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Un autre monde

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Lue : 8137 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/09/2011

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Lundi, 5h30, le réveil sonne … « Fini les vacances. C'est reparti pour une semaine, un mois, un an de travail » pense Denis en sortant péniblement du lit.
Sans faire de bruit, pour ne réveiller ni sa femme ni ses enfants, comme tous les jours, il s'habille, boit son café, se lave, se coiffe.

Denis est certes un jeune père de famille mais il est resté dans sa tête le « rebelle» qu'il était ado, il a conservé ses cheveux longs et son corps de sportif de haut niveau. Il a mis au placard ses T-shirt d'Hendrix, Nirvana (criblés de mystérieux petits trous) revendu sa moto et trouvé un emploi très sérieux en bureau d'étude. Ce matin, impossible d'écouter un seul flash info, que des musiques en boucles. Bizarre…

Une fois prêt, il va pour sortir, il est 6h45. Le soleil est levé depuis un certain temps, pourtant le ciel a toujours ses couleurs de l'aube mais encore plus flamboyantes que ces grands jours de pollutions ! Du jaune aux rouges bien vifs, le bleu est quasi inexistant. Sur le trajet pour se rendre à son travail, pas une seule voiture ne circule. Il pense alors s'être trompé d'heure, ceci expliquerait en partie les couleurs du ciel.
Aurait-il mal réglé le réveil hier soir ? Il regarde sa montre :
« Non, il est bien 7h00, se dit-il, Pas de changement d'heure, on est en plein mois d'août ! «

Et cette chaleur ! Certes nous sommes dans le sud de la France, mais quand même, le temps est lourd, humide, pesant.
Sans aller jusqu'à l'usine, Denis s'arrête, téléphone à sa maison : personne ne répond. Il appelle alors la police : personne, son travail, idem... Mais comment est-ce possible ? Serait-il seul sur terre ? Pourquoi lui ?
Certains en cette situation auraient paniqué, d'autres se seraient mis à pleurer. Mais Denis semble fasciné, très vite des idées se bousculent dans son cerveau : « Je peux faire ce que je veux, comme je veux, quand je veux ! » Direction le centre commercial, tout ce qu'il veut il peut l'avoir !

Il passe alors devant une plage de sable fin, généralement bondé de touriste, mais là elle est vide ! « Si je piquais une tête ? Ça me rafraîchira. »
Il laisse sa voiture en plein milieu de la route, sans même la fermer à clé, passe devant les boutiques de souvenir où il prend un grand drap de bain.
Arrivé au bord de l'eau, coup d'œil à droite, à gauche, il n’y a personne. Autant en profiter, Denis se déshabille intégralement puis s'avance lentement dans l'eau. Elle est moins chaude que l'air.
Denis est habitué à se baigner nu, mais dans sa piscine et en pleine nuit à l'abri de tous regards. Pas sur une des plages les plus connues et fréquenté de France.

Au moment où ses bourses allaient toucher l'eau, sans même s'en rendre compte il sent poindre une érection. Il pose alors sa main devant son sexe et se laisse glisser ainsi dans l'eau. Il se caresse très posément, frôlant de ses doigts ses testicules, remontant en suivant ses veines. Il prend le temps de se masturber tout en douceur, en amplifiant, en exagérant les allers-et-retours, ralentissant, accélérant, tout en se laissant bercer par les flots, jusqu'à revenir là où les vagues viennent disparaître. Allongé face au large, son bassin à cet endroit même lui donne d'agréables sensations, sa main suivant alors le rythme des vagues et venant s'écraser sur sa verge, coulants jusqu'au-dessus du nombril puis s'en retournant, s'écoulant sur son corps, il sent les grains de sable passer entre ses fesses, le chatouillant au passage, alors qu'une nouvelle vague revient et ainsi de suite.

En fermant les yeux, il a l'impression de s'enfoncer dans le sable, il a maintenant envie de jouir, il accélère ses gestes pour enfin arriver à la délivrance, un puissant jet dépasse son épaule, puis un suivant qui atterrit dans son nombril, le reste s'écoulant sur sa main. Il reste ainsi quelques minutes avant d'aller faire quelques brasses.
Sans même se sécher, il met le drap de bain autour de ses hanches et retourne à sa voiture. En repassant devant les boutiques, il en profite pour se prendre un tee-shirt, un pantacourt et une paire de chaussure.
Même s'il n'est pas spécialement gourmand, Denis en passant devant un étalage de bonbons en sélectionne quelques-uns, les mange tout en entrant dans sa voiture. Il prend la direction du centre commercial.

Il est déjà midi, le parking est plein mais toujours aucune trace de vie. « A quoi bon chercher une place ? » pense-t-il. Il se gare juste devant une des portes du centre. Dehors Denis écoute ce silence. S'ajoutant aux couleurs du ciel toujours surnaturelles, la chaleur lourde, suffocante même. La situation est à la fois excitante et angoissante.
Le magasin est ouvert, toutes les lumières sont allumées et même la clim fonctionne ! Quel soulagement, cette bouffée d'air frais lui donne des frissons, à moins que ce soit autre chose...
Il grignote ici et là quelques produits très haut de gamme délicieux même s’il est déçu par certains. Il arrive aux alcools, choisi la bouteille la plus chère, l'ouvre et non il ne va quand-même pas boire à la bouteille. Il part donc à la recherche de verres en cristal. Il passe alors par le rayon enfant :
« Un skateboard ! Ca fait presque 20 ans que je n’ai pas mis un pied là-dessus ! Et sur ce sol ! Trop cool ! »

Aussitôt dit, il s'empare du meilleur modèle, le déballe et roulez jeunesse !
Le bruit de la planche perturbe sensiblement le silence pesant de ce magasin.
Quand soudain, il entend un bruit sourd. Denis s'immobilise, son sang se glace. Que faire ? Instinctivement, il se cache, guettant le moindre bruit. « J'ai peut-être fait tomber un truc » pense-t-il. Il entend des rires : « Il y donc d'autre humains ! » Il se dirige vers eux, la planche à roulettes sous le bras.

Il entr’aperçoit alors deux superbes femmes entièrement nues, papotant et divaguant dans les rayons comme si de rien n'était, rien sur l'absence d'humain, rien sur leur nudité. Il les suit, soulagé d'une présence humaine sur cette Terre et subjugué par leurs charmes. Elles ont toutes les deux des cheveux longs, très longs. L'une est blonde l'autre châtain. Elles sont toutes les deux très grandes, aux formes idylliques. La blonde tient un panier déjà bien rempli sa copine, tout sourire, lui tient la main.

Elles flânent dans ce magasin, dans un monde littéralement déshumanisé. Elles se dirigent vers la sortie. Sans hésiter, Denis les suit, se faufile entre les rayons. Quand elles sortent, il constate qu'elles ont fait comme lui, elles se sont garées juste devant une autre porte. Elles ont un gros pick-up. Il décide d’en profiter, le contourne et s'agrippe au pare choc arrière. Sa planche posée au sol, il se tient prêt au départ. Il se demande s'il arrivera à tenir, cela fait si longtemps qu'il n'a plus fait ça !
Elles arrivent à leur véhicule et démarrent. Heureusement pour Denis, elles roulent vraiment très mollement. « Même pas marrant » se dit Denis.
Après seulement quelques kilomètres, avec une pointe maximale à 40Km/h, elles s'arrêtent devant un imposant portail qui s'ouvre lentement.
La petite route sinueuse entre deux pelouses vertes et bordée de paliers, pins, oliviers mène à une somptueuse villa. Dans un virage, Denis lâche le pick-up pour se jeter sur le bord, les bras décomposés et les doigts tout engourdis. Il crapahute sur ce gazon, entre ces plantes exotiques pour arriver en haut d'un monticule où il a une vue imprenable sur la fastueuse propriété.

A plat ventre dans l'herbe verte, sous ses yeux et à seulement quelques mètres, une dizaine de femmes entièrement nues, toutes plus belle les unes que les autres sont au bord d'une grande piscine. Alors que certaines sont simplement allongées sur des transats, d'autres flânent et discutent.
Surpris par l'arrosage automatique qui s’est déclenché, il se redresse et se précipite derrière le tronc d’un grand pin. Toutes les cinq secondes, un jet d'eau vient l'asperger. Ceci est certes agréable par cette chaleur, réelle et morale, mais il ne peut plus admirer le spectacle qui lui est offert juste derrière. Il décide alors de monter dans l'arbre. Cela fait un bail également qu'il ne l'a plus fait, mais finalement c'est sans problème qu'il parvient jusqu'à la première branche donnant sur la villa.

