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Un amour de tante 6

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Lue : 967 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 27/04/2020

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A plusieurs reprises, pendant que nos conjoints étaient affairés à d'autres tâches, L ne manquait pas de venir vers moi, nous nous faisions des bises très appuyées, elle me caressait le sexe avec des doigts experts, elle s'esquivait dès que je voulais en faire autant... quelle affreuse et jolie coquine! Après le dîner, nous regardions la télé assis sur le canapé, L toujours proche de moi, son mari et ma femme sur les fauteuils... personne n'avait de remarque à formuler quant à ce contact continu entre ma tante et moi. Seul J, son mari, plaisantait en nous voyant et rigolait avec ma femme en disant "Regarde les ces deux là...la tata et son neveu...pas moyen de les séparer!"...s’ils savaient la nature de notre liaison! Sur le canapé, L se plaisait à se coller contre moi, cuisse contre cuisse, je percevais sa chaleur corporelle qui provoquait, chez moi comme chez elle, une excitation perceptible...et elle ne se gênait pas pour placer son bras sur ma bosse ou moi, ma main entre nos jambes collées. L'heure d'aller nous coucher est arrivée, ma femme est montée dans notre chambre, son mari dans la sienne, j'ai aidé ma tante à préparer le petit déjeuner du matin et, dès que nous étions certains de ne pas être dérangés, L m'a pris par la main pour nous diriger dans la véranda, elle s'est retournée pour me prendre dans ses bras en disant "Viens m'embrasser...j'ai envie là". Nos lèvres se sont collées pour un baiser très vif, j'ai cru qu'elle allait m'avaler tellement elle y mettait de l'entrain! Elle a pris mes mains pour les amener sous sa jupe, j'ai senti sa peau douce et chaude, je les ai remontées, j'ai découvert l'absence de sous vêtement...elle ne portait pas de culotte! L'opportunité était trop belle...mes doigts ont glissé sur sa chatte qui m'a été rendue accessible en ouvrant ses jambes, ils ont découvert son abricot absolument trempé...il débordait de cyprine...c'était fou! Mes doigts se sont englués dans son sexe, il débordait de mouille, ses chairs était gonflées de désir, son clito gorgé de sang réagissait sous la pression de mon majeur, L a tremblé sur ses jambes, son souffle était irrégulier et je sentais son corps qui se raidissait, de petits gémissements étouffés prouvaient que j'allais la faire jouir là, debout devant moi, dans cette véranda encore dans le noir...ça semblait fou! L se tendait comme arc, le visage concentré sur ma main qui la fouillait en profondeur, sa bouche semblait demander davantage d'air et ses mots sont sortis comme par enchantement "Ouiii... continue...oui..oh je t'aime toi...tu me fais du bien..." je n'ai pas réagi au début en entendant cela, trop appliqué à finir ce que je faisais, mais le tableau était magnifique! Revoir cette femme de plus de 70 ans, jouir sous mes doigts, c'était fou. Je crois qu'elle a eu un orgasme intense, j'ai senti son sexe inondé et qui se resserrait sur mes phalanges, mais il y a eu un bruit dans la maison qui nous a saisis, nous obligeant à tout arrêter et à trouver une raison pour justifier notre absence... mais ce n'était qu'une fausse alerte... juste un bruit de porte qui claquait. Nous nous sommes regardés, j'ai vu son visage rouge, ses yeux mouillés, elle me dit "On est toujours aussi fou tous les deux... mais j'aime ça... je t'aime..." Là, je réagis en prenant son visage entre mes mains et je la fixe en lui répondant "Je t'ai toujours aimée...toujours" et nous nous sommes embrassés intensément, tendrement, je sentais qu'elle était sincère