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Tout les séparait partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 27/02/2023

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TOUT LES SEPARAIT...

partie 1

Il était pas loin de dix-sept heures lorsque j'ai fini mon dernier cours.
Je suis formatrice dans un immense centre privé qui prépare dans les domaines administratifs et industriels, formations financées par les entreprises elles-mêmes. Ca tourne bien, beaucoup de jeunes mais des moins jeunes aussi. Ils ont la certitude en sortant ici d'avoir un boulot, pas forcément bien payé, mais sûr. Leurs stages leur permettent généralement de trouver une entreprise où, s'ils savent se faire apprécier, ils sont sûrs d'être embauchés.
Je leur faisais des cours de français, de culture générale.
Et ce jeudi-là, alors que j'avais fini ma journée, et que j'étais fourbue, j'étais loin de m'attendre à ce sur quoi je suis tombée.
Tout près de la salle dans laquelle je me trouvais il y avait une porte qui pouvait sembler bien mystérieuse, mais ne l'était pas vraiment. Je l'avais découvert un jour par hasard, c'était un placard dans lequel la personne chargée de l'entretien de l'étage entreposait son matériel sur des étagères, chargeant ce dont elle avait besoin sur un chariot qui l'accompagnait dans ses périgrinations.
Le personnel des ouvriers techniques et agents d'entretien était varié, et difficile à cerner, car ils évoluaient souvent sur leurs postes de travail, transférés selon les besoins.
Ce qui a sans doute fait que j'ai eu sous les yeux la scène qu'il m'a été donnée à voir, c'est que c'était la fin de la journée. Les lieux s'étaient vidés petit à petit. Et moi-même je n'avais pas quitté immédiatement le salle, prenant le temps de compléter des notes, puis de ranger mes affaires.
J'avais fini, il ne me restait plus qu'à passer mon manteau, qiand j'ai entendu un gémissement.
Je me suis d'abord dit que je délirais. C'était un autre type de bruit, pas un gémissement.
Et puis le deuxième gémissement est arrivé, et j'ai su que je ne m'étais pas trompée.
Un rien inquiète...Un malade quelque part ?... J'ai tenté de repérer l'origine de ce gémissement.
Dans le couloir. Sur la gauche.
Le placard.
Quelqu'un de blessé ?
Prudente, je me suis avancée jusqu'à l'entrée de la salle. La porte était entrouverte, quand les étudiants étaient partis, ils avaient laissé la porte ouverte, et celle-ci s'était refermée en partie.
J'ai glissé la tête à l'extérieur, restant dans l'angle de la porte.
J'ai été...Saisie par la surprise.
Non, ce n'était pas quelqu'un qui souffrait.
Ou alors, c'était une souffrance positive.
Incrédule, sidérée, j'ai considéré le spectacle qui s'offrait à moi.
Cet homme d'âge mûr, je l'avais déjà croisé plusieurs fois. Il m'avait fait de la peine. Il était sans doute proche de la retraite. Sa barbe, blanche, le vieillissait encore. Il avait une expression de profonde lassitude sur le visage. On comprenait bien qu'il était là parce qu'il devait gagner sa vie, et que cela lui était pénible. On pouvait imaginer un migrant, quelqu'un qui, peut-être avait eu une meilleure vie ailleurs, mais qui était ici réduit à un emploi dégradant et sous-payé.
Il était dans le réduit, mais pas dans la position dans laquelle on aurait pu imaginer le trouver.
Il avait sans aucun doute fini de tout ranger, en attendant une nouvelle journée.
Tout était impeccable dans la pièce.
Et il avait pris un moment pour se détendre.
Installé sur une chaise très banale, certainement pas très confortable, il était en pleine masturbation. Il avait descendu le pantalon de son uniforme de travail, un uniforme bleu, et aussi tiré son caleçon jusqu'à ses genoux. Il était renversé en arrière, les yeux mi-clos, ailleurs d'évidence. Le souffle court, il faisait aller et venir sa main sur sa verge dans un rythme régulier, ni trop lentement, ni trop vite.
Je n'avais jamais vu une queue comme la sienne.
Elle était...Parfaite.
Elle avait un point d'équilibre dans sa forme. Bien longue, mais charnue comme il fallait, avec un gland qui était dans le droit prolongement du membre, ni trop épais, ni trop étroit.
