Un amour de tante 5

Mars 2019, Marseille. Ma femme et moi, avions prévu d’aller faire un tour dans ma famille, sur la Côte, entre Toulon et Marseille, afin de revoir des amis, des cousins. Ceux-ci nous ont invités chez eux plusieurs jours, puis une petite location sur la Côte et nous finissions les trois derniers jours …chez ma tante L et son mari, enchantés de nous recevoir, depuis le temps qu’ils nous l’avaient demandé. Dès notre arrivée, j’ai eu un choc…revoir ma tante, comme cela, sur le pas de leur porte, il me passait plein de films, d’images en tout genre, aussi bien de la famille que de nos relations cachées, mais…qu’elle était belle ! Ses cheveux blonds cendré avec une petite queue de cheval à l’arrière, son large sourire charmeur, ses yeux bleus comme la mer, je tombais de nouveau amoureux aussitôt ! Il y a bien eu la petite séance de bises entre nous quatre, mais la dernière que m’a faite L, était bien un signe, le coin des ses lèvres qui se collent sur les miennes, quoi de plus explicite ? Quant au sourire, je n’en dirai pas plus. Nous avons emménagé dans la chambre du haut, tout était à notre disposition. Le soir arrivait, L préparait le dîner, vite avalé et nous sommes passés au salon pour discuter de tout. L a voulu nous montrer des photos sur l’ordinateur portable, elle s’est installée à mes côtés, nous étions tous les quatre, pour dire que nous étions bien serrés ! Elle a placé l’ordi sur nos genoux et a commencé à faire défiler les images de ski, de voyages en Corse. Son mari, ma femme, étaient concentrés sur le diaporama présenté, mais…ce que personne apercevait, c’est que nos cuisses se frottaient allègrement l’une contre l’autre, nos pieds se chevauchaient, nos genoux s’appuyaient l’un sur l’autre et ce n’était pas qu’une coïncidence fortuite ! Je percevais la chaleur de sa cuisse et, pour toute réponse, je m’amusais à remuer la mienne comme pour faire un signe…la réponse était immédiate, même nombre d’appuis. Nous avons joué ainsi tout le temps nécessaire pour passer en revue tous les diaporamas. Puis, l’ordinateur débarrassé, nous avons continué à parler des enfants, des familles, pendant ce temps, je me collais contre elle, mon bras en appui sur son sein, malgré ses 72 ans, ils étaient encore très fermes…Mais tout a une fin…provisoire…l’heure d’aller au lit est arrivée, nous nous sommes quittés sur le pallier et contre toute attente et profitant que nos conjoints s’étaient déjà absentés, L me colle ses lèvres sur les miennes…Nos yeux contrôlaient tout mouvement gênant…nos langues se retrouvaient avec une joie débordante. Nos bouches s’unissaient à nouveau, nous nous retrouvions enfin. J’ai serré L dans mes bras tout le temps de notre baiser, j’ai profité de cet instant pour venir palper son bas ventre qu’elle m’a offert en avançant, je sentais la forme de sa vulve, de son sillon, j’ai dû faire des efforts pour ne pas la déshabiller au pied de l’escalier! Le lendemain, visite du port de Marseille, L et moi étions à l’arrière de la voiture, nous nous regardions avec un regard rempli d’envie, nous sourions, comprenant le sens de nos échanges, par moment, nos mains se retrouvaient sur la banquette, nos doigts s’entremêlaient, je sentais entre nous deux une forte excitation, une envie de tout plaquer et de nous enfuir pour nous retrouver seuls… Pendant la promenade sur le port de Marseille, L ne me quittait pas d'une semelle, nous étions toujours tous les deux à discuter, à rire, pendant que J son mari et ma femme regardaient les boutiques, sans se soucier qu'à la moindre occasion, L comme moi, nous prenions nos mains ou effectuions une caresse discrète sur une partie du corps, c'était grisant. Nous avons pris la direction du Mucem pour visiter les magnifiques tableaux, salles, peintures et nous avons prévu une projection en salle, sur Almodovar. Après avoir pris nos tickets d'entrée, nous avons pris place dans la salle où il y avait un monde fou, nous devions rester debout pour suivre le clip vidéo qui dure une vingtaine de minutes environ. Il y avait tellement de monde que L et moi avons été obligés de nous séparer de nos conjoints qui, à cause de la foule, les entraînait dans l'angle opposé où L et moi avions pris nos quartiers. La séance commençait, L s'était placée juste derrière moi, bien collée, personne ne faisait attention à nous, ma main est passée entre nous deux, se retrouvant juste à la hauteur de son bas ventre. J'ai pu discerner son sexe arrondi, ma tante avait compris mon petit manège et elle se prêtait au jeu, en approchant son corps le plus possible de moi. L'obscurité de la salle, empêchait toute observation clandestine des autres personnes qui