et qu'elle se donnait à moi sans aucune restriction. Puis L m'annonce que le lendemain matin, ma femme et son mari prévoient d'aller chercher des fleurs en ville pour des amis que nous devions revoir dans l'après midi et... L avait demandé à son mari que je reste avec elle pour réparer la chasse d'eau à l'étage... je n'avais pas été mis au courant et j'ai vite compris ce qui m'attendait! Quand je suis monté retrouver ma femme qui ne s'inquiétait pas plus que ça de mon absence, elle me dit la même chose. Le matin vers 8h, elle se prépare et retrouve J pour partir en ville, me laissant déjeuner. Dès leur départ, j'ai entendu une serrure de porte grincer, ça venait du couloir où était leur chambre... mon cœur n'a fait qu'un tour. Je me suis levé et, silencieusement, je me suis dirigé vers la chambre, effectivement, la porte était entrouverte et le soleil inondait la pièce. J'ai poussé le battant de la porte, j'ai aperçu un grand lit complètement défait... je n'avais pas fait attention au début, je ne trouvais pas L, mais elle était bien là, couchée sur le dos, une jambe à l'équerre, entièrement nue, les rayons de soleil arrosaient son corps blanc avec ses seins encore volumineux mais légèrement affaissés avec l'âge, son ventre plat et, plus bas, son sexe dont les petits poils blonds brillaient à la lumière solaire...quel magnifique tableau! Je n'avais qu'un regret, celui de n'avoir pas pris mon téléphone pour la prendre en photo, c'était digne d'un tableau pour un artiste peintre ou un photographe. L semblait en plein sommeil, sa tête tournée sur le côté vers l'armoire, les yeux paraissaient fermés et elle respirait lentement. Seules ses pointes de sein étaient dressées, trahissaient une certaine excitation, j'étais certain qu'elle l'était déjà et, qu'elle avait fait exprès de m'attirer dans sa chambre. Mais je ne voulais, en aucun cas, perturber ce scénario qu'elle avait prémédité. Je me suis avancé en silence vers le lit qui ressemblait davantage à un nid d'oiseau fort douillet, qu'à une couche, tout y était accueillant, attirant. Le corps de ma tante était entouré de draps rouge foncé qui faisait un rempart de protection autour d'elle, ce qui accélérait le contraste par rapport à la blancheur de sa peau. Je l'admirais en silence...elle respirait calmement, son ventre montait et descendait régulièrement. Je contemplais son joli sexe blond, quelques poils gris et soyeux se mélangeaient, sa fine toison se faisait clairsemée, laissant apparaître, une vallée rosée, surmontée du capuchon clitoridien d'où émergeait une pointe de chair claire. Ses belles lèvres étaient bien ouvertes, l'entrée de son vagin était bien visible, à peine protégée par les petites nymphes ourlées. Je ne bougeais pas...j'attendais quelque chose, un signe du ciel, un geste, ou autre chose, mais j'ignorais si elle m'avait entendu arriver. Je me postais là, sur le côté opposé où son visage se tournait, je l'ai vue bouger comme un sursaut, puis, sa main gauche s'est avancée jusqu'entre ses cuisses, ses doigts se sont amusés quelques secondes avec ses petits poils dorés, ils passaient et repassaient entre ses lèvres en insistant de plus en plus à l'entrée de sa grotte, son index est entré dedans, j'ai aperçu la brillance du bout de sa phalange, L était bien mouillée! Je pense que cela l'a amenée à investir davantage son vagin et j'ai assisté à une pénétration plus profonde, plus active de ses deux doigts, son majeur et son index réunis... Elle les a fait aller et venir à plusieurs reprises, son bassin ondulait, à plusieurs reprises, elle a titillé son clito qui a surgi comme un ressort de sa gangue et un premier souffle est sorti de sa bouche. Son visage ne bougeait pas, ses yeux étaient toujours