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une vie pas si banale avec une femme très deandeuse

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 07/05/2024

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Maintenant que je suis pensionné et malheureusement veuf depuis plus d’un an, j’ai envie de vous raconter, comme si j’y étais encore, les grandes lignes de notre vie sexuelle. Je me fiche de savoir si vous me croyez ou pas et aucune vantardise de ma part.

J’ai rencontré ma future femme, fille d’agriculteur, lors d’un bal, elle avait tout juste dix-sept ans et moi 19, issu également du monde agricole. Je l’ai immédiatement aperçue quand elle est entrée, pour moi elle avait un joli visage (un petit air de Chantal Nobel) et cheveux châtains clair sur les épaules, jupe assez courte avec de très belles jambes (oui c’était le temps des mini-jupes) et un chemisier blanc pour cacher son 90C avec les trois boutons du dessus non fermés, laissant voir son sillon entre les seins.

A chaque slow, je l’ai invitée à danser, elle acceptait avec un très beau sourire. Malgré ma très grande timidité, je lui plaisais apparemment et le courant passait bien, rendez-vous fut pris pour le bal du weekend suivant.


Elle était accompagnée de sa mère (et oui elle était mineur) et lors du premier slow de la semaine suivante, elle a croisé ses bras autour de mon cou et très vite elle a cherché mes lèvres et ouvert ma bouche pour passer sa langue. Je sentais ses seins nus sans soutien-gorge au travers de ma chemise. Sentant la réaction dans mon slip, elle s’est frottée à moi et à plusieurs reprises elle écrasait son bas ventre sur ma queue en érection.
Elle s’est écartée de moi et me regardait dans les yeux tout en poussant son bas ventre contre mon sexe en érection et me souris.

- C’est moi qui te fais cet effet en donnant encore un coup de bassin.
- Je souris et ne sais pas quoi répondre et puis je lui dis qu’elle est très belle.
- Merci, je suis flattée, tu me plais beaucoup aussi.

Elle approche ses lèvres des miennes et je crois qu’elle a voulu me faire sentir sa satisfaction, elle m’a enfoncé la langue très loin dans ma bouche et d’une main dans mon cou elle me pousse pour me coller à elle.

Pendant les slow suivant et je me souviens comme si c’était hier des trois musiques successives ( Marc Hamilton : Comme j’ai toujours envie d’aimer, Eagles : Hotel California et Wallace Collection : Daydream) sur la piste de danse bourrée comme un œuf, elle a passé sa main entre nous deux. Au travers de mon pantalon elle a empoigné ma bite toute raide et sa main s’est activée autour de ma queue. Elle a mis sa tête dans mon cou et murmurer à l’oreille qu’elle aime sentir un sexe tout dur. Sa main s’est activé d’une autre façon et elle a ouvert les boutons de ma braguette, plonge sa main dans mon slip et a empoigné ma queue en érection.

- Ta queue me plait déjà beaucoup, elle est très dure.

Je vous dis pas dans quel état je me retrouvais, pour moi c’était la première fois qu’une femme touchais mon sexe, oui j’étais puceau et à l’exception de ma masturbation, je ne connaissais rien au sexe féminin à l’exception d’avoir vu des seins dans un magazine. Et pour le reste j’ai vu à la ferme les différentes saillies, celle du taureau qui d’un seul coup de rein rentre sa queue dans la vulve de la vache et puis se retire, celle du cheval ou je vois encore mon père guider le long sexe de l’étalon vers la vulve de la jument et pour un record de durée le verrat avec sa queue en tire-bouchon, qui reste accouplé à la truie entre 10 et 20 minutes.

Elle a sortis ma queue de mon pantalon pour la diriger vers son entre jambe, puis elle a poussé son bassin vers l’avant. J’avoue être gêné de la situation, peur d’être vu mais excité au maximum d’avoir une autre main que la mienne autour de mon sexe.

- Tu n’as pas envie de sentir mon sexe ?
- Heuuu…Oui
- Alors n’hésite pas, j’ai envie de caresses.

Je passe fébrilement ma main sous sa jupe avec beaucoup de nervosité et première surprise l’entre-jambe de sa culotte est tout mouillé, étant novice, je suis un peu dérouté ne sachant pas l’origine de cette humidité.
Passant mon doigt maladroitement sur le côté de sa culotte, je sentais des poils et de la chaire humide.

- Pousse ton doigt entre mes lèvres, tu sentiras comme je suis chaude.

Et pour la première fois de ma vie j’ai introduit un doigt dans une chatte humide et mon impression était …waouh que c’est chaud, doux et humide.

La musique s’est arrêtée et rapidement j’ai remis mon sexe tendu au maximum dans mon pantalon sans avoir eu le temps de le remettre dans mon caleçon.
En retournant vers notre table, collée à moi, elle m’a demandé si j’ai déjà baisé, après avoir répondu par la négative, elle m’a dit qu’elle n’est plus vierge depuis plus d’un an et que c’est le fils du voisin, un divorcé de 30 ans qui l’a défloré.

