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Tout les séparait partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 27/02/2023

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TOUT LES SEPARAIT...
PARTIE 2
Dans la vie, il y a souvent des occasions ratées.
J'ai pu le constater dans les jours qui ont suivi.
On a des rêves, des fantasmes, mais ils restent souvent à l'état de fantasmes. Il faut rebondir sur la réalité, et transformer ce dont on a rêvé, s'adapter en tout cas à autre chose.
Le lendemain matin, je démarrais tôt...J'arrivais encore plus tôt au centre. J'étais à l'étage où la veille, mon chemin avait croisé celui de l'homme vieillissant à la queue énorme.
J'ai été jusqu'au grand placard où il entreposait ses affaires.
La porte était fermée.
J'ai été déçue mais pas surprise outre-mesure. Je savais que les agents avaient des horaires glissants. Certains démarraient plus tard, le nettoyage pouvait se faire l'après-midi. Il y avait aussi des changements d'équipe sur une zone.
J'avais envie de retrouver sa belle verge toute gonflée et d'en profiter. Sans forcément la rentrer en moi. On pouvait profiter d'une queue de mille façons.
J'étais une grosse obsédée. Le sexe prenait une place très grande dans ma vie. Si j'avais été aux USA, on m'aurait sans doute envoyé faire une thérapie.
Je me suis engagée dans mes activités quotidiennes. Former des gens. J'espérais le voir. Sur le coup de onze heures, je suis partie manger. J'ai croisé une jeune femme brune qui passait la serpilière sur les marches. Non il n'était pas là. En fin de journée ?Je partais à quatorze heures.
J'ai de nouveau esquissé un mouvement vers le placard fermé.
C'est sur le parking que je l'ai enfin aperçu. Il était devant une voiture. C'était bien lui. Un corps solide, une barbe courte et des cheveux blancs, quelque chose de las sur le visage.
Il était avec une jeune femme dans mes âges. Brune, très brune, avec des cheveux longs, brillants, un visage rond, bien dessiné, quelque chose d'intense dans le regard, une bouche bien rouge, et un corps plus révélé que masqué par ses vêtements qui pourtant ne franchissaient pas les limites de la décence, un perfecto ouvert sur un débardeur noir tendu par une paire de seins volumineuse, et un caleçon très collant qui soulignait ses hanches, des fesses pleines coupées en deux par un sillon profond, et une grosse moule que le tissu dessinait de manière ultra-précise, s'enfonçant dans la fente qui coupait son sexe en deux comme il s'enfonçait dans son sillon fessier. Elle était ultra-désirable, ne me laissant pas indifférente. J'aimais aussi les filles, même si je n'avais rien vécu avec l'une d'entre elles depuis pas mal de temps.
Le vieil homme et la jeune femme semblaient bien se connaître. Je ne l'avais jamais aperçue ici. Une nouvelle employée ? Pas forcément. Il y avait en tout cas une belle complicité entre eux, évidente.
Quelqu'un de proche qui était venu le chercher. CA arrivait parfois.
Je me suis sentie horriblement jalouse. Je n'arrivais pas à imaginer qu'elle puisse être autre chose que sa maitresse. Il y avait une belle différence d'âge entre eux. Mais ça, c'était tout sauf un problème. Après tout, je devais avoir le même âge que la fille, et j'avais envie de ce vieil homme...
Ma théorie selon laquelle il se tripotait par frustration tombait en tout cas à l'eau. Il s'était masturbé simplement sur une pulsion, une envie.
J'ai marché jusqu'à ma voiture. L'onanisme serait encore pour quelques mois la meilleure manière de me donner du plaisir.
Je pouvais aussi m'arrêter sur l'un des parkings. Je n'étais pas dans le réseau, mais je pouvais toujours espérer qu'une queue fasse son apparition.
C'est bien ce que j'ai fait, partagée entre colère et frustration. J'ai attendu une demi-heure mais pas de queue à l'horizon.
Je suis rentrée chez moi. Je n'avais même pas envie de me caresser. Le moment était sans doute venu de renoncer au sexe. Entrer symboliquement dans les ordres. J'étais lassée de courir après des ombres.
Ca s'est passé un peu plus tard. Je préparais mes prochaines interventions.
