" Aux Coulisses "

Pat est collé dans mon dos. Je sens son souffle chaud, souligner de doux baisers dans mon cou. La main posée sur mes hanches, remonte lentement sur mes seins, excite les bourgeons, puis descend entre mes cuisses. Un doigt frise mon fin duvet, joue avec mon clitoris, puis pénètre ma chatte. Je passe une jambe en travers de son corps, pour m’offrir à lui. Je saisis sa queue en érection, la guide contre mes lèvres intimes. D’un simple mouvement, il me pénètre, m’arrachant un léger soupir.
Soudain, une boule de poils atterrit sur mon ventre. C’est « Grisou », mon chat, qui vient briser mon rêve. Je retire mes doigts, qui étaient sensé être la queue de Pat.
Mes pulsions tombent aussitôt, laissant la place à la déception. Seule un bonne douche peut calmer mes ardeurs.
Pat est l’homme de ma vie, je pense que lui aussi, a des sentiments pour moi, mais ne les exprime pas. Il me faut coûte que coûte trouver une solution.
J’attire les hommes, je le sais. Faut dire que j’ai les arguments, et en joue. Je sais mettre mes atouts en valeur, éclipsant mes défauts. On me dit très belle, un mètre soixante dix, soixante kilos, une plastique digne d’un mannequin, irréprochable de la tête aux pieds.
La beauté du diable. Je suis une sorcière, et tout en moi, appelle le péché.
J’aime sortir, voir des gens, être entourée, désirée, parce que je suis désirable.
Depuis peu, j’ai fait la connaissance d’Hervé. Charmant jeune homme, trente ans, tout au plus, d’excellente compagnie.
Au premier abord, il a l’air innocent, avec son visage d’ange, mais il se révèle, au fur et à mesure de nos conversation, très ouvert, diablement culotté. J’aime les hommes qui ont du toupet, du répondant, et qui assument leurs envies.
Avec Hervé, on a eu très peu l’occasion de se rencontrer. On échange des messages régulièrement. On s’est toujours dit qu’un jour, il fallait qu’on se voit, mais mon esprit était ailleurs, vers l’homme qui hantait toute mes nuits...Pat.
Pat, je le connaissais depuis le lycée. Depuis, je suis passé d’ado coincée, à femme épanouie, bien dans sa tête.
Pat est barman aux « Coulisses », bar branché de la ville, QG des filles.
Je sais que je ne laisse pas Pat indifférent, et la réciproque saute aux yeux.
J’aurai bien souvent voulu sentir son corps, que je devine chaud contre moi, sentir sa queue dans ma chatte, mais il se faisait désirer, et ça m’énerve énormément.
J’ai toujours eu l’habitude de mener le jeu, pas l’habitude qu’on me résiste.
Normalement, j’ai un charme pour être consommée, y a pas à tergiverser pendant des mois. Les approches de l’amour de ma vie se font au compte goutte, certes excitantes, énervantes aussi. Des années que ce petit jeu dure. Il me faut trouver une solution, que ça se fasse, qu’il soit à moi.
Et pourquoi ne pas jouer avec Hervé ?
Après tout, rendre Pat jaloux, ça peut marcher. Je te suis, tu me fuis, je te fuis, tu me suis. Et se serait l’occasion de voir enfin Hervé.
Je lui propose d’aller prendre un verre en ville, un jour de semaine. Il accepte, et devine l’idée que j’ai en tête. Il adhère complètement.
Je me prépare longuement, enduis ma peau d’une huile parfumée. Cette odeur me grise, me donne l’énergie nécessaire pour me rendre enjôleuse et fiévreuse.
Une longue robe noire, sans rien dessous évidemment, ni bas, ni le moindre string, de beaux escarpins de huit centimètres. Si, un superbe soutien-gorge brodé qu’Hervé connaît bien, pour l’avoir vu sur le site web que je fréquente souvent. Un petit haut moulant, et pourvu d’un décolleté vertigineux, qui met ma magnifique poitrine en valeur. Quand on a des seins pareil, pourquoi ne pas les exposer.
