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Trio pour un anniversaire

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 06/03/2024

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Aujourd’hui, j’ai trente huit ans, et suis toujours aussi séduisante qu’à vingt ans. D’ailleurs, les collègues qui gravitent autour de moi, lors du pot que j’offre au bureau, ne si trompe pas. Ils aimeraient bien passer une nuit à baiser avec moi, plutôt qu’une nuit maussade dans les bras de leurs épouses.
Mais voila, j’aime mon mari, et lui suis fidèle.
Ce soir-là, il était venu me chercher à la sortie de mon travail, en rentrant d’une réunion. Son regard plein de malice laissait entrevoir une espièglerie dont il a le secret. Il m’embrassa, Je fus surprise qu’il ne souhaite pas mon anniversaire, se contentant du baiser habituel.
- Bonsoir ma chérie, tu n’es pas trop fatiguée ?
Ces mots glissés à mon oreille alors qu’il m’enlaçait tendrement, j’adorais.
- Où veux tu aller ? manger quelque part, rester à la maison ?
Après une journée éprouvante, j’étais heureuse de le retrouver. Alors je lui dis simplement qu’il m’emmène où il avais envie. Et tel un sabre qui fend le ciel, je vois son visage s’éclairer, ses yeux pétiller, un sourire élargi jusqu’aux oreilles. Sur un ton absolument satisfait, il rétorque.
- Alors là, ma chérie, c’est parfait. j’adore quand c’est moi qui prend les commandes et t’emmène où je veux.
Je sentais une pointe de provocation, de jouissance prémonitoire, une sorte de «Hum » étouffée. Il me serre dans ses bras, approche ses lèvres de mon oreille, comme si personne ne devait entendre.
- Ma chérie, tu sais que tu es belle ? Ce soir, laisse toi aller. Je veux que tu te détendes, je veux ton plaisir. J’ai le droit de faire tout ce que je veux de toi, tu es d’accord ?
L’espace de quelques secondes, je fus prise d’inquiétude, je sentais mon cœur battre dans ma poitrine. Je m’éloigne un peu de lui pour mieux le regarder fixement.
- Mais de quoi tu parles ? Lui dis-je l’air pas vraiment approbateur.
Son sourire redoublait de tendresse, d’amour inconditionnel et gommait rapidement ma question restée sans réponse. Je n’avais pas envie de l’entendre d’ailleurs.
- Viens, mon amour.
Il m’accompagnait à la portière de la voiture, se mit le volant. Il n’était pas rare qu’on ne s’arrête dans une clairière sur le trajet, pour faire un petit câlin. Il me caressait la chatte, tandis que je lui prodiguais une douce fellation. Afin de ne pas tacher les sièges, j’avalais tout, pour mon plus grand plaisir, et pour le sien.
Ce soir, pas d’arrêt. Nous avons rejoint la maison une trentaine de minutes plus tard.
Dès le seuil de la porte franchi, il me place devant lui, pose ses mains sur mes yeux, me conduit à travers la pièce. J’entends une porte s’ouvrir.
- Voilà, ma chérie, tu le voulais, tu l’espérais comme un fantasme. Il est là…ouvre les yeux.
J’ouvris donc les yeux et…stupéfaction. Devant moi, un superbe Golf cabriolet jaune. Je ne trouvais pas mes mots, j’avais les larmes aux yeux.
- Bon anniversaire ma chérie. Il te plaît ?
- Mais tu es fou. Il est magnifique. Merci, merci mon amour. C’est exactement celui dont je rêvais. Moi qui pensais que tu avais oublié...Je l’essaie ?
Il me retient.
- Demain ma chérie. Va prendre ta douche, j’ai une autre surprise pour toi…
Il me retourne en face de lui, pose son index sur mes lèvres.
- Chut ! allez file.
De la salle de bains, je l’écoutais préparer le repas, il était vraiment aux petits soins pour moi. Je m’habille simplement, pantalon de toile, tee-shirt jaune, la couleur de la « Golf », les dessous qu’il m’a gentiment offert. Je brosse mes longs cheveux et le rejoins. Il est allé jusqu’à dresser une jolie table. Il fait lui même le service. Son sourire radieux, ses yeux pétillants, son regard caresse le mien.
Nous dînons. Il tend son verre pour trinquer.
- A ta santé, ma chérie, que cette soirée soit inoubliable.
Ma curiosité est à son comble.
- Mais dis moi ce que tu as prévu au moins ?
