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Tournage porno pour Olga

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 03/09/2025

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Madeleine, Alice
Madeleine accompagnée par son mari se présente aux bureaux de la boite de production Ad arbitrium, spécialisée dans la réalisation et la diffusion de films porno amateurs. Ils ont rencontré et sympathisé lors d’une soirée libertine avec Jacques, le directeur, qui leur a proposé de venir visiter les plateaux de tournage. Jacques les accueille avec civilité et leur propose de les guider à travers les multiples décors. Le premier représente un dédale de couloirs dans les caves d’un immeuble d’une cité dont les murs sont recouverts de tags d’insulte en arabe : sale pute, salope, nique ta mère, sale chienne. Madeleine se poste dans une anfractuosité du mur qui lui permet de voir un long couloir. Elle entend des pas et distingue une jeune femme ainsi qu’un jeune homme qui la pousse dans le dos. Elle porte un short moulant taille basse simili cuir brillant et un top au décolleté profond et à la coupe près du corps pour mieux mettre en valeur ses formes. Un collier avec en pendentif une main de Fatma orne son cou et sa poitrine. Le jeune homme est en conversation avec Jacques, il lui confirme que Louna est vierge et qu’elle doit le rester. Jacques acquiesce, il a invité des spécialistes de la pénétration anale. Pendant ce temps trois hommes ont surgi d’une cave et ont sorti leurs bites. Louna s’agenouille dans la poussière et entame des fellations. Elle aime ça. Elle s’active sur les bites, les enfournant à fond de gorge, suçotant les glands violacés, prenant les couilles à pleine bouche pendant qu’elle branle les tiges. Elle sent leur plaisir qui monte, elle pompe de plus en plus vite jusqu’à les faire dégorger. Elle retient le sperme des trois éjaculations dans, lève les yeux vers les hommes, ouvre sa bouche pour leur monter l’abondante quantité de foutre qu’ils ont lâché et avale le tout en leur souriant.
Louna se relève et poursuit sa course dans le dédale souterrain. Elle slalome entre les appareils ménagers déposés pour la ralentir. Elle tourne dans un couloir et percute Madeleine qui la cherchait. Elles s’écartent l’une de l’autre et se fixe yeux dans les yeux. Louna lui saisit la tête, l’embrasse avidement sur la bouche et repart aussi vite qu’un furet. Arrivée près de la sortie, elle est happée et jetée sur un matelas. Elle tombe à plat ventre, des mains se referment sur ses poignets et ses chevilles pour l’immobiliser remplacés par des bracelets reliés à des anneaux dans les murs, par des chaines. Sept hommes l’entourent, des caucasiens, des arabes, des africains. L’un d’eux armé d’une serpette découpe le top et le mini short. Deux autres tirent sur les morceaux avec force pour dénuder Louane. Madeleine à la porte de la cave observe la scène et trouve magnifique le corps de la jeune femme. Elle relève sa jupe et commence à se caresser.
Le blanc s’est assis en tailleur, il pose la tête de Louane sur une de ses cuisses et glisse sa queue dans sa bouche. Elle le suce lentement. A proximité de chacune de ses mains se sont positionnés des arabes, elle attrape les queues, les masse pour les faire grossir et les branle avec délicatesse. Un noir assis à califourchon sur son dos, lui caresse avec insistance les seins et pince ses mamelons. Les autres ont relevé le boul de Louane. Ils donnent des frappes sur ses fesses à les faire rougir sombre. Son anus est léché, massé et pénétré d’abord par un doigt puis par plusieurs. Le trou bien préparé permet à une main de s’y engouffrer. Sous les va et vient le corps de Louane se tortille. Madeleine s’est approchée, excitée elle poursuit les assauts sur son clitoris tout en s’accrochant au regard de la jeune femme.
La main se retire pour être remplacé par un énorme chibre qui rentre sans peine. L’anus se referme sur la bite qui commence à aller et venir avec fougue. Ils sont trois à se succéder dans la gaine annale ne laissant aucun répit à Louane. Ils sont tous en approche de la jouissance. Louane accélère ses mouvements de bouche et de poignets. Ses seins sont étirés et ses tétons pincés, son cul élargi se prépare à recevoir l’ultime charge. Dans une belle synchronisation les couilles se vident dans sa bouche et sur ses mains, et à tour de rôle déchargent dans le cul de la jeune femme qui hurle sous le serrement du bout de ses mamelons. Madeleine appuyée contre le mur, cuisses ouvertes mains dans son sexe culmine dans l’orgasme.
