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Un cinq à sept torride

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Lue : 5908 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/12/2015

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Rita une vague cousine, la mère de Flora était là, debout, frémissante, dans mes bras, me regardant intensément ; elle n’avait rien négligé pour être excitante, une robe de satin gris souris moulait comme une peau, son corps, ses fesses et ses seins ; son ventre ondulait sur le mien, ses cuisses entrouvertes. Je savais que je devrais être à la hauteur, digne de cette femme magnifique qui je le tenais de sa fille, fantasmait sur moi depuis des années, je ne devais pas la décevoir.

Il fallait que cela arrive enfin, Rita m’avait invité dans sa villa pour prendre le thé. Elle avait du prendre sur elle pour vaincre sa réserve, son amour propre ; nous savions ce que cela signifiait ; Flora n’avait cessé de me dire l’envie que sa mère avait de moi, sa mère mais aussi ses amies en manque d’amour, de sexe ; elle l’avait entendu leur dire « s’il voulait je me le farcirais bien» en parlant de moi, et toutes ses amies de surenchérir. ( lire Initiation un et deux )

Je sais, j’ai bonne réputation, on me dit gentil, gentil n’est pas le mot, disons agréable, raffiné, prévenant, discret, oui très discret, puissant, inventif pour le sexe quand excité mes sens se déchaînent et des jeunes filles telles que Flora et ses copines venues se faire dépuceler et plus si affinités à de nombreuses veuves, aux femmes délaissées ou mal baisées qui viennent discrètement me voir chez moi de temps à autre, un bruit flatteur court à mon égard.

J’aurais pu entrainer Rita sur le canapé, l’asseoir à mes côtés ; prendre ses mains dans les miennes pour les étreindre, les caresser, pour y poser mes lèvres longuement, chastement, remonter ma bouche pour baiser ses bras ronds, nus, masser ses épaules, avancer mon visage dans son cou, perdre mes doigts dans ses cheveux, mordiller son oreille, la chair tendre de ses épaules, esquisser une caresse sur ses genoux, ses cuisses, enfin faire tous les gestes de la séduction, ces préliminaires amoureux, comme on dit, que l’on fait en douceur pour, mine de rien, faire monter l’envie de celle que l’on veut séduire, posséder, sans brûler les étapes.

J’aurais pu mais je ne l’ai pas fait ; le corps en transe de Rita, son visage bouleversé, son souffle court, la reptation de son corps sur le mien me guidèrent autrement. Lovée dans mes bras elle semblait me dire d’aller vite et fort, ce que je fis.

Je couvris son corps de caresses, certaines un peu rudes qui semblaient la ravir, mes mains glissaient sur le satin de sa robe, empoignaient virilement ses formes, ses rondeurs, son dos, ses fesses de reine, ses seins, elle haletait déjà, gémissait, se tortillait contre moi, s’abandonnait et j’étais comme fou moi aussi, allumé d’un coup. J’ai toujours aimé ces caresses indirectes de mes mains sur le tissu soyeux des robes moulantes qui masquent tout en laissant tout deviner, sentir; j’aime les femmes sensibles à mes caresses et qui me le montrent sans retenues ; Rita était de celles là.

Je sentais son corps, ses seins libres sans soutien, devinais sous la fine pelure de sa robe une culotte de dentelle à volants, son seul sous vêtements apparemment. Tout en nous embrassant comme des morts de faim à bouche que veux tu une de mes mains, les doigts joints, curieux, malaxaient, pinçotaient sa chatte par devant dans l’arc de ses cuisses et le glissement onctueux, l’une contre l’autre, de ses grandes lèvres tapies sous sa robe et sa culotte montrait déjà son état d’excitation ; mon autre main se perdait par derrière dans la commissure de ses fesses somptueuses.

