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Transports peu communs

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Lue : 107260 fois - Commentaire(s) : 14 - Histoire postée le 19/11/2009

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Quel monde ce jour là dans le métro, il faisait chaud, très chaud, j’étais tassé, coincé, écrabouillé dans la rame quand je sentis une rondelette paire de fesses s’encastrer sur mon avant. A toutes choses malheur est bon, la situation me parût plus confortable.

C’était la première fois depuis que je commençais, tôt le matin, mon travail que cette situation se présentait. Jusqu’alors les trajets étaient une longue, très longue corvée et là je découvrais une facette inattendue de ces périples du matin et du soir.

Belles fesses, bien rondes, nos chaleurs traversaient les étoffes ; elle une rousse assez grande, bien en chair, portait une robe légère car au travers de mon pantalon d’été je sentais tous les détails de sa partie charnue. Je ne vis son visage que quelques stations plus loin : yeux noisettes, l’air sérieuse, mais quand elle me dévisagea je sentis que d’un coup d’œil elle me jugeait, curieuse de voir qui s’agrippait ainsi à elle.

Le jugement dû être bon car la pression de ses fesses s’accentua sans raison. Depuis le début, mon membre émoustillé avait pris des proportions honorables et cette pression plus nette l’encastra confortablement vertical, dressé sur l’étoffe soyeuse dans une vallée chaude et douce. Chaque virage de la rame, chaque dénivellation étaient des occasions de parfaire cette situation jouissive et je me mis alors dans l’idée que je n’étais peut être pas seul à l’apprécier.

A ce stade du trajet l’affluence bien que dense n’était pas encore celle qu’elle atteindrait quelques stations plus loin et la paire de fesses aurait pu facilement s’éloigner de moi mais il n’en fut rien, au contraire certains rapprochements ne devaient rien aux mouvements de la rame.

Je m’enhardis alors en me plaquant plus franchement sur ma voisine, en pliant un peu mes jambes j’avançais mes cuisses pour épouser plus franchement ses formes généreuses, aucun geste ne vint me décourager, alors profitant d’une entrée massive de voyageurs j’avançais ma main droite et la posais à hauteur des hanches sur le côté de sa cuisse, juste posée, simple contact, j’en jouissais presque effaré de mon audace, près à battre en retraite à la moindre réticence.

Aucun mouvement ne vint me décourager et je refermais ma main épousant parfaitement le galbe divin du haut de sa cuisse. Je faisais jouer la pression de mes doigts pour être sûr de faire savoir à ma voisine que cette caresse n’était pas fortuite. Aucune réaction ; je fis alors ce que seul un timide peu faire quand on l’encourage ; ma main se mit à l’œuvre, le contact devint caresses, l’étoffe rendait le contact plus doux, je sentis le slip, le début des bas, les attaches des jarretelles.

Aucun doute ne devait maintenant subsister dans l’esprit de ma rousse voisine sexy, elle me le confirma en écartant imperceptiblement ses cuisses. Ma main avait déjà contourné sa hanche en présence de chairs plus moles, plus chaudes, plus douces. Une station, une bousculade et ma main dans la profondeur de la foule est arrivée à son but sur le devant en plein milieu.

Je suis comme fou, collé à elle, son minou est bien charnu, ferme, je le pince doucement entre mes doigts, c’est la première fois que je caresse la chatte d’une femme, mes jambes ne me portent plus tant grande est mon émotion, je sens des poils beaucoup de poils. Comme moi, ma voisine semble apprécier la situation, car je la sens onduler légèrement entraînant ma queue raidie entre ses fesses, son visage comme le mien reste impassible à la tempête qui se déchaîne dans nos têtes dans tout notre corps.

En palpant sa chatte je remonte par devant le tissus de sa robe, elle devine mon intention et je la sens prête à gueuler ; travail de patience, plusieurs fois le pan retomba mais ma main laborieusement repris son travail, mes doigts en remontant le tissus palpaient doucement la bosse de sa chatte ; à un moment, enfin ma main passa sous sa robe qui retomba laissant ma main libre par dessous, mes doigts toujours à hauteur de sa chatte découvrirent le frêle rempart d’une adorable culotte de satin, assez large ornée de dentelles.

A cet instant je crus que j’allais défaillir tant mon émotion était forte, presque inconscient paume en l’air je glissais mes doigts dans l’entrecuisse, puis je caressais le tendre arc duveteux, quelle douceur, je plongeais à la limite des fesses avant de revenir par devant où je sentis la culotte légèrement humide. Dans tout ce que je viens de dire mon adorable voisine me facilita la tache en s’ouvrant ou en serrant ses cuisses.