Tel un commando militaire, il rampe le long de cette branche. Une fois bien calé, il contemple le spectacle. Soudain ses yeux s'écarquillent : parmi toutes les sublimes créatures qui défilent sous ses yeux, il croit reconnaître des femmes de son entourage.

En premier lieu sa femme, Marie, pas de doute c'est elle : grande blonde aux yeux très clairs, elle n'a certes pas la taille mannequin, mais au moins elle a une superbe poitrine qui rehausse la beauté de son visage d'ange. Ensuite deux collègues de bureau : l'une doit être sa supérieure directe : Natacha, de taille moyenne, brune aux yeux noisette son visage comme tout son corps d'ailleurs est parfaitement proportionné, sauf peut être la poitrine que Denis imaginait à travers ses vêtements bien plus gros, sacré Wonder bras. La seconde est indubitablement Estelle, secrétaire au service des ressources humaine, sous ses lunettes fines et son air sévère, cette petite femme a le don d'exciter tous les hommes de l'entreprise.

Enfin, une de ces femmes alanguies dans le jardin de cette villa ressemble à une des jeunes mères qui attendent leurs enfants, comme Denis, le soir à la sortie de l'école. Il était impossible de ne pas prêter attention à ses longues jambes, toujours montées sur des talons hauts et ses fesses autant fascinantes que ses longs cheveux noirs.
Marie est allongée, endormie dans une chaise longue. Denis est stupéfait de voir sa femme ainsi nue et insouciante, elle qui avait déjà du mal à faire l'amour avec la lumière allumée. Natacha est aussi allongée dans un transat, elle a aussi les yeux fermés, mais elle ne dort pas : une autre femme est à genoux, la tête entre ses jambes, ses mains tout comme sa langue certainement la caressant doucement.

La petite secrétaire sirotant tranquillement un cocktail, accoudée à un bar, discute avec une autre femme. Elles sont toutes les deux perchées sur des tabourets hauts, les jambes croisées pour Estelle alors que l'autre les a légèrement entrouvertes, sa main sur son intimité elle se caresse comme si de rien n'était.
La jeune maman, dont Denis ne connais même pas le prénom, est allongée, enlacée dans les bras de deux autres femmes. Elles semblent s'être toutes endormies. Il n'y a pas de doute possible quand à leur activité ayant précédée cette sieste.

Denis bande comme un âne, mais sur une branche, c'est loin d’être confortable. Cela en devient même douloureux. Il soulève tant bien que mal son bassin quand soudain : Crrrrrrrrraaaaac. La branche se casse. Ce n'est pas la chute qui blesse Denis, mais en retombant, il roule sur la pelouse et il n’est stoppé que par une bordure en pierre que sa tête heurte de plein fouet. Inconscient, il gît sur le bord de la piscine, très vite entouré de toutes ces splendides créatures.

Quand Denis rouvre les yeux, c'est Estelle, la secrétaire des ressources humaines, qu'il voit en premier. Elle est assise à coté de lui. Calfeutré sous de luxueux draps de soie, ce lit lui semble immense. Il se redresse sur les coudes et touche son front.
- Ca, c'est de la bosse, s'exclame-t-il.
- T'as de la chance que Chantal soit diplômée en médecine, lui rétorque Estelle, puis ajoute :
- T'a dormi plus de vingt quatre heures d'affilée, il est 18h30 !

Alors qu'elle allait partir, Denis l'interpelle :
- Estelle, attend. Tu pourrais peut-être m'expliquer ce qui se passe !

La jeune secrétaire se retourne stupéfaite :
- Comment connais-tu mon prénom ?
- Bah quand même, on se voit presque tous les jours au travail, on discute… On se connaît quoi !
- Non, je crois pas… lui répond Estelle.
- Bouge pas, je vais chercher Chantal, soit ce qu'elle t'a donné te fait délirer, soit le choc t’a causé de plus graves séquelles qu'on pensait !

Elle quitte alors la pièce. Denis prend alors le temps de la contempler. Elle est très grande, décorée dans une ambiance des Mille et une nuit, dans des tons rouges, orange et jaunes. La lumière, filtrée par des rideaux de fines lamelles, y pénètre par une immense baie vitrée qui donne directement sur la piscine. La moquette au sol et les tentures suspendues au plafond rendent ce lieu particulièrement accueillant.

Toutes les femmes entrent alors dans cette pièce. En tête probablement Chantal qui prend la parole : « Il a fait un beau dodo ce grand garçon ? Estelle nous expliquait que vous travailliez avec elle ?
Etonné par cette question, Denis réplique:
- Bien sur ! Explique-leur Marie.
- Tu connais Marie aussi ? lui lance le docteur surprise.
- Forcement, c'est ma femme ! Et Natacha (la désignant du doigt), c'est ma chef et madame, là aux longs cheveux noirs : elle attend tous les soirs son enfant à la sortie de l'école...

Voyant le regard de ces femmes, Denis panique, il s'inquiète. Il implore :
- Aide-moi Marie, t'es ma femme, et … !?
- Je le saurais si nous étions mariés se défend celle-ci.

La jeune mère s'approche de Denis, ses longs cheveux cachent son sein droit, elle s'assoie tout contre lui, pose sa main sur son front avant de lui parler tout doucement.
- Alors: d’un, je n'ai pas d'enfant et de deux, si je t'avais déjà vu, je m'en souviendrai ! Beau gosse » lui lance-t-elle avec un clin d'œil.

Denis se tourne alors vers Marie pour l'observer. Elle n'a pas son alliance ! Mais c'est pourtant bien elle ! Comprenant qu'elles ne le reconnaissent pas et ni ne connaissent réellement, il laisse tomber ses explications. Il lance un grand sourire à la maman (sans enfant donc !) qui est assise contre lui. « Je plaisantais ! Bien sur que je ne vous connais pas ! En vous observant en cachette j'ai juste relevé vos prénoms et improvisé… »

L'air inquiet et soucieux de ces femmes laisse place à présent à des sourires amusés et rassurés, elles se rapprochent du lit. Marie s'assoie de l'autre coté de Denis, lui chuchotant à l'oreille : « Si j'étais mariée à toi, je pense que j'aurais fait un bon choix et surtout, j'espère que j'en aurai bien profité ! »
Une des femmes, au pied du lit, s'avance vers Denis à quatre pattes. Sa poitrine généreuse oscille à chaque pas. Elle se positionne en tailleur derrière Marie, pose une main sur son épaule et la seconde, de l'autre coté de Denis; Sa tête est à moins de 30 cm du sexe du jeune homme. Ce dernier ne peut retenir son érection, il tente quand même de la camoufler par sa main droite remarquant alors qu'il est entièrement nu.

Constatant son étonnement, les yeux fixés sur ses parties intimes recouverte du « simple» drap, Chantal, qui semble manifestement la porte-parole du groupe lui explique, un sourire malicieux aux lèvres. « Nous, nous sommes permises de te déshabiller. D'un point de vue médical, il est vrai que ce n'était pas indispensable. Mais nous en avions tellement envie… »
Par un mouvement circulaire, Denis observe ses hôtesses : elles ont toutes les yeux rivés sur la bosse que forme sa main reposant sur son pénis. Certaines se pince la lèvre inférieure, d'autres ont la bouche entrouverte. On aurait dit des enfants devant une vitrine de confiseries.

Chantal repris la parole, toujours son sourire espiègle aux lèvres, mais sur un ton plus sérieux : « Ca fait plus de 4 ans que nous n'avons pas vu d'homme, tu peux t'imaginer !? Bref, nous te proposons, de t'héberger, tu seras nourri logé blanchi… En contre partie, tu devras répondre à … toutes nos sollicitations. »
En disant ça, elle glissait sa main sous les draps pour la poser sur celle de Denis. « Et si je refuse ? s'exclame Denis.
- Bien c'est pas grave, on arrivera bien à te ligoter au lit, lance Natacha.
L'idée d'être attaché n'était pas pour déplaire Denis, mais il préfère demander des précisions :
« Qu'entendez-vous par « toutes nos sollicitations» ? «

A ce même instant, elles se sont toutes rapprochées un peu plus de lui. Le lit est plein et des mains se sont posées naturellement tout le long de son corps.
Sous les draps, la main de Chantal glisse le long des doigts de Denis, s'immiscent entre eux, frôlant ainsi son sexe, en remontant doucement. Denis lève sa main, alors que celle de Chantal prend possession du pénis déjà en feu. Elle lève la tête et annonce à l'assemblée : « Ce pauvre homme est certainement encore soufrant. Il est chaud, je le sens très tendu et semble animé de convulsions. Levons ce drap ! » Elle se penche alors vers lui, lui chuchotant à l'oreille :
« Oui, là encore ce n'était pas très « médical» , mais elles attendent ça depuis si longtemps, et moi la première. »
Elle l'embrasse alors goulûment, en une fraction de seconde, sa langue a parcouru toute la bouche de « ce pauvre homme» .

