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Tempête sur le lac

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 23/06/2023

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Je suis toute nue, allongée sur le ponton de la marina. Mon mari, installé sur un transat, a tendu la main, pour caresser mon dos, glisser une main entre mes fesses. Je cambre légèrement les reins, pour que ses doigts puissent pénétrer ma chatte, et me donner du plaisir.
Il fait un temps superbe, et malgré un ciel menaçant, je décide d’aller naviguer sur le lac, avec mon petit catamaran. En cette période d’arrière saison, il n’y a pratiquement personne sur le lac.
J’enfile un short et un débardeur sur mon corps nu.
- Et c’est tout...pas de culotte, pas de soutien-gorge ? Attention aux pirates, ils aiment bien les petite chattes bien fraîches, dit mon mari avec humour.
Je lui fait un signe de la main, et lui crie « A ce soir »
Après une petite heure de navigation, voila que s’abat, sur le lac, de véritables tombes d’eau, à n’en plus finir, à ne plus voir le ciel, même à quelques mètres devant soi. Comme une idiote, je n’ai même pas pensé à prendre mon portable.
Je peste au milieu du lac, sur mon petit catamaran coincé sous une pluie battante, et je n’y voit absolument rien. Je m’en veux, me déteste de ne pas avoir écouté mon mari, qui me conseillait de prendre les Talkie-walkie, et de ne pas avoir assez consulté la météo. Je sais pourtant, que le temps est changeant sur l’eau, qu’en quelques minutes, le soleil peut laisser la place au déluge.
Avec mon short ridiculement court et mon débardeur, sans aucun moyen de me protéger, ni de repartir, me voila coincée pour un moment.
Tout occupée à fulminer contre mon inconscience, je n’entends pas le petit bateau à moteur se rapprocher, qui se tient certainement à distance pour ne pas m’effrayer, qui envoie des signaux lumineux, pour attirer mon attention.
Je relève la tête à ce moment, aperçois la clarté furtive dans ce mur de pluie. Je bondis, me met à hurler, espère que le bateau a une cabine, ou je puisse me mettre au chaud, en attendant que l’orage passe.
Le bateau se rapproche, et peux lire le nom inscrit sur la coque.
« Jeannot du Matin ».
Une silhouette emmitouflé sort, me cri de m’amarrer et de venir me mettre à l’abri. En quelques minutes, ma décision est prise. Je ne sais rien de mon sauveur, ou ma sauveuse, mais rêve déjà d’une grande tasse de thé brûlant.
Mes gestes sont précis, j’arrime solidement mon catamaran au petit navire, et son propriétaire m’aide à me hisser à bord. Entre deux éclairs, j’aperçois les très beaux yeux bleus, masculin à n’en pas douter.
Il pousse la porte de la cabine et m’invite à rentrer d’un geste du bras.
A l’intérieur, tout est chaleureux, boiseries, des coussins, de nombreuses couvertures, une bouilloire, des tas de livres, quelques lampes à pétrole illuminent la pièce. Je me sens bien, en sécurité dans cette atmosphère feutrée.
- Quel temps de chien, dit-il d’une voix grave et sensuelle.
Je me retourne, lui souris, et le remercie chaleureusement. Je découvre un bel homme, la cinquantaine, brun, mince, viril, un sourire avenant, et surtout, un regard à tomber. Je devine un homme solitaire, certainement vieux garçon. Ça doit faire des lustres qu’il n’ a pas tenu une femme dans se bras, encore moins la baiser.
Soudain, furtivement, le regard de l’homme se pose sur ma poitrine. Il se retourne aussitôt, mais j’ai le temps de voir sa gène, peut-être aussi une pointe d’envie. Je ne comprends pas, baisse les yeux, et me rappelle à cet instant, précis, que je ne porte aucun sous-vêtements, que mon débardeur bleu ciel, trempé de pluie et qui colle à ma peau bronzée dévoile tout de mes seins ronds et fermes. On peu même apercevoir la petite boule métallique de mon piercing au nombril.