Lorsque Madeleine rejoint son mari et le producteur, Louane a disparu. La visite se poursuit dans un décor de club privé. De nombreuses pièces sont reconstituées et dans chacune un écran diffuse les images de ce qui s’y déroule. Mais il faut attendre quelques minutes avant de voir une femme apparaitre. Elle porte une tenue de soirée élégante faite d’une robe longue transparente à paillettes. On devine un string en tulle brodé à la coupe très échancrée au niveau des fesses. Elle ne porte pas de soutien-gorge aussi la poitrine se laisse dévoiler imposante et ferme. La pièce est vaste, une coursive en fait le tour. Madeleine, son mari et le producteur ont pris place dans une alcôve. Des hommes, une vingtaine sont positionnés sur la galerie. Ils sont nus et bandent en observant la femme en contrebas. Elle lève les yeux vers eux. Perçus comme un signal de départ, ils commencent à se branler. L’image est très excitante et rapidement des gémissements se font entendre. A partir de ce moment les queues sont tendues en direction de la femme. Elles la visent pour l’atteindre de leurs jets spermatiques. Elle passe sa langue sur ses lèvres et ouvre en grand la bouche leur offrant un réceptacle. Les bites hypertendues sont parcourues de spasmes qui annoncent les projections de sperme. Les hommes accélèrent les masturbations, ils jouissent lorsque le foutre est expulsé en un geyser crémeux qui s’abat sur la femme, dans sa bouche, sur son visage, ses cheveux et sa robe. La femme tête renversée, bras tendus vers les hommes, jambes écartées, remercie les éjaculateurs, des dernières giclées viennent remplir sa gorge. Elle ferme les yeux de plaisir et avale avec délectation le jus du fruit de toutes les couilles. Madeleine est impressionnée par la performance. Jacques invite la femme à les rejoindre. Madeleine reconnait alors Claire qu’elle a rencontré lors d’un escape game. Elle retire sa robe qui lui colle au corps conservant son string baveux. Puis elle fait demi-tour pour aller s’éponger. Montée sur des bottines blanches à lacets à talons hauts et plateformes en PU verni, Claire traverse la salle. Elle se tient bien droite. Relève vers le haut sa tête, et garde le buste en arrière. La démarche est sûre, à chaque pas, son déhanchement provoque un soulèvement de sa croupe et l’on peut lire sur une fesse rebondie « propriété de Jack ». Avant de sortir, elle se retourne dans un gracieux déhanché, porte sa main à sa bouche et souffle un long baiser en direction de Madeleine qui lui retourne avec volupté.
C’est dans un décor qui cumule tous les espaces d’un club : vestiaires, bar, salle vidéo, coins coquins, gloryhole que Madeleine croise une très jeune femme accompagnée d’un homme beaucoup plus âgé. Elle lui serre la main, intimidé et farouche. Lui, la rassure et l’embrasse dans le cou. Peu habituée à ce genre d’endroit la jeune femme est venue habillée d’un jean et d’un pull marron enfilés par-dessus un slip et un soutien-gorge en coton blanc. L’homme, Georges ouvre les casiers du vestiaire pour dénicher une tenue pour Olga. Elle s’est déshabillée entièrement et attend qu’il ait fait son choix. Des hommes circulent dans le vestiaire et matent son corps frais et blanc. Ses seins qui ont tout l’éclat de leur jeunesse, sont ronds et pointent, arrogants. Son boule est une sphère parfaite qui renferme un anus toujours intouchable. Son pubis est recouvert d’une fine toison en pyramide inversé.
