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Tony (3) Et (petite) mise au point

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Lue : 422 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 23/10/2021

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J’entre dans la salle de bain au moment où Emilie passe dans sa douche italienne. Elle tourne un bouton au mur et une fine pluie tombe du plafond et vient se déverser sur son corps. Elle ferme les yeux, met sa tête en arrière et place ses bras le long de son corps. Je la vois se détendre au contact bienfaisant de l’eau chaude. Je l’observe ainsi à l’entrée de la douche un petit moment. Elle a vraiment de très belles formes même si elles ne sont pas aussi parfaites que celle de ma Anne.

Un nuage de vapeur envahie désormais la pièce. Je m’approche d’Emilie, passe sous le rideau de pluie et vient coller mon torse contre son dos en l’enlaçant, mes mains sur son ventre et mon sexe pas encore tout à fait remis de ses émotions contre ses fesses. Elle se soulève légèrement, se penche en avant et avec une certaine dextérité coince mon membre entre ses deux globes. Elle se redresse et entame un doux massage en contractant ses fesses contre mon pénis qui reprend peux à peux toute sa vigueur.

J’avise le gel douche dans un coin de la douche et tend un bras pour le récupérer. Je dessers mon étreinte et j’entends Emilie gémir doucement quand mon sexe quitte ses fesses. Elle retourne sa tête vers moi et me fais la moue signifiant qu’elle aurait bien continué.

- Doucement madame l’impatiente. Je vais d’abord te laver pour te faire toute belle…

- Pour mieux recommencer après ? me dit-elle en minaudant.

- Pour retourner au bureau surtout !!

- Parce que tu crois que j’ai envie de retourner au bureau, toi ?? Et j’ai pas vraiment l’impression que tu as envie d’y retourner non plus. Pouffe-t-elle en regardant mon érection grandissante.

- C’est pas faux. En attendant, laisse toi faire !!

Je coupe l’eau et verse du gel dans le creux de main avant de commencer à lui frotter le dos. Je remonte sur ses épaules, avant de descendre le long de ses bras. Arrivé à ses mains, je masse chacune d’elle doucement pendant de quelques minutes. Puis je glisse sur ses fesses, les caresses, m’insinue dans sa raie culière et vient caresser plus que nettoyer son petit trou que je sens frémissant. Je m’accroupis et descend le long de ses cuisses et de ses jambes que je nettoie tout en douceur. Son corps se recouvre d’une pellicule de mousse sentant très agréablement la coco. Je me redresse et la fait tourner sur elle-même. Son regard plonge dans le mien et je discerne son envie à nouveau grandissante.

Je verse à nouveau du gel mais cette fois directement sur son corps et sur ses seins. Mes mains étalent le savon sur le haut de sa poitrine puis glissent sur chaque sein. Je sens ses billes durcies rouler sous mes paumes. Mes mains passent dessous, entre, en fond le tour, les soupèsent. Puis descendent sur son ventre et le caressent, fond le tour de son nombril avant de descendre encore et venir nettoyer sa douce et fine toison. Nous avons toujours les yeux dans les yeux nous défiant presque. Elle écarte légèrement les cuisses et ma main glisse entre et vient caresser ses lèvres qui sont trempées mais pas uniquement par l’eau de la douche.

A son tour, elle verse du savon dans sa main et vient l’étaler sur mon torse, dessine chaque courbe de mes muscles, vient pincer mes tétons et descend rapidement sur mon sexe à nouveau en pleine forme. Sa main l’enduit de mousse, glisse dessus, sur mes boules, remonte sur le gland et le lave juste avec le pouce. Une douce chaleur envahit mon bas ventre. Elle commence une lente masturbation en faisant de long va et vient. Mes doigts ne sont pas en reste et viennent écarter ses lèvres pour venir s’introduire à l’intérieur de son volcan en fusion et mon pouce venant cajoler son bouton. Je calque mon rythme sur le sien. Elle accélère, j’accélère. Elle ralentit je fais de même. Nos respirations s’accélèrent de plus en plus. Elle n’arrive plus à me regarder dans les yeux et vient poser sa tête sur mon épaule. Elle halète de plus en plus fort, gémissant, criant. Mes râles sont de plus en plus rauques. Je sens sa cyprine couler dans ma main, elle est pantelante et je sens que ces jambes ont du mal à la porter. Elle lâche ma queue et les tend pour se tenir de chaque côté de paroi. J’accélère encore la cadence, avec trois doigts dans sa chatte dégoulinante et masturbant son clito. Elle jette alors sa tête en arrière et dans un cri strident, je sens son vagin se resserrer sur mes doigts et sa mouille gicler dans le creux de ma main, éclaboussant ses cuisses. Je la retiens par la taille et fais tourner le bouton pour faire couler à nouveau l’eau sur nos deux corps.