Elle aussi, était active, impatiente, elle avait ouvert ma chemise, l’arrachant presque, découvrant mon torse et cherchait en aveugle, collée sur moi à déboucler ma ceinture, à faire sauter les boutons de ma braguette, elle devait sentir mon émoi, la raideur de mon sexe et elle n’eut de cesse avec une habileté diabolique en glissant sa main crispée dans l’ouverture de mon pantalon, de le saisir, de l’agripper par-dessus la soie de mon boxer.

Cela pressait, elle jouissait presque ; alors, sans ménagement, pourquoi aurais-je fait ce qu’elle ne demandait pas ; je fis glisser, descendre sa robe, dénudant ses épaules au détriment de ses fines bretelles et de certaines coutures qui craquèrent ; peu nous importait, ses seins éclatèrent, dressés, je démoulais ses hanches, ses fesses, tout en me mettant nu moi aussi, faisant voler nos frusques aux quatre coins du salon.

Je n’étais là chez elle que depuis quelques minutes, cela avait été foudroyant, fruit d’une excitation trop longtemps retenue, depuis des années pour elle. J’étais nu, flamberge au vent ; elle, adorable, excitante, ne portait plus que sa délicieuse culotte à froufrous de couleur opaline, soie tissée en un crêpe de chine ondoyant, vaporeux, qui ennuageait ses fesses , des hanches aux cuisses, laissant nu son joli petit ventre pointé d’un ombilic discret. Elle était magnifique, plus que sa fille Flora, peut être, enfin différente, plus femme, plus épanouie, plus sexuelle.

Elle se lova dans mes bras et je la soulevais, mes mains sous ses fesses, facilement, car elle se prêtait, m’aidait, comprenait en s’agrippant à mes épaules, devinait où je voulais en venir, m’escaladant ; elle cala ses cuisses grandes ouvertes ceinturant ma taille, ses jambes croisées dans mon dos, au dessus de mes fesses, les bras suspendus à mon cou ; j’avais ses seins, son cou, ses épaules nues à ma bouche et mon sexe dressé sous ses fesses écartelées, mon gland décalotté sur son fond de culotte.

C’est Rita qui m’ouvrit le chemin en écartant la jambière de soie et en calant la mince bande d’étoffe de côté dans un des plis de son périnée ; elle se centra sur moi, juste le bout de mon sexe entre ses grandes lèvres inondées et la danse commença ; je la laissais faire.

Un moment elle s’agita ainsi ne prenant que mon gland à l’entrée de son vagin, le faisant jouer en elle, entrer et sortir par des circonvolutions, des lentes montées et descentes de faibles amplitudes de son bassin ; se caressant avec lui en s’aidant d’une de ses mains passées entre nos ventres pour le faire glisser dans sa vulve entre ses petites lèvres, presser son clitoris avant que dans un gémissement elle entre de nouveau en moi , juste au bord . Son visage sérieux, appliqué montrait le plaisir qu’elle prenait. J’étais bien moi aussi, je ne bougeais pas, je la laissais faire à son gré, ce boutonnage de mon gland dans sa chatte était jouissif et le spectacle de son visage ravagé, son souffle court ne l’était pas moins.

Je sentais son plaisir monter, elle s’agitait de plus en plus, serrée dans mes bras, des petits cris ponctuaient chaque pénétration, son corps collé au mien, son visage dans mon cou et cela arriva, elle s’affaissa et je sentis mon sexe glisser délicieusement, entrer doucement en elle, lentement mais à fond , enlisé complètement et je ne pus moi aussi m’empêcher de gémir tant j’étais bien , sa chatte était profonde, lisse, et étonnement étroite, inondée d’une mouille filante; chaque pore de mon sexe, comme celui de sa chatte sans doute ressentaient cette caresse subtile à nulle autre pareille.

