Trop belle pour moi

J'ai tout juste vingt ans et je vis toujours chez mes parents. Ces derniers ont un couple d'amis dont le mari a fait fortune dans l'Internet. Il est marié depuis 5 ans avec une femme superbe, ancien mannequin elle a aujourd'hui 39 ans. Je ne manque jamais une de ses venues à la maison et depuis que je la connais elle est devenue un fantasme permanent pour moi. Il faut dire qu'avec son mètre quatre vingt, ses longs cheveux blonds et son corps de rêve, elle a dû être et est encore un fantasme pour beaucoup d'hommes!!

Un jour où son mari et elle étaient venus dîner à la maison, la discussion tourna autour des vacances et des jobs d'été pour moi. Roland l'ami de mes parents me fit alors une proposition inespérée. Il cherchait quelqu'un pour garder leur villa de la Côte d'Azur. Ils devaient partir 10 jours en mer avec leur bateau, repasser quelques jours par leur maison et rentrer ensuite sur Paris.

Quelques semaines plus tard, j'arrivais à l'aéroport de Nice. Roland était venu me chercher. On arriva après un court trajet à leur villa. Estelle était là, au bord de la piscine, en bikini. Elle me salua, ravie de ma présence.

Ils devaient partir dans deux jours. Roland me fit faire le tour du propriétaire. Il m'indiqua tout ce qu'il y avait à savoir. Le soir, nous dînâmes sur la terrasse face à la mer. L'endroit était somptueux et je me régalais par avance des 3 semaines que j'allais passer ici.

Le lendemain, je les accompagnais jusqu'à la marina et regardais le bateau s'éloigner. De retour à la villa, je pris mes aises. La première après-midi fut consacrée à la piscine et au farniente. En fin de journée, je montais prendre une douche et m'habiller. j'étais bien décidé à aller draguer un peu en ville. Je passais devant la porte de la chambre d'Estelle et Roland et ne pus m'empêcher d'aller y jeter un oeil.

Au centre de la pièce luxueuse se trouvait un vaste lit avec des draps de satin, un énorme dressing était dans la pièce attenante. Les vêtements de Roland était pliés ou sur cintre, La plus grande partie du dressing était occupée par les vêtements d'Estelle. Robes de cocktails en tout genre, escarpins, etc... j'ouvris quelques tiroirs pour découvrir enfin ceux contenant les sous-vêtements de la belle. C'était impressionnant le nombre d'ensemble qu'elle avait. Je fis bien attention de ne pas mettre le bazar. Je dépliais quelques pièces et les repliais ensuite soigneusement. Je l'imaginais dans ces tenues toutes plus affriolantes les unes que les autres et j'avoue rien qu'à cette idée, je bandais!!

Je me ressaisi et parti prendre ma douche. En repensant aux soutien-gorges, strings et autres guêpières d'Estelle, je ne pus m'empêcher de me branler férocement et jouis dans le bac de douche.

Le soir, je sortis en ville mais tournais vite en rond, ne connaissant pas encore les coins sympas. Je rentrais finalement vers 23h et partis me coucher.

Le lendemain, peu de temps après mon réveil, je reçu un coup de fil de Roland. Leur bateau avait eu une avarie et ils étaient remorqués jusqu'à la marina. Il avait l'air furieux au téléphone et me demanda de venir les chercher. Je sautais dans mes vêtements et arrivait quelques minutes plus tard sur le port. Je vis au loin Roland qui gesticulait et semblait franchement mécontent. Estelle attendait sagement à côté que son mari ne se calme.
Elle retrouva le sourire en m'apercevant et vint à ma rencontre. Elle m'embrassa et m'expliqua que le bateau avait eu une panne de gouvernail et que depuis hier soir Roland avait essayé de réparer. Ils étaient partis avec un couple d'amis et à priori Roland s'était en plus engueulé avec eux. Bref, ce n'était pas le moment de lui demander l'heure!!

J'en profitais pour regarder Estelle qui était superbe, petites sandales au pied, short court en jean mettant particulièrement bien ses jambes bronzées en valeur et petit tee-shirt blanc très ajusté sous lequel pointait fièrement son 90D comme j'avais pu le lire sur ses soutien-gorges.