Je louais une maison à un étage, avec des porte-fenêtres.
J'ai aperçue une silhouette passant devant.
Inquiète, je suis sortie. J'avais huit ans de jiu-jitsu derrière moi et je ne me laissais pas intimider facilement.
J'ai été surpris de trouvant moi le vieil homme. Pour la première fois, je l'ai vu sourire.
--La jeune femme avec laquelle je parlais, c'était ma belle-fille. J'ai quitté la Syrie au plus fort de la dictature avec mes deux belle-filles...Elles avaient 14 et 16 ans, et elles ont fait leurs études en France...Elles sont ingénieures toutes les deux.
--Vous parlez français parfaitement ?
--Je joue un personnage d'idiot. C'est ce qu'on attend de moi. Je ne suis qu'un modeste agent de service. Je préfère me fondre dans l'ombre. D'autant que je pense que les hommes du dictateur pourraient venir me tuer ici. J'étais un biologiste de haut niveau et je suis parti du jour au lendemain..Le genre de crime que le dictateur ne pardonne pas.
--Comment vous m'avez trouvée ?
Ma question était idiote. Vu ses compétences.
--On peut accéder facilement aux fichiers quand on le veut, en allant sur un ordinateur et en utilisant un bon mot de passe. J'avais envie de vous revoir. Vous êtes magnifique et vous me plaisez énormément. Pas seulement pour votre plastique. J'aime votre personnalité, que j'observe depuis un moment. Je suis désolé... L'autre jour, je me suis caressé, une envie, je pensais à vous. J'ai du vous choquer. Même si vous m'avez donné du plaisir.
--J'aime énormément le sexe. Je ne conçois pas de vivre sans plaisir.
--Vous êtes jeune, moi je suis vieux...
--J'ai envie de vous.
--Moi aussi j'ai envie de vous.
Tout nous séparait, mais les barrières sont tombées très facilement.
J'ai franchi les quelques pas qui nous séparaient et nos bouches se sont jointes. Dans un même temps, je suis venu glisser ma main contre son pantalon. J'ai senti sa queue s'animer, se raidir. Dire que deux heures plus tôt je pensais avoir tout perdu, et que mes envies étaient sur le point de se concrétiser.
--Ma femme est morte sous les bombes. Des bidons avec des explosifs truffés de bouts de métal pour faire le maximum de dégâts, balancés d'avions. On n'a pas retrouvé grand chose d'elle. Même en restant à l'abri, il y avait toujours un moment où il fallait sortir. Je n'avais plus envie d'avoir de relations avec une femme...Et puis...Le temps est passé...Je t'ai vue...Tu me semblais inaccessible...
--C'était vrai aussi pour moi.
L'attrapant par la hanche, je l'ai fait venir à l'intérieur. J'avais envie de sa queue. Je me suis laissée tomber sur le canapé, et je l'ai mis à nu. Il y avait clairement du désir en lui, à voir comme il était déjà long et dur. Mais il pouvait grossir encore, et j'allais m'y employer.
Ignorant sa queue, je suis venue directement sur ses couilles. Il a gémi alors que je le caressais de la langue. Il y avait un peu de défi personnel en moi, celui de lui montrer que je pouvais lui donner du plaisir, de la manière la plus efficace, mais aussi la plus sensuelle qui soit. Sa queue gonflait contre ma joue.
Il retrouvait, à moins qu'il n'ait eu à faire à des professionnelles, le plaisir d'être au contact d'une femme, ses caresses, la chaleur et le poids de son corps. J'ai travaillé ses couilles un moment, avant de revenir sur sa queue, Avec ma caresse, elle avait bien gagné en taille, plus épaisse, plus longue, le gland énorme, se rapprochant de ce que j'avais surpris dans le placard, cette queue très dilatée. J'ai baladé ma langue dessus. D'abord sèche, sa queue s'est soudain humidifiée, un filet de liquide au goût amer s'est mis à couler de son méat, qui n'a plus cessé d'arroser ses chairs, son goût amer dégoulinant dans ma gorge, comme le plus précieux des liquides. J'ai tourné sur sa queue figée dans sa dureté. Ca semblait bien lui plaire.
--Ca fait combien de temps que tu n'as plus eu de fille, je lui ai demandé.