Oui elle était étroite, plus serrée que Flora sa fille et cela ajoutait au plaisir que j’avais de la satisfaire elle ne devait pas baiser souvent et je comprenais maintenant, ému, l’envie qu’elle avait de moi, un baiseur patenté. Elle resta ainsi un long moment en moi, presque immobile, juste des petites rotations pour bien me sentir en elle, juste le temps de me regarder, de me murmurer.
« Merci Edouard …….. Merci d’être venu…… je t’attendais depuis si longtemps….

Il fallait que je fasse honneur à ma réputation, à moi de prendre des initiatives, de lui donner plus que ce qu’elle attendait, je me devais de la surprendre. Je conjuguais les montées et descentes de mon bassin, de mon sexe à celles de ses fesses, doucement d’abord pour qu’elle ne m’échappe pas, pour que ma verge reste en elle. Avec mes mains je soulevais ses fesses pour mieux la faire retomber sur moi, en moi, de plus en plus fort, de plus en plus profond, à lui faire claquer ses fesses sur mes cuisses.

Rita jouissait en poussant des petits gémissements syncopés en ahanant des ouiiii …..des oui Edouard ouiiiiii …… au rythme des pénétrations, j’observais son visage, ses yeux perdus dans les étoiles, ses bras accrochés, suspendus à mon cou. Mes mains étaient libres pour caresser son corps, son dos, ses fesses, ses seins pressés sur mon torse ; je l’embrassais, mordillais ses épaules, léchais ses oreilles, ses dessous de bras, jouais avec eux avec la pointe de ma langue. Elle haletait en s’agitant sur moi, le souffle court, lors d’une caresse elle prit ma main et présenta mes doigts dans sa bouche entrouverte les aspirant, les suçant en bavant, en gémissant comme si c’étaient de petits sexes.

Moi j’étais bien, heureux du plaisir qu’elle avait, mon sexe allait librement dans l’étroit conduit de son vagin lubrifié ; à chaque pénétration je sentais sur la peau de ma verge la caresse de la dentelle de son fond de culotte calé entre ses fesses s’ajouter à celui des lèvres de sa vulve et c’était très surprenant, très agréable, je résistais à mon envie de jouir, de la remplir de mon foutre.

Je fis un petit essai avec mes doigts enduits de sa salive et tout en continuant de lui fourrer la chatte je les glissais sous ses fesses grandes ouvertes par la position pour lui caresser l’anus en faisant tourner la pulpe mouillée de mon index autour de son petit cratère tout plissé, j’étais curieux de voir sa réaction. Elle alla au-delà de mes espérances, comme la goutte d’eau qui fait déborder le vase, ses gémissements devinrent cris et quand encouragé je pénétrais de mon doigt l’entrée de ce monde des ténèbres et que je le laissais en place, deux phalanges dans sa rosette, Rita devint comme folle et je dus de l’autre main la maintenir contre moi. Sa réaction volcanique m’ouvrait des perspectives pour la suite.

Je ne pouvais rester ainsi dans cette position acrobatique et tout en la maintenant dans mes bras, mes mains sous ses cuisses, sans me désengager je l’avançais vers la table du salon et je l’allongeais, son dos sur le bulgomme qui la protégeait, les fesses bien au bord dans un angle, à bonne hauteur, nous étions mieux pour baiser.

Je lui quittais sa vaporeuse petite culotte ; j’étais extasié par la magnificence de son corps nu que je voyais mieux allongé devant moi, de l’érotisme qu’il dégageait, je découvrais cette toison sauvage de poils fous, frisés, qui masquaient, ornaient son pubis , ses seins bandés qui tanguaient, frémissaient à chaque coup de boutoir de mon sexe dans le sien, par la souplesse de son corps de Yogini. Rita pratiquait le Yoga je m’en souvenais maintenant et je m’en félicitais pensant déjà à des positions jouissives hors normes que je n’avais pu réaliser jusqu’alors faute de partenaires ayant sa souplesse et son état d‘esprit ; à cette idée je ressentis une tension supplémentaire dans mon sexe dur comme de l’acier….. trempé … l’acier!

