Tout se passe en famille 2

La chatte de Lisette est un ruisseau, la jeunette regarde la verge de son père qui est dressée comme un mât. Elle a déjà joui plusieurs fois en se masturbant en regardant les ébateurs. Luc s'avance vers elle en souriant, lisette le regarde en déglutissant, elle dit un peu stressée :

-Papa, je veux que tu me prennes, ça y est je suis décidé !

Le bougre n'attendait que cela depuis longtemps, il la prend par la main et l'emmène vers le banc matelassé, sans dossier qui est prévu aux ébats. Luc se dit que sa fille, consentante, va connaitre toutes les jouissances que peut procurer l'acte sexuel, et pour cela, il est prêt à se surpasser. La maman, Linda, son fils Antoine et sa femme Maryse, s'approchent, ils ne veulent pas louper ça. Lisette s'étend sur le banc, on lui place sous les reins un gros coussin, pour bien relever son bassin. Automatiquement, Lisette ouvre les jambes. Luc demande à Linda de bien chauffer leur fille. Linda s'agenouille face à sa fille, et avance sa tête entre ses cuisses. Elle hume les effluves que la chatte rejette. Elle pose sa bouche sur la vulve encadrée d'une fine toison. Et enfonce sa langue dans le puits débordant. Maryse veut aussi y participer, elle enserre de ses longs doigts les petits seins et les malaxe fermement. Elle les pétrit en enfonçant ses doigts dans la chair souple.



Sa bouche vorace se pose sur les mamelons et les suce comme un bonbon, la langue habile titille les petits mâts de chair, qui se dressent en épaississant fortement. La maman s'active sur la chatte, elle la fouille
profondément, lui aspire le clito avec une violence inouïe. Lisette se cabre en grognant comme une bête blessée, une jouissance terrible la secoue. Luc repousse sa belle-fille, il avance sa queue vers le temple en ébullition. Frotte le gland contre les lèvres bien dessinées. Il pousse doucement en s'accrochant aux hanches de sa fille qui serre les dents. Lentement, la queue avance dans la gaine étroite, qui n'a connu aucun membre vivant. Lisette grimace, elle souffle fortement. Le membre de son papa progresse dans son ventre sans brusquerie. Une résistance se fait ressentir. Luc recule sa verge de quelques centimètres, et donne un violent coup de reins.



Lisette pousse un cri, une violente brûlure lui traverse le ventre, son hymen vient de céder. Le coup de reins de son papa a été si violent que la bite de son papa, c'est enfoncée jusqu'aux couilles dans son ventre. Elle s'agrippe à lui en grimaçant, son souffle est bruyant. Luc commence après un court répit un va-et-vient bien dosé. Lisette s'accroche à son papa comme une pieuvre à son rocher. Le ramonage prend de la vitesse, Lisette ne ressent plus qu'une faible douleur. Elle commence à geindre de plaisir, elle se met à agiter son bassin en donnant quelques coups de reins. Maryse lui dévore les mamelons, elle les mordille, les étire. Elle se redresse et saisit entre ses doigts les tétons, les roule, les presse de temps en temps, pendant que Luc lui donne des coups de bélier de plus en plus fort. La queue fortement veinée, frotte contre les muqueuses sensibles de la paroi vaginale, en faisant gémir Lisette de plaisir. Soudain, elle se cambre, pousse un râle rauque et jouit. Son corps se met à trembler, il est secoué de frissons incontrôlables. Le papa devient violent, il ressort sa queue entièrement du ventre de sa fille pour la replonger le plus profondément possible.


Pour Lisette c'est le délire, elle re-jouit lorsque sa belle-sœur lui écrase les mamelons. La bite du papa voyage de plus en plus aisément dans le conduit fraichement dépucelé. Lisette geint comme une bête blessée, son souffle est court, sa respiration rapide. Luc se raidit, se bloque et envoie dans le ventre de sa fille un flot de sperme épais. Lisette s'accroche à lui, elle le retient en agitant son bassin et en donnant des coups de reins. Luc comprend que sa fille veut encore jouir, il reprend avec plus de brutalité le pilonnage, pour le plus grand bonheur de sa fille qui ne cesse de dire :

-Oh papa, oh papa, c'est bon, aime-moi encore, je veux mourir avec ta queue dans mon ventre, papa chéri !