Elle redresse alors la tête et me jette un regard carnassier. Elle attrape ma queue d’une main, éteint l’eau de l’autre et me tire en dehors de la douche et en dehors de la salle de bain. Nos corps ruissellent encore d’eau et nous en mettons pleins partout mais cela n’a pas l’air de la déranger. Elle m’amène dans sa chambre et me pousse sur le lit. Elle me place au milieu, m’écarte les jambes et vient entre avant de fondre sur ma queue telle une mort de faim. Elle me lèche les couilles, remonte le long de mon sexe, prend mon gland en bouche et me masturbe avec force. S’en est presque douloureux.

Mais elle doit le sentir, car elle lubrifie abondamment mon chibre avec sa salive et la douleur devient un plaisir absolue. Je tiens alors sa tête entre mes mains et c’est moi qui impose mon rythme, lui baisant littéralement la bouche.

J’entends soudain une voix derrière nous et je me redresse :

- Ben c’est du beau !! Tu ne devrais pas être au boulot en ce moment à la place de pomper tel un vampire ce pauvre garçon.

Je vois alors une magnifique brune avec une grande natte portant un short et un débardeur de course et ruisselante de sueur sur la pas de la porte. Emilie lâche ma queue, se retourne et lui dit d’une voix rauque :

- Je suis en pleine négociation d’un contrat alors tais-toi et viens baiser avec nous, il a une langue qui va te faire jouir en moins de deux.

- J’aimerais bien voir ça tiens, je suis déjà trempée rien qu’à te voir te faire baiser la bouche.

Et sans se faire prier, elle enlève ses vêtements sous les lesquels elle ne portait que sa nudité, monte sur le lit, m’enjambe et vient se placer au-dessus de mon visage pour me présenter une chatte totalement lisse et luisante de sa liqueur. Je sors ma langue et elle vient s’empaler dessus comme si c’était un sexe. Emilie se relève prend ma queue entre ses doigts et vient la présenter à l’entrée de sa fournaise. L’inconnue se frotte contre mon visage, ma langue la fouillant, sa cyprine me barbouillant le visage. Sa main vient branler son clito tandis qu’Emilie se démène sur ma queue. Elles hurlent leur plaisir et leur jouissance alors que mes mains écartent les fesses de cette brune incendiaire et viennent pénétrer son petit trou. Je vais éclater et Emilie doit sentir ma queue palpiter en elle car elle se retire brusquement, la brune se baissant et au moment où je sens leur deux langues sur ma queue, de long jet de sperme giclent de ma bite et viennent zébrer leur visage. J’halète comme rarement et je vois mes deux partenaires se lécher le visage mutuellement et nettoyer consciencieusement mon membre ne laissant plus aucune trace de ma semence. Elles redressent et viennent se lover dans mes bras chacune d’un côté.

Emilie s’approche de mon oreille et me dit :

- Je te présente Nathalie, ma colocataire.

Et dans un souffle je réponds :

- Enchanté Nathalie. Heureux de faire ta connaissance.

- Mais tout le plaisir est pour moi, répondit-elle.

Et après un long moment de récupération, je me lève, passe à nouveau sous la douche mais seul cette fois et me rhabille. Je me dirige vers les deux filles qui sont en train de se caliner dans le lit, les embrasse chacune sur les lèvres et leur promet que je repasserai pour renégocier les termes du contrat. Quand je suis sur le trottoir et que je me retourne pour regarder vers les fenêtres de l’appartement d’Emilie, je me dit que la journée fut excellente et qu’elle n’était peut-être pas finie. Sur le chemin du retour, je reçu un texto de Anne qui me demandait de la rejoindre au Liberty Bar car elle voulait qu’on parle. Mais qu’on parle de quoi ? Se doute-t-elle de quelque chose pour cet après-midi ? Il y a de forte chance. Comme moi je me doute qu’elle n’a pas dû être très sage depuis mon départ. Sans aucun coup de fil de sa part.  Bien que je n’aurai sûrement pas pu lui répondre. Je sens une nouvelle mise au point entre nous deux.

J’arrive au Liberty vers 17h30. Un voiturier vient immédiatement m’ouvrir la porte et prends mes clés pour aller garer la voiture. J’entre à l’intérieur du bar. Il est quasiment vide pour le moment mais il ne tardera pas à être blindé avec les premières sorties des jeunes cadres dynamiques venant prendre l’apéro. Je balai la pièce du regard et la vois assise de dos sur un tabouret haut, sirotant un cocktail multicolore et portant un tailleur rouge en cuir qui moule ses formes comme jamais et la rend terriblement attirante. Elle va forcément attirer les regards lubriques de ces fameux jeunes cadres dynamiques.  Je m’approche d’elle et sens immédiatement cette odeur caractéristique qui s’échappe de tous ses pores quand elle a baisé. Je la surprends en la serrant par la taille et en enfouissant mon nez dans son cou et en lui mordillant légèrement la peau.

