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Tu m'attendra nue, à quatre patte, tête baissée

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Lue : 1395 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/12/2021

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Aujourd’hui je vais vous raconter ma première rencontre avec Monsieur L. (Pour ceux qui ont suivi … pas le même que ma dernière histoire. Un autre, mais avec un prénom commençant aussi par L haha). Cela faisait plusieurs mois que je rencontrais différentes personnes sur des sites de rencontre. C’était une période post-premières relations amoureuses de jeunesse, et je dois dire que le sexe est vite devenu une passion dévorante. Cela ne me dérangeais pas de rencontrer plusieurs personnes différentes dans la semaine ; quand ce n’était pas dans la journée … Je pense que je peux me comparer à une droguée sexuelle à cette époque clairement. Physiquement j’étais plutôt musclée mais avec des courbes, les cheveux très longs, les yeux bleus en amande. J’ai toujours été une fille très curieuse, cultivée, sociable.

A ce moment, je cherchais l’approbation, la validation. Ma manière de me percevoir dans le sexe, le fait de dépasser mes peurs et tester de nouvelles expériences vraiment osées était une manière pour moi de prendre confiance en moi à cette époque. Procédé peut-être un peu étrange, et surtout un peu dangereux avec le recul, mais qui m’a permis de m’ouvrir un monde qu’aujourd’hui, sept ans plus tard, je ne regrette pas du tout. Cela fait partie de mon histoire après tout.

Au fur et à mesure de mes expériences, je me suis rendue compte d’une chose : j’adore la soumission. Et pourtant, une de mes plus proches amies pensait que j’allais plutôt pencher du côté de la domination de par mon physique : j’ai toujours été quelqu’un avec de belles formes, sculptée par le sport tout en gardant mes courbes, de longs cheveux blonds descendant jusqu’aux fesses. Mesurant plus d’un mètre 70, dès que je mettais des talons je me sentais en effet dominante de par la taille et l’énergie. J’ai toujours été aussi quelqu’un qui leade facilement, prends les choses en main avec facilité.

Sûrement que c’est plutôt pour ça que je souhaitais expérimenter le lâcher-prise et la confiance totale que je recherchais avec la soumission. J’ai aussi essayé la domination. A l’heure actuelle, je dirais que je suis plus soumise que dominante mais que cela ne me déplait pas de switcher.

Et un jour, alors que je recherche un Maître, grâce à des petites annonces, je prends contact avec Monsieur L. Son approche est particulièrement directe, frontale. Un véritable dominant. Il ne prend pas de gants et demande les choses de manière simple, limpide, correcte, mais avec respect. Nous discutons et rapidement, nous convenons d’un rendez-vous. Il cherchait une soumise à sodomiser. Et moi … je n’avais jamais fait ça. Mais je ne sais pas pourquoi, je me suis dit que c’était sûrement l’occasion. Je voulais une véritable expérience soumission/domination. Je voulais que ma première sodomie soit mémorable, menée par une personne ayant de l’expérience. Et sa manière de faire dès les premiers messages m’avait littéralement rendue liquide …

Il me donne quelques informations sur lui : la quarantaine, il travaille sur Lausanne dans la police. Pas de photos de son visage, mais il me montrera une partie de son anatomie particulièrement imposante en photo … Au vu de sa demande, je commençais gentiment à stresser. Mais Monsieur L savait trouver les mots pour me rassurer. Et surtout, il a su planter un décor qui me faisait sortir de ma zone de confort directement, et je trouvais sa suggestion originale et excitante. Il prenait les choses en main, me menait déjà à la baguette.

En effet, Monsieur L. avait une envie : par souci de discrétion, il me proposait de nous rencontrer dans un hôtel discret du centre-ville de Genève. Mais surtout, il avait une exigence :

“Je laisserais la porte entrouverte. Tu entreras, puis tu m’attendras, nue, à quatre pattes sur le lit, tête baissée.”

