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Thalassothérasexe

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 21/11/2022

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‌‌‌‌‌‌Quand Christophe annonça à Corinne qu'il s'était engagé avec les supporters de l'équipe de France de football pour la coupe du monde, et qu'il allait la quitter au moins pour les matches du premier tour, elle marqua le coup. Elle allait donc se retrouver seule pendant un certain temps, et ça demandait une contrepartie immédiate. Il se trouvait justement qu'elle aspirait depuis longtemps à soumettre son corps de cinquante ans aux délices de la thalassothérapie. Christophe s'y était toujours refusé, prétextant ne pas aimer les bains de boue et autres propositions de cette balnéothérapie. Cette fois, il ne pouvait qu'accepter que son épouse tente l'expérience. C'était du donnant donnant, sinon du gagnant gagnant, compte tenu de l'incertitude sportive...

Et c'est ainsi qu'après le départ de son mari, Corinne prit pension pour un stage de trois jours (afin de limiter les frais) dans un hôtel assez luxueux d'une station de l'Atlantique abritant en même temps un centre de thalasso. Dument équipée d'un peignoir et de sandales, elle fit son entrée dans l'atmosphère ouatée du lieu après s'être inscrite pour divers soins censés améliorer son bien-être, sa peau et sa santé globale. Quand elle ôta son peignoir pour entrer dans la piscine chauffée, elle prit d'emblée conscience qu'elle tranchait dans le lot des curistes. La plupart avaient largement dépassé l'âge de 60 ans et tentaient de limiter les dégâts de la décrépitude. Ses 176 centimètres, ses 60 kilos et ses formes pleines contenues dans son bikini minimaliste de plage en firent d'emblée une marginale dont elle tira plus une gêne que de la fierté. Le surveillant de baignade, un petit brun râblé à chevelure bouclée, en eut la mâchoire tombante. Un canon de mature pareille, ce n'était pas son ordinaire. Après avoir logé son opulente chevelure de blonde à mèches dans son bonnet de bain, Corinne se glissa dans l'onde tiède avec volupté. Enfin, elle découvrait la thalasso et elle avait hâte de connaitre les premiers soins.

C'est dans la salle d'attente de l'un d'eux qu'elle découvrit qu'elle n'était pas la seule femme entre deux âges de ce stage. Une belle brune à peau mate se préparait elle aussi à se mettre dans les mains d'un thérapeute et les deux femmes échangèrent aussitôt leurs impressions. Elle s'appelait Julie, était également seule, logeait aussi à l'hôtel et découvrait pareillement la thalasso après une dure période de sa vie. Elle était veuve, son mari étant décédé prématurément d'un cancer, et elle s'en remettait à peine. Après les soins, elles se retrouvèrent à la piscine et quand Julie ôta son peignoir, dévoilant un corps pulpeux moulé dans un maillot une pièce, le surveillant de la baignade laissa à nouveau tomber sa mâchoire. Deux canons en même temps, sans accompagnateur mâle, c'était trop beau pour être vrai.

Corinne et Julie décidèrent de ne plus se quitter afin de rompre leur solitude. Elles mangèrent ensemble, se baignèrent ensemble, passèrent un temps prolongé au bar de l'hôtel pour raconter leur vie. Julie avoua 45 ans et l'envie de perdre un peu de poids. Corinne jugea cette ambition inutile, la trouvant "très belle ainsi, avec des très beaux seins, alors que les miens sont trop petits". Ce que contredit évidemment Julie, avouant rêver au même corps que son interlocutrice. Un peu groggy après la première journée de soins, elles se couchèrent tôt mais se promirent de sortir ensemble le soir suivant si elles se sentaient mieux.

