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Un amour de tante 10

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Lue : 998 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/05/2020

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Mars 2019…eh oui, tout s’accélère depuis notre entrevue en février dernier ! Ma chère tante avait, sans m’en parler, contacter et convenu d’une rencontre, chez elle en plus, avec un ancien collègue de bureau qu’elle et son mari J, fréquentaient tout le temps, puisqu’ils exerçaient le même métier dans une grande entreprise mutuelle. L m’avait expliqué, après cette rencontre chez elle, que cet homme R, avait toujours un fort penchant pour elle. Elle a pourtant fauté deux fois avec R, une période délicate où ma tante était en désaccord profond avec son mari, elle a succombé à deux reprises, chez lui. L m’a expliqué qu’elle avait gardé un savoureux souvenir de ces moments, mais elle lui a fait comprendre qu’elle devait mettre un terme à leur relation qui, de plus, était interne à leur entreprise. Cependant, R, pourtant marié et fort de ses 70 années, lui a toujours manifesté un intérêt débordant, L l’avait repoussé à maintes fois. Quelques jours avant cette rencontre, L s’est laissée séduire par cet homme insistant en acceptant, cette fois ci, de le recevoir chez elle… ce dernier en est tombé de haut ! L aurait insisté sur la nature des rapports qu’ils pourraient entretenir tous les deux. J’avais compris que cet homme avait toujours eu de l’importance pour elle. R avait accepté de suite… Ce matin donc, ma tante a branché son ordinateur portable et l’a installé dans sa chambre, sur la commode placée juste en face de son grand lit. Nous avons testé la communication qui était remarquable dans la qualité d’image et de son. L’image de son écran a été éteinte pour éviter d’attirer l’attention du nouveau venu, mais sa cam fonctionnait. J’avais une vision dégagée sur la totalité de sa chambre, de sa porte d’entrée avec le couloir d’accès, jusqu’à sa fenêtre qui éclairait le grand lit. J’ai senti L très excitée, ses gestes étaient fébriles, elle parlait comme un robot, je l’ai vue se préparer nerveusement, elle ajustait sa petite robe bleue qui me paraissait très courte, je n’ai pas discerné la présence d’une culotte, ses jambes l’embellissaient. Elle savait que je l’observais, mais elle ne me parlait pas, continuant à se faire belle avec son pull blanc qui dissimulait très mal ses pointes de seins drus sans soutien…Ses cheveux blonds cendrés, reliés en arrière avec une queue de cheval, un léger maquillage autour de ses yeux, son rouge à lèvres presque trop discret, ses lunettes discrètes, je l’ai devinée prête pour son rendez vous. Elle était belle…pour un autre que moi. J’ai à nouveau ressenti ce trouble que j’avais déjà connu avec mon amante passée où j’avais, à cette époque, arrangé un rendez vous avec un autre homme rencontré sur le net…magnifique après midi ! Cette fois ci, c’est ma douce tante qui allait être l’actrice principale de la journée, mais…sans ma présence physique ! L tournait et virait dans sa maison, elle était impatiente, son cerveau devait tourner à pleine vitesse, j’avais eu peur qu’elle ne décommande ce rendez vous, mais elle n’en fit rien. Une sonnerie a retenti à l’entrée, L se rend sur le pallier, actionne l’ouverture du portail, je l’entends lui demander de repousser le battant, une voix d’homme lui répond, des rires, des mots incompréhensibles fusent, puis la porte d’entrée qui se referme en silence. L a parlé la première, lui demandant s’il avait trouvé facilement, son collègue lui répondait en parlant doucement. J’ai perçu quelques phrases distinctes…
-L « Y a longtemps, hein ? Tu es toujours avec V ? Elle va bien ? Et les jumeaux ? ». R lui racontait pendant quelques instants, sa vie de retraité, toujours sportif, sa femme en activité, ses enfants casés et…un long silence
-R « Et toi, toujours aussi superbe ! On a eu de beaux jours ensemble… C’était chouette nous deux ! Tu sais, j’avais failli tout balancer pour toi, on s’entendait bien. J’ai toujours été jaloux de ton mari et je t’ai aimée à la folie et maintenant, je te vois là, je crois que je t’aime encore »
J’ai aperçu au fond du couloir, son ami R, un homme assez grand aux cheveux blancs, qui s’est déplacé vers L que je ne distinguais pas, mais j’ai reconnu son bras qui passait sur ses épaules pour une étreinte plutôt serrée, la tête de R oscillait lentement…pendant une fraction de seconde, j’ai aperçu la belle tête blonde de ma tante qui pressait son visage sur celui de son ami…ils s’embrassaient ! Les mains de R caressaient son corps de haut en bas, passaient discrètement sur ses fesses pendant que leur baiser durait. C’était la première fois que je voyais L être embrassée devant moi…une petite pointe de colère m’envahissait, mais j’étais bien préparé à cette scène, l’excitation prenait le dessus. Leur baiser s’éternisait et R avait la main baladeuse… par-dessous, il avait lentement remonté le pan de sa jupe, caressant la peau douce de sa cuisse, découvrant un petit string blanc qu’il a délicatement effleuré jusqu’aux fesses nues.