Pour être plus proches, je me penchais sur elle en relevant ses cuisses, en calant ses jambes sur mes épaules tout en continuant de limer sa chatte de toutes mes forces avec mon sexe décalotté. Elle se tortillait sur moi, nos ventres soudés et je compris qu’elle appréciait la caresse délicate de mes poils frôlant son clitoris caché dans les siens ; je regardais sa jouissance, qu’elle était belle ainsi dans l’autre monde.

Je me penchais davantage en prenant ses seins à pleines mains. Mon visage face au sien nous nous regardions les yeux dans les yeux, les siens m’encourageaient, me disaient d’aller plus fort encore et elle lut dans les miens le moment où en contractant sa chatte sur mon sexe elle me fit jouir en jets puissants. Je l’inondais au plus profond de son être ; elle fut comme électrisée, foudroyée, elle criait en battant des bras écartés sur la table et je m’efforçais de faire durer son orgasme, ce moment de plaisir suprême où plus rien d’autre ne compte.

Nous mîmes un moment à nous remettre, immobiles écroulés l’un contre l’autre, lovés de tout notre long ; nos ventres inondés de mouille, le souffle court, un sourire flottait sur les lèvres de Rita, ses yeux me disaient sa satisfaction du plaisir que je lui avais donné et qu’elle m’avait rendu en me faisant jouir. Je pris son visage entre mes mains, caressant ses joues et je l’embrassais tendrement, elle m’offrit sa langue.

Nous nous étions relevés, debout, enlacés et j’eus envie de continuer la fête, de la faire jouir encore, de faire honneur à ma réputation pour la satisfaire. Je l’entraînais sur le sofa, pour m’y assoir ; ses yeux brillaient quand elle s’avança, nue, vers moi, se mit à genoux sur les coussins, face à moi, ses cuisses écartées, avancées de part et d’autre de mes hanches. J’étais excité au possible, mon sexe dressé, vertical entre ses fesses.

Je lui pris la taille nue à deux mains ce qui l’a fit frissonner ; je l’observais quand elle se mit à descendre en pliant ses cuisses sur ses jambes et je vis son petit rictus quand elle trouva son chemin, aisément tant elle était écartelée par la position, sa chatte ruisselante sur mon gland. Je l’aidais, la retenais, la relevais, mes mains sous ses fesses, pour ralentir la pénétration, la faire aller et venir sur moi, l’enliser de plus en plus profondément jusqu’à sentir sa chatte frôler mes testicules, les épouser, mon sexe en butée au fond de son vagin contre son utérus entrouvert. Alors une fois encore je la laissais libre de faire ce qu’elle voulait, ce qu’elle attendait depuis si longtemps.

Elle resta un moment ainsi, en se dandinant, assise sur moi en se caressant la chatte avec mes roubignoles, en se vautrant sur elles en des reptations, des soubresauts anarchiques, les faisant rouler, glisser sur la fleur épanouie de ses lèvres mousseuses de sa rosée . Moi j’avais repris ses seins à pleines mains pour les présenter à ma bouche et cela la déchaîna ; déclencha une sorte de folie de tout son être ; mon sexe branlé, tordu d’un coup, par des reptations d’arrière en avant de ses hanches, des montées et descentes vertigineuses de son bassin rythmées par les claquements de ses fesses sur mes cuisses, broyé de nouveau par les contractions de sa chatte, comme pour me garder au plus profond de son vagin.

Elle m’avait fait venir pour que je la fasse jouir, lui donner du plaisir et c’était cette liberté que je lui offrais, de le prendre comme elle l’entendait qui l’enchantait, puissamment, sans réserve, de me le montrer sans pudeur, de le faire durer jusqu’au moment où elle me vaincrait à son tour, me faisant jouir en elle, sans retenue.