Le lendemain, un coach les prit en charge pour une séance d'aquagym. Un gars jeune, séduisant, rigolo, bien bâti, prénommé Joris, qui plut aux deux femmes comme au reste des stagiaires. Il chambra fréquemment la quinquagénaire et la quadragénaire, montrant ainsi son intérêt pour elles, ce qui les flatta. Les soins se terminant tôt, elles décidèrent d'aller marcher ensemble au bord de la mer, poursuivant leurs confidences réciproques. Corinne raconta sa vie "tranquille" avec son mari fana de foot, son boulot d'assistante de direction et ses enfants ayant quitté le domicile parental. Julie évoqua sa "vie d'avant", riche et épanouissante, son travail de fonctionnaire territoriale, son fils étudiant. Puis au fil de la marche, les propos devinrent plus intimes. Julie avoua qu'elle n'avait plus fait l'amour "depuis une éternité" et que ça ne lui avait pas manqué. Mais elle se demandait si elle en serait encore capable. Corinne la rassura en lui disant :
- C'est comme le vélo, une fois qu'on en a fait, on n'oublie plus.
Julie lui demanda si elle avait des rapports sexuels fréquents avec son mari :
- Moins qu'au début bien sûr mais de temps en temps quand même et heureusement car j'adore ça.
- Moi aussi, j'ai adoré ça. Avec mon mari, c'était devenu une drogue dure. Mais il faut croire que j'en ai perdu le goût.
- C'est très dommage et c'est mauvais pour la santé. Sinon, on vieillit prématurément. Il faut que tu renoues avec le sexe. Peu importe si c'est sans amour.
- Parce que ça t'arrive aussi ? Tu aimes toujours ton mari, non ?
- Bien sûr. Mais il m'est arrivée d'être tentée par une escapade. Juste pour le plaisir. Mais j'ai toujours su résister.
Julie lui avoua qu'elle n'était toujours pas ménopausée, au contraire de Corinne, mais qu'elle n'envisageait plus d'être mère. Au bout de cette discussion, les deux nouvelles amies décidèrent de sortir après le dîner. Elles avaient repéré un bar animé et pas trop moche, accessible à pied, qui les changerait un peu de celui de l'hôtel.
******
Corinne opta pour ses leggings à bandes latérales, très moulants, mettant selon elle son principal atout sexuel en valeur, à savoir sa croupe, ni trop mince, ni trop grosse, ni trop large, ni trop étroite, bref parfaitement calibrée selon l'avis unanime de la gent masculine qui avait bien voulu lui en faire part. Ses ondulations légères mettaient souvent en émoi son entourage mâle, ce dont elle avait parfaitement conscience et en jouait, quitte à passer pour allumeuse. Sous ses leggings, un mini string laissait l'impression de fesses nues sous le tissu, ce qui était également voulu. Un corsage léger à boutons et sans manches, un mini blouson de cuir et des Stan Smith aux pieds complétaient un ensemble très décontracté; En revanche, Julie la jouait classe avec talons aiguilles, robe longue avec un décolleté pointu révélant la profondeur de son sillon mammaire. Car elle savait elle aussi où était son atout sexuel. Autant dire qu'elles étaient parties pour plaire, mais bien entendu, en tout bien tout honneur.

Le bar était animé avec une télé qui retransmettait un match de la coupe du monde de foot. Corinne eut une brève pensée pour son mari. Que dirait-il s'il la voyait dans ce bar, objet des regards mâles comme elle en prenait conscience ? Elles sirotaient leur cocktail depuis une dizaine de minutes quand deux apparitions s'approchèrent de leur table. C'était Joris, le coach de la thalasso, flanqué du petit chevelu bouclé qui avait surveillé la piscine, et qui se présenta sous le prénom (ou surnom) de Ricky.
Comme elles étaient en terrain de connaissance, les deux femmes les acceptèrent à leur table. Elles les trouvèrent vite sympas, décontractés et considérèrent qu'elles avaient tout lieu d'être flattées de l'intérêt qu'elles suscitaient malgré une différence d'âge en leur défaveur. Elles admiraient leurs biscotos bien apparents et bien découverts par leur tee shirt. Ils respiraient santé et virilité, ce qui n'est jamais indifférent à une femme normalement constituée. La conversation se prolongeait, les verres s'accumulaient et quand les deux garçons proposèrent aux deux stagiaires de faire une petite virée en boite pour finir la soirée, elles acceptèrent sans se faire prier. Pour une fois qu'elles pouvaient danser, hein ?