- Tu sais que tu me rends fou dans cette tenue. Et ton parfum naturel….. Tu n’as pas été très sage cet après-midi, n’est-ce pas ?

Elle couina légèrement sous les légères morsures avant de se retourner et de me regarder droit dans les yeux. Son regard était flamboyant et ne faisait qu’accentuer mon excitation. Elle saisit les revers de ma veste et m’attira à elle. Elle s’était avancée au bord de la chaise, avait écarté les jambes et mon sexe gonflé vint se coller contre le sien. Elle m’embrassa fougueusement, m’aspirant la langue et jouant des hanches, nos sexes se frottant l’un contre l’autre. Elle se détacha et me dit :

- Et moi j’ai l’impression que tes négociations sont un peu sorties de leurs cadres strictement professionnels, en frottant quelques choses sur le col de ma chemise. Et ne me dis pas que c’est le mien, je n’ai pas de rouge à lèvre de cette couleur.

On se fixa quelques instants, intensément, avant d’esquisser un léger rictus et partir dans un fou rire à en pleurer. Une fois calmé, je m’assis en face d’elle et commandai une vodka orange.

- Mais qu’est-ce qu’ils ont bien pu nous donner à manger ou à boire aux Maldives pour qu’on soit devenu des accrocs au sexe comme on l’est devenu ? Demandai-je

- C’est peut-être les effets secondaires des cocktails à Guillermo ?

- Peut-être en effet. Mais le plus dingue c’est que j’arrive même pas à t’en vouloir de ne pas avoir respecter nos règles. Tu étais avec qui quand je t’ai appelé ? Rémi ?

Elle rougit un peu avant de me répondre :

- Euh non…. Avec Rémi, c’était avant… dans les douches de la concession…. Avec Pierre… Quand tu m’as appelé, j’étais en train de remercier notre directeur dans son bureau…

- Ah ouais… quand même… Et tu n’as pas peur de la réputation qu’ils risquent de te faire ? Toute la concession va vouloir te passer dessus. Et là je ne suis pas sûr d’apprécier. Mais pas du tout. Dis-je plus sérieusement.

- Ne t’inquiète pas mon amour, Bertrand n’est jamais bien loin en ce qui concerne le personnel de la concession et je ne doute absolument pas qu’ils resteront discret.

- C’est encore Bertrand qui est derrière tout ça ? C’est lui en fait qui te dévergonde totalement !

- Je te rappelle quand même que c’est toi qui m’as jeté dans ses bras ! Tu ne vas pas me faire une scène maintenant.

- Oui je sais… mais…

- Il n’y a pas de mais qui tienne. Il faut assumer mon grand maintenant d’avoir libéré la bombe sexuelle qui était en moi. Et il est de toute façon hors de question de revenir en arrière. Je te l’ai dit, cette nouvelle vie me plaît et mon amour pour toi n’en est que plus fort. Ce n’est que du sexe et de la baise. Avec toi, je fais l’amour. C’est totalement différent. Et avoue que cela te plait également. C’était bien avec ta directrice ?

- Euhhhh…. Oui…. Assez…. Et même plutôt deux fois qu’une…. Je pense même qu’elle pourrait te plaire…. Tu m’accompagneras pour la signature définitive du contrat…… ah oui, j’allais oublier, sa coloc était pas mal aussi…

- Non mais j’y crois pas !! Et tu oses me faire un début de scène ??

- Désolé ma chérie. Et je crois qu’il va falloir que nous changions les règles en place ou tout du moins que nous les assouplissions.

- Tu ne crois pas que c’est déjà le cas de façon tacite ? Le téléphone, ce ne sera que si cela est vraiment possible mais nous ne devons absolument rien nous cacher comme nous l’avons fait aujourd’hui. Et si nous souhaitons et pouvons faire partie du jeu en participant ou même juste en regardant l’autre, celui-ci ne pourra si opposer sous aucun prétexte. Qu’en penses-tu ?

- Cela me convient très bien. Et si nous devons encore une fois enfreindre ces nouvelles règles ?

- Alors la confiance réciproque ne sera plus possible et nous devrons en tirer toutes les conséquences.

- C’est un peu radical non ?

- Tu vois une autre issue ?

- Non !