Finalement Roland vint nous rejoindre. Il ne décolérait pas, furieux après son "ami" qui avait fait une mauvaise manoeuvre en sortant du port et qui certainement avait abîmé le gouvernail à ce moment là.

Je fis profil bas et pris le volant jusqu'à la maison.

Du coup, Roland passa le reste de la journée au téléphone entre l'assurance, la marina et l'entreprise de maintenance.

Estelle en profita pour aller plonger une tête dans la piscine et m'encouragea à venir avec elle. Je ne manquais pas un instant de la mâter et me rendis soudain compte dans l'eau qu'à force de regarder ses seins bouger dans son maillot, j'avais un début d'érection. Je ne pus bientôt plus sortir de l'eau, tellement mon caleçon de bain trahissait mon excitation.

Estelle sortit et j'essayais vainement de me calmer au risque d'être ridicule en sortant de l'eau.

Roland arriva soudain et m'interpella, toujours avec son téléphone à l'oreille. Il voulait que je l'accompagne à la marina. Il voulait voir s'il ne pouvait pas réparer sur place tout seul et voulait mon aide...

J'étais en panique. Je cherchais du regard une éventuelle serviette. Je l'avais laissé sur le transat et je devais parcourir 3 bons mètres en sortant de l'eau avant de l'atteindre. Avec un peu de chance, Estelle ne regarderait pas vers moi. J'entendais déjà Roland qui me rappelait depuis l'intérieur de la maison.

Je sortis rapidement de l'eau et tentais tant bien que mal de cacher mon émoi. J'attrapais la serviette et tentais de me cacher derrière. Estelle eut un sourire en me regardant passer devant elle, quelque peu maladroit et emprunté dans mon déplacement.

Je me changeais rapidement et retrouvais Roland qui pestait dans sa voiture.

Après une après-midi à bricoler sur le bateau, Roland abandonna finalement toute idée de réparation et fit appel à un spécialiste. Sur le chemin du retour, il rouspétait tout seul et finit pas dire que ces vacances étaient gâchés.

Le soir au dîner l'ambiance était plutôt morose et Estelle et Roland se prirent la tête. Je m'éclipsais les laissant à leur dispute. Je les entendis jusque tard s'engueuler et la maison retrouva son calme vers minuit.

Le lendemain, je vis Roland qui descendit de l'étage avec un sac de voyage. Comme le bateau n'était pas réparable tout de suite, il en profitait pour remonter sur Paris quelques jours pour avancer sur un projet pour la rentrée. Il s'absenterait 4 ou 5 jours maxi. Estelle restait là... pour mon plus grand bonheur.
Je l'accompagnais à l'aéroport et regagnais la maison en milieu d'après-midi. Estelle était au bord de la piscine, allongée sur une serviette. Elle somnolait la tête posée sur ses bras croisés. Elle avait détaché son haut de maillot pour bronzer sans marques dans le dos. Je contemplais la scène. Elle ne m'avait pas entendu revenir et je profitais un peu de la vue. Ses fesses rebondies, ses longues jambes et son dos, tout était parfait!!

Je me remis à bander dans mon caleçon et m'éclipsais avant d'être surpris. Je me calmais un peu et revins vers la piscine en faisant davantage de bruit pour qu'elle puisse m'entendre arriver. Elle tourna la tête vers moi et me fit un grand sourire.
- ça y est le râleur est dans l'avion!!! me lança-t-elle en riant.
- oui, ça y est...
- quel emmerdeur tout de même! quand il a une idée dans la tête, il veut pas en changer!! on a tout ce qu'il faut ici, pas besoin de son foutu bateau!!
- c'est sûr !! il était super vénère !
- tiens pendant que tu es debout, tu peux me ramener un verre d'eau fraîche s'il te plait.
Je retournais vers la cuisine et lui servis un grand verre. Je revins et lui tendis. Pour l'attraper, elle se redressa un peu et prit appuis sur ses avant-bras, du coup, je vis ses seins superbes. Je n'en manquais pas une miette. Elle sourit en croisant mon regard.

- ça va je ne te gêne pas!!!??
Elle avait dit ça très gentiment mais cela me mit très mal à l'aise et je dus devenir tout rouge, bafouillant quelque chose d'inaudible.
Elle rigola.
- t'inquiètes pas, je te chambre!!
Et sur ce, elle se retourna complètement me laissant tout loisir de découvrir complètement sa poitrine. J'écarquillais les yeux.
- Et bien, je te fais de l'effet dit-elle en rigolant.