Après mes choix vestimentaires, je passe aux accessoires. Bague en argent, un long pendentif, des boucles d’oreilles, et une spirale accrochée au cartilage de l’oreille droite. Pour le maquillage, j’insiste sur les yeux. Un regard peut suffire.
Fin prête, je monte dans ma voiture, musique à fond.
J’arrive devant le bar, Hervé n’est pas encore arrivé. La majorité des serveurs me connaissent, viennent me dire bonjour. Je suis troublée en apercevant Pat derrière le bar, shaker en main, entouré de ravissantes jeunes filles.
Clin d’œil dirigé dans ma direction. Je fais mine de l’ignorer, mais je me sens attirée physiquement par lui, je voudrai l’avoir à moi...en moi. Je tourne le dos, jalouse.
Hervé arrive enfin. Jeans’ moulant parfaitement ses fesses, chemise blanche. Simple mais classe.
Le bar est assez calme ce soir de semaine. On passe devant Pat, je l’ignore totalement, en me pendant au cou d’Hervé, qui marque un mouvement de recul.
On nous place à ma table habituelle, dans un coin sombre, douillet, un peu en retrait. La table est entourée de deux banquettes moelleuses. Hervé se place face à moi.
La musique ce soir est parfaite. Les derniers tubes et d’autres plus anciens, illuminerons la soirée...ambiance sexy.
Aux « Coulisses » je sais que je peux me permettre beaucoup de chose. Comme nôtre table est dans un angle, je me déchausse et allonge mes jambes sur la banquette.
Hervé s’étonne de mon attitude, et je lui propose de se mettre à l’aise lui aussi. Il ôte ses chaussures, et s’accoude de l’autre côté de la banquette, ses pieds tous proches des miens.
Les « Coulisses » sont spécialisées dans une nouvelle gamme de cocktails. Mélange de fruits, de glaçons, de laitage. C’est frais, onctueux.
Hervé ne connaissant pas l’endroit, me propose de choisir pour nous deux. Vu que mes intentions sont claires vis à vis de Pat, autant jouer le jeu jusqu’au bout. Je propose que l’on prenne deux cocktails différent, et libre à chacun de boire dans le verre de l’autre.
Mon choix se porte sur un cocktails mangue, cerise, gingembre, le tout accompagné d’une brochette de fruits arrosés de verveine.
Le second sera un cocktail fait de banane, pomme et cannelle, accompagné de pétales de rose au sucre. Une invitation aux plaisirs.
La compagnie d’Hervé est parfaite. Il a un humour décapant, plein de sous-entendus. On rit beaucoup, et je remarque que Pat s’énerve derrière son comptoir. A plusieurs reprises ; en nous regardant, il manque renverser une bouteille, ou son shaker. Ce qui n’est pas dans ses habitudes, car il a le talent des meilleurs.
J’ai hâte de savoir s’il est aussi bon avec sa queue, car mon objectif reste malgré tout, de le séduire. J’ai invité Hervé, l’ai mis dans le coup pour le rendre jaloux, voir sa réaction. Bien évidemment, ça me fait rire de jouer ainsi, en espérant que ça paie.
Hervé profite de nôtre complicité pour glisser ses pieds sous ma robe, me caressant subtilement. Nous goûtons aux deux cocktails. Il me fait goûter les pétales de roses au sucre. Il pose un pétale sur le bout de son index, le suce pour le faire coller, approche son doigt de mes lèvres, le fait glisser sur ma langue. Je me fait un plaisir de le garder au chaud, le caressant doucement de ma langue, tout en regardant du coin de l’œil, la réaction de Pat.
Hervé se reposa sur son accoudoir, un sourire coquin aux bords des lèvres.
J’aime jouer, et apparemment, lui aussi. Il a parfaitement compris son rôle ce soir, et lance un geste amical à Pat, qui devient rouge de rage. Quant à moi, je jubile.