Simultanément, le drap s'envole et toutes les mains envahissent le corps de Denis.
Subitement, Chantal les arrête : « Attendez les filles, on ne peut quand-même pas le violer, l'épuiser ainsi ! J'ai préparé, spécialement pour lui quelques « médicaments» aussi, nous devrions, dans un premier temps les lui donner puis dans un second temps… »

Elle sort alors du tiroir de la table de nuit, deux petites fioles transparentes contenant des préparations « pharmaceutiques» liquides, l'une est ambrée, la seconde d’un beau violet. En lui tendant, avec un sourire fier : elle l’ordonne « Cul sec, les deux. » Denis semble septique, elle ajoute: « Quoi ? T'as peur de quoi ? » Devant une telle assurance, nonobstant le sentiment de servir de cobaye, il engloutit les 2 sirops. Il aurait mieux fait de finir par le violet, l'ambré n'est vraiment pas bon.

Durant quelques secondes qui semblent une éternité, toutes les femmes restent là, les yeux fixés sur l'entrejambe de Denis, sans dire un mot.
Chantal reprend la parole, brisant le silence : « Hé ! Ce n'est pas une potion magique, ça n'a pas un effet immédiat ! Pour une meilleure absorption il faudrait qu'il mange. »
« Ca c'est une bonne idée s'exclame Denis. »

Il se lève alors, descend du lit, fait quelques pas avant de constater qu'il ne bande plus, mais en se dirigeant vers le salon, il sent des mains caresser ses fesses, ses hanches, son dos. De plus il suit 3 femmes dont les yeux sont figés sur ses superbes fesses. Son membre se durcit de nouveau.
Arrivé dans le salon, une immense table de banquet, en « U» est dressée, avec de longues nappes blanches. Deux filles vêtues seulement d'un petit tablier blanc s’affairent à finaliser les préparatifs, sur le rythme d'une douce musique d'ambiance. Il reconnaît les deux sublimes créatures du centre commercial. L'une d'elle s'avance :
« Cette semaine, c'est nous 2 qui organisons les repas; Au menu ce soir : Salade norvégienne,
Gigot d'agneau au safran parfumé à la coriandre, Farandole de fromage et Tarte au citron meringuée et pour accompagner le tout rouge et rosé du château Toulmon »

« Allez ! » Entendit Denis juste avant de se recevoir une claque sur les fesses. Il ne tourne pas la tête. Il s'installe alors au centre, sur un grand banc en bois massif. Marie en bousculant deux autres femmes vient s'asseoir à coté de lui en prétextant : « C'est mon mari ! Je dois bien m'asseoir à ses cotés ! » Tout en lançant un clin d'œil à « son homme» Sur sa gauche, c'est la jeune mère de l'école qui s'installe, lui disant : « Moi c'est Caroline; Caro pour les intimes. »

A ce même instant elle pose sa main sur la cuisse de Denis, puis glisse sur l'intérieur tout en remontant, venant flatter ses testicules. « Je pense que je peux t'appeler Caro donc. Lui sort spontanément Denis les yeux écarquillés. »
Face à lui, la blonde du supermarché se penche pour lui déposer son assiette de salade; sa poitrine opulente est juste sous ses yeux. Elle lui glisse à l'oreille. « En fait, il y a plein d'autres choses au menu, mais ça ne serais plus une surprise si… »

Puis, s'en retourne en cuisine, faisant onduler ses fesses, caressées par la ficelle du tablier.
Alors que sous la table, Caroline est toujours en train masser délicatement les bourses de son voisin, Marie s'empare du sexe de son mari, ce dernier rétorquant fébrilement : « Si vous permettez, je vais manger cette belle salade. J'ai une vraiment une faim de loup.
- Nous aussi on a faim, répond simplement Caro. »

Alors qu'il ne lui reste que deux ou trois bouchées, Denis sent une nouvelle caresse sur son sexe. Mais ce n'est assurément pas une main. Une langue bien dure vient de monter de ses couilles jusqu'au gland où elle trace à présent de petits cercles. Deux mains se posent sur ses cuisses, les écartent délicatement avant d'engloutir ce membre toujours en érection.
Denis ne peut alors finir son assiette, il apprécie la douce fellation surprise que lui prodigue une de ces belles femmes.

Marie, voyant que Denis ne mange plus, glisse de nouveau discrètement sa main, du ventre, jusqu'à la tête de sa collègue. « Ho ! Estelle ! » Lui chuchote t elle après avoir soulevé discrètement la nappe.
C'était donc Estelle, la petite secrétaire si excitante, qui avait décidé de passer directement au plat de résistance. Elle lève sa main gauche de la cuisse de Denis, certainement pour venir caresser celle de Marie ou plutôt son intimité, à en voir le visage de cette dernière. Estelle parvenait à sucer goulûment Denis tout en masturbant sa voisine qui se pince alors les lèvres, comme pour se contenir. Denis l'observe, il connaît bien cette expression, c'est la même que lorsqu'ils font l'amour, c'est l'instant où généralement il délaisse les préliminaires pour passer à la suite. Mais là, non seulement il n'y a pas de suite, mais cette caresse est prodiguée par une femme. Jamais Denis n'aurait pensé, même dans ses plus fous fantasmes, qu'elle puisse prendre un tel plaisir avec une personne du même sexe. La tête pleine de belles choses, sa bite dorlotée à souhait, il se demande comment ça se fait qu'il n'ait pas encore joui. La fellation d'Estelle n'est certes pas la plus experte qu'il est connu, mais il y a quand-même les bases !
Les deux serveuses arrivent pour débarrasser les plats finis ou presque et servir la suite. Mais par derrière cette fois, faisant glisser leurs petite poitrine aux tétons érigés contre le dos de Denis, posant chacune une main sur son épaule. Il ferme les yeux, croyant jouir, mains non, le plaisir monte encore ! Comme si elle l'avait compris, Estelle sous la table s'affaire avec plus d'ardeur encore.

Après avoir simultanément débarrassé puis servi la suite à l'invité, les jeunes femmes derrière lui en remontant leurs mains caressent délicatement son torse, avant de se plaquer plus fermement à lui. C'est là qu'il jouit, il n'avait jamais atteint un tel plaisir. La violence du premier jet de sperme est telle qu'Estelle s’est retirée précipitamment du membre dur qu'elle dévorait.
Au même instant, sa femme, à ses cotés venait aussi d'avoir un orgasme. Même si toute la scène n'était pas passée inaperçue aux yeux des autres, le râle rauque de Denis accompagné du petit cri de Marie, qu'ils n'ont put retenir, on pouvait lire sur les regards des expressions partagées, de jalousie, d'étonnement, de satisfaction…
Brisant le silence, Denis s'exclame : « Elle était bien bonne … cette entrée ! »


Les odeurs d'épices, de safran et de coriandre embaument toute la pièce. Le soleil ne suffit plus à éclairer la salle, une femme qui allume sur les tables des petites bougies flottantes sur l'eau dans de petits ramequins ravissants. Denis hume les vapeurs de son assiette en fermant les yeux. Les petits morceaux d'agneau avec leurs couleurs rouges orangées sont un pur délice et le vin rouge se marie divinement à ce plat.
Les premières bouchées titillant à peine ses papilles, il sent de nouveau sous la nappe une caresse sexuelle.
Denis réalise alors qu'il a joui il y a moins de dix minutes et pourtant son érection reste inchangée. Son sexe est toujours dressé et son désir de jouir de nouveau est toujours bien présent, contrairement à l'accoutumé.
Cette nouvelle caresse est bien plus sensuelle et délicate. La femme qui lui offre celle-ci est bien plus expérimentée. Il n'ose pas regarder sous la table, il déguste lentement son agneau, presque comme si de rien n'était, juste en fermant par moment les yeux. Tous ses sens sont en éveil.