Et terriblement tentante pour quelqu'un qui comme moi vivait depuis plusieurs mois un célibat pas vraiment choisi, suite à une rupture, et n'avait pas vraiment renoué une relation, pour des raisons très diverses, et qui auraient sans doute été très complexes à analyser. On disait que j'étais une très jolie femme, je n'en étais pas vraiment convaincue, en tout cas mes capacités de séduction étaient bien amoindries ces derniers temps. J'avais énormément perdu confiance en moi, c'était vrai. Je manquais d'affection mais aussi énormément de sexe. J'avais commencé très tôt à faire l'amour, et j'entrainais mes partenaires dans cette dynamique.
Et depuis six mois...J'étais en manque. Je revoyais des moments de plaisir avec des hommes...Ou des filles...Je fantasmais sur des personnes que je croisais...Et surtout je me masturbais dès que j'avais l'occasion, c'était devenu une drogue. Chez moi, le soir, le matin, entre midi et deux, en semaine et dans le week-end, mais aussi dans d'autres endroits, saisie soudain par une pulsion. Je relevais une jupe, descendais un pantalon, tirais bas un collant, une culotte, et je me branlais, jusqu'à me faire jouir. Parfois en quelques secondes, parfois avec un peu plus de temps. Je laissais l'orgasme ricocher en moi avant de laper mes doigts, couverts de ma cyprine, et je n'avais pas la moindre honte. C'était trop bon de jouir, même seule. Comment vivre sans ça ?
Je me donnais du plaisir, et en même temps, j'étais frustrée. J'aurais voulu un ou une partenaire.
Sans doute que si ma situation personnelle avait été différente, je n'aurais pas agi de la sorte.
C'est bien le manque qui m'a poussé à agir.
Je me suis glissée dans le local, tirant la porte derrière moi après l'avoir écartée. Déjà loin dans le plaisir, il ne s'est pas rendu compte de ma présence, et puis sans doute que je n'ai pas fait de bruit, même si j'avais des bottes à talons aiguille.
Ca a été très vite. Ma main a enveloppé sa queue. Ce simple contact... J'ai senti mon sexe s'ouvrir, et pas qu'un peu, et un flot de jus intimes s'est mis à couler de moi, trempant ma culotte et ruisselant sur mes cuisses, laissant ensuite la place à un écoulement moins abondant, mais continu. Une queue...Avoir une queue dans la main, chaude, épaisse...Et une belle queue, qui plus est...Quelle chance...
Il a ouvert les yeux, très surpris. La panique s'est allumée dans son regard.
--Ne bouge pas, laisse-moi faire, j'ai suggéré.
Ca a suffi pour le calmer et me donner le cham libre pour ce que je voulais. Je venais de retrouver une queue, je voulais en profiter, même si c'était pour quelques minutes seulement. La plénitude et l'apaisement que je ressentais, je ne les avais pas éprouvés depuis six mois. Oui, bien sûr, j'avais éprouvé et j'éprouvais du plaisir seule, mais avoir une queue à disposition...C'était quelque chose de vraiment appréciable...
Je l'ai caressé un moment, plus pour moi que pour lui d'ailleurs. Je voulais éprouver et faire durer le plaisir d'avoir une queue dans la main,
--C'est bon, hein une main de femme sur ta bite ? Mieux que la tienne, non ?
L'homme a répondu en arabe. J'ai pensé à son ton qu'effectivement, c'était bon. Je me trompais peut-être, mais j'imaginais ce pauvre homme totalement seul, il avait peut-être une famille ailleurs, ou il en avait eu une, avec toujours en lui l'envie d'une femme, de son corps, l'envie de sexe et de plaisir, et l'impossibilité d'avoir une partenaire, parce qu'il était vieux, pauvre, et qu'il venait d'ailleurs...Mais finalement, moi qui avais un travail, un salaire, qui étais jeune, je ne valais pas mieux que lui, et je ne me débrouillais pas mieux que lui. Deux solitudes qui se croisaient.
Il a pourtant basculé sur du français. Un français mal maitrisé.
--Toi être belle. Moi bander quand je te vois, et me branler en pensant à toi.
J'ai été un rien surprise qu'il me dise ça. Je n'aurais pas imaginé que je puisse déclencher chez lui de l'envie. Je ne m'estimais pas moche, mais des filles jolies, il y en avait un paquet.