nous entouraient...enfin, je le pensais! L avait une jupe en coton très léger que j'appréciais beaucoup quand je le voyais déambuler devant moi, son âge n'avait aucune prise sur elle, sa poitrine, son bassin, ses fesses tout était parfait. Lentement, j'ai remonté, avec mes doigts, le pan de la jupe jusqu'à découvrir ses jambes, puis ses cuisses dont je caressais la peau encore douce, ils ont atteint le tissu de sa petite culotte en dentelle. Ils caressaient lentement son sillon, enfonçant, entre ses lèvres, le tissu qui s'est imprégné d'une substance visqueuse...elle mouillait! Je passais et repassais mon doigt pour en étaler toute la cyprine, j'ai senti que L semblait prise de vacillements, j'entendais sa respiration saccadée, ses seins devenir fermes contre mon dos. J'ai deviné un mouvement de sa main qui a rejoint la mienne, sous la jupe, elle a attrapé l'élastique de la ceinture et elle l'a tiré vers le bas...elle préférait que je continue en contact direct avec son sexe que je retrouvais avec un immense sentiment de joie. Mes doigts ont empoigné sa chatte toute rasée, bien entretenue, je prenais du temps pour retrouver ce sexe qui m'avait appartenu quelques années avant, L tenait sa parole, elle ne m'a jamais oublié et notre liaison était intacte depuis cette nuit où elle s'était donnée à moi, il y a presque 50 ans...et me retrouver dans ce musée, en train de la caresser, c'était tout simplement inouï. Mes doigts continuaient d'explorer sa vulve, j'arrivais à glisser une phalange dans son sillon humide, je m'arrêtais à l'entrée de son vagin qui était ruisselant de cyprine. Ma position ne pouvait pas me permettre d'aller plus loin, mais je me contentais déjà de cela...le seul petit détail qui pouvait nous trahir, c'est son parfum intime, qui émanait de sa chatte et qui remontait jusqu'à nos narines...Il n'était pas du tout désagréable, non, bien au contraire, mais cette fine effluve fleurie nous entourait et risquait d'attirer l'attention de personnes qui étaient proches. Mon doigt a continué, malgré ce petit détail, à glisser dans sa petite entrée intime, L remuait même son bassin d'avant en arrière, comme pour mieux accentuer la profondeur de mon majeur. J'entendais son souffle se bloquer par instant, son corps se raidissait, j'ai eu peur qu'elle ne jouisse, là, debout, entre toutes ces personnes qui nous entouraient. Je percevais son clito qui se frottait sur mon doigt, elle s'amusait à l'appuyer pour accentuer l'excitation. Nous étions ailleurs, nous planions, uniquement concentrés sur nos mains, nos corps, nos ondes qui envahissaient chacun de nous, en aucune façon, nous ne portions attention au film qui était projeté sur l'écran au dessus de nous. Il y a eu un déplacement furtif de la personne qui était à mes côtés, comme si elle insistait pour me pousser un peu, j'ai tourné la tête vers elle, il y avait un homme blond, d'une cinquantaine d'années, son regard brillait malgré l'obscurité de la salle, mais c'est surtout son regard qui entraînait le mien vers ma tante, à l'arrière de nous...Ses yeux allaient dans la direction de mes attouchements! J'ai vite compris qu'il avait découvert notre petit manège et puis, la petite effluve intime de L, avait certainement attiré son attention. L'homme s'est un peu tourné pour amener sa main au contact de la mienne qui était encore active sur elle, il s'est immobilisé, je pense qu'il hésitait à aller plus loin, je me suis légèrement déplacé sur le côté, il en a profité pour se placer plus prés de L qui, d'abord, ne comprenait rien, mais j'ai vite su qu'il avait touché la cuisse de ma tante, sa main venant avec la mienne le long de sa petite culotte baissée. J'ai eu peur d'une réaction de la part de L, même si elle a regardé cet homme, elle n'a pas réagi, laissant les choses continuer. La main de cet homme a touché son sexe, j'ai retiré la mienne, mais je restais tout proche, laissant mes mains dans le dos. J'ai senti le dos de sa main qui s'agitait, ses doigts devaient parcourir sa chatte, découvrant ses chairs bouillantes, son clito saillant et son humidité débordante. J'étais surpris pas la passivité de L, elle se laissait faire sans bouger, seuls, ses yeux se fermaient par moment, elle était très excitée. J'arrivais à percevoir les petits sursauts du bras de ce voisin, il était bien occupé et affairé, je sentais même le bassin de L qui répondait à ses mouvements, peut être la pénétrait il, je ne pouvais pas savoir exactement comment il s'y prenait et ça...