--Trop longtemps. Mais je n'avais pas envie. De toi, si.
--Tu vas venir dans ma chatte. Je suis sûre que tu ne sais plus ce que c'est d'être caressé par la vulve d'une femme.
--C'est vrai, il a reconnu.
--Viens...
J'ai attrapé un préservatif dans mon sac à main...J'en avais toujours avec moi, au cas où. Une manière de conjurer le sort...Bon, c'était fait, j'avais trouvé quelqu'un, et même si c'était une seule fois, ce serait déjà bien.
J'ai fait glisser le latex, une fois l'emballage ouvert, le long de sa queue. Puis je l'ai poussé sur le divan, avant de grimper sur lui. Il m'a attrapée par les hanches. Pour la première fois depuis que je le connaissais, visage ouvert, il souriait. Je me suis posée au-dessus de la queue, et je me suis laissée descendre. Mes lèvres ont fait contact avec le gland dilaté enveloppé de plastique, et j'ai cru que j'allais jouir. De l'électricité est remontée dans mon corps. Je me suis laissée descendre, guidant la queue vers mon ventre, J'ai senti qu'il glissait en moi, sensation qui est devenue plus forte alors qu'il pénétrait en moi. Je me suis mise à gémir de bonheur.
Son gland est venu taper contre mon utérus. J'étais remplie par sa queue. J'aurais voulu rester comme ça pour l'éternité.
Il m'a attrapé par les hanches, et il m'a faite monter et descendre sur lui, dans un rythme régulier.
Le frottement de sa queue contre mes parois internes...Rien, aucun doigt, aucun gode ne pouvait remplacer ça.
Je n'avais pas eu du plaisir comme ça depuis trop longtemps.
--Je veux pas que ce soit qu'une fois, j'ai hoqueté...Qu'il y ait d'autres fois.
--Si rien n'y fait obstacle, il a répondu, me laissant retomber, avant de me soulever à nouveau. Il m'a maintenue au-dessus de lui d'une seule main. Il était fort. Il l'était aussi sur le plan du sexe. Une bonne idée que de me maintenir légèrement au-dessus de lui d'une main, pour, de l'autre, amener son gland contre mon gland clitoridien, et de le frotter. J'ai crié, et j'ai joui, arrosant sa queue de mes éjaculations.
Il a finalement posé ce même gland contre ma muqueuse anale, comme si c'était une évidence. Avait-il compris que j'aimais me faire sodomiser ? Il a glissé en moi, et je me suis sentie plus et mieux remplie, dans l'étroitesse de mon conduit anal. Mon sexe libéré, pour démultiplier mon plaisir, je me suis masturbée comme une folle, tirant sur mon gland clitoridien qui n'avait pas eu ces dimensions, ces derniers temps, épais et long, puis me pistonnant comme je l'avais fait quelques jours plus tôt, mais cette fois, tout était différent. Il était avec moi, et il était fiché en moi. Est-ce cette conscience, de la chance que j'avais, du fait que je revenais de loin, qui a déclenché ma jouissance ? J'ai senti qu'un orgasme montait en moi. Et un bon. Il m'a coupée en deux. J'ai hurlé de plaisir, jouissant une deuxième fois, puis une troisième fois quand son sperme est sorti, tapant contre mes muqueuses intimes, et remplissant la capote.
Je me suis dégagée et j'ai remonté la capote le long de sa queue qui se maintenait dans une érection que la jouissance n'avait pas dégonflée. Le réservoir était plein de sperme. J'ai étiré le latex, et je suis venu laper le sperme, jusqu'à la dernière goutte.
--Je vois que tu es toujours prêt à faire l'amour.
--Je n'ai pas eu la joie d'avoir une partenaire depuis longtemps. Et puis tu me plais énormément. Les deux réunis...
Il y a eu un autre endroit, ma chambre, d'autres positions, d'autres gestes, d'autres jouissances...La lumière s'est fondue dans l'ombre.
--Tu veux rester à manger ?
--Avec plaisir.
--Et tu reviendras me voir ?
--Si tu le souhaites.
--Et toi tu le souhaites ?
--A ton avis ?
Tout nous séparait, et pourtant nous sommes quand même parvenus à nous rapprocher.
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Histoire de JamesB

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