Son orgasme dura une éternité, renaissant sans cesse, j’avais du mal à la retenir elle s’agitait en ployant son corps en arrière pour revenir se coller à moi, ses seins sur ma poitrine et ces simples oscillations de son ventre, de son buste, suffisaient à faire jouer mon sexe prisonnier, le faire aller et venir, glisser dans sa chatte, à le tordre en elle pour notre plus grand plaisir. Mais d’un coup, au plus fort de sa jouissance, comme un petit enfant qui dans nos bras nous échappe, toujours à genoux, elle projeta son buste complètement en arrière, elle le fit pivoter, je ne pus la retenir.

Elle culbuta, le corps complètement ployé, renversé, tête en bas, le dos calé contre le bord du sofa, les bras en croix, les épaules et la tête en bas posées à plat sur la moquette, son visage tourné vers moi. Alors je ne sais comment ses cuisses suivirent écartées en vé, horizontales au dessus de sa tête. J’avais sous les yeux le spectacle inimaginable de ses fesses écartelées ne me cachant rien de sa vulve, du bombé de son périnée, de son anus proche, avec mon sexe dressé, sorti, éjecté de l’antre où il se complaisait il y a un instant surplombant ses merveilles, à les frôler; vous voyez ? Imaginez !

Alors j’entrepris de la caresser, elle était à portée de mes mains; c’était facile, excitant pour moi et jouissif pour Rita . En me penchant légèrement je commençais à promener mes mains, mes doigts, sur l’intérieur de ses cuisses ouvertes en un vé royal, doucement avec mes paumes, c’était rond, c’était doux, c’était chaud, Rita me regardait attentive, le souffle court et quand mes mains se rejoignirent, s’avancèrent sur son ventre et descendirent vers son sexe et son anus je vis sur son visage, dans ses yeux qui fixaient mon regard qu’elle recommençait à jouir.

Avec la pulpe de mes deux pouces je pressais son clitoris, le titillais, il était tout gonflé, dur, noyé au milieu de sa fourrure, son petit gland émergeait de son capuchon et je dus modérer mes caresses tant il était sensible au plaisir, ce plaisir si violent proche de la douleur ; chaque attouchement, chaque frôlement était ponctué d’un rire nerveux, d’un soubresaut incontrôlé de tout son corps. Je ne laissais qu’une main sur ce bouton en le caressant doucement pour ne pas la rendre folle et de l’autre, les doigts en pince je triturais ses grandes lèvres à cru cette fois, les faisais glisser l’une contre l’autre, je les ouvrais pour découvrir le sillon rose de sa vulve, ses petites lèvres gonflées par l’excitation, rougies, luisantes de sa mouille qui dégoulinait sur son périnée.

L’entrée de son vagin ne s’était pas encore refermée et quand j’y glissais le pouce de ma main droite pour le branler tandis que mes autres doigts en éventail caressaient son clitoris, là, oui, ce fut de la folie, je la lisais sur son visage posé sur la moquette encadré de ses cheveux sous l’arc de ses cuisses, sa tête dodelinait, sa bouche ouverte cherchait de l’air, ses yeux me fixaient, elle devançait mes intentions en s’ouvrant, en avançant son ventre vers l’araignée de mes doigts .

Rita avait un beau sexe, comme je les aime, une chatte fruit comme on dit, gonflée comme une mangue bien mure, éclatée, fendue ruisselante de miel. Tout en la pénétrant, mes doigts cherchaient en elle et sur sa vulve les zones érogènes et quand éclairé par les avancées nerveuses de son corps, ses cris, je les trouvais, je m’y attardais, en cherchais d’autres.

Tout en continuant de la faire jouir ainsi d’une main, avec le pouce de l’autre j’enduisis son anus en tournant autour de ce joli orifice en le pressant un peu et aux encouragements de Rita, aux ondulations de ses fesses je compris qu’elle attendait beaucoup de mes attentions à cet endroit.