Très gênée, je me sens rougir, voudrait m’excuser de ma tenue, mais aucun mot ne sort de ma bouche. Je suis là, face à cet homme que je ne connais ni d’Eve, ni d’Adam, réalise que cette situation l’intrigue, l’excite énormément, comme un goût d’interdit.
On est face à face, silencieux, l’atmosphère de la cabine est électrique, l’homme a des frissons, je peux voir les poils se hérisser sur son bras. Ils ne détachent plus ses yeux de moi, il me scrute, semblant attendre de moi, une parole, un geste. Je voudrais bouger, parler de tout et de rien, mais j’en suis incapable, paralysée par la situation et les yeux acier de mon « sauveur ».
- Vous devriez vous changer, vous allez attraper froid. Il y a des habits dans le tiroir à droite, me dit-il. Je vais me tourner pour que vous soyez tranquille.
- Non, dis-je, comme un cri venant su cœur...enfin je veux dire…
Je perd la tête, enivrée par la situation, je n’ai pas réfléchie. Il ne dit plus un mot, ne bouge plus, croise les bras et attend, un léger sourire aux lèvres.
Les joues en feu, j’attrape mon débardeur, le fait passer par dessus ma tête, d’un seul geste, et le jette au sol. L’homme ne dit toujours rien, mais je peux voir une lueur briller dans ses yeux bleus acier, celle du désir.
Je ne me reconnais pas lorsque je me met à déboutonner mon short, et
pourtant...un bouton, deux boutons...je sais que depuis sa place, il a dû comprendre que je ne portais rien en dessous. Il put voir ma peau, ma chatte épilée. Je laisse glisser mon short le long de mes jambes fuselées, sans le quitter des yeux. Il ne peut retenir un soupir.
Le tonnerre retentit, me fait sursauter dans un éclat de rire, faisant tressauter fièrement mes magnifique seins. Je défais d’une main ma queue de cheval, et laisse s’étaler en cascades mes boucles brunes sur mes épaules.
Je me prends au jeu de le séduire, me laisse enivrer par cette folle situation. J’écarte les bras pour me faire admirer, tourne sur moi même, m’appuie sur un meuble, me cambre...je joue.
D’un geste, il referme ses mains sur mes épaules, et me pousses contre la cloison du navire. De ses lèvres, il effleure mon cou, hume mon parfum.
Il embrasse ma joue, mon cou, me mord l’oreille. Impatiente, je tourne brusquement la tête, plaque mes lèvres aux siennes. Il gémit, surpris, puis se laisse emporter par ma fougue. Nos langues se découvrent, se défient. Il lèche mes lèvres, les mord, les aspire. Je respire de plus en plus fort, frotte mes cuisses l’une contre l’autre, sens l’humidité sur ma chatte. Les mains de l’homme se promènent sur mes épaules, mes seins. Il en attrape un à pleine main, le caresse, fait rouler un bout durcit par le désir entre ses doigts, puis le lèche avidement.
Je gémis de plus belle, me frotte contre lui, désireuse de sentir son corps. Il se recule, sourit, enlève sa chemise d’un geste vif, puis défait son pantalon, le fait tomber, afin d’être nu à son tour. Je découvre une bite longue, épaisse, raide, fièrement dressée, aux antipodes de celle que je connais.
A son bout, luit une goutte de sécrétion, une goutte de plaisir. Je m’accroupis et la lèche, gourmande. J’emprisonne la queue de mes mains et l’enfonce dans ma bouche, la suce langoureusement. L’homme ne peut retenir un râle de plaisir. Il saisit mes cheveux, les agrippes avec force. Je poursuis mes va et vient, mes lentes caresses, enroule ma langue autour du gland. Je l’engloutis, lèche les grosses couilles. L’ardeur que je développe rend mon sauveur fou de plaisir. Il gémit plus fort, se laisse aller à me susurrer…
« Encore...suces moi encore ».
Sa queue se fait de plus en plus épaisse, s’en est presque inimaginable.