Des couples commencent à envahir la piste, située au fond du bar. Le DJ balance le dernier « Timberlake ». Un regard vers Hervé, et on se comprend sans parler. Un simple clin d’œil suffit. Il se lève, me tend la main, et m’entraîne sur la piste. Il danse divinement bien. Je me défends pas mal, paraît-il, ça ne me gène pas de me déhancher, de coller, dos contre torse, mon partenaire complice. Je le sens exciter. Il pose ses mains sur mes hanches, je sens son souffle contre ma joue, qu’il couvre de légers baisers, qu’il reproduit dans mon cou. Un vrai délice. Il sent bon la cannelle. Je me retourne, une main posée sur ses reins. Je le regarde droit dans les yeux, m’approche, évitant de l’embrasser, juste lui faire sentir mon souffle sur ses lèvres. La température monte rapidement.
Il glisse une main dans mes cheveux, attire mon visage contre le sien, me prend les lèvres, dévore ma bouche.
Nos cocktails nous ont chacun laissé un goût divin. Sa langue semble vouloir en récolter les les plus infimes effluves. Je sens sa queue durcir à travers son jean’. Nous dansons pendant deux bonnes heures, passant de chansons sexy, en slows langoureux, jetant chacun nôtre tour, de petits coups d’œil coquins à Pat, qui fait vraiment du n’importe quoi derrière le bar ce soir.
Nous retournons nous asseoir, et un serveur nous apporte une assiette de douceur, de la part de Pat. En deux ans, il aura appris au moins ça, que le chocolat est ma drogue.
Alors que ma drogue à moi, je dirai même mon fantasme, c’est d’avoir le goût de sa queue dans ma bouche.
Hervé ne tient plus. Les clients quittent doucement les « Coulisse », et mon cavalier veut retourner sur la piste. Une série de musique latine est lancée, on s’y lance aussi.
On oublie ce qui nous entoure, dansons, nous embrassons, nous caressons. Aucun de nous ne s’est rendu compte que nous somme le seul couple restant dans la boîte.
Enfin, trois, compris le responsable en charge de la fermeture...c’est Pat ce soir.
Hervé et moi continuons à danser, et je n’ai de cesse de regarder Pat ranger son bar. Son regard croise le mien, et ne le quitte plus. Mes yeux billent d’amour pour lu, et pourtant. Nous dansons d’un façon tout à fait indécente. Nos baisers sont de plus en plus intenses, nos caresses plus franches.
Pourquoi nous cacher ?
La lumière s’éteint. Seul les blocs de secours diffusent un faisceau lumineux, laissant une lumière tamisée idéale.
Soudain, ce ne sont plus deux mains qui me caressent, mais quatre. Pat nous a rejoint sur la piste, et danse avec nous.
Hervé face à moi, el l’amour de ma vie dans mon dos. Les deux hommes se toisent du regard, se provoquent l’un l’autre. Je deviens l’objet partagé par deux mâles, bien que ma préférence sot bien établie. Mais quoi de plus agréable de se sentir désirée. Je serai juge de leurs performance, arbitre d’un combat charnel. Ce sera lequel des deux me fera jouir le premier.
Mes deux amants n’osent pas encore entrer dans le vif du sujet, ils restent sage, et comme j’adore les préliminaires, ça me convient parfaitement. J’ai droit à plein de baiser brûlant, de main câlines et palpitantes de mes superbes formes, ainsi que de doigts, qui tout en douceur, s’aventurent parfois furtivement dans ma fente.
Après quelques minutes de délicieux préliminaires, je sens qu’il va falloir que je prenne l’initiative. Je pensais que Pat allait se lancer, prouvant, s’il en avait, son désir pour moi, mais il semble se contenter de la situation actuelle.
Je les embrasse tour à tour, jeux de langues, tandis que leurs mains parcourent mon corps enfiévré, ôtent mes vêtements en hâte.