Merveilleuse position, je pouvais la caresser avec mon seul sexe, horizontal, centré sur elle dans le long sillon de sa chatte en le faisant aller et venir entre ses fesses en avançant mon ventre, en le guidant avec ma main, en le ployant pour faire aller mon gland dans la grande faille de sa vulve, de son périnée, lui faire presser au passage son anus proche et son vagin au delà, l’y attarder comme s’il voulait entrer, l’avancer plus avant encore pour le faire glisser entre les petites lèvres et le mettre en butée entre ses poils sur le capuchon, l’antre de son clitoris.

Jamais je n’avais eu ce spectacle, j’étais acteur et spectateur, je voyais comme jamais mon chibre, mon gland dépucelé glisser enlisé dans le marécage de ce sexe, je pouvais au travers du vé des cuisses de Rita lire sur son visage sa jubilation, le plaisir que ces caresses lui procuraient. Par moment elle remontait sa main pour la joindre à mon sexe pour cette fête jouissive, à le positionner, le faire rouler, se caresser avec lui, là où le plaisir était le plus grand pour elle.

Je devenais fou moi aussi, fasciné par tant de beauté, tant d’érotisme ; alors comme une évidence, presque inconsciemment, je repoussais ses fesses, à deux mains en les éloignant un peu de moi, en la maintenant ainsi, la cambrant davantage ; je pouvais ainsi me pencher facilement vers ces merveilles et au lieu de mes mains, au lieu de mes doigts, au lieu de mon sexe, c’est mon visage, ma bouche, ma langue qui prirent le relais dans ce lieu enchanteur.

Je promenais mon visage entre ses cuisses, il glissait enduit de mouille dans la commissure de ses fesses ; avec mon nez j’agaçais son vagin et son anus en les pressant avant qu’avec ma bouche je lui bouffe la chatte comme on dit, les grandes lèvres de son sexe, ses petites lèvres et son clitoris aussi, en les suçant, en les aspirant, en les mâchonnant, en faisant aller et venir ma langue dans la faille rose de sa vulve. J’étais comme sur un volcan en éruption saisi de spasmes, qui loin de me repousser confortaient ma position, mes caresses, amenaient ma langue à l’entrée du vagin pour mieux l’enliser, la faire aller et venir, entrer et sortir, sa partie charnue, sa racine plantée incroyablement au plus profond de son sexe et quand je la pénétrais, la baisais ainsi avec ma langue durcie, brillante, lubrifiée, je pouvais au travers de la lucarne de ses cuisses, voir dans les yeux de mon amante le plaisir qu’elle prenait et cela me donnait mille idées dont je lisais les effets.

Rita surprise de mes prévenances se mit à gémir, à grommeler des mots sans suite. Avec ma bouche je caressais le sillon maintenant rougeoyant de sa vulve écartelée, ses petites lèvres sorties, épanouies, avec les miennes. En contrefeux de mes caresses buccales sur sa chatte, avec un de mes doigts passé sous mon menton je recommençais ce qui semblait tant plaire à Rita, caresser son anus, le presser, le faire glisser autour. Ce fut de la folie, et cela n’eut de cesse que ma bouche délaisse sa chatte pour grande ouverte, ma langue sortie, lui lécher, lui baiser le cul. Elle et moi n’étions plus à même de nous contrôler, j’avais du mal à suivre cette croupe en furie, à laisser la pointe de ma langue à l’entrée du méat qui amadoué commençait à s’ouvrir …..
« Encule moi Edouard…….oui maintenant…..je n’en peux plus depuis le temps que j’attends ce moment…….

Moi aussi j’avais envie de lui prendre son joli petit cul, il était beau, joli, discret, il m’attendait…….tel l’œil du Cyclope, borgne, il me regardait..

J’avais pris mon sexe en main pour l’abaisser entre ses fesses, sur son anus, l’orifice le plus proche de mon ventre, mais mon phallus était si dur, si tendu que je n’arrivais pas à le cambrer, à l’arquer suffisamment comme il aurait fallu pour présenter mon gland, pour le centrer pour le moins en face, au dessus de ce merveilleux petit cul entrouvert qui maintenant pulsait d’impatience, luisant de toute cette liqueur filante accumulée par nos joutes amoureuses.