Peut-être une manière inconsciente de le remercier pour ses paroles, mais aussi et surtout une envie profonde à laquelle j'ai cédé, je me suis penché sur lui et j'ai commencé à caresser sa queue de ma langue. J'ai donné un coup de langue, puis un autre sur son gland, la saveur amère du liquide qui coulait de son méat remplissant ma bouche. C'était...Incomparable...
Je me sentais tellement ouverte que j'en étais béante. Mon sexe, qui se lubrifiait en mouillant abondamment, et trempant mes chairs, était agité par des spasmes d'envie. J'avais envie d'une queue, et j'aurais aimé sentir cette belle verge dans mon ventre, pour bien me caresser à l'intérieur, mieux qu'un gode ne le faisait en tout cas. J'imaginais, comme si je le vivais, la sensation de la queue en moi, me frottant, et des jets de sperme venant taper contre mes muqueuses et me faisant jouir. Mais je savais que ce n'était pas possible. Je n'avais pas de préservatif, et je doutais qu'il en ait un. Surtout, je sentais bien qu'il était trop avancé dans son plaisir, et qu'il allait jouir d'ici quelques secondes...Le glisser en moi pour qu'il ressorte aussitôt...Même si j'aurais eu le plaisir de sentir la semence jaillir en moi, et de me procurer un orgasme très fort. Mais sans capote...Je n'avais pas envie de choper une MST...
Et pourtant, bien que proche de la jouissance, il est parvenu à tenir quelques minutes, profitant d'une caresse uniquement délivrée avec la langue, une langue que j'espérais être habile,
C'est quand je suis descendu sur ses couilles qu'il s'est mis à jouir. Il a poussé une sorte de couinement et un trait de sperme est parti dans les airs. J'ai vite remonté ma bouche pour prendre la partie supérieure de sa queue. Je l'ai resserrée, bien décidée à ne pas l'ouvrir à nouveau, pour boire son sperme jusqu'à la dernière goutte. J'aimais autant boire du sperme, le sentir remplir ma bouche de son goût fort et couler dans mon gosier que d'autres femmes pouvaient être dégoutées par ce qui était pour moi un nectar. Il a eu une éjaculation copieuse, qui semblait ne jamais devoir finir, me laissant la bouche pleine de sperme. Comme j'aimais.
Je me suis redressée. Un dernier coup d'oeil sur cette queue, qui, même après la jouissance ne semblait pas devoir débander. Il m'a souri et m'a dit :
--Toi très belle femme...Si envie queue, moi disponible...Le matin, moi venir tôt et rester tard...Ici dans placard, peux me trouver.
Je n'ai pas répondu, repassant dans la salle, attrapant mes affaires et m'enfuyant jusqu'au parking. Prise par des sentiments contradictoires qui se mêlaient. Ce moment,si bref, si incomplet, avait été un moment de plaisir intense, et il me jetait au visage mes frustrations, mon manque, le vide de ma vie.
J'avais envie de jouir et de me faire jouir. Le ventre en feu. Je me sentais ouverte, et je mouillais encore. J'aurais voulu qu'il me fouille avec sa queue. Longtemps. Au lieu de cela, j'avais le vide entre mes cuisses et dans ma vulve.
Je travaillais dans cette ville, sous-préfecture du département, et j'habitais à une vingtaine de kilomètres de là, dans un petit village, charmant, au moins en apparence. Mais je n'ai pas eu la force d'arriver à ma destination. Le long des départementales, il y avait pas mal de parkings, tracés ou improvisés. Je me suis arrêtée sur un tronçon, une courbe qui avait été supprimée pour une ligne droite. L'asphalte, plus entretenu, avait explosé dans de vilains cratères, mais je m'en fichais bien. Je me suis garée. Je voulais jouir et apaiser cette pulsion qui était en moi et qui me tordait le ventre.
Ma jupe de tailleur, courte, était remontée sur mon ventre, je n'avais qu'à la tirer un peu plus haut de quelques centimètres. J'ai attrapé l'élastique de mon slip et je l'ai descendu jusqu'à mes genoux. Je portais un ensemble simple, blanc, je trouvais ça plus sexy et provocant que d'autres couleurs. Tout comme les bas stay-up qui soulignaient la finesse de mes jambes. Je me suis ouverte autant qu'il était possible, et j'ai amené mes doigts sur mon sexe. J'étais dans un état d'excitation, pour ne pas dire de folie, extrême. Plus vraiment dans la raison, totalement chamboulée par ce que je venais de vivre.