- Euh ! je vais simplement te donner un indice. Je vais assouvir l’un de tes fantasmes. Il se lève, me prend par la main, s’arrête dans le hall d’entrée, sors de sa poche, un foulard de soie qu’il me montre, et sans mot dire, me bande les yeux. Je n’ai pas eu le temps de lui poser la moindre question qu’il pose une nouvelle fois son index sur mes lèvres.
- Chut », ce moment est à toi, laisse toi aller.
Mes mains dans les siennes, il me conduit près du canapé, m’enlace tendrement, dépose un baiser sur mes lèvres et me chuchote à l’oreille.
- Viens ma chérie.
Des frissons envahissent mon corps de mes épaules à mes jambes. Je sais ses caresses, il connaît les courbes de mon corps sur le bout des doigts.
Je ne sais où il m’emmène mais je le suis avec confiance. Il m’invite à m’asseoir sur la banquette puis d’un geste délicat m’allonge sur lui. Il sait que j’adore cette position. J’ai l’impression d’être sur un cours d’eau, il est la barque qui m’entraîne au fil de l’eau. Déjà ses mains enlacent ma taille, passent sous le tee-shirt, tout en effleurant mon nombril, rond point de mes émotions. Je suis bien, j’aime sa présence aimante, rassurante. Alors délicatement, il soulève mon tee-shirt, le remonte juste au dessus de ma poitrine qu’il caresse de son index, la contourne l’apprivoise. Il sait que mes seins sont sensible à ces caresses-là, il s’en amuse, s’en délecte. Mon corps se cambre, ma tête en arrière sur son épaule, mes lèvres près de mon oreille.
- Tu es belle, tu es à moi, je te veux à moi mon amour.
Puis ses mains se font plus hasardeuses, déboutonnent mon pantalon, descendent la fermeture. Je devine son regard pointer sur mes seins, mon ventre.
Sa main droite longe l’une de mes jambes, caresse mon genou et descend à l’intérieur de ma cuisse jusqu’à finir son chemin sur mon intimité. Elle reste là, douce et ferme à la fois, elle s’impose.
De son autre main, il écarte mes cuisses afin que sa jambe se faufile entre les miennes. Mon bassin ondule sur sa cuisse musclée qui me retient ainsi. Ses mains se rejoignent sur mon nombril, remontent sur mes seins qu’elles enveloppent entièrement, puis descendent, descendent encore jusqu’à parvenir à ma culotte. Ses doigts bien à plat sur mon ventre se frayent un passage. Je les sens, ils me troublent. Une caresse succède à une autre, inlassablement. Mon corps fébrile se détend s’apprête à s’offrir à lui, à son désir, il le sait, il le sent. Il me le montre par une caresse appuyée sur mon sexe alors que sa jambe me retient.
On dirait que ses mains déposent un voile de couleurs, caresses de plumes pour dessiner mes soupirs. elles deviennent étoiles au creux de mon arc-en-ciel.
Curieusement, je le sens partout, presque en même temps sur ma poitrine, mes jambes, mes hanches, comme si plusieurs mains effleuraient ma peau.
Une onde venant du creux de mes reins soulève mon corps qui ondule, mon bassin s’écrase sur le sien, mes seins sont tendus, gorgés de désir. Il ne les lâche pas. Son autre main posée sur mes lèvres intimes, me rappelle que je lui appartiens, qu’il me veut à lui, toute à lui. Cette idée me plaît.
Mon visage tourné vers le sien, je lui réclame encore ses caresses. Il prend mes lèvres entre les siennes, cherche ma langue, la veut, il la lèche, la suce. Je sens son désir dans le creux de mes reins, ses mains qui me plaquent à lui. Elles voyagent de ma poitrine, à mon ventre, de mes cuisses à mon sexe. L’un de ses doigts écarte ma petite culotte, caresse mes lèvres, mon clitoris. Je ne sais plus où sont ses mains, ses lèvres, mon corps s’éveille de plus en plus. Puis, il soulève légèrement ma tête, décide d’enlever ce petit foulard, mes yeux restent fermés encore un instant puis s’ouvrent doucement, se referment, s’ouvrent et d’un coup restent grands ouverts, mon corps observe un élan de recul, ma tête se cale près de la sienne, mes mains pétrissent les siennes...j’ai compris.
