Un amour de tante 7

Il nous a fallu reprendre le fil de la vie normale, douche ensemble, lit refait, habillé (L m'a averti qu'elle ne mettait pas de culotte...), une multitude de baisers volés jusqu'à ce que nos conjoints arrivent, le repas était prêt, rien ne filtrait d'anormal. Pendant toute cette préparation, j'avais glissé ma main sous sa jupe, L me laissait la toucher, je plongeais mes doigts dans son intimité et je les ressortais pour les sucer... du coup, tout l'après midi durant lequel nous étions partis chez des amis, je sentais son effluve sur mes doigts, ça m'excitait fortement... Nous sommes revenus chez ma tante vers 20h, elle m'a fait une bise comme si nous avions été longtemps séparés, je l'ai aidée à mettre la table, non sans avoir tenté, avec succès, de l'embrasser et de la caresser. Elle se laissait faire sans aucune restriction. J'ai trouvé son vagin visqueux, quand je l'ai regardée, je lui ai demandé en chuchotant si elle s'était bien amusée...avec J son mari! Quelle ne fût pas ma surprise quand elle me dit "Ben...non, c'est pas avec J..." c'est comme si je recevais une douche froide...Et elle ajoute "Tu sais, au Mucem, dans la salle de cinéma...le monsieur...tu te souviens? Il m'avait donné son portable...on s'est revu cet après midi pendant que je faisais soi disant des courses en ville...il a été super gentil"...je n'en revenais pas...elle s'était faite sauter par cet homme connu dans la salle du musée! Et son vagin que j'avais touché, était encore rempli de son foutre! Elle avait baisé sans capote, comme ça, avec un inconnu! Voyant que je réfléchissais, elle a ajouté "Ne te vexe pas...tu sais, il y a longtemps que J ne me fait plus l'amour depuis ses ennuis de prostate, mais il me laisse libre d'avoir des amants et...j'en ai eus beaucoup!" Je la regardais de travers, mais elle ne m'a pas laissé le temps de répondre "Mais ne te fâche pas...tu es mon meilleur amant et puis, tu es mon neveu, alors, tu es mon préféré!" Je lui réponds "Tu n'es pas la petite femme sage qui reste aux côtés de son mari...tu trompes ton monde, mais je le comprends, tu es toujours aussi belle et désirable, c'est normal"... "Merci mon chéri" cela s'est terminé avec un baiser volé. Malgré que j'avais appris qu'elle avait couché avec cet homme, j'ai passé ma main sous sa jupe pour atteindre son sexe, j'ai introduit mon majeur dans sa grotte, je sentais bien que c'était visqueux, j'ai tourné le bout de mon majeur en grattant son point G qu'elle a de très sensible, elle a failli lâcher les assiettes qu'elle tenait encore dans ses mains! Mais j'ai dû la laisser repartir... Le dîner n'a été que des regards furtifs qu'on s'est échangés, ses yeux trahissaient une certaine envie, les miens, la même chose, certainement, nous sommes restés calmes jusqu'au moment d'aller nous coucher. Nos conjoints allaient se préparer pour la nuit, je préparais le café pour le lendemain matin, L est arrivée en robe de chambre et, après avoir rapidement vérifier que personne ne nous dérange, elle est restée debout sur la pallier, elle m'a regardé intensément, a défait le nœud qui serrait à sa taille, elle a laissé les deux pans de.sa.robe de chambre s'ouvrir... j'ai aperçu son corps nu, ses seins pointus, sa fine toison blonde, elle s'est avancée vers moi en me disant "C'est pour toi... encore une fois, avant que tu ne me laisses encore... profites en, on est tranquille là". Elle était devant moi, son parfum fleuri me montait au nez, elle avait pris une douche juste avant, j'ai caressé sa poitrine ferme, sa bouche est venue se coller contre la mienne et, à nouveau, un ballet incessant de nos langues nous emportait dans un monde sensuel. Ma main a empoigné sa chatte, L a ouvert le compas de ses jambes pour laisser mes doigts investir son sexe que j'ai pénétré, il était chaud comme de la braise, elle a saisi mon visage pour me forcer à me diriger bers son bas ventre, je me suis approché de sa chatte soyeuse pour lancer ma langue à l'endroit de son clito encore dissimulé. L a réagi au premier contact, elle s'est encore avancée vers moi, j'ai insinué ma langue dans son vagin pendant qu'elle m'offrait son bassin, j'ai goûté le parfum subtil de sa grotte, j'étais comme drogué, hypnotisé, sans me rendre compte de la dangerosité de la situation. J'ai voulu abréger ma caresse par peur d'être surpris, L m'a dit "Tu peux continuer...sauf si ta femme redescend, on l'entendra". Je lui réponds."Mais il y a J, pas loin, il peut venir?" Elle me dit de suite "Non...il est couché et il n'y a pas de crainte à avoir" je ne comprenais pas trop le sens de sa réponse...était il au courant pour nous? Je n'osais lui demander, par crainte de perdre la face de cette soirée et de la perdre. L s'est assise sur une chaise, je l'ai accompagnée, je me suis remis entre ses cuisses pour me rassasier de sa chatte qui était délicieuse et puis... profiter encore d'elle, je ne pouvais pas résister. Ma bouche a dévoré sa motte qui m'offrait sa cyprine délicieuse, son clito a eu droit aussi aux faveurs de mes lèvres, je sentais L proche de l'orgasme, elle allait jouir...des pas dans l'escalier ont retenti, ma femme m'appelait pour lui remonter un verre d'eau! Nous avons eu la peur de notre vie...il aurait été impossible de nous rajuster si elle avait décidé de finir de descendre. Nous avons réagi de suite, L a refermé sa robe de chambre, j'ai répondu à ma femme que je montais, nous avons pris congé non sans un dernier baiser silencieux... Plus tard, quand je me suis couché, j'ai fait une bise à ma femme pour lui souhaiter une bonne nuit, elle dit que ma bouche a un goût bizarre...Je lui réponds sans attendre que j'avais pris un morceau de chocolat noir et qu'il était fort...