Rien que d’y repenser … Mon cœur battait la chamade alors que je marchais vers l’hôtel le jour de notre rencontre. On était en fin d’après-midi par une journée d’automne. Mon niveau de stress atteignit son point culminant lorsque je rentrais dans le hall, juste après lui avoir envoyé un message lui disant que j’arrivais. J’avais super peur qu’on me remarque et en même temps j’étais super excitée. Ma tenue était simple, discrète ; de toute façon, il exigeait que je sois nue lorsqu’il arriverait. J’avais à la fois hâte et envie de fuir. Sans poser de questions, je passais devant la réception comme si je savais parfaitement où j’allais ce qui n’étais absolument pas le cas et pris le premier ascenseur que je trouvais. Monsieur L. m’avait envoyé son étage et son numéro de chambre afin de me laisser l’accès à celle-ci tandis que lui patientait quelques instants que je me conforte à ses exigences …

J'atteignis rapidement la chambre et y rentrait prestement tout en fermant la porte derrière moi. L'hôtel était très simple, la chambre classique. Sur le bureau, une bonne quantité de préservatifs. Ca aussi c’était une exigence de sa part : il amenait ses propres affaires. J’avais bien compris qu’il n’en était pas à son coup d’essai, et que ce n’était peut-être pas la première fois qu’il formulait ce genre de demande à une jeune fille, loin de là même je pense. Mais maintenant que j’étais là … je devais avouer que j’avais hâte. Que j’avais peur et que surtout j’étais tellement excitée que j’en avais presque envie de vomir.

Je me débarrassais rapidement de mes vêtements. Je savais qu’il allait arriver d’un instant à l’autre, et je ne tenais pas à ce qu’il arrive sans que je me sois mise dans la position qu’il avait demandé. Je crois que je me suis mise en mode soumise dès que j’avais pénétré dans l’hôtel. C’est-à-dire en mode automatique, le mental en arrière plan, ne réfléchissant pas, complètement assujettie aux loopings de mon bas-ventre.

Je me mis donc nue, à quatre pattes, sur le lit. Je me mis face au mur au pied du lit, la porte sur ma gauche. Mon cœur battait à tout rompre, je ne pouvais pas m’empêcher d’essayer de calmer mon souffle, la bouche ouverte, tête baissée. Un bruit de carte à la porte. Puis Monsieur L. fit son entrée. Je me retins de lever les yeux, résolument baissés vers les draps blancs. Je me sentais immensément vulnérable. Mon corps tremblait légèrement, l’adrénaline se déversant dans mes veines. Il ne parla pas, ne s’adressa pas à moi. Il ferma la porte. J’entendais son souffle, ses pas. Puis, il s’arrêta quelques instants et je su qu’il m’observait, qu’il me reluquait, moi et mon cul tendu. J’avais terriblement envie de le regarder mais je me mordis les lèvres. Il respirait fort. Il s'approcha de moi et je pu voir ses vêtements ; costume gris, chaussures en cuir de belle qualité, mains soignées.

“Bonjour Rubby.”

Sa voix était profonde, grave, rassurante. Il fit le tour du lit puis se mit derrière moi. Je savais pertinemment ce qu’il regardait. Je sentis sa main chaude se poser sur mon cul et commencer à le caresser. Rapidement, sa main alla à la rencontre de mon intimité et il glissa deux doigts en moi. J’étais dans un tel état d’excitation que ceux-ci n’eurent aucun mal à me pénétrer. Haut bas haut bas. L’explosion de plaisir que je ressenti en un temps record me coupa les jambes et me fit pousser un cri de plaisir et d’étonnement. Son doigtage et la vague de plaisir qui me submergea me fit monter en flèche directement. Il les retira aussi vite qu’il les avait mis et me gifla violemment la fesse. Je sursautais et gémit sur le coup. Je ressentais en moi de violentes montagnes russes émotionnelles. Est-ce que je lui plaisait ? Est-ce que j’allais avoir mal ? Est-ce que j’allais ressentir beaucoup de plaisir ? Mes questions s’éteignirent vite dans mon esprit.