- Mais nous n’en sommes pas là alors arrêtons de nous prendre la tête et vivons la vie comme elle vient. Elle est si courte.

Je m’approchai de Anne, la pris dans mes bras et l’embrassa amoureusement avant de lui dire :

- Décidément, nous formons vraiment un couple atypique. Je t’aime Anne.

- Je t’aime Tony. Et si on fêtait ça avec un autre cocktail ?

- Serveurs !!!! Deux cocktails maisons !!!! 

Ce fut une serveuse qui nous les apporta et quand elle vit Anne, elle posa rapidement le plateau sur la table et lui sauta au cou. Anne fut tout aussi contente de la voir. Elles se firent une bise très appuyée à la limite d’un baiser sur les lèvres.

- Tu me présentes, ma chérie ?

Elles se tinrent par la taille et me dit :

- Tony, je te présente Clémentine. Nous nous sommes connues quand je suis venue ici-même avec Lola. Tu te souviens, c’était la fameuse soirée où nous sommes rentrées très tôt le lendemain matin.

- En effet, je m’en rappelle très bien. Enchanté Clémentine.

- Tout le plaisir est pour moi. Il est vraiment pas mal ton mec, dis-moi, dit-elle en se retournant vers Anne. Et toi, tu es terriblement sensuelle et excitante dans cette tenue. Tu vas faire tourner toutes les têtes ici.

- Merci ma belle, lui dit-elle en lui caressant les fesses. Mais je croyais que les hommes ne t’intéressaient pas ?!

- Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis. C’est pas mal aussi la bisexualité tout compte fait…. Surtout avec Lola et Javier, dit-elle avec un air malicieux.

- Attends !! Tu veux dire que Lola est revenue ici ? Seule ?

- Tout à fait et pas plus tard qu’avant-hier soir. Javier lui avait donné rendez-vous après son service. Je n’aurais pas dû être là mais j’avais oublié quelque chose dans mon casier. Au moment où j’arrivais, je les ai vus s’éclipser dans la fameuse salle réservée. Je les ai suivis discrètement et ce qu’ils y faisaient m’a passablement excité. Voir ces deux corps en chaleur… rien que d’y repenser… huuummmm…. Et du coup, j’ai fini par les rejoindre. Je dois dire qu’on s’est bien amusé. C’est très agréable un mec qui sait se servir de sa queue et si j’osais je te le conseillerais.

- Mais ose voyons. Tout  comme je te conseille tout particulièrement le jeune homme que tu as en face de toi.

- Hummm… pourquoi pas ?! Mais avec toi alors !

- Avec le plus grand des plaisirs !

- J’aurais peut-être mon mot à dire non ?

Et les deux en cœur :

- NON ! Avant de partir dans un fou rire.

- Bon racontes nous plutôt votre soirée !!

- Ce serait avec plaisir mais je suis de service jusqu’à la fermeture et le chef barman me regarde déjà de travers. Et j’aurai pas assez d’une pose pour vous le raconter. Désolé.

- Pas de soucis je comprends. Allez va bosser avant de te faire engueuler.

Elle nous embrassa et repartie à ses occupations.

Nous finîmes notre cocktail  et nous quittâmes le bar vers 22h.

En sortant, Anne reçu un appel.

- Bonsoir Bertrand !

- ……

- Oui oui ils ont été largement à la hauteur. Et merci pour ce superbe ensemble rouge. Tous les hommes me regardent avec une certaine envie dans le regard.

- ….

- Non pas de souci, on a mis les choses au point avec Tony. Mais pourquoi m’appelles-tu si tard ?

- ……

- Ah mince ! Bon ben tant pis ! Mais ce n’est que partie remise !

- …..

- Bonne nuit Bertrand ! Je pense, en effet, que la mienne sera très bonne. Lui dit-elle en me faisant un clin d’œil et elle raccrocha

- Que se passe-t-il ?

- Il doit annuler mon initiation de ce week-end. Il doit partir en urgence au Brésil pour régler un gros problème dans un de ces hôtels. Du coup, on n’a plus rien de prévu.

- Je m’en occupe. J’ai une petite idée derrière la tête. Je voulais organiser un petit truc juste pour nous deux, ça sera l’occasion.

- Tu m’en dis un peu plus mon chérie, me dit-elle en se collant à moi et en me faisant de petits bisous dans le cou.- Non, tu ne sauras rien….arrêteeuuuhhh….. Tu le découvriras bien assez tôt. Tu as juste deux jours à attendre.

- Maieeuuuhhhh…. Steplaiiiiiit !!!!!

- Tu ne sauras rien. Allez en voiture mauvaise troupe, la nuit ne fait que commencer.

Et en effet, la nuit fut mémorable.
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Histoire de D3sm09067

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