Je me rendis alors compte que mon sexe s'était redressé et déformais mon bermuda. je fus extrêmement gêné et tentais en vain de le cacher avec mes mains. Je repartis honteux vers la maison malgré les appels d'Estelle qui tentait de me dire que ce n'était pas grave!

Je m'enfermais dans ma chambre. J'avais honte de ne pas avoir réussi à me contrôler. Qu'allait-elle penser de moi? Risquait-elle d'en parler à son mari? J'étais affreusement gêné et mal. J'entendis soudain sa voix derrière la porte.
- Mathias ouvres moi... ce n'est pas grave... ne sois pas gêné... allez ouvres!

Je déverrouillais la porte et la laissais entrer. Elle avait caché sa nudité avec une serviette et s'approcha de moi. Je m'étais assis sur le lit, la tête penchée, je regardais le bout de mes pieds. Elle s'assit à côté de moi et posa sa main sur ma cuisse.

- ne sois pas gêné mon grand, c'était plutôt flatteur comme réaction...!!
- pardon, je suis désolé...
- ne sois pas désolé, c'est tout à fait normal... si j'avais su que ça te mettrait dans un tel état, je ne me serais pas mise comme ça... c'est à moi de m'excuser... allez, viens te baigner, ça te fera du bien...

Sa voix et ses paroles étaient douces et calmes. Elle se releva et me tira par la main.
- Allez changes toi et rejoins moi dans l'eau!

Après quelques minutes d'hésitation, je la retrouvais dans la piscine. La gêne disparut progressivement.

Le soir, elle me proposa d'aller grignoter un petit quelque chose en ville. Je conduisis la voiture et c'est à mon bras qu'elle m'entraîna dans une petite brasserie du centre ville. Beaucoup d'hommes se retournaient sur son passage et semblaient m'envier. Il faut dire qu'avec ses escarpins, son jean moulant et son petit haut légèrement décolleté, elle était particulièrement jolie et sexy.

Le dîner se déroula très bien, je me détendais enfin. Elle était super sympa avec moi et très joviale, beaucoup plus que lorsqu'elle est avec son mari. Elle avait commandé du vin et but une bonne partie de la bouteille. Un verre me suffisait car il fallait que je prenne le volant ensuite pour nous ramener.
Elle régla le repas et c'est de nouveau à mon bras que nous quittâmes le restaurant.

Arrivés à la villa, elle mit de la musique, retira ses chaussures et se mit à danser sur le grand tapis du salon, elle m'attrapa par le bras et tenta de me faire danser également, chose pour laquelle, je ne suis pas du tout doué!!
Il était clair qu'elle avait un peu trop bu. Elle rigolait sans cesse. Elle dansait lascivement, se déhanchant sur les rythmes de la musique. Elle était magnifique et je ne ratais pas une miette du spectacle.
- allez on se fait un petit plongeon !! le bain de minuit!!
Elle me tira par le bras dehors et commença à dégrafer son pantalon. Elle titubait tout en retirant ses vêtements. Je la vis quitter son jean, son petit haut et dégrafer son soutien-gorge, enfin son string rejoignit le reste des vêtements par terre et elle sauta dans l'eau... je n'en revenais pas... elle était intégralement nue à quelques pas de moi... mon sexe se mit de nouveau à gonfler dans mon boxer.
- allez, fais pas le timide, viens... t'inquiètes j'en ai vu d'autres!!! dépêches toi, elle est super bonne!!

Je me dépêchais, manquant de tomber en quittant mon pantalon. Je retirais rapidement mon boxer et plongeais dans la foulée.

Elle sourit quand je la rejoins dans l'eau et m'éclaboussa. Elle était comme une ado. On s'éclaboussa quelques minutes puis elle se calma et prit appuis sur le bord de la piscine, les yeux tournés vers la mer et les lumières de la ville qui s'y reflétaient. Je la rejoins et contemplais la scène.