Les mouvements sont sensuels, en rythme parfait avec la musique.
Lentement, ils me guident vers l’escalier.
Ils se déshabillent à leur tour, et m’installent sur les marches, assises. J’ai devant les yeux deux colonnes de chair gorgées de désir. Je ne saurai dire quelle est la plus grosses, tant elles se ressemblent. Je l’a saisi à pleine main, les caresses sur toute la longueur. Je regarde mes amants droits dans les yeux.
Pat s’agenouille devant moi, me saisit les seins, les caresses du bout de la langue. Ses mains descendent le long de mon corps, caressent mes cuisses, les écarte doucement.
Hervé est à mes côtés, je n’ai qu’à tourner légèrement le tête, pour pouvoir saisir sa bite dans ma bouche, d’abord en entier, lui faisant goûter les délices d’une gorge profonde.
Je parie que ce serai un plaisir divin, de la sentir coulisser dans ma chatte.
Je fais courir ma langue le long de son pieu, une main à la base, l’autre faisant rouler ses couilles entre mes doigts. Je le lèche sur le pourtour du gland, le suce, l’aspire, faisant aller et venir ma bouche par lents mouvements, ou saccadés. Hervé guide le rythme, en passant sa main dans mes cheveux.
Pat, lui, a glissé sa tête entre mes jambes. Il me masse les lèvres intimes entre ses doigts, excite mon clitoris, le léchant, le suçant, le mordillant, puis me pénètre de ses doigts. Je me sens toute mouillée, je veux leurs calibres en moi. Mes gémissements se font de plus en plus intenses. Hervé est dans le même état que moi. Je monte de quelques marches, pour que ma chatte soit à la hauteur de sa queue.
Je le veux lui d’abord.
Il prend mes jambes sur ses bras, m’embrasse et me pénètre enfin, lentement, tout en douceur. Ses mouvements sont forts, mais doux, intenses mais mesurés.
Pat se place près de mon visage, sa queue à portée mes de lèvres.
Tant d’années que j’attends ça, et je peux enfin le maîtriser, le faire jouir. Mais pourquoi ne sommes pas que nous deux.
C’est moi qui dirige le jeu maintenant, Pat est à ma merci. Les « Coulisses » résonnent de nos soupirs et gémissements. Hervé dans ma chatte, Pat dans ma bouche. Quand je sens Hervé prêt à jouir, je les invertir leurs places.
Pat est plus brutal, ce qui est loin d’être désagréable. Cette position ne lui convient pas ? Il nous fait descendre les escaliers, et me place sur la banquette, à quatre pattes. Mes fesses lui sont ainsi offerte, je ne le vois plus, et j’ai Hervé en face de moi. Nos mouvements sont plus rapides, nos souffle s’épuisent...enfin presque ensemble.
Hervé et Pat gémissent de plaisir, Hervé est prêt à sortir de ma bouche, mais je le retiens, je le veux jusqu’au bout, me délecter de son jus jusqu’à la dernière goutte.
Effectivement, c’est du sperme de bon cru que j’avale. Hervé a fini par succomber. Il en est de même pour Pat qui jouit ardemment dans ma chatte. Je sens son sperme chaud se répandre en moi, instant tant de fois rêvé.
A peine s’est-il retiré, qu’Hervé prend sa place. Mais lui vise un autre trou. Le seul endroit de ma personne resté encore inviolé. Je sens son gland pénétrer petit à petit mon petit orifice. Bien plus que la douleur, je ressens un réel plaisir. Je regarde Pat. Il a l’air déçu que cette faveur ne lui est pas été réservé.
Hervé s’avère être un concurrent redoutable, face à un Pat déçu par ce à quoi il assiste. La sodomie de celle qu’il n’a pas su aimer, et qui jouit à cet instant précis, dans les bras d’un autre. Car effectivement, Hervé me donne énormément de plaisir. J’atteins un orgasme terrible qui raisonne dans les « Coulisses ».