La fellation dure depuis si longtemps, toutes les assiettes son vides, un somptueux plateau de fromage a été proposé, mais personne n'en a voulu. De généreuses parts de tarte sont déposées sur les tables. La délicate mélodie, enchantée peut être, et synchronisée avec celle que joue cette femme sous la table avec cette flûte qui n'attend qu'une chose : jouir ! Mais, c'est comme si c'était devenu impossible, Denis a largement dépassé cette zone rouge, là où il pensait que son plaisir atteindrait son apogée, il découvre en fait des sensations, des plaisirs qu'il n'imaginait pas. Il n'a plus la force de faire comme si de rien était, il glisse ses deux mains sous la nappe, non pas pour guider la virtuose, mais simplement pour caresser sa chevelure. Après avoir gardé les yeux fermés un peu plus que les fois précédentes, en les ouvrant, il constate que toutes les femmes le regardent, même sa femme à ses cotés, l'œil brillant. Denis pince sa lèvre inférieure, tout en la fixant des yeux, il ressort ses mains, en emportant la nappe qu'il repose sur la table. Marie tourne alors son regard vers son entrejambe; C'est sans surprise apparente qu'elle voit Chantal sous la table.

Le docteur se dresse alors, entre les jambes de Denis et la table, en accompagnant son geste par une caresse le long du sexe de Denis. Elle s'approchant de son oreille elle lui dit :
« Tu voix, ça marche bien !
- Trop bien, sont les seuls mots qu'il peut alors sortir. »

Prenant appui sur ses deux mains, elle s'assoie sur la table, toujours face au jeune homme, qui ne peut alors s'empêcher de passer ses mains le long des cuisses de cette femme qui s'offre enfin à lui, pour arriver jusqu'à ses fesses. Son visage n'est alors qu'à quelques centimètres ce cette intimité féminine si belle. Il lape d'une langue souple son clitoris, avant de l'enrouler de sa langue qui se fait de plus en plus ferme. Il redescend sur un coté, remonte juste dans l'axe, en s'introduisant le plus profondément possible, tout en tenant fermement les fesses de Chantal. Celle-ci, dans un petit gémissement, lui tient la tête comme si elle voulait qu’il aille plus loin encore.
Les femmes qui étaient le plus éloignées se sont dressées pour venir admirer le spectacle.
Caroline, la jeune mère ne peut alors s'empêcher de dire : « Denis. Ca, nous savons lui faire, je pense qu'elle attend autre chose ! »

Comme pour acquiescer, Chantal lui libère la tête. Denis se relève alors, au même instant Caro et Marie, comme pour l'encourager lui caressent les fesses. Mais il n'en a pas besoin, il fait glisser ses mains des fesses de Chantal à ses seins. Son bassin s'approche du sexe brûlant de cette femme qu'il ne connaissait pas il y a quelques heures encore. Sa main droite redescend au niveau de son bassin, son sexe glisse un premier coup le long de sa fente, puis un second, un troisième, quand simultanément, il la pénètre tout en la plaquant contre lui avec sa main. La prise est violente mais c'est tout ce qu'attendait la demoiselle qui hurle à l'instant même où il entre en contact avec ses cuisses, ancré au plus profond d'elle. Il reste là, sans bouger quelques secondes, le temps que des mains, tout azimut s'immiscent entre et sur ces deux corps qui ne font plus qu'un. Denis par de petits mouvements du bassin explore l'intérieur de sa partenaire.

Des commentaires pleuvent, tantôt chuchoté, tantôt parlé, du plus cru au plus sensuel:
« Vas-y ressort ton gros membre » « Fait la jouir » « Je veux te voir éjaculer, … Pour en profiter à mon tour. » « Défonce là ! » « Je voudrais le sucer moi ! » « J'espère qu'il me fera au moins pareil. » « Ca y est, il ressort. » « Elle est bien grosse. » « Et toutes ces veines, moi ça me fait craquer. »

Pendant ce temps, Denis a entamé de lents mouvements de va-et-vient, Chantal apprécie cet instant de calme, amplifié par toutes ces mains qui s'affairent à lui procurer du plaisir. Mais Denis est lui aussi particulièrement bien traité, Caro à sa gauche, Marie à sa droite sont plaquées contre lui, sur le banc. Derrière lui, plusieurs femmes n'ont de cesse de le caresser, tout comme celles sous la table, où des mains s'aventurent en haut des cuisses, sur les testicules. Gênant parfois même les assauts du jeune homme. Ce dernier n'en peut plus, il veut craquer. Les yeux de Chantal trahissent le même désir. Sans dire un mot, il ressort enfin, entièrement, mais pour prendre plus d'élan, il la reprend très fort, ressort aussitôt et ainsi de suite. Comme une machine au mécanisme bien huilé. Le rythme très soutenu, va croissant tout comme le plaisir des deux partenaires.
Là encore, normalement Denis, comme tout homme, aurait déjà joui, mais il n'en est rien, son pilonnage et son plaisir s'amplifient toujours, Chantal jouit alors fortement. Quand enfin, il sent la sève monter, la délivrance : « Je vais jouir, lance t il d'un air soulagé. »
« Retire-toi » lui demande Chantal soucieuse.

Denis s'exécute juste à temps car à peine sa verge sortie, un violent jet heurte littéralement le menton de Chantal. Il a juste le temps de saisir son sexe, avant qu'une seconde éruption n'atteigne le ventre d'une jeune femme de l'autre coté de la table. Les jets suivants sont plus conventionnels. Toutes les mains qui s'étaient immobilisées reprennent leurs caresses. Natacha lèche goulûment le cou, puis le menton de Chantal. Marie s'est assise sur le banc et a pris en bouche le sexe de son mari. « Jamais elle ne m'avait sucé après une éjaculation » , pense t il alors, tout en appréciant le geste
« Quel repas, s'exclame Chantal, un véritable festin ! Je suis repue. » Ajoute t elle avant de se redresser et de descendre de la table, face à cet homme qui lui a donné tant de plaisir.

Denis déclare : « Effectivement, ce repas était divin ! Je vais m'allonger si vous le permettez.
- Tu l'as bien mérité, répond Chantal. Moi, je vais prendre une douche. Les filles, qui veut m'accompagner ?
Après un silence elle ajoute :
- OK, je comprends, vous préférez l'accompagner…lui ! Vous avez bien raison ! Mais ménagez-le, on en a qu'un ! »

Après un dernier baisé furtif à son amant elle se dirige donc seule vers la salle de bain.
Denis aurait bien aimé l'accompagner, non pas pour continuer leurs ébats, mais bien pour se doucher tout simplement. Toutefois son désir charnel est prédominant, sa verge que Marie a fini de « nettoyer» est miraculeusement toujours en érection pointant devant lui comme pour lui indique le chemin le plus court pour atteindre un lit…

Marie passe devant et le conduit vers la chambre, suivie de tout le cortège de femmes en chaleur qui se collent à lui, le caressent et le désirent.
Devant le lit, Natacha, sa chef au boulot, prend l'initiative. Elle attrape ses poignées, écarte ses bras et le plaque sur le lit avant de se placer au dessus de lui. Face à son visage, elle l'embrasse férocement. Au même moment, il sent une langue, peut-être deux, sur ses bourses. Son sexe est alors saisi fermement par une main qui commence à le masturber. Natacha est légèrement remontée et plaque sa petite poitrine ferme sur le visage de Denis. Ce dernier a à présent les mains libres et peut désormais les peloter et les caresser, tout en les embrassant, les pinçant, les mordillant etc. Les mains qui s'affairent sur l'entrejambe du jeune homme sont accompagnées de flots de salive. Denis descend ses mains jusqu'au bassin de Natacha. Celle-ci a bien compris et en a tout autant envie : qu’il la pénètre. Les mains et les langues s'écartent de ce sexe bien dur, toujours plus veiné. La jeune femme glisse d'abord dessus, lentement, comme pour le masturber, tout en flattant son clitoris, gonflé et dur comme une cerise. Puis vient le coït. Elle se cambre alors en arrière tandis que Denis l'accompagne de ses mains, remontées sur sa poitrine. En une fraction de seconde il est entièrement en elle. Alors que toutes les autres femmes s'approchent de plus en plus du couple, tous les corps sont en contact, s'enlacent, se mêlent.