- C’est toi qui me fait ça...c’est ta bouche, gémit-il.
Je le pousse vers l’étroite couchette, il tombe, les jambes écartées, à ma merci. Je n’en peux plus de cette queue si dure, je rêve de la sentir en moi.
Je chevauche mon sauveur, frotte tout mon corps sur le sien. Il peut sentir mes bourgeons durcis sur son torse, la peau de mon ventre contre le sien, ma mouille inondant son sexe. Je le saisis, palpitant, l’enfonce profondément. Je hurle, l’absorbe entièrement, la possède, chaque centimètres de ma chatte est à lui. Il donne alors quelques coups de reins, se met à bouger du bassins. J’ondule sur lui, vais et viens, frotte mon clitoris sur sa queue. Je bouge frénétiquement, je veux juste jouir, jouir fort.
Nos corps se fondent, ne fond plus qu’un dans un plaisir inexorable, qui monte en nous avec une rapidité exceptionnelle.
La tension de l’orage, la moiteur de la cabine, l’ivresse de cet inconnu, nous met tous les deux dans un état d’excitation, presque de transe inhabituelle.
Je le chevauche, le corps collé au sien, et donne des coups de reins, tout en essayant de les synchroniser aux siens.
Je suis surprise par la raideur incroyable de son calibre, qui ouvre ma chatte comme aucune queue, à ce jour, ne l’a ouverte.
Je me redresse pour me serrer contre lui, fusionner avec lui, sentir mon corps contre le sien, sans interrompre mes mouvements du bassin de plus en plus rapide. L’homme pose sa bouche sur mon sein, aspire le bout aux mêmes rythme que mon corps, le mordille, l’enserre entre ses lèvres.
Mais très vite, le plaisir devint insoutenable, il sent que je vais venir, et qu’il est prêt à me rejoindre.
Il comprend à mon regard, à mes gémissements que je suis prête, il m’offre un baiser passionné, comme pour étouffer mes cris. Il jouit alors en de longs jets de sperme au plus profond de moi, alors que je sens chaque muscles de ma chatte se contracter autour de sa queue. On se regarde, ivre de plaisir.
Dehors le ciel s’est dégagé, la tempête s’est calmée. Je lui dis alors...
« Enchantée de faire vôtre connaissance...moi, c’est Ludivine »
« Moi, c’est Jean, comme mon bateau. « Jeannot du Matin ».
On s’échangent alors nos numéros de téléphone, dans les rires et plein de complicité qui se forgent rapidement entre nous.
Il me propose alors un bain nocturne dans la chaleur du soir qui tombe peu à peu. Je l’accepte bien volontiers.
A peine montés sur le bateau, qu’une autre tempête se profile, plus forte, que la première. Jean me propose de rester pour la nuit.
Je ne pouvais refuser, et me devais de m’offrir à cet homme, qui m’avais tirée des griffes de ce violent orage. En aucun cas, je ne voulait rompre cet instant magique, ou on se sentait comme seuls au monde, juste l’univers partagé à deux.
J’appelais mon mari avec le VHF du bateau, pour lui dire que le catamaran avait subi quelques avaries, de ne pas s’inquiéter, que j’étais en sécurité, que je ne rentrerais que demain matin.
Puis je me glissais sous les couvertures, me blottit contre mon sauveur pour une nuit sans sommeil.
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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Tempête sur le lac

Le 02/07/2023 - 09:29 par Sky
Oui, comme vous dites, mesdames, c'est une bien belle histoire ! Et j'avoue que sauver une belle dame qui vous récompense de la sorte, c'est vraiment sympa !
Le 29/06/2023 - 16:14 par michelle2
pas mal j'adore
Le 24/06/2023 - 23:27 par OlgaT
Belle récompense pour le sauveur!
Le 23/06/2023 - 17:03 par lucrece
Quelle belle aventure que j'aimerai vivre, malheureusement Libertin et moi ne possédons pas de catamaran, même pas une chaloupe.

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