J’étais donc libre de poursuivre ce qu’elle semblait apprécier. Mes doigts agiles manœuvrèrent pour passer sous la culotte, je tirais un peu sur l’étoffe pour passer ma main plus aisément. D’abord je sentis sa toison, abondante, frisée, électrique et entre les poils une faille où je plongeais le bout de mes doigts, je fus surpris d’y trouver un mucus abondant sorte de miel nouveau onctueux presque liquide, curieux je fis aller et venir mes doigts dans la fente humide, en m’enfonçant je découvris sa vulve et en remontant vers son ventre je titillais un petit bouton rond et dur.

En caressant ainsi ma complice je l’avais attirée contre moi pour m’encastrer davantage entre ses fesses et avec ma main gauche passant sur ses hanches sous sa veste je remontais ma main pour caresser ses seins, avec prudence cependant, pour ne pas faire remarquer notre manège. Ma main droite s’inonde elle semble faire de l’effet, ma compagne défaille, par moment ses jambes se dérobent et je dois la soutenir, elle aussi est comme moi au bord de la jouissance, j’ai envie de la posséder, nous nous contentons d’un doigt que je réussis à plonger dans sa vulve.

J’ai peur que notre émotion se remarque, nous sommes pâles tous les deux, la rouquine ondule de la croupe en ouvrant ses cuisses pour se branler sur mon doigt, nous allons jouir, c’est certain, cela se voit, une grande femme brune au teint mat à côté de nous lorgne en douce dans notre direction, elle doit se douter qu’il se passe quelque chose, cela freine un peu mon ardeur.

La rame arrive à une correspondance et comme chaque jour c’est une catastrophe, providentielle aujourd’hui, un nouvel arrivage nous tasse, nous entraîne, nous sépare légèrement, à regret ma main doit se dégager, je m’accroche dans la foule anonyme, la rouquine m’aide à ne pas la perdre, nous sommes entraînés vers le fond du compartiment, ma complice calée dans le coin gauche tournée vers moi sur ma droite ; des valises près de la porte m’obligent à me pencher en arrière dans une position d’équilibre instable, la brune a également été entraînée dans l’irrésistible tourbillon elle me fait face, la houle l’a plaquée sur moi, elle me regarde d’un œil sévère car ses seins s’écrasent sur mon torse tandis que ma cuisse gauche est insérée entre les siennes en un soyeux contact.

A chaque virage ma cuisse frôle les siennes, nous serions tombés si nous n’étions si tassés par l’affluence des usagers. La brune de sa main droite doit saisir le loquet de la porte pour ne pas s’écrouler elle aussi. Dans un virage je manque de tomber et je dois moi aussi me retenir à la poignée voisine. Ma main droite voudrait reprendre ses caresses sur la rouquine qui me regarde avec complaisance elle me voit mieux maintenant et dans son regard je sens un encouragement à poursuivre nos jeux sexuels. Manifestement je lui plais, mes attouchements aussi. Je passe ma main derrière elle et lui pétris les fesses en commençant à remonter sa robe comme je l’avais fait il y a un instant par devant sur sa chatte. Cela à l’air de lui plaire, elle me regarde en souriant.

Dire que quelques minutes auparavant ma main fourrait sa foufoune sous sa culotte ! Pourrons-nous poursuivre ces attouchements jouissifs? Sinon nous revoir. Chaque jour, peut être, se fait t’elle jouir par le premier venu. Mais d’un coup ma main sur la poignée de la porte est recouverte d’une main chaude et douce, je regarde et n’en crois pas mes yeux, c’est celle de ma brune qui abandonnant le loquet voisin se serre sur la mienne, et cela n’est pas du au hasard car je sens la pression enveloppante de ses doigts, je la regarde et cela me confirme cette sorte d’appel qu’elle me lance.

Est ce que cette femme malgré ses grands airs aime elle aussi dans l’anonymat de la foule, abandonnant ses principes prudes, se faire peloter par le satyre qui osera la comprendre et lui donner ce qu’elle cherche ; nous a t’elle surprit tout à l’heure quand je masturbais la rouquine et devine t’elle en moi celui qui la fera jouir à son tour.

Je ne traîne pas, mon genou gauche remonte retroussant complètement le devant de la jupe très courte de la donzelle, il remonte jusqu’en haut de l’entrecuisses qu’il presse, ma main gauche abandonnant la poignée de la porte plonge et atterrit sur sa cuisse droite à moitié dénudée et passant par l’arrière investit sous les vaporeuses parures l’arrière du slip de la brune, dans son élan elle s’insère franchement par dessous directement sur ses fesses que je pelote énergiquement pour que mon action soit sans équivoque. Vous l’avez compris mes deux mains s’occupent sournoisement des rotondités de mes deux coquines et mon membre
est en bonne place sur le bas ventre de la brune.

