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1974 partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/01/2023

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1974
partie 1

Elle aimait à se souvenir...Elle avait été belle, autrefois...Et jeune...En d'autres temps. Si loin et si proche à la fois...Un temps qui n'aurait eu aucune consistance pour les jeunes, qui n'auraient pas compris ce que c'était de vivre en ce temps-là.


Elle sortait de l'appartement de fonction quand sa mère l'avait interpellé.
--Marie-Jo, il faut que je te parle.
--Ecoute maman, ça va sonner dans cinq minutes...Je ne peux pas me permettre d'être en retard.
--Est-ce qu'un garçon t'a déjà pénétrée ?
Marie-Jo avait regardé sa mère, un rien décontenancée.
--Non, absolument pas.
--Tu ne me mens pas ? Tu sais que je le vois quand tu me mens...
--Y a aucun garçon qui a mis sa queue dans ma chatte, je peux te le jurer.
--Est-ce que tu prends la pilule ? Le gynéco t'en a prescrit une boite, et je l'ai prise chez le pharmacien.
--Je ne vais pas prendre la pilule alors que je n'en ai pas besoin. La boite est dans le tiroir de ma table de chevet, t'as qu'à aller vérifier. Enfin, tu le sais déjà, puisque j'ai le sentiment très net que tu fouilles ma chambre, non ?
--Et les capotes ?
--Elles sont dans mon sac.
La mère de Marie-Jo grogna.
--Ca veut dire que tu veux avoir des rapports sexuels ?
--Pas pour le moment.
--Pilote et capote c'est mieux. Tu imagines si la capote pète ? Tu seras enceinte à 18 ans...C'est ce qui m'est arrivé...Et tu vois ce que je suis ? Concierge dans un lycée...
--Je n'envisage pas de laisser un garçon mettre sa queue dans ma chatte, maman !
--Tu dis ça, mais quand il aura envie, et toi aussi...
--Bon, écoute j'y vais, je ne peux pas me permettre d'être en retard.
Josiane regarda sa fille s'éloigner. Elle était inquiète, d'une angoisse sourde mais tenace qui la travaillait depuis plusieurs mois. Et dont l'origine tenait à un baiser. Le soir, elle faisait le tour des bâtiments pour vérifier que tout était fermé, et fermer ce qui ne l'était pas. Et elle avait surpris ce moment...Auquel elle n'osait pas vraiment croire. Elle se disait que peut-être, elle s'était trompée. Marie-Jo et un garçon, à un bout de l'immense couloir du batiment 1, au premier étage, embrassant un garçon longuement. Et pas sur les joues. Un baiser qui s'était prolongé et l'avait laissée sans voix. Jusqu'à ce moment, elle avait vu sa fille comme une créature éthérée, pour qui la sexualité n'existait absolument pas. Et ce même si Marie-Jo était devenue une magnifique jeune femme, une grande brune qui avait des formes bien marquées, que ses vêtements même les plus sobres soulignaient.
Depuis lors, elle ne vivait plus.
Elle avait eu sa fille à 18 ans. Elle faisait à l'époque des études de coiffure, qui lui plaisaient. Elle avait un tort. Elle aimait les hommes, elle aimait le sexe, et elle avait le même éclat que Marie-Jo, à qui elle ressemblait énormément, ou plutôt qui lui ressemblait énormément. Et puis un jour, malgré la pilule...Elle n'avait pas voulu avorter. Le père n'avait pas reconnu le gosse. Elle vivait avec son père, sa mère était morte. Par chance, il l'avait aidée, mais elle avait renoncé aux études pour travailler. Sa deuxième chance, ça avait été de rencontrer Jean qui l'avait épousée, et considérait Marie-Jo comme sa fille. Marie-Jo était une élève brillante, la meilleure de sa classe et Jeanine voulait qu'elle ait un meilleur Destin que le sien.