Je ne sais comment mais je pus la sodomiser comme il le fallait, comme elle m’en priait ; dans un demi brouillard je m’étais redressé, debout, les jambes écartées de part et d’autres de ses fesses et là penché sur elles en abaissant mon sexe avec ma main je pus présenter mon gland dans la petite dépression où se terrait son anus et en pliant mes cuisses, doucement, précautionneusement je commençais à la pénétrer.

Le plus délicat fut de centrer mon gland dans son anus, le caresser, l’amadouer, le faire entrer et sortir délicatement, jusqu’à faire disparaître sa corolle, l’enliser, le boutonner complètement dans cette rosette plissée, cet orifice si innervé, si vascularisé qui peut si on sait s’y prendre procurer des plaisirs indicibles, qui ne peuvent se dire avec des mots et que seuls connaissent ceux, hommes ou femmes qui ont été bien sodomisés. Il fallait que je fasse tout pour la faire jouir ainsi.

La suite alla de soi. Pour baiser un cul dans cette position il faut des jambes puissantes, je les avais, pour monter et descendre, pour faire aller et venir mon sexe de plus en plus profond, pour qu’il trouve sa place, qu’il coulisse facilement dans l’anneau musculeux qui défend cette porte des plaisirs, le détendre, le vaincre pour qu’il reste béant, rougeoyant, arrondi à la dimension de mon sexe, attirant, affolant pour le sodomite que j’étais pour elle, à me faire perdre la raison.

Depuis le début de cette délicate infraction Rita se pâmait, hors du monde, enseveli dans son orgasme, mais là avec ma bite plantée à fond dans son anus ce fut cataclysmique, elle fouettait l’air avec ses cuisses pour conforter ma position, pour tenter d’élargir son anus comme s’il en avait besoin grand ouvert qu’il était, pour augmenter cette sensation de plénitude que procure une bonne sodomie.

Par moment en maintenant avec mes mains ses jambes écartées je me penchais sur elle, mon torse entre ses cuisses grandes ouvertes, mon visage face au sien, ma bouche, mes lèvres sur les siennes entrouvertes ; dans cette position favorable que je fis durer tant elle était jouissive, j’étais presque couché, mon ventre sur ses fesses, mon sexe enfoncé complètement en elle et je le laissais ainsi bien à fond de ses fesses en agitant mon bassin en des circonvolutions effrénées, ….. qui devaient avoir les meilleurs effets sur son fondement ; Rita appréciait cette position acrobatique si jouissive pour nous deux.

Elle y resta le temps où pour être encore mieux et pour mieux la servir, je me retournais prestement, face au sofa en enjambant dans l’autre sens les fesses de Rita, en chevauchant ses cuisses, mes genoux en appui au bord du canapé et ainsi mieux positionné au dessus d’elle la sodomiser de nouveau, de toutes mes forces, penché sur elle en la tenant par les cuisses, en l’attirant vers moi ; cela n’avait prit que quelques secondes mais après le temps de ce moment merveilleux ne compta plus pour nous.

Nous entendions les claquements légèrement décalés de mon ventre sur ses fesses et celui de mes testicules sur sa chatte et cela confortait notre plaisir ; mes valseuses, elles méritaient bien cette appellation en la circonstance, étaient indépendantes au fond de leur sac de peau fripé qui fouettait les lèvres de sa chatte avant de se vautrer sur elles jusqu’au moment où je les sentis caressées par une des mains de Rita passée entre elles et son sexe.

C’est moi qui fus foudroyé cette fois car de toutes les caresses que l’on peut me faire ce sont celles que l’on fait sur mes couilles avec les mains ou avec la bouche qui me font le plus d’effets ; je peux rester sans jouir pour contenter ma partenaire, résister tant que dure sa jouissance et plus s’il le faut pour la faire renaître mais j’ai du mal à ne pas la rejoindre dans le plaisir dés que l’on me saisit, que l’on tripote mes attributs.