L’attaque à été fulgurante, d’une audace insensée, déclenchée par un signe si discret qu’il était peut être fortuit. Le regard de la brune me transperce, son trouble me conforte son accord, alors ma main s’affole dans la raie de ses fesses, les deux volumes sont d’une plasticité sans pareille et ma main se vautre dans cet endroit charmant.

Je me demande ce qui m’arrive pour que cette femme magnifique s’offre aussi à moi. Ma main sous sa jupe presse ses fesses pour unir davantage nos bas ventres. Le tissu grossier gâche un peu le contact. A une station profitant des mouvements des voyageurs, je réussis à insérer mes deux jambes dans l’entre cuisses largement ouvert, mon ventre cette fois bien en contact avec son slip soyeux.

Je bande comme un cerf et ma brune compagne commence à se dégeler, elle ondule du ventre de manière imperceptible et elle doit sentir le cylindre de mon membre dans la raie de sa chatte. Ma main gauche s’en donne à cœur joie elle se perd dans les fanfreluches du porte-jarretelles, explore la taille gracile, redescend bien à plat sur les fesses rebondies, il lui est facile de s’introduire par l’arrière entre les fesses et d’explorer la faille du sexe inondée, la chatte prise à revers est très charnue comme celle de la rouquine mais dénuée de tout poils et je fais aller et venir mes doigts entre les deux grosse lèvres lubrifiées.

Il m’est cependant difficile de pénétrer sa vulve hors d’atteinte, le bout de mes doigts montrant qu’elle était pourtant grande ouverte prête à se faire défoncer. J’allais me contenter du petit trou plus accessible, mon doigt reconnaissait déjà les lieux quand d’un coup la situation devint plus scabreuse et je l’attribuais à ma rousse qui s’invitait à la fête ; une de ses mains vint rejoindre la mienne entre les fesses de la brune tandis que l’autre se frayait un passage entre nos deux bas ventres soudés.

Il n’y avait aucun doute car la main de ma brune serrait toujours nerveusement la poignée de la portière. Ma voisine de droite, le sourire aux lèvres s’occupait de nous. Elle est bien placée pour cela dans son coin nous sommes de profil en face d’elle et ses deux mains s’activent sur nous, sa main droite par derrière dans l’entre cuisses de la brune, sa main gauche nous a séparé et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire elle ouvre un à un les boutons de ma braguette et elle ne fait pas le détail, à part le crochet du haut mon pantalon est largement ouvert, sa main entre par l’ouverture béante, palpe mon ventre et ma queue, agrippe mon slip et d’un geste le tire et le rabat sous mes couilles.

Calmement elle prend ma verge en pleine érection me l’abaisse et le glisse dans l’entrecuisse de la brune qui comme moi est stupéfaite et ne peux rien dire. A l’arrière l’autre main à préparé le terrain en tirant vers le bas le cache membre de ma belle. Situation terriblement jouissive, je suis un peu dépassé et pourtant mon membre en ébullition est encastré entre le slip et le minou lubrifié de la brune qui se pâme engloutie dans le plaisir de cette position hors norme. La tête de mon nœud décalotté ne peut pénétrer sa vulve mais je m’agite dans sa raie et je vois qu’elle perd pied, dans un virage elle serre ses cuisses et n’en pouvant plus sans pouvoir me retenir je décharge dans son slip.

Belle garce de rouquine qui se régale de nous voir jouir. Par réflexe , plus que par vengeance, pour notre plaisir plutôt ma main passe directement sur ses fesses, puis dans l’entrecuisse largement ouvert passant sous sa culotte à moitié baissée, d’un doigt puis de deux dans sa chatte et comme naturellement mon petit doigt prend son derrière où il n’a aucun mal à s’introduire. La rouquine me sourit en ondulant de la croupe, la brune agonise en serrant ses cuisses sur mon membre, elles sont pâles toutes les deux tout à leur plaisir. Que c’est dur de jouir sans gueuler, sans se trémousser, pour ma part ayant déjà joui je me demande comment cela va finir.