-R « Tu es toujours aussi attirante ! Tu me rends fou. Tu n’as pas changé, tu es merveilleuse ». Ces mots étaient entrecoupés d’instants d’embrassade, de soupirs communs, qui laissaient présager une issue fatale et pleine de plaisir. L ne disait mot, se contentant de se laisser bichonner, embrassée, lâchant par instant, de profonds soupirs d’excitation. Ils titubaient un peu, se ressaisissant in extrémis, quand j’ai vu L et R se dévisager longuement, comme s’ils cherchaient une réponse à leur question. L a pris la main de son ami pour l’amener dans la chambre. Il la félicitait sur la décoration de la chambre quand ma tante lui dit :
-L « Rien n’a changé depuis notre dernière nuit ». Je découvrais qu’elle ne m’avait pas tout dit sur leur relation et qu’ils avaient certainement fait l’amour dans cette chambre !
-R « Si…tu es encore plus belle ! ». L s’est assise sur le bord du lit, regardant son ami dans les yeux et, sans attendre, elle attrape la boucle de sa ceinture, la défait, ouvre son pantalon, baisse sa fermeture éclair…Le pantalon glisse lentement, puis descend d’un coup au sol, laissant apparaître un boxer noir avec une bosse énorme dedans. Pendant ce court moment, R passe son pull chemise par-dessus sa tête, il apparaît torse nu, avec son seul boxer présent. J’aperçois un corps sportif aux abdominaux proéminents, preuve d’un entraînement régulier. Il la regarde aussi droit dans les yeux, pendant que L saisit les deux côtés du sous vêtement et le baisse jusqu’en bas… une verge large, longue, épaisse, surgit comme un ressort, elle est beaucoup plus imposante que la mienne. R repousse son boxer jusqu’au sol, se laissant admirer par ma tante qui jette cette fois, son dévolu sur ce pénis dressé. Elle monte une main sur ce chibre, de deux doigts, elle repousse le prépuce, laissant bien visible un gland gros comme un champignon. L le masturbe, le presse jusqu’à son extrémité et, sous mes yeux écarquillés, je vois sa bouche engloutir son sexe jusqu’au fond de son gosier. Sa joue se déformait en s’appliquant à le sucer avec beaucoup de ferveur, pendant que R lui caressait les cheveux en la forçant à bien gober son pieu. La scène me paraissait irréelle, je ne croyais pas L capable d’autant d’audace vis-à-vis de moi et je compris vite qu’elle n’en n’était pas à son coup d’essai… L devenait plus vive avec sa bouche et ses mains, je trouvais que le sexe de R devenait de plus en plus imposant entre ses lèvres alors qu’il a tenté de toucher un de ses seins.
-R « Tu es toujours experte pour sucer un homme… Tu te souviens de ces deux hommes qui étaient venus nous rejoindre dans les toilettes du bar du port ? Oh…tu les as sucés comme une déesse ! Tu en as eu plein la figure ! Mais que tu était belle ». J’apprenais beaucoup de choses ce jour là et j’étais certain que L était certainement gênée par ces aveux déplacés…
-R « Et quand l’autre t’a baisée pendant que tu suçais son copain ? Tu avais des bleus partout sur les jambes à cause du rebord de l’évier ! ». Je comprenais que R et L s’excitaient en relatant leurs exploits passés, cela les stimulait.