Rita bien servie par ailleurs jouissait en se caressant la vulve avec mes testicules, elle les faisait rouler, glisser l’une après l’autre sur ses lèvres inondées, à l’entrée de son vagin grand ouvert où elle réussit à y glisser une de mes joyeuses et à la garder en elle. Ce fut terrible pour moi , une première, une sensation jamais ressentie et pour Rita ce fut fulgurant, elle se mit à hurler, possédée qu’elle était de toutes parts, dans son sexe avec ses doigts et ma couille et dans son anus avec mon sexe .

Je ne pus résister davantage et ce fut pour moi le signal qui déclencha ma jouissance je la sentis monter des profondeurs de mon ventre, de mes baloches et remonter bouillonnante dans ma verge pour éclater au fin fond de son cul en puissantes giclées. Jamais je n’avais tant joui, tant fait jouir, ma verge glissait à l’aise dans son anus lubrifié par l’abondance de mon foutre qui giclait, fusait sous pression, inondant ses fesses et mon ventre.
Son plaisir dura bien après le mien mais je m’efforçais de le faire durer ; dans cette position je ne voyais plus le visage de Rita pour m’en assurer seuls ses gémissement en étaient le signe ; j’imaginais son regard, ce qu’elle devait voir de nous, vu d’en bas ; vous imaginez ? J’aurai bien voulu être à sa place, voyeur que je suis, mais ses cris, les ondulations anarchiques, incontrôlées de son bassin, de ses fesses m’encourageaient à continuer de la servir ; et puis comme finit un orage le calme revint peu à peu et en me relevant et en regardant de nouveau au travers de la fenêtre de nos cuisses entre croisées je vis de nouveau son visage ; Rita apaisée me souriait, heureuse, satisfaite.

Nous étions dans cette position quand je remarquais qu’une femme aussi blonde que Rita était brune nous regardait, debout, médusée à la porte du salon. Depuis combien de temps était-elle là ? Qu’avait elle vu de nos ébats ? Je ne savais que faire, pas gêné pourtant de cette situation cocasse, qui promettait je le pressentais quand Rita me parla
« Edouard, c’est Dolorès……une de mes amies…..je lui avais demandé de passer……elle a envie de toi, de nous elle aussi ……j’aimerais qu’elle reste….. tu veux ?

Ainsi une des amis de Rita rappliquait pour s’inviter à la fête, délicieux traquenard qui n’était pas pour me déplaire. J’observais Dolorès elle était magnifique elle aussi, inquiète de ma réponse elle attendait sur le pas de la porte, la main sur la poignée, prête à partir, à fuir.
Comme éberlué je ne disais mot, presque heureux de lui montrer ma nudité, mes fesses, mon sexe; elle prit mon silence pour acceptation, elle avait raison d’ailleurs car j’étais tout émoustillé, baiser avec deux femmes, mon fantasme ! Alors elle ouvrit son manteau et d’un coup je me demandais si je ne rêvais pas en voyant son corps moulé dans des sous vêtements coquins, son string et ses bas sombres sustentés par des jarretelles de dentelles qui zébraient ses cuisses et ses fesses.

Elle s’approcha de nous toute fébrile, toute guillerette en ondulant , sourire carnassier aux lèvres et plus que tout, plus que ce que je viens de dire d’elle, c’est son regard qui me stupéfia, celui d’une amante chevronnée en plein manque, un regard qui promettait, le regard d’une belle garce comme on dit ; un regard plein de promesse, concupiscent de belle salope , comme j’aime en croiser sur mon chemin.

Elle se mit à genoux devant nous, se pencha et c’est Rita qui me prit le sexe et le glissa dans sa bouche……….
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Histoire de Pierre le Grand

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