Georges lui présente la tenue choisie. C’est une mini robe en vinyle rouge à manches longues et col en V entièrement zippée par devant complétée par un string ouvert avec chaine dégageant bien le sexe et les fesses et un soutien-gorge seins nus révélant la poitrine rebelle. Olga se sent changée. Qui est-elle ainsi vêtue ? Ils se rendent tout d’abord au bar où ils prennent un jus d’abricot et un whisky. Tous les hommes ont leurs regards rivés sur Olga. Georges la prend par la main et la conduit dans la salle vidéo, un petit espace pouvant accueillir une quinzaine de spectateurs. L’écran n’est pas très grand et à son pied est installée une estrade pour permettre des exhibitions. Seule la lumière de la projection éclaire faiblement la salle mais on peut voir qu’un siège sur deux est occupé. Georges s’installe au premier rang et pousse Olga à se mouvoir devant l’image projetée, une scène de gangbang. Lascivement elle se déhanche puis danse sur le rythme de la bande son du film. Elle tourne sur elle-même puis dos à la salle, se penche en avant offrant son fessier moulé dans le vinyle. Elle tremble accentuant le désir qu’elle suscite. Georges se lève et l’installe à sa place entre deux hommes pantalons sur les chevilles qui se branlent. Elle prend dans chacune de ses mains les bites et les masturbe avec souplesse. Elles deviennent dures. Le halètement des deux hommes s’accélère. Olga agite avec frénésie les queues provoquant une explosion de foutre sur sa robe et les cris de jouissance des hommes qui la remercient. Olga est flattée, elle ne s’attendait pas à ce retour. Ils poursuivent la découverte du simili club en traversant les salles coquines. Des couples baisent sur les banquettes plastiques dans de nombreuses configurations. Une femme âgée, de peut-être soixante-dix ans est l’objet de l’attention de plusieurs hommes. Avec un corps ayant conservé une belle plastique, elle se laisse dominer avec plaisir. Positionnée en levrette, elle est baisée à la chaine sans ménagement. C’est bien une douzaine d’hommes qui tour à tour la pénètrent par le vagin et par l’anus. De grands coups de butoir lui sont assénés accompagnés de mots très crus. A chaque insulte vociférées, sale pute, grosse cochonne, garage à bites, sac à foutre, putain de vide couilles, pétasse, chienne en rut la femme répond par des couinements et par baise moi salement. Au bout d’une heure elle s’effondre les trous remplis de foutre qui lentement s’écoule sur le canapé. S’étant vidée elle se lève, se penche sur la mare de foutre, la lèche et l’avale avec délectation. Son mari s’approche et ils s’embrassent sur la bouche ravis de cette séquence.
Olga ressent monter un intérêt jusque là caché pour ces pratiques. Elle dézippe de haut en bas sa robe laissant visible son string et son soutien-gorge. Georges l’a laissée seule pour aller se désaltérer. Elle en profite pour avancer dans les salles. Elle se retrouve face à une mince cloison perforée de trous à des hauteurs différentes. Dès qu’elle s’avance des queues font leurs apparitions, Gloria comprend que c’est le gloryhole. Une installation qui permet de sucer et d’être sucé dans un parfait anonymat. Elle s’agenouille et commence à prendre une bite molle en bouche. Elle la suçote, la branlote, décalotte, lèche le gland et finit par la faire grossir convenablement. Bien tendu à travers le trou Gloria la pompe alternant de longs coups de langue sur la tige avec des gorges profondes. Elle en profite pour saisir les queues qui se situent dans des trous de part et d’autre. Elle les branlent d’abord avec délicatesse puis de plus en plus fort. Elle entend les trois hommes collés à la cloison éructaient de plaisir. Elle s’active avec patience pour faire monter le jus dans les conduits. Elle branle, elle suce à fond. Des petits coups sont frappés sur le bois qui annoncent les éjaculations. Olga redouble d’efforts pour satisfaire les mâles. Elle sent la queue en bouche prête à se lâcher, elle se recule et reçoit le flot de sperme sur son visage, puis alternativement elle s’écarte sur les côtés, se lève en écartant les cuisses pour récolter le liquide crémeux sur son string entrouvert sur son sexe. Ça coule abondamment sur ses grandes lèvres et ses cuisses lui arrachant des gémissements de plaisir.
Georges retrouve Olga enfoutrée de toutes parts à ce moment-là, elle se tourne vers lui souriante, il en profite pour la photographier.
Toutes les caméras cachées ont enregistrées les scènes. Jacques se frotte les mains, un sourire en coin satisfait de faire de Olga une nouvelle webslut pour alimenter sa plateforme pornographique.






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