Hervé a été plus prompt, mais surtout, il a su le moment ou j’allais venir, et s’est servi de cette expérience qu’il a acquis avec les femmes, pour profiter de moi.
Dans cette relation, Pat a été trop respectueux, préférant se retirer du jeu, pour laisser la place à l’autre.
Comblée par deux homme dans la même soirée, fut pour moi une exceptionnelle expérience. Je pensais venir aux « Coulisses » pour rendre Pat jaloux, et me rends compte qu’il n’a eu que le second rôle. Que c’est Hervé qui est parvenu à me faire jouir.
Hervé se retire délicatement de moi, et je roule sur dos, béate, les bras en croix, jambes écartées, impudique à souhait.
C’est à Hervé que j’ai offert le luxe, la dernière fantaisie, la dernière petite dépravation.
L’autorisation de m’enculer.
Mais en aucun cas, mes sentiments pour Pat ont changés, bien au contraire. Après cette folle soirée, le plus dur va être maintenant de le reconquérir. Je le veux à moi.
Repue, satisfaite, je m’étire comme une chatte comblée et je sombre dans un doux demi-sommeil. Avec précaution, mes deux amants quittent la banquette. Je sens le regard fervent de l’un, déçu de l’autre, se poser sur ma nudité. Je parie qu’ils croient que je dors profondément.
Mais je sens de la déception sur le visage de Pat. La déception de ne pas avoir été ma priorité. Je tentais de rattraper le coup, lui offrir ce que j’avais offert à Hervé, me sodomiser, ce qui lui revenait de droit.
Mais il refusa, prétextant ne pas vouloir être le faire valoir de le soirée, et quitta la salle.
Suite à ce coup de folie, n’étais-je pas en train de perdre l’amour de ma vie, avant de l’avoir eu. Apeurée, je demandais à Hervé de lui parler, lui dire que je regrettais mon attitude envers lui. En fait, Hervé avait obtenu ce qu’il voulait, et n’était pas prêt à plaider ma cause, ou sous certaines conditions, que je refusais.
Le lendemain, les vapeurs d’alcool s’étant évaporées, je me rends aux « Coulisses ».
Je ne m’attends pas à un bon accueils de la part Pat, l’amour de ma vie, que j’ai trahi.
Je suis soulagée quand je l’aperçois au bar, en grande discussion avec Hervé. Je me dis que celui-ci est revenue à de meilleures intentions. Les deux hommes se tapent dans la main, se donnent l’accolade. Puis ils se séparent, car Hervé doit regagner sa région. En me croisant, il dépose un tendre baiser sur mon front, me remercie pour cette merveilleuse soirée, me dit qu’il allait supprimer nos contacts sur le web.
Je pensais à ce moment là qu’Hervé avait su trouver les bons mots,,pour effacer cette soirée, que tout ça n’était qu’un mauvais rêve, dû à l’alcool.
Mais je me rends vite à l’évidence. Je me retourne et vois Pat derrière le bar. Il m’ignore totalement. Il est clair qu’il ne m’a pas pardonné la torride relation que j’ai eu devant lui, avec Hervé. Hésitante et un peu honteuse, je m’approche, espérant une main tendue. Pat se défile dans la réserve. Pas un mot, pas un adieu...rien
A ce moment là, j’ai haï Hervé, et moi aussi, pour avoir offert l’intimé la plus secrète de mon corps, et avoir trahi l’amour de ma vie, que je ne récupérerai plus.
Depuis, je suis passé plusieurs fois au club, dans l’espoir de reconquérir l’homme avec qui je voulais faire ma vie, jusqu’au jour ou je l’ai vu embrasser une fille, et l’entraîner dans la réserve.
Ce soir là, c’est avec tristesse et les larmes au yeux, que je quittais le bar, laissant derrière moi mon amour perdu à jamais.
Je ne remettrais plus jamais les pieds aux « Coulisses »