J'ai joui immédiatement, sans même me caresser, ni me fouiller, simplement quand mes doigts sont rentré en contact avec mes chairs ultra-sensibles, gonflées de sang et trempées de mouille. Un orgasme puissant qui m'a fendue en deux, aussi puissant que l'étaient mes frustrations et mon désir d'une queue. Je me suis tendue et j'ai crié, en même temps que j'éjaculais sur le siège. Heureusement il y avait les housses.
Mais ca n'était bien sûr pas suffisant pour m'apaiser. Je me suis mise à me frotter, tournant sur mes lèvres toutes gonflées, frottant mon gland clitoridien lui aussi décalotté et en pleine érection. Ca m'a fait du bien, ça m'a calmée...Et amenée vers encore un autre orgasme, puis encore un autre. Je savais que, comme les soirs où je me donnais du plaisir, et ils étaient nombreux, je me branlerais jusqu'à l'épuisement.
Après m'être frottée, j'ai changé de tactique, amenant deux de mes doigts à l'entrée de ma chatte et les faisant glisser en moi. J'ai gémi de plaisir. A défaut d'une queue, un gode ou des doigts, c'était aussi pas mal.
J'étais au milieu d'une phase de plaisir, les premiers orgasmes m'ayant apaisée, maitrisant à présent la jouissance à venir, capable de la différer, quand j'ai senti une présence.
Totalement immergée dans mes caresses intimes, je n'avais pas prêté attention à ce qui m'entourait.
Il y avait un gars juste devant la vitre de la portière qui me présentait une queue semi-érigée, qu'il était occupé à caresser, avec, je n'en doutais pas, le souhait que je baisse la vitre et que je m'occupe de lui.
Je me suis souvenue de ce qu'avait évoqué une copine proche. Qu'il y avait sur les parkings du département des rencontres libertines de tous ordres.
Prenait-on rendez-vous avant ou s'y rendait-on en espérant une rencontre ?
Tout en continuant de me pistonner, j'ai baissé la vitre. En d'autres temps, je me serais peut-être enfuie, effrayée, mais le manque avait changé la donne.
Deux queues dans la journée. Finalement, ce serait une fin d'aprem à marquer d'une pierre blanche.
J'ai attrapé le membre. Il avait besoin de soins et d'affection pour prende la dimension de sa prestance. Le gars a eu un frémissement quand il a senti ma main sur lui, frémissement qui lui est remonté dans tout le corps.
--Ca te va si je te caresse ?, je lui ai demandé, alors même que ma main bougeait déjà sur lui.
J'avais toujours aimé caresser des queues. Adolescente, rongée par l'envie et obsédée par le sexe, j'en avais même fait une sorte de spécialité, masturbant mes copains, et les copains de mes copains qui avaient envie de plaisir. Ca m'avait fait une réputation de chaudasse, et ça m'évitait en même temps d'éventuelles pénétrations que je redoutais. Mais, même quand je m'étais engagée dans des actes plus classiques, j'avais continué à aimer masturber des hommes. Certains mettaient des hiérarchies dans l'acte sexuel. Pour moi, tout était au même niveau, et c'était un plaisir à part entière, pour l'homme bien sûr, mais aussi pour moi. J'aimais, et c'était ce qui se passait en ce moment même, sentir une queue vivre au cœur de ma main, évoluer, gonfler, se dilater à l'extrême, et enfin jouir, en crachant de la semence.
--C'est plus que je ne trouve parfois en venant ici.
Le gars avait la trentaine, et il était plutôt bien de sa personne. Tout en caressant sa queue, et en la sentant s'allonger et s'épaissir dans ma main, je me suis demandé quel profil il avait. Seul, sans femme, ou vivant avec une fille qui ne le satisfaisait pas forcément, il venait en tout cas ici pour trouver du plaisir. Sans forcément parvenir à ses fins. Là, il était bien tombé. Sa queue prenait du volume, et son liquide pré-sécrétif, épais, commençait à couler au creux de ma paume, venant poisser celle-ci et maculer sa chair en la faisant briller.
Moi je me fouillais toujours, mes doigts allant et venant en moi, me donnant un réel plaisir. C'était bon. J'aimais rester comme ça, quand je me masturbais à la maison, sans pousser jusqu'à l'orgasme, surfant sur une vague de plaisir, me sentant bien. Parfois, je ne cherchais même pas à aller jusqu'au bout, jusqu'à la jouissance. Je voulais simplement être dans un ailleurs dans lequel j'étais bien. J'avais dépassé le premier stade où j'avais besoin de jouir pour m'apaiser.