Les paroles de sa fille l'encouragent, c'est avec sauvagerie qu'il l'amène à une autre jouissance. Il ressort sa queue, regarde la chatte, rejeter un filet de sperme mêlé à du sang. Il sourit est dit en regardant sa fille :

-Te voila une femme maintenant ma chérie !


Lisette le regarde, ses yeux sont luisants, elle dit entre deux souffles :

-Non pas tout à fait femme papa, pour que je le sois totalement, prends-moi par le cul !


Luc sursaute et dit :

-Je n'osais pas te le proposer ma chérie, mais je laisse cet honneur à ton frère !


Lisette regarde son frère et lui dit :

-Fait ce que tu as fait à maman, encule-moi bien fort !


Antoine, qui a regardé le d'effleurage de sa sœur avec attention, est heureux de prendre le pucelage du cul de sa sœur. Mais sa maman doit lui préparer l'orifice anal avant. Linda reprend place à genoux face à sa fille. Aspire un peu de jus de la chatte et en enduit le muscle rectal. Sa langue tourne sur la pastille ridée, appuie fortement dessus. C'est en insistant que la langue s'enfonce dans le conduit étroit, pour le fouiller le plus loin possible. Lisette couine en s'agrippant au banc. Sa maman sait comment assouplir l'anus. Enfin, Linda remplace sa langue par deux doigts. Avec douceur, elle les enfonce dans la gaine comme pour la sonder et commence un petit ramonage, c'est le délire pour Lisette qui gémir. Les visiteurs tournent dans le rectum, tentent de l'assouplir le plus possible. La maman accélère le ramonage anal, sa fille souffle en poussant des gémissements de plus en plus bruyants. Soudain la coquine se cambre et jouit du cul en soufflant comme un dragon. Linda se retire du rectum, en regardant son fils.




Il avance entre les cuisses ouvertes, et pose son gland contre l'œillet qui ne cesse de s'ouvrir et de se refermer. Il pousse doucement, sa sœur se cambre en serrant les dents. Le gland qui s'enfonce dans le rectum fait grimacer Lisette. Sa maman lui a bien préparé le cul, car la douleur est supportable. La queue de son frère s'enfonce jusqu'aux couilles dans son fondement, Lisette souffle, avant qu'Antoine commence un enculage parfait. Le ramonage est de plus en plus rapide, les gémissements que pousse Lisette laissent comprendre qu'elle prend beaucoup de plaisir à sa première sodomie. Son frère semble être un bon sodomiseur, le bougre s'applique du mieux possible. Il fait coulisser sa bite le plus profondément possible, le ressort entièrement pour la replanter aussitôt sans le rectum. Lisette pousse un gémissement terrible à chaque enfoncement du pal dans son cul. Maryse n'a pas quitté ses mamelons, ils sont devenus rouges tellement la coquine les a travaillées. Elle sent que sa belle-sœur est sur le point de jouir. Elle presse fortement les mamelons en faisant hurler Lisette au même moment qu'elle jouit du cul.


Antoine lui défonce le cul avec de plus en plus d'ardeur, sa persévérance l'amène jusqu'à la jouissance. Il grogne en lui remplissant le cul abondamment de semence. Maintenant que le passage est fait, le papa peut prendre la relève. Bien mieux monté que son fils, le gredin prend un malin plaisir à faire geindre sa fille. C'est un mélange de douleur, et de plaisir qui la font jouir. Bien dilaté, le rectum reçoit sa récompense, une giclée visqueuse de sperme. La coquine, devenue femme par tous les bouts, ne peut que compléter sa formation, en subissant une double pénétration, c'est sa maman qui lui en donne l'idée.

Les deux hommes, après une courte pause, lui défoncent la chatte et le cul en même temps. Pour Lisette, c'est le summum du bonheur. Elle geint :

-Oh Mon Dieu, c'est divin, oui, oui, n'arrêtez pas encore !

La synchronisation est parfaite, les bites agissent comme deux pistons dans le corps de Lisette qui pâme de bonheur. Les deux hommes ne la libèrent après qu'elle a joui plusieurs fois, et eux aussi cela va de soi.