait ces effleurements. Elle aurait peut-être souhaité que je continue, d’autant que les pointes de ses seins étaient à présent bien tendues, mais ce n’était pas le but de cette soirée.

- Allonges-toi au sol, sur le dos et cuisses davantage écartées.

Le contact du carrelage froid accentua encore plus ses frissons, mais cette fois ce n’était peut-être plus grâce aux mêmes sensations.

Je la laissai ainsi de nombreuses minutes, le temps de plusieurs photos de son intimité.

- Très bien, à présent, je veux te voir à quatre pattes.

Puis je précisai :

- Les cuisses toujours bien écartées. C’est une habitude qu’il te faudra prendre avec moi, que tu sois debout, couchée assise, ou dans n’importe quelle position.

C’est maintenant sa partie arrière qui fut fixée pour l’éternité par l’objectif de mon appareil.

Tanya ne montrait toujours aucun signe de velléité. Soit elle jouait le jeu par plaisir, soit elle attendait que j’aie fini par fierté, et m’annoncerait cela ne lui plaisait pas. Il serait temps de voir à ce moment là.

- Tu peux te remettre sur le dos.

Elle reprit la position d’avant, en ayant bien suivi mes conseils pour ses cuisses.

- Maintenant que tu m’as fais découvrir ton corps, c’est ton âme que je veux que tu mettes à nu à présent.

Elle sembla surprise par cette phrase, se demandant ce que j’attendais d’elle.

Ce que je voulais connaître, c’était sa sexualité : ce qu’elle aimait, ce qu’elle n’aimait pas, ce qu’elle faisait, ou refusait, ce qu’elle n’avait jamais fait, et ne ferait jamais, si elle avait des phantasmes. Enfin tout ce qui pourrait me servir pour mon plaisir. Et mon plaisir était d’obliger mes partenaires à faire ce qu’elles n’avaient pas spécialement envie.

Elle répondit, parfois avec une certaine gêne, à toutes mes questions, n’oubliant pas d’ajouter Monsieur à ses réponses.

Je savais à présent tout ce que je lui ferais faire par la suite, si elle avait aimé cette soirée.

Vers vingt deux heures, je lui avais fait faire tout ce que j’avais prévu pour cette soirée d’initiation. Et elle y avait répondu favorablement, maintenant il restait une question à laquelle je ne pouvais pas répondre : reviendrait-elle ? Je souhaitais que « Oui » de tout mon cœur. Mais serait-ce aussi son avis.

Je lui demandai alors de se rhabiller, toujours en gardant le silence. Puis je la raccompagnai jusqu’à la sortie, en lui disant :

- Je te laisse jusqu’à mercredi pour réfléchir si tu veux revenir. Envoie-moi un SMS.

A peine fut-elle sortie, que je notai tout ce qu’elle m’avait dit sur ses orientations sexuelles, je faisais toujours cela avec mes anciennes.

Avant de me coucher, je mis sur mon ordi les nombreux clichés que j’avais faits d’elle. Et c’est en pensant à elle, que je me donnai du plaisir plusieurs fois dans la nuit.
Si tout allait bien, ce serait la dernière fois que ma main me servirait de dérivatif.
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Histoire de Azkinato

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