Par sa position de dominatrice, Natacha gère son plaisir à son gré, faisant glisser son basin, montant et descendant sur l'organe érigé en elle, l'utilisant comme un objet. Tout en appréciant ses mouvements, Denis voudrait prendre le dessus. Il veut imposer son rythme.
Il exerce à présent des mouvements en écho à ceux de sa partenaire ; le plaisir en est alors amplifié. La jeune femme jouit, tout en douceur. Elle se plaque contre lui, les mains sur ses épaules, tout en ondulant toujours son bassin. Denis a suivi la bonne cadence.
Il lui chuchote à l'oreille:
« Mets-toi à quatre pattes, je te veux en levrette !»

Elle s'exécute, bombant exagérément son postérieur, tout en se caressant l'entrejambe.
Sur sa droite, Marie est allongée sur le dos, elle se masturbe en fixant du regard son mari qui s'est mis debout, contre le lit.
Denis est troublé par ceci : le postérieur devant lui, celui sur lequel il a tant fantasmé, et sa femme juste à coté, qui au-delà de lui donner son accord, éprouve du plaisir devant ce spectacle.

C'est donc sans réfléchir plus longtemps, les mains posées sur les fesses offertes, qu'il s'y introduit, sans difficulté.
Quel bonheur ! Il est là, son pieux planté au plus profond, entouré de toutes ces femmes plus belles les unes que les autres. Il commence alors par un mouvement de bas en haut, tout en douceur, puis, confiant en ses performances, il accélère la cadence en restant dans l'axe. Cette accélération a pour conséquences des coups de butoir plus prononcés et de plus en plus violents. Natacha a beau empoigner de toutes ses forces les draps de soie, Denis n'a de cesse de la rapprocher, la remonter et la tirer vers lui avec ses grandes mains qui lacèrent les hanches de la jeune femme. Cette dernière n’en peut plus, ses cris sont étouffés dans les draps. Denis en a bien conscience, mais il ne peut pas jouir lui ! Il lui assène trois derniers coups de bassin en un râle rauque, comme une estocade, pour marquer la fin de l'acte. Et non sans succès, Natacha, au plus haut de son orgasme, se laisse alors retomber littéralement, à plat ventre, sur le lit.

Mais Denis n'en peut vraiment plus, il a besoin physiquement de jouir. Certes son désir et son plaisir vont toujours e augmentant, mais c'en est trop.
La jeune mère, qui était juste à gauche, à genoux, caressant Natacha pendant l'acte, peut le lire dans son regard. Elle attire vers elle, de ses petites mains, le sexe toujours plus dur du « pauvre» jeune homme. Il se décale alors pour savourer une douce fellation. Mais très vite, il la stoppe, posant ses mains sur son visage, avant de la redresser vers lui, et lui ordonner gentiment :
« Mets-toi sur le dos !»

Les yeux brillants, n'en attendant pas moins, elle se laisse basculer, en écartant outrageusement ses cuisses.
Alors que le gland est tout juste en contact de ses lèvres intimes, la jeune mère de famille referme son piège : elle replie ses jambes, en les croisant derrière le dos du jeune homme, l'obligeant à s'introduire d'un trait en elle. Ceci suffit à Caroline pour atteindre son premier orgasme, mais toujours pas pour Denis. Il pose alors ses mains sur l'intérieur des cuisses qui l'emprisonne, les fait glisser jusqu'aux fesses et en les soulevant, il se retire légèrement, tout en la soulevant encore plus, la rapprochant de lui. Ses mains bien ancrées dans ses globes moelleux, il les pétrit au rythme de ses assauts. Le jeune homme n'en peut plus, la sueur ruisselle dans son dos, mais ses coups sont toujours plus forts. La fin est proche, Denis sent qu'il va enfin pouvoir éjaculer :
« Je viens, je jouis» , a-t-il le temps de lancer, tout en l'attirant profondément contre lui.

Cette ultime offensive, accompagnée du véritable jet intérieur, conduit les deux êtres à l'extase.
Denis repose délicatement Caro, avant de s'allonger sur le dos, les yeux fermés et… toujours en érection !




… 0 …
Chantal réapparaît alors, les cheveux ruisselant encore de l'eau de sa douche.
Elle tient ses mains dans son dos, les épaules en arrière, la poitrine bien en avant.
« J'ai une surprise pour vous les filles !
- Un autre homme ? interroge l’une d'elles.
- Presque !» Elle sort alors ses mains et dévoile à l'assistance sa surprise : une pleine poignée de godes-ceintures qu'elle tient par les sangles.

La réaction des femmes n'est pas instantanée.
« Sont-ils doubles ? questionne Estelle.
- Pas tous, mais il y en a !» répond simplement Chantal.

Quatre d'en elles se précipitent alors à ses pieds, comme de petites chiennes attendant leur sucre.

Pendant ce temps, Marie, allongée sur le coté, à sa droite, avait très naturellement posé sa tête sur le ventre de son mari, les yeux vers son sexe toujours droit. Denis, avec le même naturel, avait glissé sa main sur ses hanches, la frôlant, la cajolant. Elle commence à le masturber, une dernière perle de sperme s'écoulant alors. Ni une ni deux, elle se met soudainement à quatre pattes et lape cette minuscule goutte, la fait remonter doucement de sa langue, avant de l'avaler. Tenant toujours fermement le sexe de Denis de sa main droite, elle vient alors sucer le bout rouge écarlate, brillant encore de sa salive, l'aspirant violemment. Lorsqu'elle relâche la pression elle s'exclame :
« À mon tour maintenant !»

Elle l'enjambe et s'empale, guidant de sa main cette verge dans son intimité.
Denis ne l'avait que rarement vu aussi motivée, aussi entreprenante. Il la laisse prendre « le manche» , tout en caressant de ses deux mains les corps qui l'entourent, l'enlacent et lui rendent la pareille.
Mais certaines l'ont délaissé pour s'équiper de ces sexes d'hommes artificiels et en font déjà profiter leurs compagnes.

Marie est à présent en train de prendre son pied. Elle joue avec ce vrai sexe qui théoriquement n'a aucun secret pour elle. Pourtant là, elle semble le découvrir ou plutôt le redécouvrir. Les sensations sont d'ailleurs différentes pour Denis aussi.
Le jeune homme sait ce qu'elle aime avant tout, il connaît même ses fantasmes. Aussi, alors qu'elle ondule lentement sur ce membre surnaturel, il se redresse et lui glisse à l'oreille :
« Tournes-toi et mets-toi à quatre pattes, au bord du lit.»

Elle s'exécute, sans mot dire.
Denis se redresse, il observe rapidement la scène qui se joue dans cette pièce.
Natacha, sa chef, est à plat ventre sur Caroline la jeune mère. Leurs bassins oscillent à l'unisson. Visiblement ce n'est pas la première fois qu'elles utilisent ces ceintures.
De l'autre coté du lit, c'est la jeune Estelle qui « subit» les assauts de la belle blonde du supermarché, tandis qu'une autre, équipée de son harnais, lui impose une fellation de cet organe en plastique.
« Quel spectacle !» pense le jeune homme. Même en film, il n'avait jamais vu ça, et il ne l'aurait encore moins pensé avec toutes ces personnes qui lui sont tant familières !

Il fixe alors le postérieur de sa femme qui s'offre à lui. Il le connaît bien, mais ne peut s'en lasser. Il glisse sa main droite sur ses fesses puis effleure de sa gauche l'intérieur des cuisses, tout en remontant, avant d'atteindre par l'index son clitoris. Puis toute sa paume parvient à se poser délicatement sur son intimité et, en prenant soin de bien dégager le pouce, il commence à dessiner de grands cercles autour de son petit trou. Ceux-ci se resserrent, formant une spirale dont le centre, l'œil de la tornade, n'est autre que son anus !
Au même instant, une jeune femme qu'il n'avait même pas remarquée jusqu'à présent, s'empare de sa queue, de ses deux mains puis de sa bouche.
« Hmm, divin !» ne peut s'empêcher de dire Denis.