-R « Et avec les femmes ? Tu as eu d’autres relations depuis les deux filles qu’on avait prises en autostop ? Je m’en souviendrai toute ma vie…vous voir toutes les trois en train de vous gougnotter…c’était magnifique ! ». En voilà une autre aventure ! Avec des femmes, maintenant ! Je découvrais plusieurs facettes de ma tante bien aimée. L lâche le sexe de son ami et lui répond
-L « Dis donc… et toi le mec que tu as sucé pendant ma soirée d’anniversaire ? Tu t’en souviens. Moi oui ! Pour les femmes, oui, j’en ai connues deux autres, et des femmes mariées en plus, elles passent des après midi avec d’autres en groupe, elles m’avaient demandé de venir les rejoindre, j’ai refusé »
-R « Ben oui…pour le mec, j’étais bourré, je m’en souviens, ton mari t’avait laissée me raccompagner chez moi… on avait baisé avant que tu ne repartes ! »
Mes oreilles sifflaient…un vrai déballage entre illégaux !
-L « C’est ce soir là où ta femme avait trouvé un parfum bizarre dans ton lit et qu’elle avait eu longtemps un doute vis-à-vis de moi, car elle avait reconnu cette odeur que j’étais la seule à porter ! ».
L continuait à branler la verge de R tout en se remémorant leurs ébats ou expériences.
-R « C’est quoi comme parfum ? »
-L « Tu m’en as offert un pourtant ! Rêve indien, je l’ai toujours gardé pour mes soirées…spéciales »
-R « Oh toi…humm, tu m’excites trop, tu n’as pas changé depuis l’année dernière ! » et voilà que j’apprends qu’ils avaient une liaison il y a peu ! Il se penche, embrasse à pleine bouche ma tante, puis, il attrape le bas de son pull, le remonte pour le passer par le haut. Mais l’attache de ses cheveux est restée accrochée à une maille du pull et ne voulant pas l’endommager et étant pressé de découvrir ma belle, il lui dit
-R « Tu garderas le visage caché ! Aujourd’hui, tu ne verras rien, j’ai tous les droits ! » Le voilà qui pousse gentiment L sur le dos, laissant sa tête dissimulée dans le pull à moitié dégagé, j’aperçois sa poitrine nue, ses seins s’étalent sur son thorax, je distingue parfaitement ses petits bourgeons roses qui dardent d’excitation. R colle sa bouche dessus, les tétant, les aspirant fortement, passant d’un sein à l’autre rapidement, déposant des petits baisers sur son ventre plat, descendant sur sa jupe courte, généreusement relevée au niveau de son string. Il a vite découvert son système d’attache sur le côté, il a baissé la fermeture, saisi le bas de sa jupe pour la tirer délicatement, l’a faite glisser le long de ses cuisses, puis de ses jambes, enfin ôtée par ses pieds, la jetant au sol. R observait en silence le corps de L, il dévorait du regard ses formes, se penchait pour effleurer des lèvres chaque centimètre carré de peau, plaçait son nez juste au niveau de son sexe encore dissimulé par ce fin rempart. L tremblait de désir, sans voir, sans bouger ni protester. Sa respiration se faisait plus forte, plus rapide, je voyais le souffle repousser le fin tissu du pull, elle avait la bouche ouverte. Il a lentement promené ses doigts autour de ses mamelons érigés, il les caressait en exécutant des cercles autour pour finir par pincer délicatement l’extrémité, ce qui faisait gémir L. Puis, l’autre sein a eu droit au même traitement et, pour finir, ses lèvres se sont emparées du bout qu’il a serré entre ses dents, déclenchant de puissants gémissements de la part de ma tante. R a glissé à nouveau vers le centre d’intérêt qui l’attirait, léchant ici et là sa peau douce et réactive, l’instant fatidique allait se produire… Tout en appuyant sa bouche sur les deux