ça m'intriguait beaucoup! J’avais presque un sentiment de jalousie qui montait en moi, ma chère tante que j'adorais tellement depuis ma jeunesse, se faisait toucher par un autre homme que moi! En plus, je le sentais glousser en silence, je regardais discrètement son visage qui se fermait, qui se levait vers le plafond, ses lèvres qui se serraient...j'étais certain, elle allait jouir! Mais pas avec moi! J'ai attendu encore quelques secondes, la main de ce voisin assez encombrant, était prise de violentes secousses, ses doigts devaient pilonner sa matrice, L avait son bassin littéralement collé contre sa main, j'avais même l'impression qu'elle lui facilitait l'entrée car elle se hissait discrètement sur la pointe de ses pieds...pour un autre spectateur, ça aurait pu paraître un mouvement pour mieux voir l'écran par dessus l'épaule du voisin de devant, mais je savais qu'il n'en était rien...c'était surtout pour parfaire la pénétration de ses doigts en elle, je le devinais. Pendant tout cet instant d'attouchement, je me suis retrouvé écarté d'eux, je n'avais plus la possibilité d'aller passer ma main sur L, je risquais d'attirer l'attention de la personne proche de moi, je me décidais à la laisser se faire peloter par cet homme qui l'avait prise en main...Discrètement, je jetais un œil sur eux, la lumière des images éclairait la salle par moment, je pouvais apercevoir la jupe de L largement relevée au dessus de sa taille, je distinguais les bas foncés sur sa peau blanche, son bassin était complètement au contact des fesses masculines, par moment, la main apparaissait, active et placée idéalement sur le sexe de ma tante...j'étais totalement en dehors du scénario! Puis, ce qui devait arriver arriva, j'ai vu L baisser son visage, les yeux fermés, sa poitrine se gonfler, se resserrer, les mouvements de son corps se sont faits plus chancelants, elle était en plein orgasme, il y était arrivé, je n'en croyais pas mes yeux...La tension est redescendue après quelques secondes, j'ai assisté à un manège digne d'un film érotique... Sans déranger les personnes qui les entouraient, L et cet homme se sont déplacés lentement, afin de terminer presque côte à côte, mais elle était un peu plus devant lui. Je l'ai vue me jeter un regard, mais l'obscurité était telle que je ne voyais pas l'expression de ses yeux. A ce moment là, je comprenais tout. J'ai aperçu la main de ma tante qui passait sur le pantalon de ce monsieur, il avait auparavant défait sa braguette ou sa fermeture, les doigts blancs de L se sont faufilés à l'intérieur, mais il y avait beaucoup trop d'obscurité, je ne voyais pas bien comment elle s'y prenait. Tout ce que je devinais, c'est, en observant le visage de cet homme, elle s'y prenait certainement bien! La main de L avait totalement disparu dans son pantalon, je parvenais à voir les mouvements répétés de son avant bras, elle devait le caresser. J'étais comme fou...je me sentais seul, ma chère tante m'avait abandonné pour cet inconnu que je lui ai laissé pour s'amuser et je voyais le résultat...elle se détachait de moi, c'était bien fait pour moi. Voilà ce que je ressentais cet après midi là! Je surveillais la réaction de l'homme, il fermait les yeux, à son tour, L lui rendait bien ce qu'elle lui avait offert et c'est lui qui a dû éjaculer dans sa main...J'ai vu ma tante ressortir sa main et la secouer discrètement, certainement engluée de sperme. L'homme a sorti de sa poche un mouchoir et sans attirer l'attention des personnes qui les entouraient, lui a offert, elle s'est essuyée les doigts tout en me regardant avec un sourire très coquin...j'étais stupéfait par son audace. La séance vidéo allait prendre fin, l'homme ne gênait pas pour amener sa main le long de ses jambes, de ses fesses et même, avec une certaine malice gestuelle, il lui caressait un de ses seins en croisant ses bras, laissant une main en contact discret avec sa poitrine. L s'amusait à se laisser toucher, j'ai même compris qu'elle y prenait un certain plaisir, elle se collait à son bras, améliorant la caresse... Puis le film se terminait, la foule de spectateurs se dirigeait vers la sortie, ma femme et son mari sortaient les premiers, L et moi avons pris le temps pour nous retrouver dans le fond de ma salle, je ne me suis pas trop épanché sur mes sentiments de jalousie qui bouillonnaient en moi, mais je lui ai dit "Tu te rends compte, si quelqu'un avait aperçu votre cinéma! Et moi alors...j'ai compté pour du beurre? "...L m'a répondu en chuchotant à l'oreille "T'as raison, mais je suis sûre que tu as aimé ça non? Mais t'inquiète, tu vas avoir une belle surprise demain matin...mais chut...tu vas pas regretter!" Je ne saisissais pas ce qu'elle me disait là...L'annonce m'a de suite réconcilié avec elle...Nous avons fini notre sortie touristique par le Vieux Port, la Canebière, le Fort et retour chez eux