Dans la boite, entre deux danses échevelées qui firent rajeunir les deux femmes de deux bonnes décennies, Julie s'étant mise pieds nus pour la circonstance, les choses se précisèrent. Joris et Ricky commençaient à serrer de près leurs accompagnatrices, quand ils n'avaient pas les mains baladeuses. Julie devenait de plus en plus rouge sous sa longue et épaisse tignasse de brune et Corinne avait enlevé depuis longtemps son blouson de cuir pour respirer puis déboutonné les boutons du haut de son corsage, au ras du soutif. Elles profitèrent d'un passage des deux hommes aux toilettes pour faire le point de la situation :
- Ils veulent coucher avec nous, c'est clair, murmura Julie à l'oreille de Corinne.
- Eh bien, c'est l'occasion pour toi de sortir de ton marasme. Deux mecs pour le prix d'un, c'est génial, non ?
- Parce que tu veux me laisser seule avec eux, c'est ça ?
- Mais tu oublies que je suis mariée !
- Ah non, s'il te plait, ne me laisse pas seule. Je n'ai plus confiance en moi. Aide-moi.
- Tu... veux que je t'aide à baiser ?
- Je veux que tu m'accompagnes, tu feras ce que tu voudras. S'il te plait, dit oui.
Elles en étaient là de leur discussion quand les deux garçons réapparurent.
- Allez, on vous ramène à l'hôtel, si vous voulez.
Elles voulaient bien.
*******
Dans la voiture, assises à l'arrière, Julie et Corinne se sentaient dans un étrange mélange d'euphorie due à la danse, à la drague, à l'impression d'avoir rajeuni de plusieurs années, à l'intérêt qu'elles avaient suscité pour deux beaux mecs, il fallait le reconnaitre, mais aussi l'inquiétude d'un avenir proche très incertain pour leur vertu. N'étant quand même pas nées de la dernière pluie, elles avaient bien compris qu'il y aurait un moment crucial à vivre au moment d'entrer dans l'hôtel, et peut-être même dans le couloir des chambres, et plus exactement à la porte d'une de celles-ci. Si elles avaient pu entendre les propos des deux maitres nageurs lorsqu'ils étaient allés pisser un coup, toute incertitude aurait été levée :
- Tu crois qu'elles baisent ? avait demandé Joris à Ricky.
- Sais pas. Peut-être ben que oui, peut-être ben que non.
- Putain, la blonde, t'as vu le cul qu'elle a ? J'y mettrai bien la queue, moi.
- Et la brune, ces nichons ! Jamais tenu en mains une paire pareille. J'y mettrai bien la queue au milieu aussi.
- Il faut qu'on se les tape. Tu prendrais laquelle ? La brune ?
- Ouais. Elle a l'air chaude.
- Attention quand même. Les femmes maintenant, il faut se méfier, elles crient vite au viol.
- Tu as raison, allons-y mollo. Mais bon, elles ont déjà des heures de vol, ce ne sont pas des demi pucelles comme il y en a trop par ici.
******
En fait, les deux gaillards ne le savaient pas, mais Corinne et Julie avaient bel et bien envie de baiser, même si elles ne voulaient pas se l'avouer. Deux splendides corps de mâles s'offraient à elles. La résistance de femme mariée de Corinne diminuait de minute en minute et Julie retrouvait dans sa culotte des secrétions intimes qu'elle croyait définitivement asséchées. Ils entrèrent en silence dans l'hôtel, prirent ensemble l'ascenseur dans une tension palpable et arrivés devant la porte de chambre de Corinne, celle-ci leur offrit de prendre "un dernier verre" d'une voix rauque. Mais à peine avait-elle ouvert le mini bar en se penchant en avant qu'une main se collait à ses fesses :
- Non, pas ça ! souffla-t-elle à Joris en se retournant. Je suis mariée !