Sa main droite vient alors se poser naturellement sur la belle chevelure longue, rousse et bouclée de cette inconnue. Il remonte la gauche à sa bouche, suce son pouce, avant qu'il ne retrouve sa position et ses gestes initiaux : de petits cercles autour de l’alvéole d'amour de Marie. C'est sans difficulté qu'il s'introduit alors à l'intérieur. Elle pousse un petit cri, mélange de plaisir, de douleur et de satisfaction. Au même instant, la serviable rousse se recule. Denis a à présent son pouce entièrement dans sa femme et il continue de décrire des cercles, en parfaite synchronisation avec son index qui s'affaire toujours sur son clitoris. Tout en accélérant ses mouvements, il entame alors des va-et-vient, bousculant à chaque passage sa framboise. Le souffle et les gémissements étant croissants, sous l'œil amusé de la jeune rousse, Denis prend son sexe de sa main droite pour remplacer son pouce. La pénétration est à la fois ferme et langoureuse. Marie n'en attendait pas moins.

Mais là n'est pas exactement l'objectif de Denis qui souhaitait satisfaire un fantasme de sa femme. Il se plaque alors contre elle, l'enlace très fermement de ses deux bras, la soulève du lit et dans une rotation un peu maladroite, s'assoit à son tour sur le rebord. Dans l'action, il n'a put rester en elle. Estelle, qui n'a rien manqué de la scène, sourit et s'approche d'eux, accroupie face à eux. C'est la rousse qui aide à la réintroduction. La secrétaire des ressources humaines tient dans sa main gauche un énorme sexe d'homme en lieu et place du sien, qu'elle humecte sensuellement avant de l'approcher et le glisser sur la vulve de Marie. Celle-ci a bien compris ce qui l’attend et ferme les yeux, impatiente de pouvoir sentir cette double pénétration. Estelle ne la laisse pas plus attendre et vient lentement rejoindre, séparée d'une très fine paroi, le sexe de Denis, toujours aussi raide. C'est elle qui donne le rythme, de très soutenu à infernal, à en devenir presque acharné, endiablé...
Denis a largement dépassé encore le seuil où il aurait normalement déjà jouit. Ce qu'il ressent au-delà de ce cap est du plaisir pur, mélangé à de la souffrance, voire même de la frustration de ne pouvoir craquer.
Quand soudain, en un seul assaut d'Estelle, encore plus appuyé que les précédents, comme par miracle, il entraîne une jouissance simultanée de ses deux partenaires qui s'effondrent sur les draps de soie.

Estelle détache alors son harnais et retire d'elle ce sex toy « magique» , le laissant négligemment tomber au sol. En se dirigeant vers la sortie, elle lance:
« Je pense que nous avons mérité une bonne douche.
- Pour moi, ce serait plutôt un bain !» déclare Marie.

Denis, sans mots dire, regarde alternativement et presque désespérément Chantal et son sexe toujours raide ! Elle lui répond silencieusement par un haussement des épaules.
Fatigué, il se redresse péniblement pour se diriger vers la douche. Celle-ci n'a rien de banale, c'est une immense pièce entièrement carrelée de mosaïques aux tons pastel. En plusieurs points du plafond pendent d'imposants pommeaux.

Au fond de cette salle, en contrebas, une autre pièce est dédiée à la « baignoire» , qui s'apparente plus à un jacuzzi démesuré où l'on peut se tenir debout, avec des assises sur les rebords, illuminé de l'intérieur, bouillonnant, fumant, avec des odeurs très subtiles et indéfinissables d'huiles essentielles.
Denis traverse la salle de douches en contemplant les filles, Estelle et Caroline puis les deux femmes du centre commercial, se savonner mutuellement. Il décide de poursuivre jusqu'au bain.
Marie est déjà dans l'eau, en compagnie de la charmante rousse et une troisième femme. Cette dernière a la particularité d'avoir les yeux les plus clairs qu'il n'ait jamais pu croiser.
Il descend dans l'eau, face à elles, et celles-ci viennent de part et d'autre se plaquer à lui. Les yeux de perles sont à présent fixés dans ceux de Denis.
Marie, s'adressant à la rousse:
« Sandrine, t'en pense quoi de cette préparation que Chantal a donné à Denis ?
- Simplement magique !
- Et toi Blue ? désignant la femme aux yeux clair.
- Bien, je vais vous répondre, dit-elle en s'approchant de Denis, saisissant de ses deux petites mains son sexe toujours droit. J'ai du mal à évaluer…» ajoute-t-elle, avant de s'accrocher aux épaules et, après un petit saut, enlacer de ses cuisses les hanches du jeune homme.

Elle croise ses pieds et, d'une main agile, s'aide à s'empaler sur la tige. Denis place ses mains derrière le dos de Blue et la plaque contre lui, tout en donnant un coup rein.
« Moi, autre que « magique» , je dirais que c'est surnaturel ! s'exclame-t-il.
- Faudra me prouver ça» rétorque Blue.

Ainsi, comme un challenge, le jeune homme, très joueur, nonobstant sa fatigue, redouble ses efforts, sous les yeux et les caresses de sa femme et Sandrine. Blue est tout autant active, serrant puis relâchant ses cuisses afin d'amplifier les mouvements. Les femmes à coté ne sont pas que spectatrices, leurs mains s'immiscent au plus proche des intimités de ces corps fusionnés, et ce malgré les mouvements très réguliers. La chevauchée semble interminable quand, soudain, sans un mot, sans un cri, Blue ferme ses yeux sublimes, cesse tout mouvement et se laisse aller mollement. Ce qui n'est pas le cas du sexe de Denis, toujours en érection. Alors que la jeune femme satisfaite s'écarte pour s'asseoir sur un des sièges incrustés dans le jacuzzi, les deux autres restent collées à lui, le masturbant avec ardeur. Les quatre mains ne sont pas de trop, elles se relaient afin d'aboutir à la jouissance. Même sous l'eau, la force du jet est telle qu'il semblerait être à l'extérieur. Blue le regarde d'un air mystérieux, lui lance un clin d'œil avant de sortir avec grâce de cette immense baignoire. Sandrine, Marie et Denis se savonnent mutuellement alors que déjà le soleil étend ses premiers rayons au travers des vitres.

Les trois comparses finissent leur toilette et, sans même se sécher, se dirigent vers l'extérieur afin de se prélasser au bord de la piscine.
La scène est la même qu'il avait vu du haut de sa branche, un détail en plus : lui ! Il sombre alors dans un profond sommeil avec un air d'entière satisfaction, de bonheur.

Denis est soudain réveillé par Estelle, qui lui fait une petite gâterie.
« Oups ! Je t'ai réveillé ? lui demande-t-elle sur un ton faussement naïf. Je n'ai pu m'en empêcher, quand que l'ai vu, toujours aussi raide, j'ai…» ajoute-t-elle, sans finir sa phrase.

Remplaçant la parole par le geste, elle gobe entièrement cet organe magique, ou surnaturel, puis s'en retire tout doucement en maintenant une légère aspiration et faisant tournoyer sa langue. Sa main gauche enlace fermement la base de ce sexe alors que sa droite suit les mouvements de ses lèvres. Elle augmente ensuite la cadence, sa tête ne peut plus suivre, ses mains serrent de plus en plus fort et s'agitent. Denis, les mains crispées sur les accoudoirs, la tête en arrière, n'en peut plus. Il attrape les avant-bras de la secrétaire, l'obligeant à s'arrêter, et l'attire vers lui. Elle obtempère avec plaisir. Elle enjambe donc le transat et vient s'asseoir sur son sexe encore brûlant des divines secousses qu'il vient d'avoir. L'intimité d'Estelle est tout aussi chaude, ainsi qu’humide. Elle entame alors une sorte de danse orientale, en appui sur ses deux mains posées sur les pectoraux de Denis. Soudainement, elle plante ses ongles. Le jeune homme surpris et endolori comprend très vite l'origine de cette réaction : une autre femme s'est glissée derrière eux, sa langue glisse sur les testicules de Denis, en suivant les ondulations du bassin d'Estelle. Puis une main vient s'ajouter, elle se glisse dessous, en allant jusqu'à exercer une pression sur l'anus du jeune homme. Même « châtiment» pour Estelle où, là, ce sont un puis deux doigts qui s'y sont introduit avec une grande simplicité. Les ondulations font place à présent à de frénétiques mouvements saccadés. Les simples pressions sur le rectum de Denis deviennent de réels coups de buttoir. La porte s'entrouvre, juste au moment où, en un ultime coup de reins, le jeune homme se contracte, refermant cette porte d'un désir nouveau, et jouit. La violence de ce dernier coup ainsi que celle de l'éjaculation contamine Estelle, qui pousse alors un cri strident, avant de s'effondrer sur Denis. Derrière elle, c'était Natacha, qui avait su trouver les boutons déclencheurs d'orgasme !