clos. A maintes reprises, elle a plongé ses doigts dans son antre, ils ressortaient imbibés de cyprine, elle les a portés à sa bouche pour les sucer et étaler sa liqueur sur ses lèvres...je vivais une scène torride et je bandais comme un cerf! Ce sont ses seins qui, par la suite, ont eu droit à être humectés de mouille, j'apercevais et j'entendais ses doigts qui plongeaient dans ce conduit humide et ressortaient brillants, du délire! Je me gardais bien d'attirer l'attention de ma tante de peur de rompre le charme, j'assistais à ses caresses intimes. Sa main empoignait sa motte, la pressant fortement, puis ses doigts ont repris plusieurs fois le chemin de son vagin, le martelant plus vivement, pressant de la paume de la main, le clitoris qui s'était dévoilé, mais les caresses se sont faites plus insistantes, plus profondes, je comprenais qu'elle cherchait à obtenir un premier orgasme...en m'attendant? le lit bougeait de plus en plus, L râlait et gémissait en se martyrisant le vagin, quelques soupirs plus sonores se sont envolés, son bassin allait à l'avant de sa main, puis elle a ouvert la bouche, renversé sa tête en arrière, les yeux toujours fermés...tout son corps s'est tendu, sa main s'est plantée dans son vagin et n'est plus ressortie...L a éclaté comme un sanglot, pendant que son corps s'est détendu d'un coup, puis s'est affalé sur le matelas, complètement inerte. J'avais assisté à une scène intime, celle de ma chère tante se caressant seule...je garderai cela gravé à jamais dans ma tête, c'était trop beau. Elle est restée immobile de longues secondes, les yeux fermés, je me suis avancé sans bruit. Elle était persuadée que j'étais encore à l'étage, elle ne savait pas que j'étais présent, assistant à ses caresses. Sans un bruit, je me suis plié sur elle, j'approchais de son sexe qui apparaissait ruisselant, de bonnes effluves fleuries m'embaumaient les narines, j'ai appuyé ma bouche sur sa chatte...la réaction a été vive! Elle a sursauté, tentant de repousser l'intrus présent, mais quand elle a compris que c'était moi, elle a presque pleuré et disant "Oh...c'est toi...tu m'as fait peur, si tu savais!" Ma bouche a repris son chemin sur son sexe, j'ai aspiré son clitoris encore sensible, L s'est détendue et m'a ouvert ses jambes, je me suis installé entre ses cuisses, dévorant à mon aise ce bijou que j'ai toujours apprécié. Je lapais sa cyprine, alors que L gémissait à nouveau, elle a saisi ma verge qui bondissait, elle l'a attirée vers sa bouche, j'ai enjambé son visage pour se placer en 69...L suçait ma verge avec douceur, caressant ma colonne, la masturbant, pompant mon gland, par moment elle attirait mon bassin pour enfoncer ma colonne de chair dans sa gorge, pendant que je forais ce sexe avec ma langue, découvrant son canal vaginal nerveux, puissant et humide. L profitait bien de ces instants qui étaient rares, nous n'aurions plus souvent le loisir d'avoir des moments comme celui là pour nous. Elle était active, comme si elle voulait m'avaler tout entier, je sentais la montée de l'éjaculation, je voulais la prévenir, elle m'a lancé "Non...reste...continue...je veux tout". Je me suis laissé aller, sa bouche a eu raison de moi, j'ai éjaculé dans sa bouche, au plus profond de son gosier et elle avalait tout mon sperme. J'ai eu aussi l'impression qu'elle a eu un second orgasme, L a crié pendant qu'elle me suçait et j'ai perçu plusieurs spasmes internes sur ma langue. Une fois calmé, je me suis glissé à ses côtés, L reprenait vie lentement, je caressais sa toison blonde avec mes doigts, je détaillais ce sexe ouvert, béant, luisant sous le soleil, je me rendais compte des possibilités sexuelles que possédaient ma tante, elle était inusable, intemporelle! Nous