Nous nageâmes encore quelques minutes puis elle sortit de l'eau. Je suivais son corps du regard. Elle s'en aperçut.
- je n'ai plus mon corps de jeune fille...
- euh... si tu es magnifique!!
- tu es gentil... j'ai pris un peu de poids ces derniers années et je n'ai plus ma taille de mannequin...
- moi je te trouve beaucoup plus jolie que ces mannequins sans forme que l'on voit aujourd'hui... toi tu as de vraies formes!
- tu es mignon... bon je vais rentrer je commence à avoir froid...
Je la regardais s'éloigner vers la maison. Je quittais à mon tour l'eau et ramassais mes affaires et les siennes. Elle était rentrée et je pouvais suivre les traces humides de ses pas jusqu'au pied de l'escalier.
- Estelle?? tu es là-haut?,
Elle ne répondait pas. Je monte et pousse la porte de sa chambre.
- Estelle???
- oui je suis là, je me sèche...
La voix venait du dressing.
- viens si tu veux...
Je rentrais et la découvris assise sur un petit fauteuil, entrain de s'essuyer les cheveux.
- Tiens tes affaires lui dis je ne lui tendant ses vêtements.
- Merci poses les là.
Je regardais tous les vêtements accrochés autour d'elle. Elle me sourit...
- ça en fait des fringues, hein?!
- oui c'est impressionnant!!
- avant j'en portais souvent mais Roland ne veut pas que je les porte... tu sais il est très jaloux et il trouve que la plupart sont trop osées... je les garde malgré tout...
- dommage, certaines ont l'air magnifiques!!
- oui tu as raison...
- moi si j'avais une femme aussi jolie, je la laisserai porter tout ce qu'elle veut!!!
- tu es gentil... tu voudrais que je te les montre?
- oh oui avec plaisir...!!!! je ne pouvais cacher mon enthousiasme !!
Elle se releva. Elle s'était enroulée une serviette autour d'elle. Elle attrapa quelques robes et les posa sur le meuble central.
Elle dénoua sa serviette me laissant admirer un court instant son corps splendide. J'avais les yeux exorbités. Elle passa la première robe, une superbe robe rouge, profondément décolleté dans le dos et très près du corps. Elle enfila des chaussures à talons hauts de la même couleur et tournoya devant moi.
- Alors qu'en penses tu?
J'étais bouche bée... jamais je n'avais vu une femme aussi belle et cette robe la sublimait.
- Ma...magnifique!! je n'ai jamais vu quelque chose d'aussi beau!!
Elle était heureuse, contente de pouvoir se montrer et d'être complimenté de la sorte. Elle quitta ses chaussures, et retira sa robe pour en essayer une autre. Celle ci était en partie transparente dévoilant son ventre et le haut de ses fesses... le haut était comme un bustier et moulait parfaitement sa belle poitrine.
Je m'étais assis et cachais avec mes vêtements l'érection naissante qui pointait sous la serviette.
Estelle en essaya deux autres tout aussi belles. Je n'en pouvais plus et je n'avais qu'une envie, lui sauter dessus. Ma timidité et surtout la peur d'un refus me scotchaient à ma chaise.

Elle semblait épanouie et heureuse d'avoir pu me montrer tout cela. Elle passa un petit déshabillé en soie et s'approcha de moi. Elle me prit le visage et déposa un baiser très tendre sur ma joue. Elle se recula légèrement, me regardant droit dans les yeux puis se rapprocha de nouveau pour cette fois poser ses lèvres sur les miennes. Son baiser fut plein de tendresse. Je sentais son parfum enivrant et le goût sucré de ses lèvres. Mon érection était de plus en plus conséquente. Elle me relâcha et quitta la pièce.
- Je suis morte je file me coucher...

Je restais un peu ébêté sur ma chaise et me relevais finalement, cherchant à cacher l'érection qui tendait ma serviette. Elle s'était glissé dans son lit et je quittais la pièce discrètement... j'allais refermer la porte lorsque j'entendis sa douce voix.
- si tu veux tu peux venir te coucher à côté de moi... le lit est très grand...
Mon coeur s'emballa immédiatement. Je lâchais mes affaires, éteignis les lumières et après avoir quitté ma serviette, je me glissais sous les draps. La fraîcheur du tissu me fit frissonner.
Je n'osais pas bouger, allongé sur le dos. Estelle se rapprocha de moi et posa sa tête contre moi. Sa main se posa sur mon torse.
- ton coeur bat vite... me chuchota-t-elle...