Car il retira sa ceinture et la jeta sur le lit. Le bruit du cliquetis me mit un coup au cœur et je relevai enfin la tête. En face de moi se trouvait un homme qui devait avoir 40-45 ans, les cheveux gris argenté et très bel homme. J’en restais bouche-bée. Son corps était athlétique et cela se voyait qu’il s’entretenait et faisait beaucoup de sport. Il prit le temps de poser soigneusement veste, cravate, chemise, pantalon sur la chaise du bureau. Il enleva son caleçon et son pénis me paru encore plus grand que ce que j’avais pu constater en photos. Elle était lisse, belle, bien épaisse. Déjà bien tendue. Adroitement, il prit un préservatif, ouvrit le sachet et me demanda :

“Tu penses que tu saurais le mettre avec ta bouche ?”

C’était la première fois qu’on me demandait ça et je trouvais l’idée plutôt cool à essayer. Je connaissais le principe mais n’avait jamais eu l’occasion de le faire … il me tendit donc le préservatif déballé. Je le mis dans le bon sens, plus le plaçait sous mes lèvres avant de gober son gros phallus. Mes lèvres descendirent de plus en plus loin sur sa verge, celle-ci terminant sa course dans le fond de ma gorge. Je commençais alors à faire des allers-retours.

Le goût du latex est particulier, mais il a un parfum de sécurité. Je sentais son contrôle malgré ses muscles qui frémissaient. Il se laissa faire quelques minutes, sa respiration s’accélérant, avant de se retirer subitement de ma bouche. Il prit mes épaules et me poussa en arrière sur le lit. Sans un mot, il écarta brutalement mes cuisses et commença à littéralement me bouffer la chatte. Sa langue appuya fortement et frénétiquement sur mon clito et mes lèvres, celle-ci se glissant parfois le plus loin qu’elle pouvait dans mon intimité.

Mon pouls grimpa en flèche et mes gémissements se perdaient dans mon torrent de plaisir. Rapidement, il glissa à nouveau ses doigts en moi, en combinaison cette fois avec sa langue agile et chaude. Je ne m’y attendais pas, et mon orgasme explosa brutalement, me secouant de violentes convulsions, lui me tenant fermement par les hanches, la bouche toujours collée à ma vulve. Je ne gémissait plus, je hurlais. Il me lâcha de sa bouche et remonta vers moi pour me présenter sa queue. N’étant plus qu’instinct totalement primaire, je le suçais ardemment.

Lui utilisa ses doigts pour me pénétrer à nouveau, en crochet cette fois. Bas haut bas haut. J’essayais de me raccrocher à sa bite par ma bouche mais je ne contrôlais plus rien du tout. Son rythme était rapide, intense. Rapidement, j’eu l’impression que j’allais me faire pipi dessus. Pendant quelques secondes, j’hésitais à lui demander d’arrêter, les sensations entre le plaisir et le désagréable, ce chaud montant par ma chatte. Et alors, pour la première fois de ma vie, j’émis une fontaine, tachant les draps. Monsieur L. s’exclama, ne baissant pas le rythme pour autant. Mon corps ne semblait plus vouloir s’arrêter, une partie de moi se sentait super étonnée de pouvoir faire ça de son corps.

“Et bien voilà ! Regarde ça petite soumise”

Il glissa ses doigts mouillés dans ma bouche afin que je puisse goûter à mon propre goût. Pas mal.

“Maintenant tu vas jouir sur ma bite.”