cuisses, ses doigts ont agrippé le fragile élastique de ceinture des deux côtés en même temps et, adroitement, ont baissé ce sous vêtement devenu inutile. J’ai assisté à l’effeuillage du corps de ma tante aimée, le fin string descendait lentement le long de ses cuisses jusqu’aux pieds qu’il a soulevé pour l’ôter définitivement. Pendant ce déshabillage intégral, R fixait du regard son sexe qui lui sautait au visage, son sourire de victoire était bien visible, je crois qu’un sentiment de victoire submergeait cet homme qui attendait depuis trop longtemps l’heure du retour de cette femme dans ses bras. Je percevais la petite lamentation qui émanait du fond de la gorge de L, ses seins gonflés jusqu’à ses pointes, trahissaient une forte excitation…
-R « Que tu es belle, mon cœur… il n’existe aucune femme comme toi…tu es unique et tu es là…je vais te rendre heureuse, merci pour ça ». Il s’est agenouillé en bas du lit, a attrapé en même temps qu’il ouvrait le compas de ses jambes, ses deux chevilles pour les remonter sur le matelas, dévoilant sa chatte dans sa totalité. J’imaginais fort bien, connaissant ma tante, qu’elle mouillait terriblement, j’aurais payé cher pour être à la place de cet homme qui semblait avoir gagné un trophée dans une compétition…masculine ! R, tout en caressant l’intérieur de ses cuisses, lui parlait doucement
-R « Tu es magnifique…ta chatte…quelle beauté ! Tu es excitée…ça se voit, tu mouille… Tu veux bien que je boive à ta source ? ».
-L « Oh oui…vas y…viens…profites en…je te veux ». Sa réponse était étouffée par le pull qui recouvrait son visage, mais je devinais la forte tension qui régnait dans son corps, ses mots égrenés étaient fébriles, presqu’inaudibles.
R a, tout d’abord effleuré son sexe, en passant ses mains juste au dessus de sa fine toison que je ne distinguais pas bien, puis, s’approchait de son bel abricot… Le premier contact a provoqué une vive réaction de L qui, ne voyant pas les gestes de R, se laissait porter par ses mains qui découvraient son sexe. Le puissant geignement de ma tante prouvait l’état de transe dans lequel elle était, ses cuisses se sont ouvertes davantage, presque mises à plat, preuve d’exercices physiques réguliers qu’elle pratiquait tous les jours. Cette fois, je distinguais fort bien sa belle motte blonde surmontée des doigts de R qui se promenaient lentement sur son clito et de l’autre main, dans son sillon. Il y eut ensuite un léger bruit de clapotis…deux doigts tentaient d’ouvrir son vagin, puis, petit à petit, ils ont fait leur passage pour entrer en force jusqu’au fond de sa grotte magique, entraînant un souffle rauque provenant de la bouche ouverte de L. Le tissu du pull qui bâillonnait son beau visage était comme aspiré, puis repoussé par sa respiration de plus en plus pressante. Je m’étais même demandé si, à cet instant, elle n’était pas au bord d’un orgasme tellement elle soufflait sous son pull. R continuait à lui distiller des mots emprunts de douceur, lui expliquant ce qu’il voyait, sentait…
-R « C’est chaud dedans… et tu es trempée mon cœur. Je sens ton couloir qui se contracte, je glisse en toi… et ça, c’est magnifique ! » dit il en portant le doigt de son autre main sur le sommet de son clito qui devenait de plus en plus sensible sous la pression constante de ses phalanges. Le coup de grâce a été donné… L s’est raidie, son buste entier était pris de spasmes, un long cri grave a surgi de son gosier, ses genoux battaient la chamade pendant que son bassin allait au devant des mains de R… elle était prête à jouir.