C'est alors qu'elle découvrit que Ricky faisait passer la robe longue de Julie par-dessus sa tête, la trouvant en petite culotte et soutif sans se voir opposer la moindre résistance.
- Laisse-toi faire, ça va bien se passer, dit Joris à Corinne en déboutonnant son corsage.
Elle tenta une ultime résistance mais dans le même temps, Julie avait fait valser soutif et slip, exposant deux globes pesants et un fessier joufflu, basculé en travers du lit et Ricky avait plongé le museau dans son entrecuisses broussailleuse de brune. Corinne croisa le regard de son amie, implorant, l'air de dire : s'il te plait, fais comme moi. Tout en léchant d'abondance, le petit chevelu s'était débarrassé de son futal et de son caleçon, révélant une érection majuscule, inversement proportionnelle à sa taille. Fascinée par cet organe, Corinne ne s'était même pas rendu compte qu'elle était désormais seins nus et les leggings aux chevilles avec son string. Bousculée par Joris sur le lit, juste à côté de l'autre couple, les leggings et les Stan Smith au sol, dépoitraillée, vaincue par le désir, elle se fit lécher à son tour et Julie lui sourit en lui prenant la main.
- Merci, souffla-t-elle entre deux gémissements, car la langue de Ricky lui faisait sacrément du bien. Son clito en était ragaillardi.

Fan de cunni, Corinne savourait à son tour cette exploration préliminaire, la main sur la nuque du maitre-nageur. Elle ne pensait plus ni à son mari, encore moins à la coupe du monde, juste à cette langue qui la faisait bouillir de l'intérieur et que seule une pénétration en bonne et due forme parviendrait à apaiser. De même, Julie oubliait son défunt conjoint mais renouait avec la "drogue dure" d'autrefois. La présence à ses côtés de Corinne, en proie à la même extase, la rassurait, l'excitait, la stimulait. Elle aurait été bien surprise si, à peine quelques heures plus tôt, on lui avait prédit le comportement qui allait être le sien dans quelques secondes, lorsqu'elle aurait pris Ricky par ses cheveux bouclés, l'aurait relevé de son cunni et lui aurait dit :
- Baise-moi maintenant.

La langue sur les lèvres et les cuisses écartées, elle le vit coiffer d'un préservatif sorti de son pantalon un pénis comme elle n'en avait encore jamais vu, sauf dans les dessins pornographiques qui lui montrait son conjoint avant de passer à l'acte, histoire de s'échauffer mutuellement.
- Vas-y doucement, je suis un peu rouillée, crut-elle bon de prévenir, impressionnée par le volume proposé.
En fait, l'introduction fut aisée car elle était dégoulinante de son jus. Le cri qu'elle poussa lorsqu'il fut bien engagé n'était pas un cri de douleur mais de plaisir. Celui d'une femelle longtemps sevrée qui redécouvrait la joie procurée par la jonction de deux sexes faits pour s'entendre. Ricky eut la sagesse de ne pas se laisser emballer par ce corps juteux qu'il animait de sa queue épaisse; par la houle de ces seins lourds, par ce visage extasié; par ces approbations verbales; par ces renvois de balle par un cul frémissant et impatient. Il creusait. Il retardait son pilonnage, même si elle n'attendait que ça.

A côté d'elle, Corinne venait elle aussi d'être pénétrée, mais par une queue longue et fine qui entra comme dans du beurre et atteignit des profondeurs jubilatoires. Joris plongea dans ses yeux émeraude en la limant, observant ses réactions de femme baisée, ses cheveux étalés sur le lit, un rictus aux lèvres mais une approbation concrétisée par la pression de ses talons sur les reins de son amant d'un soir. C'était la première fois qu'elle se trouvait dans une telle promiscuité sexuelle et il avait fallu un stage de thalasso pendant que son mari jouait les supporters pour en arriver là. C'était aussi à cause de Julie et son besoin de cet assistanat spécial si elle en était arrivée là. Mais Corinne n'en était pas encore au stade de la culpabilité : il arriverait bien assez tôt. Pour l'heure, elle ne pensait qu'à cette bite qui la fouillait sans concession, à ce torse superbe de mâle qui la surmontait et à l'envie que ce corps à corps dure le plus longtemps possible. Elle baisait et à côté d'elle, Julie baisait aussi.