« Je me présente je suis Josette ! » dit soudain ma rousse compagne. Après cette partouze faite sans un mot cette voix douce, chaude, assurée nous surprend. Je me présente gauchement, ma voix reste dans ma gorge :
« Moi c’est Pierre ! »
« Joli prénom, pour moi tu seras Yégor ! c’est plus bandant ! »

Mon membre a retrouvé l’écrin de mon pantalon mais mes mains sont toujours actives dans l’intimité de mes deux poupées qui ne font rien pour se dégager ;
« Mos Pépita ! » nous dit la brune. Une sud américaine pensais-je et par la pensée un cul de Brésilienne se contorsionnait dans ma tête. Elle ne comprend sans doute pas un mot de Français, pensais-je.
« Mos beaucoup aimé ce que faire toutes les trois.. merci très beaucoup ! les français sont très...sont très... »
« Coquins ! » dis-je pour l’aider
« Et très coquine ! » surenchérit Josette

D’un coup le métro se vide, c’est le terminus, les présentations ont eu lieu à temps ;
« Si vous voulez je vous invite à prendre un verre chez moi, c’est à deux pas »
« A deux pas ? » interroge Pépita qui ne comprend pas l’expression
« Oui à deux pas c’est à dire tout près d’içi » dis-je
« Alors mos bien vouloir ! j’ai soif ! »
« Et toi Yégor ? »
« J’ai soif aussi »

« Allons boire ! » dit alors Josette en riant de toutes ses belles dents et je devinais la nature de sa soif. J’abandonnais donc tout ce que j’avais prévu de faire et c’est non sans une certaine appréhension que bras dessus bras dessous nous sortirent dans la rue. Où cela allait il me mener moi le néophyte, le puceau ? Disons le tout net, jusqu’à présent je n’avais joui qu’en me branlant avec pour m’exciter des revues érotiques où des catalogues de dessous féminin et là incroyablement j’avais sous la main deux beautés qui m’avaient adopté.
Devant une porte cochère de grand style Josette nous invita à monter

« Nous sommes ici chez moi, montons si vous voulez ? »
Pépita semble hésiter, on l’avait sans doute mise en garde de la corruption qui règne à Paris mais devant nos mines engageantes elle se décide et je les suivis dans l’escalier. Je recommence à bander, devant moi j’examine les deux paires de fesses qui ondulent, j’admire le mot n’est pas trop fort ce que j’ai palpé sans voir. Qu’ais je donc pour avoir séduit deux si belles femmes ? Je sais que je ne suis pas trop mal, grand, sportif, jeune ; j’ai toujours remarqué le coup d’œil en biais que me lance les donzelles quand je les croise et je lis dans leur yeux de l’attirance, le besoin de se faire remarquer.

Pépita a de longues jambes bien faites, gainées de bas sombres avec des motifs violets, en me baissant un peu je devine qu’ils remontent haut sur ses cuisses, Josette elle me coupe le souffle c’est le désir personnifié, je risque une main et je la remonte entre ses cuisses, quelle sensation de palper une chatte quand les cuisses se croisent marche par marche. Josette se retourne, elle me sourit, quel bonheur une fille comme elle.

Mais nous arrivons, nous entrons dans un vaste appartement meublé avec goût. Que va t-il se passer ? Pépita s’assoit dans une sorte de grand divan de cuir à longs poils, elle croise ses jambes découvrant largement ses cuisses, quel spectacle, elle quitte sa veste et dévoile son buste, ses seins pointes sous son corsage, quelle soirée !
Josette s’affaire dans la cuisine
« Amusez-vous j’arrive, je prépare un petit en cas et de quoi boire, le whisky et les verres sont sur la tablette, buvez si vous voulez »

Pépita a soif, mais soif de caresses, elle me laisse m’installer à ses genoux et quand ma main remonte doucement et s’égare entre ses cuisses elle s’ouvre en gémissant. Je sens qu’elle compte sur moi pour la faire jouir. Je ne manque pas d’idées pour cela, j’ai tellement pensé à cet instant , j’ai tellement fantasmé en me branlant devant des photos érotiques de femmes nues que je n’ai plus qu’à mettre au propre les brouillons de mes baisers. Je suis puceau mais à force de me masturber je suis dépucelé et mon gland se décalotte dés que je bande.

Je dégrafe cette jupe trop rigide qu’elle m’aide à quitter, j’ouvre son corsage pour voir ses seins sans soutien, ils sont ronds et fermes, je m’avance en me dressant un peu et j’en prends un dans ma bouche et de la pointe de ma langue je tourne autours de sa pointe qui se raidit, je prends l’autre dans ma main gauche par-dessous et avec la droite je retrousse la combinaison de Pépita dévoilant ses longues jambes, ses cuisses et le son ventre tout bronzé.

Ma bouche quitte la pointe de ses seins et je glisse mon visage dans l’arc de ses cuisses, je fais glisser sa petite culotte souillée par les coulures de mon sperm, elle m’apparaît imberbe sous une toison brune savamment entretenue, je soulève la croupe de Pépita et j’avance mon visage dans l’écartèlement jouissif.