Marie, juste à coté, n'a rien manqué de la scène. Elle s'approche de Natacha et lui chuchote quelques mots à l'oreille. Estelle pour sa part, rassasiée, se redresse et les abandonne.
« J'ai l'impression d’avoir touché le talon d'Achille de notre invité invincible, lance Natacha, en venant plaquer sa poitrine sur son visage et glissant sa main sur son entrejambe toujours aussi raide. Changeons de position !» lui demande-t-elle.
Le jeune homme s'exécute, laissant sa place sur le transat à sa chef, tandis que Marie les observe toujours d'un air coquin.

Denis se penche alors sur le rebord du siège, là où Natacha a soigneusement positionné son postérieur, et entame un cunnilingus dont il a le secret. Mais Natacha l'interrompt très vite :
« Prends-moi ! Mets-la moi, où tu veux, comme tu veux mais vas-y !»

L'œil brillant, « l'invité invincible» guide son membre de sa main droite, alors que la gauche, après l'avoir humecté machinalement, titille l'entrée intime, déjà bien moite, de sa partenaire, juste avant de s'introduire.
« Hmm… Je pensais que t'emprunterais une autre voie» , s'exclame sa chef, non sans apprécier quand même cet assaut.

Denis, insensible à cette annonce, poursuit sa besogne, quand il sent Marie, toujours derrière eux, immiscer quelque chose entre leurs cuisses. Mais il n'arrive pas à distinguer de quoi il s'agit. C’est trop visqueux et trop gros pour des mains et ce ne peut pas être une fine langue ! Denis en devient soucieux.
Marie s'est en réalité équipée d'un gode ceinture qu'elle a abondamment enduit de lubrifiant et de salive.
Après l'avoir glissé le long de ces 4 cuisses qui s'agitent à l'unisson, elle se concentre alors sur le petit trou vierge du jeune homme, malaxant ses fesses, laissant couler un filet de bave, les deux pouces vers l'intérieur. Écartant de toutes ses forces ces deux globes, elle presse l'accès de ces doigts, tout en approchant le sexe artificiel à l'orée de ce lieu tant convoité en fantasme par les hommes.

Denis, stoïque, tétanisé, poursuit sa tâche machinalement, tout en restant concentré sur ce qu'il ressent par derrière.
De douces pressions viennent attendrir cette zone presque aussi tendue que sa bite, mais voilà qu'un pouce le pénètre. Denis s'immobilise quelques secondes pour apprécier l'instant, peinant à distinguer l’effet de la douleur de celui de la surprise. Quoiqu'il en soit, la seconde suivante, le jeune homme reprend doucement ses mouvements alors que le doigt en lui amplifie de façon similaire sa fouille, avant d'être rejoint par son symétrique. Mais les voilà très vite remplacés par le sexe artificiel. La technique est redoutablement bien maîtrisée, l'initiation ne semble pas être sa première !

Denis semble apprécier, mais n'a pas craqué contrairement à la dernière fois. Il se concentre, un peu trop au goût de Natacha qui, de son côté, s'agite de plus en plus, s'aidant de ses mains pour tenter d'atteindre l'orgasme. Marie, dirigeant tout ce petit monde à la baguette, ajoute la voix aux gestes :
« Alors, c'est bon, t'aimes ça mon cochon ? Et toi Natacha, tu t'en sors ? Ou veux-tu que j'augmente la cadence, que je le bourre encore plus fort, qu'il vienne butter en toi ?»

En disant cela, sans attendre de réponse, elle appliqua ce qu’elle venait d’annoncer, en augmentant progressivement ses mouvement d'entrées et sorties, venant jusqu'à claquer ses hanches sur les fesses de son mari. Alors que les va-et-vient sont plus intensifs et plus fréquents, la chaleur monte, les cris aussi. C’est comme s'ils devaient synchroniser leur orgasme. Mais c'est pourtant bien ce qui se passe, comme une symbiose, les chocs, les exhortations, les plaisirs de ces trois corps enlacés, unis, atteignent leur apogée au même instant. Avec la même intensité ? Nul ne le sait et ne le saura.

Mais Natacha reste là, bouche bée, sa main sur son sexe. Marie, se retirant de son homme et ôtant de son intimité le gode ceinture, double de surcroît, gluant de toutes parts, penche sa tête en arrière, les yeux fermés, sereine. Denis, quant à lui, a gardé « la pose de la jouissance passée» . Décontracté, bouche ouverte, yeux écarquillés, apaisé, soulagé, heureux ! Jamais il n'avait ressenti de telles sensations. C'était pour lui une découverte, un nouveau plaisir qu'il imaginait, certes vaguement, mais n'avais jamais pu atteindre.
Denis se retire en s'allongeant à coté du transat. Natacha le rejoint à même le sol, alors que Marie vient s'immiscer entre eux.

Chantal, non loin de là, telle une patriarche, lance à voix haute :
« Bien, je crois que certains ont déjà commencé l'apéritif ! Allez, tout le monde à table» , ajoute-t-elle.

De simples mais belles assiettes de salade sont déjà placées. Denis reprend sa place, tout comme Marie, mais Caroline s'est fait prendre sa place par Blue, la femme aux yeux revolver.
En s'asseyant, faisant glisser sa langue sur sa lèvre supérieure, elle dit à Denis :
« Toujours aussi appétissant !» Mais, ce n'est pas l'assiette qu'elle regarde alors. Elle ajoute ensuite :
« Bon appétit !» juste avant de se laisser glisser sans aucune discrétion sous la table.

Elle écarte les cuisses de Denis, s'empare à deux mains de son sexe, tout en portant à ses lèvres son gland. La technique est redoutable ; ses mains le masturbent très fermement alors que ses lèvres et sa langue cajolent délicatement l'extrémité de son organe. Et le tout avec son sublime regard planté dans celui du jeune homme. Toutes les assiettes sont à présent finies, sauf deux. Blue ne le masturbe plus que d'une main et sa bouche suit le mouvement, la seconde main s'est glissée sous ses testicules, qu'elle empoigne fermement, tout en augmentant la vitesse des allées et venues. Quand, soudain, Denis, les doigts emmêlés dans les cheveux de Blue, l'immobilise. Il jouit en elle sans aucune retenue. Celle-ci remonte face à lui et l'embrasse goulûment. Elle avait tout avalé et ce baiser n'en était que la démonstration. Elle se rassoit à ses cotés, sert un verre de vin blanc bien frais à Denis puis à elle-même et trinque un coup avant de le siffler cul-sec.

Les deux dernières assiettes sont sommairement finies quand le plat suivant arrive. De simples pattes au beurre.
« Nous… nous avons été un peu occupés, désolé pour la simplicité, marmonne la jolie blonde du centre commercial.
- C'est moins pire que les sandwichs au… naturel. Oui, les bout de pain sans rien qu'on a eu la semaine dernière ! la taquine Chantal.
- Oui, mais on les avait fait un peu chauffer avant, se défend Marie.
- Moi j'aime les pattes !» s'exclame Denis, qui, après avoir ajouté du fromage, a déjà planté sa fourchette, l'entortille et s'empresse de la porter à la bouche.

Finalement, toutes l'imitent et les assiettes sont bien vite finies. Sans même passer par la case fromage, une corbeille de fruit est posée sur la table et passe de main en main, se vidant au fur et à mesure. Denis semble déçu, c'était presque un repas normal.

Alors que le cours de la vie de cette petite communauté semble avoir repris son cours, Marie demande à Denis, tous deux toujours à table :
« Ton histoire que nous serions mariés me perturbe particulièrement. Certes, tu nous as dit que c'était une blague, mais ça n'explique pas que tu me connaisses aussi bien. Donnes moi une preuve, quelque chose de concret.»

Denis, après un long silence lui propose :
« Ok, allons voir notre maison, là où nous vivons. Ça te rendra peut-être la mémoire.
- C'est loin ? demande Marie.
- C'est pas à coté, il faudra prendre la voiture, répond Denis.
- Bien on a qu'à prendre le 4X4 !» s'exclame Marie, toute excitée.

Sur ce, après avoir décroché les clefs d'un anneau, à coté de la porte d'entrée, ils se dirigent vers la grosse voiture, à mi-chemin entre le 4X4 et le pick-up, mais très luxueux à l'intérieur.
« C'est toi qui conduit ! implore Marie. J'ai toujours pas compris comment on passait les vitesses là dessus moi, ajoute-t-elle.
- OK !»