Je n'arrivais pas à me calmer, mon sexe était au garde à vous sous le drap.
- tu as la peau douce... c'est agréable de te sentir contre moi...
Elle faisait aller et venir ses doigts sur mon torse puis je sentis sa main descendre sur mon ventre. J'étais tendu comme une arbalète. Enfin ses doigts effleurèrent mon sexe tendu. Un simple murmure accompagna sa prise en main. Elle me branla doucement. Elle se redressa légèrement et déposa un baiser sur mon torse. Sa tête passa sous le drap et je sentis son souffle chaud sur ma verge. Elle y déposa d'abord un baiser puis je sentis sa bouche humide avaler mon gland. Elle me suça avec beaucoup de tendresse, contrôlant son rythme. J'avais envie de jouir et essayais de me contrôler. Elle le sentait et se redressa.
- détends toi... tu peux te laisser aller... nous avons toute la nuit devant nous...
Et elle reprit sa position. Sa langue s'enroula autour de mon sexe. Elle serrait juste comme il faut avec ses lèvres. Je n'en pouvais plus et la prévins que j'allais jouir. Elle accéléra alors le rythme et je me laissais aller dans sa bouche, jouissant par saccades, parcouru de spasmes.
Elle avala tout et me suça jusqu'à la dernière goutte. J'étais aux anges.
Elle se redressa et vint m'embrasser. Je sentais sur sa langue le goût de mon sperme. Son baiser était passionné, sensuel, sa langue s'enroulait autour de la mienne. Je sentais tout son corps contre le mien. Mon sexe se remit à gonfler. Elle se mit à califourchon sur moi. Je sentis la moiteur de son entrejambe contre mon bas ventre. Elle se redressa complètement. Je devinais sa silhouette dans la pénombre. Elle se débarrassa de sa nuisette. Je posais mes mains sur ses hanches, les remontant en effleurant sa peau. J'arrivais en contact avec ses seins lourds. Je les caressais, les malaxais. Ils étaient fermes.

Je bandais de nouveau. Elle le sentait contre ses fesses. Elle glissa une de ses mains entre ses cuisses et se saisit de mon sexe pour le diriger vers le sien. La pénétration fut lente. Elle descendait lentement. Elle me tenait désormais les mains toujours plaquées sur ses seins et se caressait avec.
Son bassin ondulait sur ma verge. Elle était trempée et commençait à gémir. Elle se laissa retomber sur moi, m'embrassant à pleine bouche. J'en profitais pour imprimer mon rythme, relevant légèrement les jambes et cherchant à la pénétrer au plus profond.
Je lui maintenais les fesses, les écartant et continuant à donner de profonds coups de reins. Elle ne tarda pas à jouir dans mes bras, m'embrassant dans le cou, me léchant le lobe de l'oreille.
Nous roulâmes dans les bras l'un de l'autre sur le côté. Nous continuions à nous embrasser comme deux ados. Sa peau était douce et je me régalais de faire courir mes mains sur son corps.
Je me retrouvais finalement sur elle, continuant d'aller et venir entre ses jambes, profitant pleinement du plaisir que j'avais à posséder une si belle femme.

Je lui demandais timidement si elle pouvait se retourner. Elle se positionna sur le ventre, une jambe repliée et je me présentais derrière elle. Je m'enfonçais de nouveau dans ce sexe accueillant. Elle alluma sa lampe de chevet et tourna la tête vers moi. J'étais comme un fou en contemplant ses superbes fesses. Je voyais mon sexe qui coulissait entre ses lèvres humides. Elle avait la tête posée sur l'oreiller et à l'aide d'une de ses mains, elle agrippa sa fesse et l'écarta, me donnant une vue encore plus plongeante sur nos sexes. Je n'en pouvais plus et sentais mon plaisir monter. Je la prévins.
- Fais toi plaisir me dit-elle, jouis sur mes fesses.
Je sortis mon sexe et me branlais énergiquement pour répandre dans un râle mon sperme sur ses fesses. Elle me souriait affectueusement. Elle attrapa mon sexe et me caressa lentement pour extraire les dernières gouttes de semence.
J'attrapais la boite de mouchoirs posée sur la table de chevet et l'essuyais consciencieusement. Je m'allongeais ensuite à côté d'elle et elle vint se blottir contre moi. Nous nous endormîmes dans cette position.