- T’avais pas eu peur de tombée enceinte ?
- Non sa femme a eu son divorce car il est stérile et puis je prends la pilule.

Arrivé à notre table, je vois les yeux de sa mère dirigé vers mon entre-jambe, mon sexe faisait une bosse et sa mère m’a regarder en riant. Je vous avoue avoir été gêné.
Assis à table, Mireille avait également vu que ma queue était encore en érection et n’a pas trouvé mieux que mettre sa main dessus tout en malaxant. Elle a même passé un doigt entre deux boutons de ma braguette. Elle me caresse le frein et pincé ma bite. Je suis devenu rouge écarlate quand je me suis aperçu que sa mère avait vu la manœuvre et je me suis penché en avant afin de réduire la visibilité de ses attouchements.


Lors du slow suivant, au lieu de prendre place sur la piste de danse, elle m’a entrainé vers les toilettes. On s’est enfermé dans les toilettes dames et bien vite je me suis retrouvé avec pantalon et slip sur les chevilles. Elle avait également baissé sa culotte blanche et tant bien que mal elle a dirigé ma queue vers sa chatte mais ma bite n’entrait pas profondément et glissait souvent dehors.

Alors, elle m’a fait assoir sur la planche du WC. Elle m’a chevauché en guidant ma queue vers l’entrée de sa chatte et pour la première fois de ma vie, ma queue est entrée dans un fourreau très chaud et humide ou plus tôt trempée. Un vrai bonheur pour moi.

- Libère-moi les seins et joue avec.

Croyez-moi qu’elle a des seins magnifiques, comme dans les magazines, avec des beaux tétons bien érigés. Elle a commencé à balancer son bassin sur ma queue et sa respiration s’accélère.

- Pince moi les tétons, suce les, j’aime ça.

J’avais peur de lui faire mal, je roule ses tétons entre mes doigts et en pris un en bouche. Je me suis sentis comme un homme…un vrai… !
Au plus elle se déchainait sur ma queue au plus je sentais mes poils et mes testicules se mouiller et je n’étais pas rassurer quand sa respiration et ses gémissements sont devenus très forts.

- Tiens moi me dit elle

Elle s’est penchée en arrière, sa bouche grande ouverte, elle gémissait de plus en plus des ouiiiii c’est bonnnnn. Puis ses mouvements sont devenus plus lent mais plus longs et elle tremblait du bassin et ce n’est bien entendu plus tard que j’ai compris comment se passait un orgasme féminin…sa jouissance.

- Tu n’as pas éjaculé….. cela ne t’a pas plu ?
- Oui oui c’était très bon.
- As-tu déjà jouis dans la bouche d’une femme
- Heuuuu…non.

Elle s’est assisse sur la planche du WC, pris mon sexe tout mouillé et avala la totalité de mes quinze centimètres dans la bouche. Je voyais sa bouche faire disparaitre la totalité de ma queue, puis ressortir, sa salive coulait sur mes testicules. Puis elle ne prenait plus que mon gland en bouche et elle tournait tout autour. Elle suçait mon frein pendant qu’elle astiquait ma queue. C’était divin, je n’avais encore jamais ressenti une telle montée d’adrénaline, je me tendais de plus en plus, attrapé ses cheveux en main et dans un râle que j’essayai de contenir, ma queue se contractait de nombreuses fois et je vidangeais mon jus dans sa bouche et je l’entendais faire mmmm….mmmm

- Tu as aimé, m’a-t-elle demandé
- Oui et c’est pour moi la première fois.
- Dis donc il était temps de vider tes couilles
- Pourquoi ?
- Tu as éjaculé une quantité énorme de sperme, c’est à peine que j’ai su suivre pour avaler.

Je n’ai pas répondu car je ne comprenais pas très bien. C’est bien plus tard que je me suis rendu compte en voyant des films porno qu’effectivement j’éjaculais ce que l’on dit aujourd’hui…des éjaculations abondantes.


Puis nous sommes devenus fiancés et au soir, avant de se quitter, on se bécotait dans le hall d’entrée.
Comme on avait déjà essayé et sans résultats satisfaisant, à plusieurs reprises d’avoir un rapport debout face à face, elle m’a appris à la faire jouir en caressant sa chatte et son clitoris, elle était toujours sans culotte ce qui me facilitait la tâche. Elle me récompensait toujours par une bonne pipe en se masturbant la chatte. Et un soir sa mère est passée et elle a vu sa fille avec ma queue en bouche. Elle m’avait souris et mis son pouce en l’air. Quant à Mireille, elle continuait à me sucer sans se soucier de la présence de sa mère.

