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Charmante voisine

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Lue : 1719 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 28/11/2021

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À cette époque, j'étais encore étudiant. J'avais trouvé une petite chambre au 6ème étage d'un vieil immeuble haussmannien dans le 14ème que me louait ma voisine du dessous, une femme proche de la cinquantaine...

Un soir où mes méninges étaient absorbées par d'empiriques démonstrations physiques et mathématiques, j'entendis gratter à la porte. Je pensai immédiatement que ma petite amie venait me faire une surprise, elle habitait à deux pas dans le 13ème, et comme je ne l'avais pas vu depuis une semaine, pour être honnête, son corps me manquait déjà...

Mais non, c'était le chat de la voisine, plus précisément la chatte, elle s'appelait Gypsie, c'était écrit sur son collier. Elle se faufila comme un éclair à travers mon 10m2 pour venir s'étendre comme un nabab sur mon lit même pas refait du matin...

Par la suite, elle pris cette habitude, si bien que pour éviter de me lever de ma chaise je laissais la porte légèrement entrouverte. Elle me tenait compagnie la mignonne, on se racontait un peu notre vie. Et quand ma copine venait me rejoindre, je ne lui ouvrais pas la porte, je crois bien qu'elle avait compris...

Puis, un jour, je l'entendis se glisser légèrement comme à son habitude, elle vînt entre mes jambes délicatement avant de rejoindre ma couche, mais elle n'était pas seule. Je sentis une autre présence, et me retournant, je découvris sa maitresse. C'était la première fois qu'elle s'invitait ainsi.

"Alors cher voisin, Gypsie semble se plaire avec vous, je ne vous dérange pas au moins, vous êtes seul ce soir ?"

Gêné comme rarement je lui confirmai tout ce qu'elle avait deviné. Elle était très troublante, je ne l'avais jamais vraiment regardé mais quand elle s'assit à son tour sur le lit, ses jambes nues croisées, je sentais bien que le sang me montait à la tête...

Je ne dirais pas qu'elle était belle mais elle avait quelque chose d'engageant dans l'attitude et le regard, une grande sérénité et une forme de désinvolture qui respiraient la liberté. Cette femme était expérimentée, ça se voyait comme le nez au milieu de la figure. Elle n'était pas venue pour parler de la pluie et du beau temps, même si l'orage, ce soir de septembre, cognait fort...

- J'ai une peur bleue des orages, pas vous ?
- Non, pas vraiment, je trouve ça plutôt beau d'ailleurs. Mais vous êtes comme ma petite amie, elle ne supporte pas le bruit du tonnerre
- Je l'ai vue, elle est mimi comme tout. Elle est étudiante aussi ?
- Oui, prépa de médecine"

Cette histoire d'orage me fait maintenant penser à la chanson de Brassens et sa voisine mariée à un représentant d'une entreprise de paratonnerre parti faire des affaires un soir de gros temps...

J'eûs l'impression qu'elle s'étalait de plus en plus sur les draps et, derrière mes lunettes, je m'aperçus qu'elle n'avait pas mis de soutien gorge. Tout en caressant mon Waterman, j'imaginait ses deux jolies tétines de femme mature pointant sous l'effet de ma langue curieuse...

Alors que le ciel s'ouvrait dans un vacarme assourdissant, je devinais la propriétaire de plus en plus fébrile et pressante.

-  Désolée de vous demander ça David, mais je ne suis pas rassurée du tout, j'apprécierais vraiment si vous consentiez à m'accompagner dans mon appartement, je serai plus tranquille
- Votre compagnon est absent ?
- Il est en déplacement, et je dois admettre que je me sens bien seule dans un si grand espace.

Alors soit, j'acceptai de lui tenir compagnie le temps que ce fichu orage passe, elle sourit...

Son intérieur était orné de tableau du Paris de la belle époque où l'on devinait des profils de femmes joliment vêtues de longues robes une ombrelle à la main. Puis parfois des photos plus contemporaines de corps nus, où l'artiste en magnifiait les courbes sensuelles. Des bustes discrètement placés aux quatre coins du salon nous observaient...

Elle m'invita à m'assoir sur le divan du salon puis s'absenta un instant. Gypsie, qui nous avait suivi, vînt s'installer à mes cotés, effrayée sans doute elle aussi par le tumulte extérieur. Sa troublante maitresse réapparu en robe de chambre, chaussée de nu-pieds à petits talons d'où dépassaient de jolies orteils vernis...

- Vous savez David, vous pouvez m'appeler Françoise.

Elle me proposa un thé accompagné de fruits à saisir avec de petites brochettes en bois. Tout cela sentait la délicatesse. Elle chassa gentiment la chatte et s'assit à mes cotés. Tandis que nous dégustions nos boissons chaudes, elle entama une  discussion sur les arts et l'esthétisme...