Le lendemain matin, c'est une sensation chaude et humide sur mon sexe qui me réveilla. Estelle était entrain de m'embrasser le sexe et de me caresser.
Elle vit que j'ouvrais les yeux.
- bien dormi?
Un simple signe de la tête pour simple réponse de ma part et je la vis engloutir mon sexe. L'érection matinale était pour une fois utile!!
Elle me suça avec délectation et me libéra alors que je sentais que j'allais jouir. Elle se redressa et sauta du lit. Elle tira largement les rideaux faisant entrer les rayons du soleil dans la chambre. Je pus une nouvelle fois la contempler nue. Je me redressais à mon tour et voulus la prendre dans mes bras mais elle se déroba en riant, m'obligeant à lui courir après dans la maison. Je ne réussis à la rattraper qu'arrivés dans le salon. Je l'enlaçais et nous nous embrassâmes passionnément. Mon sexe était raide entre nous et elle le saisit avec ses mains, me caressant avec douceur.

Elle m'attira vers le canapé. Elle se tourna et prit appuis sur le dossier, me tendant sa croupe. Je m'approchais et frottais mon sexe à ses lèvres trempées. Je m'y enfonçais sans peine. Je la tenais par les hanches, surexcité par la vision de son dos et ses fesses.
Elle tourna la tête vers moi.
- Baises moi!! vas y !! baises moi fort!!
C'était comme un ordre. Je l'agrippais plus fermement et me mis à donner de grands coups de reins. Elle se mit à crier, m'encourageant à aller plus fort.
- Vas-y c'est bon, défonces moi!!! j'adore ta queue!! baises moi bien fort!!
J'étais comme un fou, même dans mes rêves les plus osés, je n'avais pas imaginé la baiser ainsi.
Elle se retira et me poussa sur le canapé. Je m'y affalais. Elle vint alors m'enjamber et s'assit sur mon sexe. J'avais ses deux gros nichons à hauteur des yeux. Elle était déchaîné et allait et venait sur ma queue. Ses seins ballottaient devant mes yeux et je tentais de les embrasser. Elle se pencha davantage en avant, ses seins s'écrasant sur mon visage. Je sentis sa main sur ma queue, elle l'avait saisi et extraite de son vagin trempé. J'étais tout dur et elle frotta légèrement mon gland contre sa peau. Je sentis qu'elle le dirigeait plus haut.
Je n'osais penser à ce qu'elle tentait de faire. Elle positionna mon sexe contre sa rosette et tout en me tenant, elle descendit lentement. Je sentis son petit trou s'ouvrir et mon gland se frayer un chemin. En quelques secondes, mon sexe était au fond de ses fesses. La sensation était toute nouvelle pour moi. C'était serré et chaud. Je n'osais bouger et c'est elle qui donna son rythme. C'était incroyable de voir cette femme sublime monter et descendre sur mon sexe. Je lui malaxais les seins, m'enivrant de cette vision de ce corps parfait.
Estelle se caressait en même temps et eu un orgasme. Elle se laissa tomber sur le côté et me laissa continuer à la pilonner. Je lui avais écarté et relevé les jambes pouvant observer mon sexe entrant et sortant de son petit trou.
Je ne pus me retenir beaucoup plus longtemps. Je sortis mon sexe et me caressait au dessus de son ventre. Mes jets de sperme allèrent s'écraser sur son ventre et jusqu'à ses seins. Elle m'attira vers elle et m'embrassa.

Jusqu'au retour de son mari 4 jours plus tard, nous passâmes notre temps dans les bras l'un de l'autre. Estelle était une femme insatiable. Elle me fit découvrir toutes les positions du kamasutra. Elle appréciait mon endurance, ma douceur et parfois ma bestialité. Elle me réveillait chaque matin par une douce fellation.

Depuis ce jour, je suis devenu son amant. Elle est resté avec son mari mais cela fait désormais 5 ans que nous vivons une histoire passionnée et secrète. Nous nous retrouvons souvent à l'hôtel ou chez elle quand son mari est absent.
Nous baisons comme au premier jour, elle dit que je suis sa cure de jouvence et qu'elle ne pourra plus s'en passer. J'avoue que c'est parfois difficile à vivre pour moi mais je travaille dur pour pouvoir un jour lui offrir tout ce qu'elle a aujourd'hui...