ne disions rien, je crois que nous étions heureux de cet épisode. "Tu n'as pas changé, mon cher neveu...toujours aussi attachant! Pourtant, je t'assure, je m'étais promise de ne plus avoir de relation avec toi...je voulais y mettre un terme." J'étais stupéfait, mais elle a surenchéri "Tu as vu hier, au musée? J'ai tout fait pour me détacher de toi en me frottant à ce mec que je ne connaissais pas. Je voulais te vexer pour que tu m'abandonnes définitivement." Je l'écoutais et je lui ai répondu "Mais dis moi...qu'est ce qu'on vient de faire là? Tu ne veux vraiment plus de tout ça?" Elle répond de suite "Si...justement...je veux...tant pis. Tu vois...je suis arrivée à aimer ça avec toi...et le pire, c'est que...je dois te le dire...je t'aime, mon chéri" Elle a fini sa phrase en se relevant et en se jetant dans mes bras pour venir m'embrasser à pleine bouche. J'ai perçu un sanglot dans sa voix...je l'ai regardée...effectivement, deux larmes coulaient sur ses joues. "Non...ne pleure pas, moi aussi, je t'aime et depuis que je t'ai connue...et ça date...1963...56 ans que ça dure." "Et ça continue" rajoute t'elle. "La vie a coulé trop vite, tu étais trop jeune quand nous avons eu cette première relation, un vrai détournement de mineur, j'ai fait... Et puis, on a été séparé, divorcé, c'est quand nous avons divorcé que nous aurions dû nous rejoindre...mais tous les deux, nous avions fauté, alors" "Pas de regret" ai je rajouté. "Aucun..." dit elle. "J'ai voulu mettre un terme à notre histoire parce que je me trouvais trop vieille pour toi, les 80 arrivent vite, je ne voulais pas que tu me trouves ridée et toute blette." Je la fixe dans les yeux et lui dit "Regarde toi...regarde comme tu es belle, tu as un corps de jeune fille, tu as vu comme je te désire toujours autant?". "Tu es gentil...trop mignon, merci mon chéri" Et pour sceller nos sentiments, nous nous sommes à nouveau embrassés, mais différemment cette fois, j'ai senti qu'elle voulait me prouver que ses sentiments étaient bien réels, nos corps ont basculé, je suis passé sur le dos, L assise sur moi, nos lèvres toujours collées, elle s'est frottée intensément sur moi. Elle s'excitait ainsi, glissant son sexe contre le mien, je reprenais vie. Pourtant, c'est bien elle qui prenait le plus de plaisir, visiblement, les sensations étaient fortes, son bassin s'appuyait sur le mien, je sentais même son clito le long de ma verge qui grossissait et sa cyprine améliorait le glissement de sa chatte sur moi. Elle continuait à onduler, quand j'ai eu un moment de recul, ma verge s'est retrouvée bloquée à l'entrée de son vagin, un petit ajustement et je me suis enfilé en elle jusqu'à la garde! L en a crié comme une lionne... elle a immobilisé son corps, son visage vers le plafond, elle appréciait l'instant où je la perçais. Sa bouche s'ouvrait, de longues plaintes de plaisir en sont sorties, elle disait "Oh mon Dieu....oh mon Dieu" tout en serrant son vagin sur mon sexe, je croyais qu'une main étreignait ma verge tellement la sensation était bonne. Je me suis efforcé pour ne pas éjaculer dès les premières secondes, j'étais trop excité par ce que nous faisions à cet instant là... j'avais l'honneur de faire l'amour à mon ex tante chérie... tout revenait dans ma tête, notre première relation, nos retrouvailles discrètes où nous nous cachions pour nous embrasser et nous caresser, les jours de rêve que j'ai passés chez elle alors que nous venions de divorcer chacun de notre côté, nos appels téléphoniques discrets, nos petits passages par chez eux où nous nous faisions des bises enflammées...bref, des épisodes marquants. Et ce matin, je la pénètre, je la prends, je lui fais l'amour et elle est sur moi, assise, droite, ses