Ces simples mots réussirent à activer encore en moi ces foutus papillons dans mon vagin. Il se leva du lit et prit mes hanches pour m’attirer vers lui. Et là, il me pénétra de sa grosse bite. Mon intimité était complètement réveillée et extrêmement sensibilisée aux traitements qu’elle venait de recevoir. Le plaisir explosa dans ma tête et mon cœur comme un tsunami. Ses coups de reins étaient violents, puissants. Il me démonta comme rarement on m’avait démontée. Bam bam bam bam. Rythme effréné. Respiration saccadée. Il suça son pouce, me regardant droit dans les yeux. Puis, il me le colla sur le clito tout en continuant à me pilonner à fond. Je décollais, puis explosait en vol. Comme il l’avait prédit, je jouit sur sa bite.

Il me laissa quelques instants de répit pour me remettre, profitant de ce moment pour enlever son préservatif et en remettre un nouveau.
“Ok Rubby. Je vais te sodomiser. N’ai pas peur, on va y aller tranquillement.”

Je dois avouer que j’eu un moment de doute au vu de son style brutal encore quelques instants auparavant, mais je lui fis confiance.

“A quatre pattes”

Sans réfléchir ni me poser de questions, je me retournais. Ses mains caressèrent mes fesses, observa mon cul. Puis, je sentit son pouce toucher mon anus. Voyant que j’étais bien fermée, j'ai senti son souffle avant de sentir sa langue. Son appendice chaud et humide entra en contact avec mon anus, et ce fut une sensation étonnante mais franchement agréable. Sa langue semblait vouloir me pénétrer, et je senti mon corps presque malgré moi se détendre au fur et à mesure. Il me cracha sur le petit trou et son pouce me toucha à nouveau mais cette fois-ci, il me pénétra sans problème. Il prit le temps de bien le détendre, puis mis un doigt, et deux. Il fit des mouvements circulaires, lents, relaxants et plaisants.

J’étais attentive, prenant soin de bien respirer, de profiter des sensations nouvelles et de l’instant présent.

Puis enfin il me remit au bord du lit, me retourna sur le dos.

“C’est mieux pour une première” me dit-il.

Après réflexion en effet la pénétration est plus douce qu’en levrette façon porn brutal. L’idée c’était pas de me dégouter et me faire du bien, et ça tous les hommes devraient y penser à vrai dire.

Il se mit au dessus de moi et plutôt de glisser sa queue dans mon antre chaude et humide, l’approcha de mon anus. Il venait tout juste de mettre du lubrifiant, et je sentais un mélange chaud et froid, mon cœur battant à tout rompre, mêlé de peur et d’excitation. Je senti son énorme gland forcer légèrement à l’entrée, puis commencer gentiment son chemin. Doucement, il avança. La sensation était étonnante, nouvelle, le plaisir différent. Il s’enfonça de plus en plus profondément, et j’éprouvais une légère douleur, avant de prendre une vague de plaisir en pleine face lorsqu’il se retira doucement avant de me pénétrer à nouveau un peu plus rapidement cette fois.

Wouah. C’était quelque chose. Je n’avais pas vraiment mal finalement, il avait vraiment pris le temps. Ma seule peur subsidiaire était de me vider sur lui après tout ça mais j’y pensais une demi fraction de seconde pas plus. Il commençait à aller de plus en plus vite, et j’avais l’impression, de plus en plus profondément aussi. Le plaisir se diffusait de mon cul à ma chatte. Monsieur L. commençait à prendre un bon rythme, voyant que je me détendais et renseigné par ma respiration qui devenait de plus en plus gémissante. D’un coup, j’éprouvais une brutale envie de me caresser et de jouir par mon cul. J’approchais donc ma main de mon entrejambe et il me l’enleva directement d’un geste.

“Tu demandes Rubby.”

Oh. Dans l’état actuel des choses j’aurais été prête à le supplier.

“Est-ce que je peux me caresser ?”

“Non. Et demande comme il faut.”