-R « Chuuuuttt…attends mon cœur… détends toi…laisse toi aller… » disait R en ralentissant les mouvements de ses doigts en elle, tout comme ceux figés sur son bouton sensible. L ouvrait la bouche en grand sous le pull qui lui dissimulait R, elle ne voyait rien, elle sentait juste…torride situation à laquelle j’étais témoin privilégié ! R remuait sa main presque introduite dans son vagin, il y avait au moins quatre doigts réunis qui allaient et venaient lentement mais profondément et, à chaque pénétration entière, L râlait, gémissait crescendo. Je pense qu’il la trouvait prête à autre chose… R a réuni ses cinq doigts qui ressortaient gluants de son vagin, puis, il les a resserrés en pointe pour les introduire lentement à nouveau. La pression a été plus forte, mais régulière, les premières phalanges ont vite disparu alors que R ouvrait délicatement les grandes lèvres de ma tante avec son autre main, un index centré sur son clito… L ne respirait plus, elle était à la totale merci de cet homme expérimenté, qui, je le découvrais à cet instant, avait des pratiques bien précises, pratiques qui, L m’en a fait part après ce jour là, étaient régulièrement exécutées lors de leurs ébats… et elle adorait l’effet obtenu ! La tête de ma tante se soulevait sous la puissante pénétration vaginale, elle avait la bouche largement ouverte, cherchant davantage d’air, sa respiration devenait saccadée. J’ai suivi sa main qui s’est placée sur le poignet de R, j’ai pensé qu’elle désirait tout arrêté… mais pas du tout ! C’est elle qui a commandé la poussée de R, faisant comme d’incessants aller et retour, mais à chaque fois, de plus en plus profond. Elle gémissait assez bruyamment, R s’est penché sur son bas ventre, j’ai vu sa bouche se coller sur son pubis, ses lèvres ont avalé son sexe, tirant ses lèvres, son clitoris, ce qui a dû distraire quelque peu L qui a changé de voix… je l’entendais mugir, rugir, comme une lionne sous la pression de la bouche insistante de R, tout comme sa main qui avançait toujours en elle. Et quand il s’est redressé, je découvrais qu’elle était entrée entièrement dans son ventre ! Je pense qu’à cet instant, mes yeux sortaient des orbites ! Jamais je ne l’aurais crue capable de pratiquer cet acte qui me paraissait démesuré, presque inhumain… Pourtant, les vidéos, les articles de presse, les photos de cette pratique affluent de toute part, j’en étais informé…mais pour d’autres , pas pour ma tante bien aimée! L a reposé sa tête sur le matelas, elle paraissait plus détendue, mais continuait à haleter comme un chien qui a chaud, seuls ses petits cris trahissaient l’ampleur du plaisir qui inondait son corps entier. Derrière mon écran, j'entendais son souffle au même rythme que les mouvements exercés en elle, de petits gémissements sortaient de sa bouche entrouverte, de petits mots aussi. "Encore, doucement, oui, hum". Ses mains se crispaient sur le drap, les jambes repliées, elle ondulait, tout en elle était vagues de désir. Elle prenait un doux plaisir à l'inviter en elle, à s'offrir à sa main. Elle me dit plus tard qu'elle s'était sentie remplie, pas uniquement dans sa chatte mais dans son ventre tout entier et qu'elle en voulait encore, encore plus. R effectuait de petites et lentes rotations à l'intérieur d'elle, se retirait légèrement et sa main était aspirée à chaque fois. Soudain, elle eut un terrible orgasme qui démarra entre ses cuisses, envahit son ventre et alla résonner dans sa tête. Elle s'est arcboutée, a tremblé toute entière en criant son plaisir si fort que je suis resté immobile devant mon poste d’observation et surpris de tant de violence, R l'a suivie dans son sursaut, sa main prisonnière de sa chatte. J’imaginais son vagin très chaud, très doux, hyper lubrifié, se contracter et pulser. R n'osait pas retirer ma main, de peur de lui faire mal. Puis elle se blottit la tête dans le coussin et j'ai eu l'impression qu'elle s'était évanouie, elle demeurait soudain si calme. Très lentement, il a retiré sa main, s’est approché
d'elle et il l’a prise dans mes bras en la berçant doucement. Il lui a enfin dégagé sa tête, son visage apparaissait rouge du plaisir subi. Elle a ouvert les yeux, l'a gratifié d'un regard si plein de tendresse que je me suis senti, tout à coup, de trop. Mais je me disais que c’était une immense joie que de donner autant de plaisir à la femme qu’on aime…
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