Sans vraiment se cacher, je voyais sa mère nous épier en laissant la porte entre-ouverte de la salle de bain. Je ne sais pas si c’est la peur ou le stress de cette situation mais je me souviens d’une jouissance comme je n’avais encore jamais eu. Je fermais les yeux, tenait la tête de Mireille entre les mains et d’un râle de jouissance je vidais mon sperme dans sa bouche. Et quand j’ai ouvert les yeux, sa mère se trouvait à deux mètres de moi.
J’ai même eu la voix coupée quand elle m’a dit et surtout que Mireille juste à ce moment enlève ma bite de sa bouche en murmurant et mettant sa main devant sa bouche.
- Je vois que tu l’as eu bon !!!

J’étais plus qu’écarlate et je ne m’étais même pas rendu compte qu’elle voyait ma bite circonscrite qui était encore bien raide.

Et ce fut une première pour moi, Mireille, sans se soucié de la présence de sa mère m’a roulé une pelle d’enfer avec mon sperme dans la bouche. J’avoue apprécier le gout de mon sperme.


Puis nous avons quand même eu notre première partie de jambes en l’air chez elle et ce sur une couverture étalée sur la paille dans la grange, c’est elle qui avait pris les devants. Elle m’a demandé d’enlever le pantalon et le slip, quant à elle laissait tombé sa jupe, sa chatte était nue. Assise sur le ballot de foin, elle m’a engloutit et sucé la bite et mis en super condition, avec ma queue qui pointait fièrement le ciel et qui me collait au ventre

- Couche-toi sur la couverture, je vais te montrer ma chatte

Pour la première fois j’ai eu l’honneur de voir de près et en détail une chatte. Elle m’expliquait, en écartant des deux mains ses lèvres vaginales, comment passer ma langue sur sa chatte et sucer son clitoris qu’elle me montrait du doigt.

- Passe ta langue ici, sens mon clitoris

Du bout de la langue j’ai sentis un bout de chaire un peu plus dur que le reste de sa chatte et elle me demandait de le sucer. Au plus je suçais son clitoris, au plus il grossissait et au plus elle écrase sa chatte sur mon visage et ma figure devenait de plus en plus mouillée.

- Rentre ta langue dans ma chatte, j’adore ça.

Je m’exécutais et cette découverte de chaire rougie et de filet de cyprine que je buvais, renfonçait encore ma bite. Pour finir ce n’était plus moi qui léchais sa chatte, c’était elle qui balançait sa chatte sur ma bouche. Je l’entendais geindre de plaisir avec des ouiiiiiiiiiiiii, que c’est bonnnnnn et encoreeeeee.
Puis, elle m’a chevauché en guidant ma bite et qui est entrée d’un seul coup au fond de sa chatte. Elle se balançait le cul sur ma bite avec sa bouche grande ouverte.

- Hoooo que c’est bon d’avoir une bite aussi dure dans ma chatte.

J’avais mis ses seins à nu, les suçait ou les pinçait comme je savais car ses mouvements étaient très forts, je me demandais même si elle savait que j’étais là tellement elle prenait son pieds. Agrippant mes mains qui occupais de ses seins elle me criait :

- Pince plus fort, fais sortir mon lait…. Fait les rougir

Et moi j’y croyais et comme je ne voyais rien sortir de ses tétons, je les pinçais encore plus forts en les étirant comme on fait lors de la traite manuelle des vaches et elle répondait par ouiiiii continue , comme ça…j’adore.

Tête et corps en arrière, je lui tenais les mains et elle gémissait de plus en plus. Je me suis demandé comment ma queue n’était pas encore sortie de sa chatte tellement elle se balançait sur mon pieu. Je me raidissais en poussant ma bite vers haut car je sentais la fin très proche. On aurait dit que le fait de me raidir lui procurait un autre plaisir car elle devenait hystérique avec ses ahhhhhhhhh et ses mmmmmm puis son bouquet final et le mien en même temps était des ouiiiiiiiiiiiiii que c’est bon , que c’est bonnnnnnnnnnnnn…
J’avais déjà fini de jouir qu’elle se balançait encore et toujours sur ma bite bien enfoncée dans sa chatte. Je voyais de la mousse blanche s’accumuler entre sa chatte et ma queue. Mais que j’étais fière quand elle m’a dit que je baisais bien et qu’elle aimait sentir ma queue très dure dans sa chatte

- Veux-tu voir ton sperme couler hors de ma chatte me demandait elle.

J’ai répondu que oui. Je vois apparaitre doucement ma queue toute trempée et quand elle est totalement sortie, elle s’est assisse sur ma bite en balançait son cul. Je vois sa chatte arrivé au-dessus de moi avec un long filet de sperme et cyprine entre ma bite et sa chatte et qu’elle a déposée sur mon visage. J’ai mis ma langue dans son minou mais très vite rentrer dans ma bouche car je devais avaler l’abondance de ce liquide visqueux.