A quelques mètres de moi, se tient un homme, un inconnu. Il me sourit, il s’approche un peu plus, perçoit ma gêne, mes craintes. Je le dévisage. Il porte un pantalon noir, une chemise blanche, il est grand, cheveux courts, c’est un bel homme, mon cœur bat la chamade. Il est black. Je regarde mon mari sur lequel je suis allongée, l’interrogeant du regard, il me sourit lui aussi et me dit doucement. « Ma chérie, ce soir, nous allons vivre ton fantasme ensemble, je suis là près de toi, je veux être là pour ressentir tes émotions, tes frissons, ton plaisir ».
Mon regard ne peut se détacher de l’intrus qui est devant moi, son sourire, ses dents blanches, sa peau ébène. Doucement, il s’approche en me souriant.
Je me demande depuis quand il est là. C’est alors qu’il pose ses mains sur mes jambes. Ses longs doigts effilés sur ma peau blanche sont d’une douceur incroyable. Il approche l’une de mes jambes de sa bouche, ses mains ne cessent de prodiguer des divines caresses. Ses lèvres généreuses déposent un long baise sur la plante de mon pied. Il observe mes réactions, le moindre de mes frissons. Il lèche mon pied qu’il a posé sur son épaule, ma cheville, mes orteils. Ses mains remontent lentement jusqu’à ma cuisse..Une jambe, l’autre jambe.
Ses gestes sont doux, précis. Il s’agenouille devant moi, replace mes jambes sur les cuisses de l’homme sur lequel je suis allongée. Il joue avec ses lèvres qui montent et descendent le long de mes jambes, mes cuisses, mes chevilles jusqu’à se poser délicatement sur ma féminité
Ses baisers deviennent plus insistants, ils virevoltent en mordillant le tissu de ma culotte qu’il étire avec ses dents. Pas un centimètre de ma peau n’est oublié. Ses mains noires remontent sur mon ventre, ma poitrine qu’il effleure pour la première fois. Un premier soupir, mon corps s’allonge, il ouvre les yeux, me sourit.
Il me respire, je sens son souffle. Sa langue écarte ma culotte accompagnée de l’un de ses doigts. Il pose ses mains tout en haut de mes cuisses en les ouvrant encore un peu. Sa bouche vient se poser sur ma chatte, ses lèvres entrouvertes, sans bouger quelques secondes, puis sa langue commence alors des doux va et vient, cherchant à remonter lentement le long de mes lèvres intimes, jusqu’à mon clitoris qu’elle contourne, jusqu’à déposer à nouveau mille baisers sur cette perle de plaisir. Il cherche encore ce petit bouton du bout de sa langue, il le titille en faisant le tour, l’aspire délicatement, le mordille presque, sa langue tantôt insistante ou légère, puis elle s’éloigne un instant.
Mon bassin ondule, mes reins se creusent, mes mains serrent fort celles de celui que j’aime, l’homme de ma vie. Pourtant à cet instant précis, il lâche mes mains, caresse mes seins, mon ventre, et ses doigts se faufilent de part et d’autre de mes hanches pour descendre doucement ma culotte. Je le regarde, il me regarde, ses yeux fixés dans les miens. L’inconnu passe ses mains sous mon bassin, qu’il fait les glisser sous mes fesses, en même temps qu’il enlève délicatement le dernier rempart cachant mon intimité. Je suis nue, offerte à deux hommes.
Ma sensualité est en éveil, et suis impatiente, alors que je devrais trouver cette situation gênante, indécente. Mon corps se heurte à mon esprit, mais il veut plus.
L’homme qui m’aime et me permet de vivre cet instant est attentif, ses mains sont là, toujours à apaiser mes craintes ou accompagner mes frissons. Mon regard est rivé sur cet inconnu qui se met debout devant moi.
Il quitte sa chemise blanche, enlève la ceinture de son pantalon, se retrouve en boxer blanc. Le contraste avec sa peau me trouble. Son visage est souriant et tout en me regardant fixement, il se met nu. Il revient s’accroupir devant moi, désireux de s’occuper encore de ce délicat bouton qui provoque chez lui une érection non dissimulée. Ses mains caressent mes cuisses, remontent vers ma fente. Un doigt, puis deux en forcent l’accès..
Je frémis. Ses doigts légèrement tournés vers le haut à la recherche de l’endroit mystérieux du plaisir, ses lèvres emprisonnent mon clitoris. Ma respiration est de plus en plus courte, mon corps s’ouvre à cet inconnu, il le sait, il le sent. Alors il se met debout, approche son sexe du mien. Je regarde sa taille, m’aperçois qu’il a d’autres atouts que mon mari, et doute qu’il puisse me pénétrer.