Ses coups de reins que je sentais jusqu’au plus profond de mes entrailles … C’était délicieux, ce genre de plaisir coupable, à la fois beau et dégueulasse. Il ne me répondit pas tout de suite et se retira avant de me retourner sur le ventre. Il m’avança sur le lit puis me pénétra brutalement par le cul avant de me pilonner. Je m’étonnais moi-même d’encaisser si facilement et putain j’avais très envie de jouir. Mais j’arrivais à peine à parler …

“Maitre … maitre … est-ce que je peux me caresser s’il vous pla …”

Mes mots étaient étouffés, la tête plantée dans le matelas. Je ne pu m’empêcher de me mordre le bras, jusqu’au sang, manière à moi de mélanger plaisir et douleur, ou de compenser une trop forte dose de plaisir. Je me demandais un instant si je survivrais réellement à un nouvel orgasme, ma chatte palpitant littéralement de plaisir. Je pense que je devais être tellement ouverte qu’on aurait pu me fister sur le coup sans problème.

“Fais toi jouir Rubby.”

Je ne me fis pas prier je n’en pouvais plus, c’était trop. J’éprouvais tellement de plaisir que ça en devenait douloureux. Je glissai mon bras sous mon corps et me frottait littéralement le clito à pleine main, sa grosse queue me pénétrant et labourant jusqu’au plus profond de mon corps. Je sentais à nouveau ce truc chaud monter dans ma chatte et je sentit mon propre liquide couler entre mes cuisses, trempant les draps sous moi. Je basculai alors dans un nouvel orgasme en quelques instants, mon corps partit à nouveau complètement en couille, se contractant, se convulsant, mon gémissement plutôt fort au début se perdant complètement dans mes cordes vocales sur la fin. Je perdit totalement le contrôle de mon corps, mes pensées, mon souffle, mon identité. Il me donna encore quelques puissants coups de rein avant de se retirer, me laissant vide et complètement planante.

J’entendis le bruit du latex dans mon dos. Je me retournais, et habilement il en replaça une nouvelle sur sa queue. Puis, il se coucha à côté de moi, et planta ses yeux bleus glacés dans les miens. Sans me parler, je savais parfaitement ce qu’il fallait que je fasse.

Je lui procurait alors une fellation comme rarement j’en avais faite, complètement transcendée par mon corps fourbu de plaisir, ma chatte encore vibrante. Je gobais ses couilles, faisait descendre sa queue dans ma gorge, utilisait mes mains pour le branler avec avidité, ma bouche suivant le rythme. Son corps frémissait, et je pris l’initiative de retirer la capote. Je le sentais enfin venir. Dans un râle, il expulsa quatre grands jets de foutre chaud sur ma poitrine, tous ses muscles se contractant sous sa vague de plaisir.

Il termina puis lâcha un long soupir. Je me jetais littéralement à côté de lui, pleine de sperme et sans considération pour les draps que j’avais déjà largement souillés. A la fois complètement vidée et remplie. Il me gifla gentiment la fesse et me dit :

“Pas mal pour une première petite soumise.”

Puis il se leva et alla dans la salle de bain en me proposant une douche. J'appréciais vraiment son after-care, et je comprendrais bien plus tard à quel point cette dimension est importante dans une relation domination/soumission.

Cette première séance fut une des plus softs que j’ai pu avoir avec lui, mais il fallait bien commencer à m'éduquer par quelque part. Monsieur L. deviendra mon maître pendant quasiment un an. Peut-être que je vous raconterais un autre de nos rendez-vous un de ces jours … Mais ce jour-là en particulier, j’eu une pensée de pitié teintée de culpabilité pour les femmes de chambre qui allaient s’occuper de celle que nous avions utilisée. Sept ans après, je n’ai jamais atteint à nouveau un tel niveau de chambre complètement retournée puant littéralement le cul à plein nez aux draps détrempés.
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Histoire de Paradise Kiss

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Commentaires du récit : Tu m'attendra nue, à quatre patte, tête baissée

Le 09/01/2024 - 08:48 par Bigben0308
Mmmmh très excitant... en tant que Maître dominateur, j ai imaginé chaque seconde et je ressens l'esprit d une merveilleuse soumise dans cet écrit. Bravo

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