Ainsi, non sans « excitation» , il prend place au siège conducteur alors qu'elle vient s'installer à ses cotés. Il insère la clef dans le démarreur et fait ronronner le moteur avant de suivre le petit chemin à l'intérieur de la propriété et d'arriver devant le portail. Marie prend alors la télécommande pour l'ouvrir.
Après seulement quelques mètres, Denis semble très soucieux.
« Y a un problème ? lui demande Marie.
- Beh oui, c'est impossible de passer la troisième ! Avec un tel véhicule, plafonner à 40 Km/h est un peu frustrant !
- Bah, on est pas pressés ! lui répond naïvement Marie.
- Non, non seulement c'est pénible, on fait forcer inutilement le moteur, répond Denis en bon technicien. Mais, on est pas loin du centre commercial là non ? ajoute-t-il.
- Ha oui ! La prochaine à gauche !» s'exclame Marie.

Denis vire à gauche et vient se garer, juste à coté de sa propre voiture, toujours là où il l'avait laissé, en vrac en plein milieu ! Il coupe le contact du pick-up, sans mot dire, et sort. La passagère le suit. Il ouvre la portière de sa grosse berline tandis qu’elle reprend sa place de passagère. Sans surprise, la clef est toujours sur le contact. Il presse l'embrayage puis le bouton start et la voiture démarre, tout en silence.

En passant la marche arrière, Denis pose son bras machinalement derrière l'appui-tête passager. En se retournant il sourit à sa femme. Alors que cette marche arrière c'est fait tout en douceur, le démarrage est bien plus sportif, tout comme le reste de la conduite. Ainsi, la fin d'après-midi approchant, ils arrivent devant une belle et modeste villa à la menuiserie bleu, au crépi ocre, disposée sur 2 étages. Ils se garent.

Denis n'a pas le temps de venir ouvrir la porte de sa passagère qu'elle est déjà dehors. Il lui indique le chemin, ouvre le portail et débute la visite par le jardin et la piscine. Il prend au passage, dans une cachette, le double de la clé d'entrée - la sienne était resté dans son pantalon. Il passe rapidement sur la visite du hall, de la cuisine, de la salle de bain du bas, puis du salon, avant de l'inviter à monter au premier.
Là, c'est leur chambre, oui, sur tout l'étage, avec toilettes, bain, dressing et... lit ! C'est là que s'attarde Marie, se jetant dessus en lançant :
« Non, vraiment, ça ne me rappelle rien tout ça... Mais ce lit me donne des idées !»
Denis s'agenouille à ses pieds et, en toute férocité, dévore le sexe de sa femme, lui extrayant des gémissements, tout d’abord de surprise, puis de plus en plus langoureux. Sa langue est en compétition avec ses doigts qui s'affairent tous azimuts, autour et dans son intimité.
« Prends-moi !!!» supplie Marie.

Et presque instantanément, il exécute son souhait. Son sexe, d'une parfaite rigidité, s'introduit virilement et sans difficulté dans sa grotte d'amour. Les assauts semblent durer une éternité ; le plaisir, la jouissance des deux semblent sans limite. Denis glisse alors sa main sous l'oreiller où est rangé leur sextoy préféré, « Big black» , et il porte bien son nom !

Il l'approche du visage de sa femme, qui le découvre puis le recouvre d'une main et l'engage dans sa bouche, glissant sa langue sur toute sa longueur, sur toute sa surface. En un mouvement rapide et précis, Denis se retire pour laisser place au jouet. Il le dépose dans un premier temps à l'orée de ses lèves intimes, le cale sur son ventre, tout en guidant son propre sexe face au petit trou. Il s’avance alors, en maintenant « Big black» entre le pouce et l'index. Lentement mais sûrement, Marie est bientôt entièrement occupée et Denis, de plus en plus comprimé. Il est en buté, contrairement au jouet. Il continu sa course en s'inclinant, puis, en le tenant toujours fermement, il se retire, sans sortir et reprend progressivement le rythme qu'il tenait quelques temps auparavant. En peu de temps, Marie hurle littéralement, envahie, tressaillie de plaisir, presque instantanément rejoint par son mari. Ils s'immobilisent alors tous deux et sombrent dans un sommeil réparateur et bien mérité après une telle journée.

5h30, le réveil sonne… Denis émerge péniblement :
« Zut, il était resté allumé lui !» pensa-t-il à haute voix, en tapant machinalement sur le bouton OFF.
Après quelques minutes, Marie, réveillée aussi par la radio, pousse doucement l'épaule de son époux :
« J'ai bien peur que tu te rendormes ! Les vacances sont finies, tu vas être à la bourre, chuchota-t-elle.
- Mais qu'est-ce que tu racontes ? lui répondit-il à haute voix.
- Chuuut, siffla Marie. Tu vas réveiller les enfants. Allez, va te préparer, on en rediscutera ce soir…»

Denis, tracassé, retrouve facilement son « train-train» habituel : habillage, café, radio (avec les info, en live), toilette…
6h50, il est prêt et cherche ses clefs de voiture :
« Beh oui ! On les avait laissées sur le contact hier !»
Et effectivement, la voiture est bien là, fenêtres ouvertes et clefs sur le contact.
Au premier cédez-le-passage, une voiture passe en trombe, comme toujours ici d'ailleurs.
« C'est dingue ça ! s'étonne Denis. Ce n'est pas possible, tout ceci ne peut pas n'avoir été qu'un rêve ! J'ai toujours le sexe en feux… mais au repos !»

Il poursuit sa route, machinalement, comme branché sur pilote automatique, se remémore ces 3 derniers jours : le monde sans vie, sauf une poignée de femmes sublimes, nues ; son premier repas dans cette villa, l'après repas…
Sans même s'en rendre compte, il est déjà garé sur le parking, prêt à reprendre le travail, comme si de rien n'était.

C'est une journée presque comme toutes les autres au travail. Il est bien évidemment avec Natacha sa chef, qui doit porter, comme l'imagine Denis, son traditionnel Wonderbra. Il croise Estelle, la secrétaire aux RH, fidèle à son image vêtie d’un tailleur strict, d’une mini-jupe et des petites lunettes lui donnant un air sévère. Puis, à 16h30, fin de la journée et direction l'école, où implacablement, devant le grand portail, Denis croise Caro, la jeune mère de famille, toujours montée sur ses très hauts talons. Le spectacle de ses longues jambes est aussi amplifié par une petite robe, très courte et particulièrement moulante. La sonnerie retentit, le portail s'ouvre et une nuée d'enfants inonde la place.

Ensuite, retour à la maison, avec goûter, devoirs et douche. C’est alors que Marie parait, malgré une longue journée de travail, toute guillerette, resplendissante, arborant un splendide décolleté :
« Alors cette journée ? Vous avez retrouvé tous vos amis ?» demande-t-elle aux enfants, sans oublier de planter son regard interrogateur dans ceux de Denis, qui n'ose répondre. Mais les enfants le font pour lui :
« Oui Maman ! On mange quoi ?»
Le repas se déroule sur des discutions banales. Les enfants sont couchés et, après avoir sommairement débarrassé, Marie et Denis s'écrasent dans le canapé et s'abrutissent devant la télévision. Trois séries américaines d'affilée plus tard, ils rejoignent la chambre conjugale. Vraiment une journée comme les autres !

Le jeune homme, toujours prêt avant sa femme, est donc déjà couché, en tenue d'Adam, comme d'habitude. Elle arrive enfin, vêtue, elle, d'une très simple chemise de nuit, s'installe sous les draps et lui demande :
« Peux tu me rendre un service ? Je voudrais un truc à la salle de bain, poursuit-elle, sans attendre de réponse. Tu verras, c'est dans le placard du milieu… S'il te plaît mon chéri !»

À ces mots, nul homme ne peut refuser quoi que ce soit à sa femme. Le jeune homme s'exécute, arrive dans la salle de bain, ouvre le placard du milieu et… face à lui... deux petites fioles transparentes contenant des préparations « pharmaceutiques» liquides. L'une est ambrée, la seconde d’un beau violet.
Marie, qui l’a suivi discrètement sur la pointe des pieds, pose alors sa main droite sur son épaule, puis sa gauche sur ses fesses, en lui susurrant à l'oreille :
« On remet ça ? Juste… tous les deux ?»
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