Je suis comme fou, je me relève légèrement et ma bouche plonge grande ouverte. J’embrasse sa chatte comme une bouche ma langue cherchant l’entrée de sa vulve, mes lèvres serrent ses lèvres qui s’ouvrent et que j’aspire. Je m’installe mieux en m’allongeant sur elle de tout mon long mais en sens inverse. Pépita me facilite la chose allongée elle aussi sous moi, elle m’aide à enlever son slip et elle s’offre en s’ouvrant
« Chéri ! Fais bien jouir moi avec ton bouche »

Je n’en peux plus et les mains sous ses fesses je replonge vers notre bonheur, je mordille, je lèche, mes mains par dessous écartent ses fesses, mes doigts participent à la fête, ma langue s’insère entre les grosses lèvres et va et vient dans la faille rose. Au ras des poils elle s’agite sur un petit bouton qui pointe rougeoyant en sortant d’un petit écrin rose, elle s’enfonce au plus profond de l’intimité qui dévoile un méat où j’enlise ma pointe durcie, plus avant je lape un le petit gouffre de l’anus ; je mordille l’intérieur des cuisses. Pépita semble apprécier car elle ondule sous moi en m’encourageant
« C’est bon ! continue ! ahhhh ouiiii coquino ! il est bonne ta langue sur mon petite cul, ahhhh !»

De temps à autre je m’écarte un peu pour admirer ce qui s’offre à moi. Je sens mon pantalon se défaire et glisser, le slip suit, mon membre tel le diable sortant de sa boîte se dresse, et tandis qu’en me contorsionnant j’arrive à me débarrasser de ses oripeaux gênants je sens une douce chaleur humide envahir mon membre tandis qu’on me chatouille les couilles.

Nous nous vautrons l’un sur l’autre unis par tous les pores de notre peau, nos mains s’égarent écartant nos fesses, nos bouches grandes ouvertes absorbent, lèchent nos membres gorgés de sang. Je suis bien, jamais caresse ne m’avait fait cet effet jouissif, je me branle nerveusement dans le doux calice humide de la bouche de Pépita ; elle aussi semble bien si j’en crois les mouvements désordonnés de sa croupe, les écartements incontrôlés de ses cuisses et quand j’ose d’un petit doigt mouillé pénétrer son petit trou, elle se déchaîne s’agitant sous moi comme une folle et je me sens transpercé à mon tour.

Je sens, pour la première fois, que je vais jouir en dehors de mes doigts quand je me branle, cela est incomparable, mon membre est aspiré, serré, bien au chaud, il coulisse onctueusement de toute sa longueur dans le délicieux calice ! Pépita semble experte en la matière, sa main astique ma verge pour mieux la présenter à sa bouche, je sens ses lèvres serrées sur moi aller et venir sur ma hampe bandée à l’extrême, à l’intérieur de ce doux cloaque sa langue s’enroule et quand elle déglutit mon membre sa muqueuse en pointe agace mon gland par-dessous à l’endroit le plus sensible là ou la peau de mon prépuce s’attache encore.

Dans notre folie nous roulons l’un sur l’autre, nos corps enlacés, une fois dessus une fois dessous, rivés l’un à l’autre nous nous agitons si fort qu’à un moment nous nous retrouvons par terre allongés sur le tapis de haute laine mais toujours membres en bouches. A cet instant j’avais réussi à planter profondément ma langue dans la chatte de ma sud-américaine qui gémissait d’autant que ma verge implantée dans sa bouche le permettait. Je l’entendis cependant bredouiller.

« Baise-moi coquino,moi très envie de toi ! »

Elle m’abandonna un instant et je fus pétrifié de la voir se mettre à genoux m’offrant sa croupe relevée, les cuisses écartées. La vue de ses fesses magnifiques dans l’écrin sombre du porte-jarretelles et des bas montant haut sur ses cuisses. Elle avait un vrai cul de Brésilienne et je l’imaginais frétillant au rythme endiablé de la samba. Je voyais comme dans un rêve la raie de ses fesses bien dégagées avec au fond son petit anus bistre, froncé et plus loin les grosses lèvres imberbes de sa chatte entrouverte comme une grosse mangue bien mûre dégoulinant de son miel.

C’est une chose de se branler en regardant des revues érotiques et celle de se trouver nu à genoux devant la croupe impatiente d’une vrai femme qui demande à être honorée. J’étais comme fou, ma verge énorme dressée, horizontale, je m’approchais prenant Pépita par ses hanches graciles, ma verge entre ses cuisses, mon gland décalotté entre ses lèvres intimes.