Je l'écoutais attentivement, et l'apologie des sens qui émanait de ses propos m'amenait, irrésistiblement et en silence, à déceler chez elle la sensualité affirmée d'une femme mature. Moi qui aurait pu être son fils, soudain, je la désirais. Je l'imaginais nue sous sa tenue, ma main caressant sa peau douce et sensible, remontant le long de ses jambes à la découverte de son intimité chaude et humide, ma bouche se nourrissant de sa gorge. Mon esprit se brouillait, je crois bien que j'avais une érection...

D'un geste mesuré, elle portait la tasse à sa bouche, son rouge à lèvres discret laissait à peine une trace sur son bord. Son parfum subtile et apaisant s'harmonisait parfaitement avec la lumière tamisée du salon. La baie vitrée, légèrement voilée, laissait passer des éclairs réguliers qui mettaient en relief les courbes envoutantes de mon hôte...

- Vous jouez d'un instrument David ?
- Mon père était musicien, mais malheureusement, il ne m'a pas transmis son savoir
- Oh, je suis certain que vous avez d'autres cordes à votre arc jeune homme

Je lûs dans son regard de multiples pensées inavouables qui entretenaient mon désir grandissant. Me laissant seul sur le sofa, elle se dirigea vers le couloir qui menait vers d'autres pièces. Son allure chaloupée m'invita à la suivre...

Elle s'était installée sur un tabouret qui faisait face à un piano au milieu d'une pièce nue où les murs étaient tapissés d'un décor bleu azur encombré de quelques nuages fixés ça et là comme pour l'éternité. Elle avait rapidement troqué sa robe de chambre pour une tenue plus légère et plus courte qui laissait apparaître une peau non abimée et des contours avantageux...

Alors qu'elle entamait une ouverture inconnue à mes oreilles profanes, mes yeux était fixés sur sa nuque. En cet instant magique et imprévu, je me disais que rien ne pourrait m'empêcher de goûter à cette peau délicate. J'avais juste à tendre la main pour accéder à ce que j'imaginais être un  délice...

Ses mains tout au clavier, elle me souriait. Elle avait oublié le vacarme extérieur. Elle était si désirable en cet instant que je ne pûs retenir mon premier élan. Glissant derrière la virtuose, je posai mes doigts sur son épiderme, elle continuait à pianoter...

Mes mains curieuses descendirent le long de sa gorge nue jusqu'à sentir ses deux promontoires tétonnés. Je ne sais plus si ma pause fût longue, mais je me souviens très bien la douceur de sa peau et du plaisir que je prenais à contourner ses petits bâtons sensibles qui durcissaient...

Emporté par l'harmonie des notes, je vins lui baiser le dos. Ma langue collée à sa peau, je descendis le long de sa colonne jusqu'au creux de ses reins nus, je ne retenais plus mes ardeurs encouragé par sa muette approbation...

Elle se leva légèrement puis retroussa le bas de sa robe courte me laissant libre de visiter son intimité. De sa robe, il ne restait plus qu'une couronne chiffonnée autour de son bassin. Dieu qu'elle était sensuelle !...

Alors que la musique raisonnait de plus belle sur les murs et dans ma tête, je me délectais de ses fesses offertes à mes idées insensées. Tout en caressant ses douces cuisses, je m'aventurais en son entre-fesses comme un spéléo happé par une gorge inconnue. Alors que mes sens éveillés trouvaient naturellement le chemin vers les orifices tant espérés, Françoise se leva...

Elle me releva, m'embrassa goulument et m'attira dans sa chambre. Gypsie, qui avait trouvé refuge sur le lit en fût délicatement chassée par sa maitresse. Elle s'allongea sur le dos et m'entraina dans une étreinte que je n'étais pas prêt d'oublier. Chacun de ses gestes experts me dénudaient un peu plus tandis qu'elle s'amusait de sa bouche à titiller mes zones érogènes dont j'ignorait à peu près tout jusqu'alors...

Elle m'emmena dans des contrées érotiques où nos corps mélangés et nus s'accouplaient dans de sensuelles improvisations. J'aurais aimé que tout cela ne s'arrête jamais. Le fracassement de l'orage couvrait nos cris de jouissance. Je m'abreuvais à sa source alors qu'elle me tenait entre ses tendres mains. Elle me guidait vers ses zones de plaisirs avec une grande maitrise improbable en ces instants d'abandon total...

Nous vibrâmes jusqu'à l'orgasme au moment où l'orage laissait place à une pluie d'automne qui venait gentiment tapoter sur les vitres des fenêtres. Main dans la main, nous éprouvions le besoin de capter ce moment délicieux. Ma petite amie n'existait déjà plus. Françoise m'embrassa une ultime fois et vînt caresser mon visage comme pour me remercier, mais elle n'imaginait pas à quel point je me sentais privilégié, j'aurais voulu lui faire l'amour toute la nuit...

Quand le réveil me sortit de mes songes profonds, Françoise n'était plus là, ma chambre me parut si petite, mais comment diable me retrouvais-je là ? J'avais l'impression d'avoir dormi une semaine entière. Et si tout cela n'était que pur fantasme...

Dès lors, chaque soir, ma porte resta entrouverte dans l'espoir d'un nouvel orage, compagnon de mes imprévus...
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