magnifiques seins blancs remontés et leurs pointes qui bourgeonnaient, je n'arrivais pas à réaliser la chance que j'avais, cela ne pouvait qu'être un fantasme. Pourtant, je sentais bien son vagin chaud sur ma queue qui la transperçait, je caressais ses seins de mes deux mains, son corps tendu par le plaisir était bien là, sur moi et elle prenait son pied sans aucune gêne. Elle a commencé un long périple pour faire glisser mon sexe dans le sien, elle se soulevait lentement jusqu'à laisser ma verge sortir d'elle, mais aussitôt, elle revenait, son conduit vaginal s'ouvrait pour me laisser l'envahir et cela, pendant de longues minutes de bonheur. Je crois que je fermais les yeux pour ne pas jouir du spectacle de cette belle femme que je pénétrais...j'avais honte de me sentir un Dieu tout puissant, de posséder une femme que d'autres auraient ou ont (je ne savais pas ce jour) courtisée, moi, je l'avais à cet instant, je la forçais à tromper son mari qui, lui aussi, la prenait par le même endroit que celui dans lequel j'étais... c'était toute une foule de réflexion, de sensation qui me donnait cette extase dans laquelle je baignais! L montait et descendait sur ma verge, sa chaleur intérieure était intense, quant à son humidité, c'était incroyable. Elle coulait jusque sur mon pubis, je sentais ce ruisseau qui descendait entre mes cuisses, j'aurai voulu que ça dure mille ans! Ses gémissements se sont accentués, ce n'était plus des sons rauques ou des souffles profonds, mais des longues inspirations suivies de râles puissants qui se pressaient de plus en plus, se rapprochaient, devenaient continus alors que son vagin se serrait davantage par à coups, son corps sautait sur moi de manière moins ordonnée et elle s'asseyait aussi plus en force comme si elle désirait que je la pénètre encore plus profondément... Puis, elle s'est immobilisée, son visage est devenu grimaçant, sa bouche s'est ouverte, j'ai senti un tremblement de terre dans son ventre, un long gémissement, elle a eu un orgasme intense, dévastateur, qui l'a terrassée comme si elle avait été mise sous tension électrique...j'ai senti immédiatement après, sa petite fontaine se déverser sur moi alors qu'une seconde vague de râles la prenait à nouveau...certainement un second orgasme, elle me le confirmera plus tard. Je n'ai pas résisté devant ce magnifique tableau, une onde m'a pris à mon tour et j'ai éjaculé dans son vagin, de forts et puissants spasmes lui ont fait comprendre que je jouissais à mon tour, elle m'a dit en silence "Vas y...laisse toi aller...jouis en moi...je te veux...", je me suis laissé aller jusqu'à ce que nous reprenions quelques forces...L s'est désolidarisée de mon sexe en enjambant mon corps et, un flot de sperme blanc s'est écoulé de son vagin, elle a vite placé sa main pour bloquer le reste de ma semence en disant "Ouhh...là...y a des fuites.." et elle s'est allongée à côté de moi, reprenant son souffle. Elle me dit "C'est dingue ce qu'on ressent l'un vers l'autre... on n'arrivera jamais à se séparer. Tu veux que je te dise? Moi...je ne le veux plus, je t'aime et je veux te garder, quoiqu'il en soit, et toi?". Je lui réponds "Je ne veux pas te perdre, même si on reste marié, on est lié à jamais, on fera de façon de nous retrouver quand on pourra. De toute façon, vous allez bien venir chez nous plusieurs jours? Et nous reviendrons aussi en avion? Alors... on ne change rien" L se redresse et vient m'embrasser après m'avoir lancé un "Oh...chéri...oui, tu as raison".
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Commentaires du récit : Un amour de tante 6

Le 28/08/2022 - 11:33 par Rackham
En faite ce n'est pas le lavabo qui fuite ;-)

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