Il était temps pour nous deux, avec ma main je me centrais sur elle qui gémissait et d’un coup comme au carnaval de Rio ces fesses, couleur café au lait, se mirent à s’agiter, à onduler, à vibrer à un rythme endiablé, ma queue entraînée dans une danse folle dans la commissure de ses fesses. J’étais envoûté par ce spectacle et j’en aurais oublié le principal : baiser ce beau cul qui s’agitait en tout sens et qui se dérobait. Ma queue émoustillée toute arquée vers le haut par le plaisir cherchait son chemin guidée heureusement entre les deux lobes divins.

je m’enfonçais en elle, dans sa chatte brûlante jusqu’au fond, mon ventre sur ses fesses. Ce fut fulgurant, Pépita poussa un grand cri et mon membre fut entraîné dans un ouragan. Je compris qu’elle jouissait déjà, elle ondulait tordant ma queue qui allait et venait en elle en l’attirant vers moi mes mains sur ses poignées d’amour. Pour maîtriser un peu son agitation je me penchais sur elle et lui pris ses seins qui dodelinaient, pantelants, un dans chaque main et les pressais durement en titillant leurs pointes raidies par la jouissance.

Nous restèrent ainsi, une éternité, l’un dans l’autre, Pépita se laissait faire sans bouger maintenant, se contentant des pénétrations de ma verge, chacune d’elle lui tirait un cri, puis un gémissement quand ma queue la fourrait, rythmé par le claquement de mon ventre sur ses magnifiques fesses. Que s’était bon de baiser ! Que j’aimais çà de voir ma queue entrer et sortir de cet écrin merveilleux et complice, voir mon gland replonger en écartant les lèvres de sa chatte béante et inondée.

Mais d’un coup l’agitation la repris ; les mouvements de sa croupe devinrent apparemment incontrôlés, je sentis ses seins se raidir, leurs pointes se durcir, la plainte continue avant de devenir un long cri. Son vagin se mit à s’ouvrir spasmodiquement, devenant dur, étranglant mon membre d’un coup prisonnier au fond de sa chatte. Ce fut le coup de grâce pour moi, je sentis le plaisir monter de mes entrailles, s’engouffrer dans mon membre et jaillir en jets puissants inondant son utérus en butée sur mon gland. Mon orgasme se joignit au sien dévastateur, je sentais ma semence remonter dans sa vulve autour de ma hampe facilitant mes va et vient furieux pour gicler inondant mon ventre et ses fesses.

Je la fis se tendre plusieurs fois avant qu’elle ne s’écroule m’entraînant encastré derrière elle. C’est elle qui se dégagea et elle me fit face, nue, radieuse et se jeta dans mes bras, ses seins sur mon torse, elle me tendit ses lèvres et je l’embrassais captant sa langue. Le calme revint en nous caressant tendrement

« Tu m’as bien fait jouir, merci mon chou.. »

« Moi aussi j’étais bien, tu es la première… »

Elle n’eut pas l’air de comprendre qu’elle resterait pour toujours dans ma mémoire.


C’est alors que parut de sa cuisine, ma belle rousse, elle était resplendissante dans son déshabillé vert à la couleur de ses yeux. Sans plus m’occuper de Pépita qui récupérait assise sur le divan, je m’avançais vers Josette qui m’ouvrit ses bras, en souriant elle me susurra :
« J’espère que tu vas bien t’occuper de moi maintenant ! je vois qu’avec tout ce que tu as fait à Pépita tu bandes encore »
Et sans ajouter un mot elle me prit ma verge dans sa main droite en serrant légèrement ses doigts sur ma hampe.

J’étais dans tous mes états quand je l’enlaçais. Elle me tendit ses lèvres, j’approchais les miennes pour un tendre baiser puis bouches ouvertes, toutes papilles dehors commença la première pénétration, la plus tendre, qui en annonçait bien d’autres plus fougueuses, plus profondes, plus jouissives.

Durant ce baiser que nous faisions durer à plaisir je passais ma main sous son déshabillé qui ne demandait qu’à s’ouvrir. A part une adorable petite culotte jaune à volants noirs qui moulait ses fesses que je connaissais sans les avoir vues, elle était complètement nue et ce qui m’apparut en premier c’est une magnifique paire de seins.