Dans le méli mélo du lit, les deux femmes se retrouvèrent tantôt côte à côte, tantôt face à face, s'encourageant et se découvrant dans le plaisir. Lorsque Corinne connut un orgasme anal sonore, Joris accroupi sur le lit, fiché dans son cul de rêve, Julie explosa en même temps à côté, pliée en deux, ses mains tenant ses mollets, dévastée par le marteau de couvreur de Ricky. A chacun de ses coups de queue, elle couinait comme s'il appuyait sur le bouton d'un klaxon dans son antre intime. Les deux gars eurent alors toutes les peines du monde à retenir leur sperme. Mais leur jeunesse endurante, une forte concentration et surtout l'envie d'honorer encore deux coups en or leur permirent de rester raide en se retirant.
- Ah merci, vous avez encore envie de nous, vous êtes merveilleux, lâcha Corinne. Et d'embrasser son amant comme une vraie amoureuse.

- Et si on échangeait ? proposa Julie, stupéfiant Corinne par son audace. L'idée lui passa alors dans la tête qu'elle était bien plus libérée qu'elle l'avait cru. Elle avait dû connaitre une vie sexuelle agitée au temps de la "drogue dure". En tout cas, elle avait repris confiance en elle. La suggestion plut aux deux hommes. Corinne avait à peine eut le temps de considérer la situation qu'elle voyait s'avancer entre ses cuisses un manche de pioche, un sceptre, un braquemard surmonté d'un torse velu, un visage souriant et une tête bouclée. Corinne n'était absolument pas en état de refuser. Son sexe plein de son jus intime réclamait encore de la visite.

Elle l'accueillit cuisses en V et mains aux chevilles, ravie de fusionner encore avec un bel organe mâle et peu importe qui en était le propriétaire. Elle tourna la tête vers l'autre couple. Julie subissait le même joug, jambes repliées, orteils rétractés, mamelles étalées bougeant au rythme des coups de boutoir. Elles se prirent par la main, se sourirent entre deux brames, confortées par leur culot d'être baisées par deux types qu'elles ne connaissaient pas deux jours plus tôt. Elles perdirent les pédales ensemble, lâchèrent quelques mots crus improbables dans deux bouches aussi distinguées où il était question de "bite", de "baise", de "chatte" à combler et de "cul" à remuer, tant et si bien que cette frénésie finit par frapper les deux mâles en rut au cervelet et à les faire gicler moitié dans leur capote, moitié sur les deux ventres chauds dans un concert de râles, de soupirs et d'exaltation. Et le silence retomba dans la chambre du stupre.
*******
Le lendemain était pour les deux femmes le dernier jour de thalasso. Les soins ne furent pas de trop pour réparer deux corps malmenés, quoique comblés, par les deux jeunes mâles durs de partout. A la piscine, elles adressèrent un petit signe de connivence à Ricky, présent sur le bord, en pouffant de rire comme deux gamines contentes d'une petite farce. Corinne perdit ensuite de vue Julie, mais elle l'avait aperçue en train de se diriger vers les lieux en principe privés du centre de thalasso, et Joris avait remplacé Ricky au bord du bassin. Elle en déduisit logiquement que son amie était partie baiser à nouveau avec l'homme aux bouclettes et à la grosse queue. Elle en conclut que son stage avait été bénéfique pour sa santé à la fois physique et morale...

En bouclant sa valise, Corinne reçut un appel de Christophe du Qatar. Il était joyeux car l'équipe de France avait gagné. Elle l'était beaucoup moins car elle venait de prendre conscience qu'elle l'avait trompé de manière éhontée. Interrogée sur sa thalasso, elle eut du mal à masquer son embarras. Heureusement, toutes ces péripéties érotiques seraient bientôt derrière elle et sa vie conjugale reprendrait comme avant. Au moment du départ, Julie l'étreignit fougueusement, se confondant en remerciements. "Grâce à toi, je suis passée de la thalassothérapie à la thalassothérasexe", lui souffla-t-elle à l'oreille. Corinne sourit. Mais elle ne reprendrait sûrement pas ce néologisme devant Christophe...
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Histoire de Micky

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Commentaires du récit : Thalassothérasexe

Le 23/11/2022 - 16:13 par DBHB24
Encore un superbe récit très chaud et bien écrit.
Le 21/11/2022 - 22:33 par OlgaT
Ces deux femmes n'ont pas laissé passer cette belle occasion! Bravo, Micky!

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