Sa queue avait pris la plénitude de son volume, un bon tiers de plus, une épaisseur nettement plus conséquente, un gland gorgé de sang, bien décalotté, quand, alors que je me caressais dans une ligne qui suivait celle de la voiture, j'ai basculé sur le côté, offrant mon intimité à mon regard. J'ai lâché sa queue un instant, et utilisant mes deux index, je suis venue m'ouvrir autant que je le pouvais, en appuyant sur le pourtour de mon sexe.
--Regarde bien mon sexe, je suis certaine que jamais aucune fille ne s'est autant offerte à toi. Regarde-bien ce que tu vois. Tu y penseras quand tu seras tout seul et que tu n'auras pas de femme. Tu penseras à ma chatte, et tu ne seras plus isolé. Tu t'imagineras en train de la pénétrer. Regarde-bien les détails...Les muqueuses, à l'intérieur, toutes roses, la fente de mon utérus, au fond, mes lèvres toutes gonflées, leur dessin, mon gland clitoridien en haut, la manière dont ma chatte est luisante de mouille, les liquides que tu vois couler sur mes muqueuses et sortir...Tu y penseras et tu imagineras ce que tu veux.
Sa queue était agitée de spasmes. Je me preparais à le reprendre. Je voulais qu'il jouisse dans ma main. Mais je voulais aussi qu'il tienne encore un peu, qu'il se maitrise et qu'il me laisse l'exciter encore plus sans craquer...
--Tu pourras faire ce que tu veux...Venir dedans et bien me fouiller, me rendre folle à force de caresser mes chairs intimes avec ta queue, et cracher tout ton sperme en moi, demander à ce que je te prenne dans ma bouche, et que je te boive jusqu'à la dernière goutte, ou simplement que je te caresse...
Non, il n'avait pas tenu. Sa queue a eu un spasme, et un jet de sperme est venu me gifler la joue...J'ai repris sa queue dans ma main, et je l'ai massé, accompagnant les jaillissements copieux. J'avais eu d'abord envie de rajouter du sperme à celui dont j'avais encore le goût dans ma bouche, mais j'avais finalement bifurqué sur autre chose. J'aimais beaucoup de choses, sans jamais vraiment parvenir à trancher, et j'aimais aussi sentir le sperme atterrir sur mon visage, me maculer et ensuite le ramasser du bout des doigts et l'avaler. J'ai guidé un rien la queue pour en avoir partout. Je savais que ça plaisait aux hommes d'éjaculer sur le visage d'une femme. Après le dernier trait de sperme, je suis venue lécher son gland, lapant le reste liquide qui en coulait.
--Regarde, ce n'est pas fini.
Du bout des doigts, j'ai cueilli la première rasade de sperme, et je l'ai portée à ma bouche. C'était bon. Deux spermes n'ont jamais le même goût. J'ai continué, tout en le caressant. Il n'avait pas débandé, et était sans doute, une hypothèse de travail, encore capable de jouir.
Est-ce que ça a été ma main qui allait et venait à nouveau sur lui ? La vision que je lui offrais en bouffant le sperme qui avait maculé mon visage ? Au bout d'un temps finalement assez court, j'ai senti qu'il allait jouir à nouveau. J'ai pris le haut de sa queue, et, agité de spasmes, il a rempli ma bouche de sperme. J'ai gardé sa queue après, ma langue tournant sur son gland.
Rassasié, il a quand même balbutié un 'merci' avant de s'éloigner. Un rien groggy, sans doute surpris que son passage sur le parking ait été aussi fructueux.
J'ai rebasculé en arrière dans le fauteuil, venant dans la ligne de la voiture, et j'ai appuyé sur mon gland clitoridien. C'était la solution quand je ne voulais pas trainer, et jouir vite, quand par exemple je devais partir rapidement le matin...Je voulais jouir encore, j'avais envie, trop excitée...J'ai joui au bout de quelques secondes, mais j'ai continué de me caresser, jouissant encore une fois, et puis une autre, commençant à pleurer de bonheur, mais aussi de frustration. J'avais eu une fin de soirée exceptionnelle, mais je n'avais pas de queue dans ma vie. Et rien ne remplaçait une queue.
A bout de forces, je me suis faite jouir encore une fois, avant d'éclater en sanglots. Quand j'ai été calmée, j'ai repris la route, et je suis revenue chez moi.
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Histoire de JamesB

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