C’est Josette qui se débarrassât de cet ultime rempart pour se livrer, ouverte à la caresse de mes mains. Je l’enlaçais, une main entre ses fesses sur son slip, l’autre sur sa poitrine opulente. Elle avait des seins splendides, gonflés par le désir qui la tenaillait, ils se dressaient ronds et fermes avec des petits tétons roses haut placés. Délaissant sa bouche, j’en pris un entre mes lèvres tandis que je pelotais l’autre. J’avais du mal à le saisir en entier tant il était gros, il avait peine à tenir dans ma main qui le pétrissait

« Plus fort mon chou ! » me dit elle dans un souffle. Manifestement elle appréciait mes caresses et cela me guida pour m’occuper de ses deux nichons, avec mes deux mains cette fois, avec ma bouche, avec le bout de mes doigts. Josette ondulait en geignant, manifestement le plaisir montait et j’étais heureux. D’autant que maintenant sa main serrait nerveusement ma verge en me branlant doucement et moi aussi je sentais une sorte de fourmillement dans ma queue bandée et mon gland décalotté.

Avec mes deux mains je serrais sans ménagement cette fois, comme elle semblait aimer, ses miches, symétriquement ; d’un coup de langue je lapais les deux tétons voisins et je les vis se raidir en s’allongeant. Josette commençait à se tortiller contre moi et elle avançait son ventre pressant ma verge dressée contre lui. De ses mains libres maintenant, elle aussi me caressait explorant mon corps, mes seins, mes fesses surtout.

Toujours debout, je glissais une main entre ses cuisses, son slip était mouillé et je cru bon sans le lui enlever de rabattre ma queue et de la glisser dans la petite lucarne de l’entre- cuisse en commençant un petit va et vient ? L’étroitesse des lieux sublimait les sensations, dans ma queue et sans doute dans la chatte de Josette qui serrait mon pieu entre ses cuisses. Nos étreintes devinrent agitées, serrés l’un contre l’autre, nos mains baladeuses, nos baisers furieux, je lui embrassait sa bouche, je mordais ses seins et la chair tendre de ses épaules, avec ma langue en pointe dans le pavillon de ses oreilles je la fis glousser de surprise.

Ses jambes ne la portaient plus, manifestement je l’avais amenée à l’orée du plaisir. Là où la moindre caresse allait la plonger dans l’orgasme, elle ouvrait ses cuisses comme pour quémander une bonne pénétration. Manifestement elle n’en pouvait plus et je devais la soutenir.

Il fallait que je fasse quelque chose ! La baiser c’est ce qu’elle voulait, moi aussi ! Je la guidais vers le divan où depuis un moment Pépita nous observait en se caressant la chatte. Je la plaçais sur le côté du canapé, les fesses à hauteur d’un des accoudoirs et la serrant par la taille je la renversais, le dos sur la banquette, les fesses bien relevées à bonne hauteur et lui écartant ses cuisses relevées je m’insérais dans leur merveilleux compas, mon membre sur sa culotte.

J’allais prendre ma bite en main pour satisfaire Josette en plantant mon membre dans cette chatte offerte. J’aurais sans doute dans un premier temps écarté le petit bout de tissu trempé qui la masquait encore quand je sentis près de nous la présence de Pépita
« Je vais aider pour vous bien jouir, laissez faire, moi aimer faire çà ! »
Et sans attendre mon approbation, Josette étant hors d’état de donner son avis elle s’agenouilla derrière nous, accroupie entre mes jambes, ses mains libres d’agir sur nous. Elle était aux première loges, le nez pratiquement sur mes fesses le regard dans l’entre cuisses de Josette qui commençait à s’impatienter
« Baise- moi ! Baise-moi « disait t’elle dans un souffle, son visage tourmenté par le désir qui la submergeait.

Je sentis qu’on me prenait par les couilles, une caresse appuyée en passant avant de saisir ma verge. Dans le même temps je vis la culotte jaune de Josette tirée vers le haut découvrant les fesses d’abord, puis les grosses lèvres de la chatte à moitié cachée par une fourrure abondante, rousse et frisée. Cette adorable petite culotte restant distendues à mi cuisses écartées sur l’accoudoir et que je maintenais à deux mains par dessous.

Je sentis qu’on me guidait la verge. L’autre main de Pépita passée elle aussi dans l’arc de nos cuisses préparait le terrain en lissant les poils de la chatte de Josette pour dégager sa raie. Je ne peux vous décrire la sensation que j’éprouvais à cet instant quand une main sur ma hampe guida mon gland dans la boursouflure rose, quand elle le centra entre les lèvres intimes qui s’ouvrirent sous sa pression, quand on me força, en avais-je besoin ? à m’enfoncer dans cette chatte enfin satisfaite faisant aller et venir mon membre énorme de toute sa longueur dans la chatte en fusion de Josette.

Ce fut de la folie lorsque que je sentis la bouche de Pépita me gober mes couilles, une à une, l’une après l’autre, en les aspirant après les avoir enduites de salive comme un serpent engamant sa proie vivante. Avec sa bouche sur moi c’est elle qui donnait le rythme et l’ampleur des pénétrations, pour notre bonheur à tous les deux devenus ses objets. Josette jouissait depuis longtemps et moi j’essayais de me retenir pour faire durer.