Il essaie, ma chatte s’ouvre mais pas suffisamment. Il n’insiste pas, revient à mes genoux, et comme un fou avec une fougue inouïe, ses lèvres me dévorent, sa langue s’active à me donner du plaisir. Son regard tourné vers moi me dit qu’il n’arrêtera pas. Mes mains cramponnent celles de mon mari que j’aime.
Ses dents provoquent mon clitoris, impudiquement. Mon bassin se rétracte, ou au contraire s’offre à lui, je ne sais plus. Je sens ma chatte s’ouvrir, et en profite pour l’ouvrir davantage avec ses doigts.
Le plaisir monte en moi, au creux de mes reins, couvert par de sourds gémissements, puis ma respiration s’est accélérée, je ne contrôle plus rien. Il remonte sur moi, place sa queue entre mes seins, fait des va et viens. Selon le mouvement, le gland est tout près de ma bouche. Je le fixe, n’en peut plus et l’engloutit.
J’entame alors une douce fellation, qui n’ira pas à son terme, il se retire, se positionne entre mes cuisses. Je suis déçu, j’aurai tant aimé goûter son sperme.
Il me pénètre doucement, profondément. Son énorme bite envahit mon ventre, jusqu’à presque m’empêcher de bouger. Les mains de mon chéri retiennent les miennes. Cet inconnu me fait l’amour lentement, de va et vient incessants. Je ne peux plus m’empêcher de pousser un profond gémissement de plaisir. Puis il a accéléré le rythme, un doigt sur mon petit bouton. Une nouvelle vague de plaisir m’envahit. Tous les muscles de mon corps son brusquement engourdis, comme anesthésiés. Ma respiration se fait haletante, mes seins dressés vers le ciel, ma chatte se contracte, je sens des fourmillements dans tout mon corps..
Mon plaisir est intense, prêt à exploser. Je flirte avec l’orgasme qui m’emporte dans un cri qui résonne dans la pièce. Je tremble, mon corps entier tremble. Je suis fébrile, une vague de frissons plus doux provoque des petits spasmes. J’ouvre les yeux, vois sa queue se retirer de moi, après s’être copieusement vidée de sa semence. Il revient à nouveau, mais change de trajectoire.
Je regarde mon mari.
A mon regard apeuré, il comprend mon désarroi, et d’un geste, repousse l’homme afin d’éviter une sodomie certaine, et dans laquelle j’étais consentante.
Le bel inconnu n’insiste pas, me sourit, heureux d’avoir mis le feu en moi, et avoir su profiter de mon corps.
Il dépose un tendre baiser sur ma chatte encore mouillée de nôtre plaisir.
- Bon anniversaire madame, et s’éclipse.
Je reste seule avec l’amour de ma vie. Ce sont ses mains qui m’enveloppent désormais. Je le regarde, souriante, émue, épuisée. Ses lèvres prennent de nouveau possession de mon corps, il glisse à mon oreille.
- Ma chérie, tu m’appartiens, Je veux maintenant te faire jouir comme jamais tu n’as joui, parce que c’est moi et moi seul qui te fera l’amour.
Je n’ose lui avouer qu’il lui faudra être créatif pour atteindre son but, afin de me satisfaire, comme cet inconnu l’a fait. Il m’a aimé, le l’ai aimé, il m’a possédée.
Sa façon de me baiser, la façon dont sa queue m’a pénétrée, m’a apporté un plaisir, et un orgasme dont j’ignorais l’existence, et que ne j’avais jamais connu à ce jour.
Un besoin effréné de dire « je t’aime » à mon mari, comme pour le remercier de m’avoir offert ce plaisir insolite, et notre nuit d’amour a pris ce soir là une nuance différente. Nos corps se sont donnés, possédés puis reposés jusqu’au petit matin où notre envie est repartie de plus belle.
Mais mon esprit ne pouvais évacuer la relation que j’ai eu avec cet inconnu. Le désir était plus fort, la jouissance plus torride, plus intense.


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Commentaires du récit : Trio pour un anniversaire

Le 09/03/2024 - 22:45 par Jacques du Canada
J’ai aimé la complicité dans le couple. La vie nous fait vivre de joyeux moments. Il faut les apprécier au moment de leurs réalisation. Bien souvent la répétition ne crée pas le même effet. J’ai toujours trouvé que vous aviez une tendance à l’humiliation de votre conjoint dans vos récits. Dans celui-ci elle était moins apparente mais toujours présente. Ça doit être dû à votre enfance!
Le 06/03/2024 - 16:42 par valeriane
Bonne gourmande, hum

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