- Suce mon clitoris, j’adore ça.

Je l’ai léchée et sucée un peu partout ne sachant plus où était exactement son clitoris. J’avais tendu la langue hors de la bouche et c’était elle qui bougeait. Je ne vous dis pas comme j’étais trempé du visage avec les flots qui sortait de sa chatte, je devais fermer les yeux pour ne pas en avoir dedans. Elle augmentait encore l’amplitude de son bassin, j’avais mal au visage, le nez qui entrait entre ses lèvres vaginales et elle gémissait de plus en plus avec beaucoup des ahhhhhhhhhhhhh et des ouiiiiiiiiiiiii, continueeeeeeeeeeee, ohhh salaud que c’est bon.

- Ho mais dit donc tu ne débandes pas.

Elle a déposé sa chatte sur ma bite et a recommencer a balancé son bassin sur ma queue et je voyais à chaque mouvement mon gland tout rouge apparaitre ainsi que son clitoris qui était devenu très visible

- Tu aimes mon chéri
- Oh oui c’est bon

Elle a légèrement remonté son postérieur et accéléré son balancement et réussi à me faire éjaculer de cette façon pendant qu’elle se payait encore un orgasme.

Si je vous raconte cette baise c’est tout simplement parce que je ne pourrais jamais oublier cette première fois. Je ne pouvais m’imaginer que baiser pouvait nous donner un tel plaisir.


Par la suite, ma future belle-mère nous a surpris plusieurs fois en train de baiser. Je me souviens encore de la toute première fois, j’étais couché sur le dos dans la grange (et oui encore dans la grange, difficile à l’intérieur de la maison car son père était toujours présent) sur un ballot de foin et ma fiancée me chevauchait. Puis elle me demande de la prendre par derrière et juste au moment que j’approchais ma bite qui pointait fièrement vers le ciel, j’ai eu une peur bleue de voir apparaître sa mère. Elle m’a fait un sourire et seulement dit que j’avais une belle queue.
Je vous avoue que ces paroles m’ont rassurée, j’ai baissé les yeux et mis ma queue dans sa chatte.

Sa mère me fait un mouvement du corps qui voulait dire que je devais empoigner ses hanches et faire un mouvement brusque de mon bassin. Mireille ne voyait pas que sa mère était encore présente.

Mireille s’est mise à geindre de plus en plus et elle m’a demandé de taper plus fort mon pubis contre sa chatte. Je sentais mes testicules balancer contre son entre-jambe. Puis je sentais sa main autour de sa chatte et elle touchait également ma queue. J’agrippais ses hanches au plus forts, ma bite me faisait mal tellement elle était dure. Quel bonheur pour moi de sentir ce flux de sperme traversé ma queue. Je n’osais plus bouger vu la sensibilité de mon gland alors que je contractais encore plusieurs fois mon dard afin de vider mes couilles et ce sous le regard de sa mère qui était restée dans l’entre porte de la grange, jupe relevée et elle se frottait la chatte.

Sortant ma bite de sa chatte, en veillant que ma belle-mère puisse voir ma bite (oui malgré ma timidité, je commençais à aimer la présence de sa mère) qui n’était pas encore flasque, j’aperçois Mireille poussé du cul et un gros flot de sperme s’est écoulée de son minou. J’ai passé mon doigt entre ses lèvres et plein de sperme je l’ai mis en bouche en regardant sa mère qui avait un orgasme.

Par la suite j’ai dit à ma fiancée que j’étais étonné qu’elle soit restée sans réaction lorsque sa mère nous a surpris et elle a répondu qu’elle aussi l’avait déjà épié plusieurs fois sa mère en train de baiser avec Firmin,….eh oui le voisin se tape la mère et la fille que vous lirez plus loin dans ce récit.


Avec le mariage, ma femme est devenue fermière dans la ferme parentale à temps plein et moi je travaillais en entreprise avec un régime de travail à pause, matin, après midi et nuit, donc je suis toujours une demi-journée à la ferme pour l’aider

Elle était réglée le jour du mariage et elle est tombée enceinte quelques mois après avoir arrêté la pilule et son appétit pour le sexe s’était encore décuplé. Ces baises que je qualifierai de bestiales le jour d’aujourd’hui étaient pour moi quelque chose que je croyais normale, vu mon inexpérience. Baiser deux à trois fois par jour étaient monnaies courante et je croyais que c’était ainsi dans un couple. Et je me dis en ce jour que malgré ma timidité je m’en étais très bien sortis et que Dieu merci, que mon organisme me l’avait permis pendant de très nombreuses années surtout que je lis qu’actuellement les couples ne font plus aussi souvent l’amour qu’avant.

La suite si mon histoire vous intéresse.

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Histoire de Bonnet

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