Vous voyez le tableau, le visage de pépita, ses mains sur nous soucieuses de nous faire jouir. Quand elle faisait sortir ma verge de son écrin elle s’avançait bouche grande ouverte , langue en pointe pour sucer la chatte de Josette et puis avant de guider à nouveau mon gland dans sa chatte en abaissant ma queue elle la prenait dans sa bouche. J’allais jouir, ne sachant plus où j’étais le mieux dans la vulve de Josette ou dans la bouche de Pépita. Ce fut elle qui décida alors que je pistonnais Josette je sentis qu’un doigt en vrille entrait dans mon cul mouillé de salive.

Ce fut trop, je sentis le plaisir monter des profondeurs et me submerger d’un coup. J’inondais à fond la chatte de Josette qui criait son plaisir et il me sembla que son petit cul était lui aussi honoré sous ma queue.
Je n’étais pas au bout de mes surprises quand je sentis qu’on présentait mon gland à l’étage en dessous. Apparemment préparé par un doigt je n’eus aucun mal à entrer dans ce monde des ténèbres, je ne devais pas être le premier car je fus à mon aise tout de suite, un peu plus serré que dans la chatte. Je n’en croyais pas mes yeux de voir ma verge aller et venir dans le derrière de Josette et quand malencontreusement je l’en sortais, le trou béant sans fond de son cul à la mesure de mon membre me donnait le vertige, moi qui quelques heures auparavant n’avait jamais connu de femmes.

Pour mémoire Pépita vint prendre un dernier petit plaisir de concert avec nous en venant se faire sucer la chatte, accroupie sur la figure de Josette.

Nous nous revîmes de nombreuses fois par la suite et ce ne fut pas triste.

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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Transports peu communs

Le 27/04/2021 - 13:58 par gentlman3324
Superbe histoire, bon scenario, belle écriture, résultats à la hauteur!! bravo!
Le 17/09/2015 - 17:17 par NOUS78200
bonne histoire qui rappelle des souvenirs de frottements dans le metro mais pas a ce point la helas
Le 03/06/2014 - 22:19 par Toulousain
Tres agreable histoire, dommage que je n'ai jamais eu l'occasion de faire ce genre de rencontre.
Le 25/06/2012 - 18:40 par jeanmimel
excellent, cela donne bien envie de prendre le metro..
Le 14/10/2010 - 12:00 par Pierre le Grand
Merci Choutex, merci Julie, merci mysterjuju,merci à tout mes lecteurs et lectrices pour vos commentaires, cela m'encourage à poursuivre l'écriture de mes histoires déjà nombreuses sur le site. A bientôt pour: Elle se fait jouir toute seule
Le 10/10/2010 - 13:45 par Choutex3
Encore une histoire vraiment excitante ! Toutes mes félicitations pour tes nombreux talents ! Gros bisous ! J'attends toujours ta prochaine histoire avec une très grande impatience !
Le 21/09/2010 - 16:40 par julie94
Cher Pierre c'est la première histoire que je lis sur le site au top vote j'avoue avoir bien joui et je vais me précipiter sur ta deuxième qui a l'air bien aussi à en croire les première phrases. Du 94 je vais prendre le métro aux heures d'affluence pour mettre tes conseils en pratique
Le 05/08/2010 - 11:37 par mysterjuju
ouaw j'avou avoir envie de prendre le metro maintenent et je ne regarderai plus jamais comme avant les hommes qui se frotterons a moi !!!!!
Le 12/02/2010 - 10:03 par Pierre le Grand
Merci à vous toutes pour vos commentaires élogieux, cela m'encourage et j'espère que d'autres commentaires viendront s'ajouter à cette histoire et aux autres sur ce site
Le 02/02/2010 - 00:18 par TanyaSweet
Hummm... si seulement ça pouvait m'arriver... faudrait d'abord que je prennes le métro et qu'il y en ait un dans ma ville... en tout cas félicitations!! Cette histoire est particulièrement excitante et très bien écrite!!
Le 28/01/2010 - 09:32 par Decibel
Très belle narration ... bravo pour cette expérience très érotique !
Le 26/11/2009 - 15:50 par elie
je regette qu'il n'y est pas de metro chez moi !!!!! continue j'ador te lire
Le 25/11/2009 - 23:29 par lyna
cette histoire ma bien titillé!! je ne regarderais plus le métro de cette maniére!! surtout quand un mec se colera a moi!! kisss continue c super

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