Marie-Jo se glissa dans le bâtiment B. Elle aurait du monter directement devant sa classe.
Il y avait des toiettes à chaque étage. Mixtes. Il n'y avait donc rien de surprenant à ce qu'elle y pénètre.
Ils l'attendaient, comme convenu. Le même âge qu'elle, l'un très brun, l'autre très blond, avec chacun un type de beauté renforcé par sa jeunesse. Ils étaient séduisants tous les deux. Etait-ce pour cela que Marie-Jo avait accepté leur demande ? Ou pour d'autres motifs ? N'était-ce pas plutôt parce qu'elle éprouvait un plaisir immense à faire ce qu'elle allait faire, sans se soucier trop de leur plaisir à eux, sauf parce que leur jouissance était et serait une victoire pour elle, dirait son habileté ? Et puis il y avait l'argent aussi.
--Vous avez le fric, les gars ?
L'un et l'autre, ils sortirent des poches de leurs jeans un billet de 50 francs qu'ils lui tendirent. Elle les glissa dans son soutien-gorge. Elle ne les raménerait pas à la maison. Elle voyait très bien sa mère lui jetant, hors d'elle : 'D'où tu sors cet argent ! Tu es une pute ! Tu vends ton cuil, n'est-ce pas ?'
Elles avaient mis au point un stratagème avec sa meilleure amie, Sandra, qui faisait comme elle, donnant du plaisir aux garçons en échange d'une somme. Marie-Jo lui filait l'argent et Sandra avait monté deux cagnottes, simplement deux grosses enveloppes qui étaient chez elle, bien planquées dans un tiroir, sous ses culottes. Contrairement à la sienne, sa mère n'était pas constamment sur son dos.
Marie-Jo entraina les deux garçons dans l'une des toilettes, refermant derrière elle. Elle aurait sans doute pu sortir leurs queues de leurs pantalons sans prendre de précautions, même si quelqu'un se glissait dans le local, ça n'aurait choqué personne en cette année 1974. Après 68,,il y avait une grande liberté qui disait clairement qu'il fallait prendre le plaisir quand on le pouvait et ou on le pouvait.
Evidemment, c'était autre chose quand votre mère était concierge et qu'on risquait de lui rapporter des faits qui vaudraient à Marie-Jo d'être pour le moins bannie et mise, pour ses derniers mois d'étude, dans une pension à 800 kilomètres de là, menace que sa mère agitait sous ses yeux depuis des années.
Elle voulait que ce ne soit pas toujours le cas, se donner l'illusion qu'elle maitrisait, mais quand elle fut dans la cabine, elle retrouva cette même envie aussi fébrile qu'irrésistible. Elle adorait les queues. Y penser, se dire qu'elle allait en voir une, jouer avec, la caresser, que ce soit avec ses doigts, sa langue, tout cela la rendait folle. Elle aurait aimé mieux maîtriser ses envies, mais elle avait du mal. Le seul frein qu'elle avait, c'était cette peur, obsessionnelle, de se retrouver enceinte, malgré les capotes et la pilule. C'était la raison pour laquelle elle disait obstinément non. Même si elle savait que ça limitait sérieusement les risques. On avait parlé pas mal d'une fille qu'elle ne connaissait pas personnellement, et qui, selon la rumeur, malgré cette double protection, s'était retrouvée enceinte. Elle avait disparu des écrans radar du jour au lendemain, et n'avait apparemment pas fini ses études ici. D'autres avaient dit que plus simplement, elle avait démissionné parce qu'elle en avait assez des études. Mythe ou réalité ? Marie-Jo était la meilleure élève de sa classe, déterminée à avoir des diplomes, et elle ne voulait pas finir comme ça. Sa chatte, elle la réservait à ses doigts et à sa meilleure copine Sandra.
L'un des garçons avait déjà sorti sa queue, Marie-Jo avait été chercher l'autre. Deux queues déjà bien érigées. Voir ces bites si différentes l'une de l'autre, l'une vraiment fine, mais avec un gros gland, décalé, l'autre épaisse, avec des veines saillantes avait allumé quelque chose dans son ventre, de la chaleur, et fait jaillir de la mouille qui avait trempé son slip. Penser qu'il y avait plein de queues, autour d'elle, qu'elle pouvait en profiter, qu'elle devait en profiter surtout, parce qu'elle avait une conscience aigue, il lui suffisait de regarder sa mère pour le comprendre, à 36 ans, elle était déjà usée, partagée entre une infinie aigriture parce qu'elle n'avait pas eu la vie qu'elle voulait, et la dissolution absolue de ses charmes de femme dans de mauvaises nourritures, sans doute aussi de l'alcool, des médicaments, qui lui faisaient un corps dont aucun homme ne pouvait avoir envie. Marie-Jo s'était jurée qu'elle ne prendrait pas ce chemin.
Ce qui lui plaisait, c'était d'avoir des queues au creux de la main, mais aussi ce plaisir si particulier, si fort de sentir qu'à ce moment, les hommes dépendaient totalement d'elle, qu'ils attendaient qu'elle leur donne du plaisir.
Cela faisait longtemps qu'elle masturbait des garçons. Elle avait acquis un savoir-faire, une expérience, une souplesse dans sa manière de caresser des queues. Elle savait donner du rythme, amener à un palier de plaisir puis ralentir, voire s'arrêter, pour que la jouissance ne soit pas trop rapide...En même temps, il y avait parfois des impératifs. Elle avait encore six minutes avant que la première sonnerie ne se déclenche. Peu et beaucoup. Sa main allait et venait, lente et regulière, sur les queues, faisant monter le sang. En très peu de temps, leurs queues se métamorphosaient, devenaient plus épaisses, plus longues, leurs glands se gonflaient...
Le temps passait trop vite...Trois minutes...Elle avait développé des stratégies...L'une d'entre elles, c'était de venir frotter sa langue sur l'un des glands dilatés, agacer le méat...Le sperme sortait très vite, le gars tétanisé de jouissance.
Marie-Jo aimait boire la semence des hommes, la laissait couler en elle. C'était chaud, ça avait un goût dont le base était toujours identique,mais au final toujours différent...Elle resserra sa bouche autour du gland du garçon, et laissa le sperme remplir sa bouche, puis couler plus bas, jet après jet, avant de se tourner vers l'autre queue. Elle lui massa doucement les couilles, et le sperme jaillit, aussi copieux que celui de son copain...La sonnerie se déclencha au moment où elle se relevait, et les deux garçons se rajustaient. Ils se glissèrent hors de la cabine et partirent sans demander leur reste, pendant que Marie-Jo vérifiait son visage dans le miroir. Elle se voyait mal arriver en cours avec du sperme sur la figure. Il y avait effectivement un trait de semence qui partait de la commissure de ses lèvres sur la gauche. Elle ramassa la semence de la pulpe de ses doigts et l'avala. Satisfaite, elle partit en direction de la salle de cours.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : 1974 partie 1

Le 04/01/2023 - 07:07 par Harold38
Merci pour cet excellent récit 👍

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